500 kHz (maritime et aéronautique) — Wikipédia

La fréquence de 500 kHz (désignée aussi par sa longueur d'onde : 600 mètres) est la fréquence de détresse et d'appel en radiotélégraphie Morse [1],[2] pour les stations du service mobile maritime et aéronautique [3].) travaillant dans la bande comprise de 415 kHz à 526,5 kHz[4], avec une portée d'exploitation jusqu'à 1 000 km.

En France, cette fréquence de 500 kHz ou 500 kc/s (kilo cycles par seconde) a fonctionné de 1904 à 1997 avec une veille de détresse jusqu'en 1999. À ce jour, une flotte de navires ou d'aéronefs effectuant des liaisons radiotélégraphiques n’a plus d’interconnexion possible avec les stations SMDSM 1999.

À ce jour, cette fréquence de 500 kHz fonctionne depuis des stations côtières d'Afrique et d'Asie et depuis les stations des navires et/ou des aéronefs de ces pays: Algérie, Arabie saoudite, Azerbaïdjan, Bahreïn, Biélorussie, Chine, Comores, Djibouti, Égypte, Émirats arabes unis, Russie, Irak, Jordanie, Kazakhstan, Koweït, Liban, Libye, Mauritanie, Oman, Ouzbékistan, Qatar, Syrie, Kirghizistan, Somalie, Soudan, Tunisie, Yémen [5].

Station radiotélégraphique type Marconi.
Station radiotélégraphique de la frégate météorologique « France ».
Manipulateur radiotélégraphique Vibroplex à grande vitesse (30 mots par minute.)
Manipulateur radiotélégraphique.
Station radiotélégraphique type Marconi

Utilisation de la fréquence 500 kHz[modifier | modifier le code]

La fréquence 500 kHz est la fréquence internationale de détresse et d'appel en radiotélégraphie Morse sur ondes hectométriques pour les stations du service mobile maritime et aéronautique. De la disponibilité de cette fréquence dépend l'efficacité de la veille effectuée par les stations côtières. Elle doit être employée pour les appels et le trafic de détresse.

Les messages de sécurité doivent être transmis sur une fréquence de travail après annonce préliminaire sur la fréquence 500 kHz.

Afin de faciliter la réception des appels de détresse, toutes les émissions sur la fréquence 500 kHz doivent être réduites au minimum et ne pas dépasser une minute. Avant d'émettre sur la fréquence 500 kHz, un laps de temps d'écoute suffisant est nécessaire, afin d'être certain qu'aucun trafic de détresse n'est en cours. Cette disposition ne s'applique pas aux stations en détresse.

Chaque navire équipé d'une station radiotélégraphie Morse sur ondes hectométrique est en veille sur 500 kHz et c'est là qu'il sera appelé.

Les stations conviennent d'une fréquence de dégagement. Puis, la communication terminée, le navire revient sur 500 kHz.

Depuis le SMDSM 1999, les stations ne sont plus tenues à l'écoute obligatoire du canal 500 kHz.


Station radiotélégraphique
Station radiotélégraphique

Historique[modifier | modifier le code]

Poste récepteur marine à cohéreur.
Ushant FFU (Ouessant TSF) en 1904
Opérateur radiotélégraphiste navigant 1920-1930 (ballon dirigeable et avion)
Schéveningue en 1970, indicatif (radio) PCH

Plusieurs fréquences ont été transférées sur 500 kHz :

  • la fréquence d’appel en radiotélégraphie de 1 000 kHz de la bande des 300 mètres utilisés par les petits bateaux jusqu'en 1927.
  • la longueur d'onde d’appel transocéanique de 1 800 mètres en radiotélégraphie désignée aussi par la fréquence 166,5 kHz jusqu'en 1927[11].
  • la fréquence d’appel des paquebots en radiotélégraphie de 143 kHz de la bande des 2 100 mètres[12].
  • La fréquence de 333 kHz (désignée aussi par sa longueur d'onde: 900 mètres) était la fréquence internationale d'appel et de sécurité en radiotélégraphie Morse sur onde hectométrique comprise de 325 kHz à 405 kHz du service aéronautique[13].

