Équipe du Japon de rugby à XV — Wikipédia

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Surnom The Cherry Blossoms (jusqu'en 2003)
The Brave Blossoms
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Entrée au Board 1987
Sélectionneur Eddie Jones
Capitaine Atsushi Sakate
Record de sélections Hitoshi Ono (98)
Record de points Ayumu Goromaru (708)
Record d’essais Daisuke Ohata (69[1])
Premier match officiel

Japon 9 - 8 Canada

Plus large victoire

Japon 155 - 3 Taipei chinois

Plus large défaite

Nouvelle-Zélande 145 - 17 Japon

Coupe du monde  
· Participations 10/10
· Meilleur résultat Quarts de finale en 2019

L'équipe du Japon de rugby à XV est l’équipe nationale qui représente le Japon dans les compétitions internationales de rugby à XV. Elle rassemble les meilleurs joueurs licenciés auprès de la fédération japonaise de rugby à XV. Les Japonais jouent en maillot rayé rouge et blanc, short blanc, bas blanc avec une bande rouge. Les Brave Blossoms (les Fleurs braves) sont entraînés depuis 2016 par le Néo-Zélandais Jamie Joseph. En plus de la Coupe du monde, le Japon participe également au Tournoi des 5 nations asiatiques et à la Pacific Nations Cup, compétitions qu'il a remporté respectivement 22 et 3 fois.

Voir ou modifier les données brutes du graphique.

Classement World Rugby[2]

Depuis les années 2010, le niveau de l'équipe nationale japonaise est en hausse constante, réussissant quelques exploits comme la victoire (34-32) contre les Springboks en phase de poule de la Coupe du monde 2015, au terme d'un match spectaculaire, ou bien en remportant un match de poule contre l'Irlande (19-12) lors de la Coupe du monde 2019 au Japon. Ces victoires arrachées grâce à l'acharnement des rugbymen japonais ont entraîné un fort gain de popularité en faveur du rugby au Japon. Lors de cette Coupe du monde 2019, les Japonais gagnent tous leurs matches de poule, éliminant ainsi l'Écosse pour se qualifier en quart de finale, ce qui constitue une performance historique.

Au , le Japon est dixième dans le classement des équipes nationales de World Rugby.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le Japon (en rouge) face aux Tonga au Honjo Stadium le 4 juin 2006 .

Le rugby est arrivé au Japon en 1899, mais a mis plusieurs années à percer. Le a lieu le premier match du Japon face à l'Angleterre. L’année du centenaire de la Fédération anglaise de rugby à XV en 1971, les Anglais se rendent de nouveau au Japon pour une double confrontation contre l'équipe japonaise qu'ils peinent à battre 21-17 puis 6-3 à Tokyo[3].

L'équipe japonaise participe à toutes les Coupes du monde et doit attendre 2019 pour dépasser la phase de poule. Le Japon progresse régulièrement sur la scène internationale comme le prouve dès 2007 sa courte défaite contre les Fidji eux-mêmes quart de finalistes en Coupe du monde. L'intérêt de cette nation pour le rugby est tel (plus de 120 000 licenciés) que le Japon accueille finalement la Coupe du monde en 2019[4].

Depuis 2006 le Japon participe à la Pacific Nations Cup qui regroupe chaque année les équipes des Fidji, des Samoa, des Tonga et du Japon. À noter aussi que certaines années des équipes comme les Junior All Blacks (qui est l'équipe réserve de Nouvelle-Zélande), les Māori néo-zélandais ou l'Australie A (équipe bis d'Australie) y ont aussi participé. En 2011, le Japon utilise ce tournoi comme match de préparation à la Coupe du monde.

En plus de la Coupe du monde et de la Pacific Nations Cup, le Japon participe également depuis 2008 au tournoi des 5 nations asiatiques dont il remporte la première édition. Les dirigeants du rugby asiatique lancent officiellement le ce tournoi continental calqué sur le modèle du Tournoi des Six Nations européen, afin de développer ce sport en Asie. Il s'agit d'une compétition de rugby à XV qui a vocation à être disputée chaque année par les six meilleures équipes asiatiques. Le premier gagne le tournoi tandis que le dernier est rétrogradé en seconde division asiatique.

L'équipe de France (en blanc) affronte le Japon lors de la Coupe du monde 2011 en Nouvelle-Zélande.
La mêlée japonaise (en rouge) face à la française en 2011.

