Église et couvent des dominicains de Tarnobrzeg — Wikipédia

Église et couvent des dominicains
Image illustrative de l’article Église et couvent des dominicains de Tarnobrzeg
Présentation
Nom local Sanktuarium Matki Bożej Dzikowskiej
Début de la construction 1703
Fin des travaux 1706
Architecte Jan Michał Link
Style dominant Architecture baroque
Site web http://www.tarnobrezg.dominikanie.pl
Géographie
Pays Drapeau de la Pologne Pologne
Voïvodie Voïvodie des Basses-Carpates
Ville Tarnobrzeg
Coordonnées 50° 34′ 29″ nord, 21° 40′ 22″ est
Géolocalisation sur la carte : Pologne
(Voir situation sur carte : Pologne)
Église et couvent des dominicains

L'église de l'Assomption et le couvent des dominicains forment un ensemble architectural historique de la ville de Tarnobrzeg en Pologne.

Historique[modifier | modifier le code]

Intérieur de l'église conventuelle

L'église, dédiée à l'Assomption, et le couvent de l'ordre des frères prêcheurs ont été fondés en 1676 par la famille Tarnowski qui offre en plus aux dominicains le village de Radowaz. La première église est en bois. Les dominicains la reconstruisent en pierre en 1693. Un incendie détruit le la majeure partie construite en bois du couvent. De nouveaux travaux commencent pour reconstruire totalement le couvent et l'église en style baroque, d'après les plans de Jan Michał Link. Ils sont consacrés en par Mgr Biegański, évêque du lieu. le maître-autel de l'église, avec son retable, est un exemple remarquable du baroque polonais.

L'intérieur de l'église est réaménagé en 1782, mais un nouvel incendie survient dans la nuit du 5 au qui détruit l'orgue et une partie du couvent. D'importants travaux de restauration ont lieu en 1909.

L'ensemble souffre encore au début de la Première Guerre mondiale; les soldats autrichiens saccagent l'intérieur. L'icône - fort révérée dans la région - de Notre-Dame de Dzików (fêtée le ) est mise en sécurité au château des Tarnowski.

L'ensemble est restauré dans les années 1930, et encore entre 2014 et 2019[1]. En 2019, des nouvelles fresques sont dévoilées[2].

Références[modifier | modifier le code]

  1. (pl) Grzegorz Lipiec, « Trwa remont w Klasztorze Dominikanów w Tarnobrzegu », sur echodnia.eu, (consulté le )
  2. (pl) Redakcja, « Wnętrze kościoła po malowaniu fresków [FOTO] », sur tarnobrzeg.dominikanie.pl, (consulté le )

Lien externe[modifier | modifier le code]