Quelques dates[modifier | modifier le code]

Antenne de station de canot de sauvetage en 1914.
Émetteur à étincelles à bobine d'induction de Ruhmkorff.
Émetteur à étincelles à bobine d'induction de Ruhmkorff.
Récepteur à galène vers 1914.
Récepteur à galène vers 1914.

En France[14]:

Évolution[modifier | modifier le code]

Depuis le , dans le cadre du SMDSM, il n’y a plus de veille obligatoire sur les fréquences 500 kHz et 8 364 kHz[35].

Navires[modifier | modifier le code]

Constitution des premiers indicatifs[modifier | modifier le code]

Station radiotélégraphique d'un paquebot en 1909

Indicatif (radio) pour les stations de bord :

  • première lettre : F pour France ;
  • deuxième lettre : initiale du nom de la compagnie à laquelle appartenait le bâtiment (M Messageries maritimes, C Chargeurs réunis, P Paquet, T Transatlantique, etc.) ;
  • troisième lettre : initiale du nom du bâtiment.

Ainsi, l'indicatif FML était l'indicatif radio du bâtiment Lotus des Messageries Maritimes.

Pour les stations de bord militaires :

  • premières lettres : FA ou FB ;
  • suivies de deux lettres du nom du bâtiment.

Certificat de radiotélégraphiste[modifier | modifier le code]

Depuis le . Dans le cadre du SMDSM de 1999, la France interrompt définitivement l'emploi de la radiotélégraphie Morse dans les bandes marines depuis les navires français. La fonction d'Officier radiotélégraphiste de la marine marchande embarqué disparaît alors[36].

Station radiotélégraphique du paquebot RMS Olympic en 1913.

Pour manœuvrer une station radiotélégraphique de navire, il était nécessaire de posséder un des certificats suivants[37] :

Pour configurer, programmer, modifier, réparer une station de bord de navire, il était nécessaire de posséder un des brevets suivants :

  • brevet de radioélectronicien de première classe ;
  • brevet de radioélectronicien de deuxième classe ;
  • brevet de radioélectricien de première classe ;
  • brevet de radioélectricien de deuxième classe.

Aéronefs[modifier | modifier le code]

Antennes radioélectrique d'aéronef

Radioamateurs[modifier | modifier le code]

Depuis 2006, dans quelques pays (pas en France), une bande des 600 mètres du service radioamateur est créée entre les fréquences 501 kHz et 510 kHz. Pour manœuvrer une station du service radioamateur, il est nécessaire de posséder un Certificat d'opérateur du service amateur.

Fréquences de 500 kHz[modifier | modifier le code]

La fréquence 500 kHz est la fréquence internationale de détresse en télégraphie Morse[33]. Elle doit être employée à cet effet par les stations de navire, d'aéronef et d'engin de sauvetage qui font usage de la télégraphie Morse sur des fréquences comprises entre 415 kHz et 535 kHz lorsque ces stations demandent l'assistance des services maritimes. Elle doit être employée pour l'appel et le trafic de détresse ainsi que pour le signal et les messages d'urgence, pour le signal de sécurité et, en dehors des régions à trafic intense, pour de brefs messages de sécurité. Lorsque cela est possible en pratique, les messages de sécurité doivent être émis sur la fréquence de travail, après une annonce préliminaire sur la fréquence 500 kHz. Pour la détresse et la sécurité, les classes d'émission à utiliser sur la fréquence 500 kHz sont les classes A2A, A2B, H2A ou H2B[38].

Il convient toutefois que les stations de navire et d'aéronef qui ne peuvent pas émettre sur la fréquence 500 kHz utilisent toute autre fréquence disponible sur laquelle elles pourraient attirer l'attention.

Emetteur récepteur de naufrage

Signal de sécurité et vie humaine[modifier | modifier le code]

Procédures radiotélégraphiques Morse[39].

Pour la sécurité et la vie humaine, la cadence de la manipulation télégraphique est comprise entre 12 et 16 mots par minute.