Qualifié pour la Coupe du monde 2011, le Japon perd contre la France (47-21), la Nouvelle-Zélande (83-7) et les Tonga (31-18) mais fait match nul avec le Canada (23-23).

Les progrès du rugby nippon éclatent au monde lors de la Coupe du monde 2015. Le , lors du premier match de groupe, le XV japonais bat l'Afrique du Sud, double championne du monde et troisième nation au classement IRB[5], sur le score de 34 à 32. C'était la première confrontation des deux nations. Cette victoire, arraché à l'ultime seconde après que les Nippons eurent incessamment réussi à recoller au score après chaque essai de leur adversaire, est surnommée le « miracle de Brighton », elle est considérée comme un des plus beaux exploits de l'histoire du rugby à XV[6]. Il leur permet de remonter à la onzième place du classement de World Rugby. Devant hélas rejouer seulement quatre jours plus tard face aux Écossais, qui débutent la compétition, ils s'inclinent lourdement (45-10) après avoir résisté une mi-temps entière. Ils dominent largement les Samoa (26-5) et les États-Unis (28-18) lors des deux derniers matches. Avec trois victoires sur quatre matches disputés, ils échouent malgré tout à se qualifier pour les quarts de finale en terminant troisième de leur poule avec 12 points, deux points derrière les Écossais, qui profitent de leurs points de bonus offensifs.

L'équipe parvient ensuite à accrocher l'équipe de France chez elle lors d'un test match de tournée en (23-23).

Lors de l'ouverture de la Coupe du monde de 2019 chez elle, l'équipe domine la Russie. Pour son deuxième match, le Japon bat pour la première fois l'Irlande sur le score de 19 à 12, signant un deuxième exploit en Coupe du monde. Les Braves Blossoms battent ensuite les Samoa. Leur dernière rencontre voit une victoire historique 28 à 21 contre l’Écosse, malgré un contexte local très particulier : le typhon Hagibis avait frappé la veille l'île centrale du Japon en faisant des dégâts considérables et une trentaine de victimes. Invaincus, les Japonais terminent en tête de leur poule et accèdent pour la première fois aux quarts de finale, où ils perdent face au futur vainqueur l'Afrique du Sud sur le score de 26 à 3. Grâce à ce Mondial réussi, le Japon atteint en 2019 la meilleure place de son histoire au classement World Rugby (6e)[7].

À cause de la pandémie de Covid-19, la sélection ne dispute aucun match pendant presque deux ans, de novembre 2019 à juin 2021[8]. Le , les Brave Blossoms renouent avec le terrain pour un match historique (première confrontation de leur histoire) contre les Lions britanniques et irlandais au stade de Murrayfield. Les Nippons s'inclinent sur le score de 28 à 10[9].

Pendant la tournée d'été 2022, le Japon accueille le quinze de France pour deux test matchs. Lors de la première rencontre le 2 juillet, le Japon s'incline 23 à 42, les observateurs notant une équipe courageuse avec la volonté de produire du jeu offensif, mais dont les options tactiques restent limitées, avec notamment l'absence de jeu au pied[10],[11]. Une semaine plus tard, les Japonais retrouvent en partie ce qui fait habituellement leur force, vitesse et discipline, et accroche la France 15 à 20[8]. Ils reçoivent également l'Uruguay pour deux test matchs, remportés 34-15 et 43-7[12].

La sélection japonaise constituée par Jamie Joseph pour la coupe du monde 2023 est très rajeunie : sur les 36 joueurs, 11 ne comptent aucune sélection et 12 comptent moins de neufs sélections[13].

Identité[modifier | modifier le code]

Initialement, le XV japonais n'est pas doté d'un surnom officiel. Génériquement, ils sont parfois désignés au Japon comme les joueurs au maillot « sakura » en référence à leur emblème, ou en langue anglaise à l'international en tant que Cherry Blossoms, soit littéralement « les fleurs de cerisiers »[14].

En 2003, après leur match joué contre l'Écosse dans le cadre de la Coupe du monde, concédé sur le score de 32 à 11 mais ayant impressionné le public et la presse pour le contenu de leur prestation, Rich Freeman, un journaliste anglais basé au Japon commente leur « courageuse » opposition (en anglais : brave). Les médias japonais reprendront la formule les jours suivants et commencent à parler des Brave Blossoms. Freeman reprendra ce nouveau surnom populaire dans les colonnes du Japan Times. Si la fédération n'est pas convaincue par cette appellation dans un premier temps, ils l'acceptent à partir de 2009 après une rencontre amicale jouée contre les Classic All Blacks, à l'issue de laquelle Andrew Mehrtens utilise ce surnom en interview post-match devant le public japonais de Kobe. Elle l'adopte plus officiellement après la notoriété acquise avec la victoire sur l'Afrique du Sud lors de la Coupe du monde de 2015[14].

Palmarès[modifier | modifier le code]

Coupe du monde[modifier | modifier le code]

La Coupe du monde de rugby à XV commence toujours par une phase de poule. Ce qui a varié depuis les origines en 1987, c'est le nombre d'équipes par groupe. De quatre poules de quatre équipes en 1987, 1991 et 1995, et après une transition de cinq poules de quatre, World Rugby s'en tient désormais à un format de quatre poules de cinq équipes. La table qui suit récapitule les résultats du Japon en Coupe du monde depuis 1987 :

Édition Rang
dans sa poule
Résultats du
Japon
Année Hôte(s)
1987 Nouvelle-Zélande,
Australie
4e, A 0 v, 3 d
1991 Angleterre 3e, B 1 v, 2 d
1995 Afrique du Sud 4e, C 0 v, 3 d
1999 pays de Galles 4e, D 0 v, 3 d
2003 Australie 5e, B 0 v, 4 d
2007 France 4e, B 0 v, 1 n, 3 d
2011 Nouvelle-Zélande 5e, A 0 v, 1 n, 3 d
2015 Angleterre 3e, B 3 v, 1 d
2019 Japon 1er, B 4 v, 1 d
2023 France 3e, D 2 v, 2 d
Légende : v, victoire ; n, match nul ; d, défaite

Eddie Jones est le sélectionneur choisi pour participer à la coupe du monde 2015 en Angleterre[15]. Cette coupe du monde 2015 est marquée par la victoire historique du Japon contre l'équipe d'Afrique du Sud 34 à 32 lors du premier match de poule. Alors que les Springboks[a] sont l'une des meilleures nations mondiales avec notamment deux sacres en 1995 et 2007, et que le Japon n'a jusque là remporté qu'un seul match dans toute l'histoire de la Coupe du monde, les Brave Blossoms[b] maîtrisent leur match du début à la fin, s'appuyant sur un gros pack et une belle résilience, et remportent la victoire à la surprise générale, signant ce qui est considéré comme le premier exploit de l'équipe du Japon en coupe du monde et la marque d'une progression historique dans le classement du rugby mondial.

Lors de la Coupe du monde 2019, les Japonais gagnent tous leurs matches de poule, éliminant ainsi l'Écosse pour se qualifier en quart de finale, ce qui constitue une performance historique.

  • Avec cette victoire, le Japon arrive en tête de la poule et se qualifie pour la première fois en quart de finale - une première également pour une équipe asiatique.
  • Le Japon est devenu le premier pays du tier 2 du Classement World Rugby des équipes nationales de rugby à XV depuis les Fidji en 2007[Quoi ?], et le quatrième pays du tier 2 à se qualifier pour les quarts de finale.
  • Le Japon est le premier pays du tier 2 à avoir dominé sa poule et à remporter tous ses matchs.
  • C'est la première fois qu'un pays du tier 2 bat deux pays du tier 1 en une seule campagne de Coupe du monde.
  • C'est la première victoire du Japon sur l'Écosse.

En quarts de finale, le Japon est éliminé par le futur vainqueur de la compétition, l'Afrique du Sud, sur le score de 26 à 3. Grâce à ce Mondial réussi, le Japon atteint en 2019 la meilleure place de son histoire au classement World Rugby (6e)[7].

Tournois et Coupes continentales[modifier | modifier le code]

Coupe d'Asie des nations[modifier | modifier le code]

  • Quinze fois vainqueur de la Coupe d'Asie des nations en 1969, 1970, 1972, 1974, 1976, 1978, 1980, 1984, 1992, 1994, 1996, 1998, 2000, 2004 et 2006, date de la dernière édition de cette coupe qui devient le Tournoi des Cinq Nations asiatiques.

Tournoi asiatique des Cinq Nations[modifier | modifier le code]

Pacific Nations Cup[modifier | modifier le code]

Le tournoi se dispute entre les Samoa, les Tonga, les Fidji, le Japon plus les équipes invitées selon les éditions (Maoris, Australie A' et Juniors Néo-Zélandais).

À partir de l'édition 2010, le tournoi se dispute entre les Samoa, les Tonga, les Fidji et le Japon.

À partir de 2013, le tournoi se dispute à six équipes avec l'intégration du Canada et des États-Unis.

Effectif actuel[modifier | modifier le code]

Liste des 33 joueurs convoqués par Jamie Joseph pour disputer la Coupe du monde 2023[16]. Le , Semisi Masirewa déclare forfait pour la suite de la compétition après une blessure, il est remplacé par Ryohei Yamanaka[17].

Mise à jour du

Les avants[modifier | modifier le code]

Nom Poste Naissance Club Année 1re
sélection
Sione Halasili Pilier (24 ans) Yokohama Canon Eagles 2023
Keita Inagaki Pilier (33 ans) Saitama Wild Knights 2014
Koo Ji-won Pilier (29 ans) Kobelco Kobe Steelers 2017
Shinnosuke Kakinaga Pilier (32 ans) Tokyo Sungoliath 2014
Craig Millar Pilier (33 ans) Saitama Wild Knights 2021
Asaeli Ai Valu Pilier (34 ans) Saitama Wild Knights 2017
Shota Horie Talonneur (38 ans) Saitama Wild Knights 2009
Kosuke Horikoshi Talonneur (28 ans) Tokyo Sungoliath 2015
Atsushi Sakate Talonneur (30 ans) Saitama Wild Knights 2016
Jack Cornelsen Deuxième ligne / Troisième ligne (29 ans) Saitama Wild Knights 2021
Warner Dearns Deuxième ligne (22 ans) Toshiba Brave Lupus Tokyo 2021
Amato Fakatava Deuxième ligne / Troisième ligne (29 ans) Ricoh Blackrams Tokyo 2023
Amanaki Saumaki Deuxième ligne (27 ans) Kobelco Kobe Steelers 2023
Shota Fukui Troisième ligne (24 ans) Saitama Wild Knights 2023
Ben Gunter Troisième ligne (26 ans) Saitama Wild Knights 2021
Kazuki Himeno Troisième ligne (29 ans) Toyota Verblitz 2023
Lappies Labuschagné Troisième ligne (35 ans) Kubota Spears Funabashi Tokyo-Bay 2019
Michael Leitch Troisième ligne (35 ans) Toshiba Brave Lupus Tokyo 2008
Kanji Shimokawa Troisième ligne (25 ans) Tokyo Sungoliath 2022

Les arrières[modifier | modifier le code]

Nom Poste Naissance Club Année 1re
sélection
Kenta Fukuda Demi de mêlée (27 ans) Toyota Verblitz 2023
Naoto Saito Demi de mêlée (26 ans) Tokyo Sungoliath 2021
Yutaka Nagare Demi de mêlée (31 ans) Tokyo Sungoliath 2017
Rikiya Matsuda Demi d'ouverture (29 ans) Saitama Wild Knights 2016
Jumpei Ogura Demi d'ouverture / Arrière (31 ans) Yokohama Canon Eagles 2017
Lee Seung-Sin Demi d'ouverture (23 ans) Kobelco Kobe Steelers 2020
Ryoto Nakamura Centre (32 ans) Tokyo Sungoliath 2013
Tomoki Osada Centre (24 ans) Saitama Wild Knights 2023
Dylan Riley Centre (26 ans) Saitama Wild Knights 2021
Siosaia Fifita Ailier (25 ans) Toyota Verblitz 2021
Lomano Lemeki Ailier (35 ans) NEC Green Rockets Tokatsu 2016
Jone Naikabula Ailier (29 ans) Toshiba Brave Lupus 2023
Kotaro Matsushima Arrière / Ailier (31 ans) Tokyo Sungoliath 2014
Ryohei Yamanaka Arrière (35 ans) Kobelco Kobe Steelers 2010

Joueurs emblématiques[modifier | modifier le code]

L'équipe du Japon (en rouge) lors de sa défaite (91-3) contre l'Australie pendant la Coupe du monde 2007.

Statistiques[modifier | modifier le code]

Statistiques concernant les joueurs[modifier | modifier le code]

Record de sélections[modifier | modifier le code]

Rang Joueur Activité Nombre de
sélections
1 Hitoshi Ono 2004-2016 98
2 Hirotoki Onozawa 2001-2013 81
2 Michael Leitch 2008- 81
3 Yukio Motoki 1991-2005 79
4 Kensuke Hatakeyama 2008-2016 78
5 Fumiaki Tanaka 2008-2021 75
6 Luke Thompson 2007-2019 71
7 Takashi Kikutani 2005-2014 68
8 Shota Horie 2009- 66
9 Takeomi Ito 1996-2005 63
Yu Tamura 2012-

Record d'essais[modifier | modifier le code]

Rang Joueur Activité Nombre
d'essais
1 Daisuke Ohata 1996-2006 69
2 Hirotoki Onozawa 2001-2013 55
3 Takashi Kikutani 2005-2014 32
4 Terunori Masuho 1991-2001 29
5 Yoshikazu Fujita 2012-2017 26
6 Kenki Fukuoka 2013- 25
7 Koliniasi Holani 2008-2016 22
Kotaro Matsushima 2014-
9 Alisi Tupuailei 2009-2011 21
9 Michael Leitch 2008- 21

Record de points[modifier | modifier le code]

Rang Joueur Activité Points
marqués
1 Ayumu Goromaru 2005-2015 708
2 Keiji Hirose 1994-2005 422
3 Toru Kurihara 2000-2003 347
4 Daisuke Ohata 1996-2006 345
5 James Arlidge 2007-2011 286
6 Hirotoki Onozawa 2001-2013 275
7 Yu Tamura 2012- 273
8 Shaun Webb 2008-2011 198
9 Ryan Nicholas 2008-2012 193
10 Takashi Kikutani 2005-2014 160

Liste des sélectionneurs[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. « Les Springboks » est le surnom de l'équipe d'Afrique du Sud de rugby à XV.
  2. « Les Brave Blossoms » est le surnom de l'équipe du Japon de rugby à XV.

Références[modifier | modifier le code]

  1. (en) « Statsguru / Player analysis / Daisuke Ohata / Test matches », scrum.com (consulté le ).
  2. « World Rugby Rankings », sur world.rugby, (consulté le ).
  3. Mike Galbraith, « Centenary & History - The "Good ol' days" of YCAC Rugby », sur ycacrugby.com (consulté le ).
  4. (en) « England and Japan handed Rugby World Cups », sur rugbyworldcup.com, IRB, 28 juillet 2009-07-28 (consulté le ).
  5. « Classement IRB », sur sports.fr (consulté le ).
  6. « Le Japon crée l'exploit en venant à bout de l'Afrique du Sud (34-32) pour son entrée dans la Coupe du monde ! », L'Équipe, (consulté le ).
  7. a et b « 2019 : l'année de tous les records au classement mondial », sur World Rugby, (consulté le ).
  8. a et b Steven Oliveira, « Japon », Tampon! « Le guide ultime de la coupe du monde »,‎ , p. 38-39
  9. (en-GB) Tom English, « British & Irish Lions 28-10 Japan: Alun Wyn Jones injury mars routine warm-up win », BBC Sport,‎ (lire en ligne, consulté le )
  10. « Rugby : le XV de France l’emporte au Japon, neuvième victoire de suite pour les Bleus », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  11. Erwan Harzic, « XV DE FRANCE. Face au Japon, ‘‘cela a été très compliqué en première mi-temps’’ décrypte Lucu », sur Le Rugbynistère, (consulté le )
  12. (en-US) Americas Rugby News, « Uruguay humbled in Kitakyushu by Impressive Japan », sur Americas Rugby News, (consulté le )
  13. Richard Freeman, « Le Japon dans l'inconnu », Raffut, no 5,‎ , p. 123
  14. a et b « Coupe du monde : pourquoi les Japonais sont-ils surnommés les « Brave Blossoms » ? », L'Équipe, (consulté le ).
  15. « Coupe du monde de rugby de 2015: présentation du Japon », sur www.japonrugby.net (consulté le ).
  16. (en) « Brave Blossoms Announce Final Changes to 2023 World Cup Squad », sur en.rugby-japan.jp, (consulté le ).
  17. « Semisi Masirewa blessé, doit renoncer à la suite du Mondial », sur Quinze Mondial, (consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]

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