Les impositions du silence radio dans l’ordre de priorité :

Détresse[modifier | modifier le code]

Le navire est en détresse[modifier | modifier le code]

Le capitaine d'un navire peut faire usage des signaux d'alarme ou de détresse : douze traits de quatre secondes séparés par des intervalles d'une seconde et trois répétitions du groupe SOS en radiotélégraphie pour signaler que son navire avec le personnel sont sous la menace d'un danger grave et imminent.

le paquebot Cunard SS Slavonia photographié le jour où il s’échoue le 10 juin 1909 ; c'est le premier navire signalé à avoir transmis l'appel de détresse sous la forme • • • — — — • • •.
Navire et hommes en détresse. Dessin de Willy Stöwer.
Le signal SOS en code Morse
Le capitaine du navire fait transmettre un message de détresse.
Emetteur-récepteur de détresse. Fréquences 500 kHz, 8 364 kHz

Il est de la forme :

SOS, SOS, SOS de (nom du navire répété trois fois),
  • SOS (nom du navire)
  • Position (latitude et longitude ou position relative)
  • Nature de la détresse
  • Secours demandé
  • Nombre de personnes à bord
  • Intentions
  • Tout renseignement supplémentaire qui pourrait être utile (caractéristiques du navire…)
  • deux traits de 10 secondes environ (pour la radiogoniométrie)
  • nom du navire
  • ar (fin de transmission)
  • k (invitation à transmettre)

Ce qui donne par exemple sur 500 kHz :

SOS SOS SOS de RMS Titanic RMS Titanic RMS Titanic
SOS de RMS Titanic
Position 41°46'N 50°14'O
Le navire est en train de couler
Demandons assistance immédiate
2201 personnes à bord
Abandonnons le navire
Paquebot noir de 269 mètres de long à 4 cheminées
(deux traits de 10 secondes)
Titanic
ar
k
Pendant une guerre
  • Le signal de détresse SSS est utilisé seulement lorsque la cause de la détresse est un torpillage sous-marin exemple:

SSS SSS SSS de (nom du navire répété trois fois),

  • SSS (nom du navire)
  • Position (latitude et longitude ou position relative)
  • Nombre de personnes à bord
  • Intentions
  • Tout renseignement supplémentaire qui pourrait être utile (caractéristiques du navire…)
  • deux traits de 10 secondes environ (pour la radiogoniométrie)
  • nom du navire
  • ar (fin de transmission)
  • k (invitation à transmettre)

Un autre navire est en détresse[modifier | modifier le code]

Le capitaine d'un navire peut faire usage des signaux d'alarme ou de détresse : douze traits de quatre secondes séparés par des intervalles d'une seconde et du groupe DDD suivie de trois répétitions du groupe SOS suivie du groupe DDD en radiotélégraphie dans l'un des trois cas suivants :

  1. pour signaler qu'un autre navire ou un aéronef est en détresse si celui-ci n'est pas en mesure de le signaler lui-même ;
  2. pour demander des secours supplémentaires lorsque, s'étant porté à l'aide d'un navire ou d'un aéronef en détresse, il juge ces secours nécessaires ;
  3. pour répéter un appel de détresse dont aucun autre navire ou station côtière n'a accusé réception immédiatement, lorsqu'il est dans l'impossibilité de se porter lui-même au secours du navire ou de l'aéronef en détresse.

Le message prend alors cette forme :

DDD SOS SOS SOS DDD, de (Navire relais), (Navire relais), (Navire relais)
SOS (Navire en détresse)
Renseignements contenus dans le message de détresse.

Ce qui donne par exemple sur 500 kHz :

DDD SOS SOS SOS DDD de RMS Carpathia RMS Carpathia RMS Carpathia
SOS RMS Titanic
Position 41°46'N, 50°14'O
Le navire est en train de couler.
Demandons assistance immédiate.
2201 personnes à bord.
Abandonnons le navire
Paquebot noir de 269 m de long à 4 cheminées.
ar
k

Message de détresse, mesure à prendre par le capitaine[modifier | modifier le code]

Le capitaine d'un navire en mer qui reçoit, de quelque source que ce soit (y compris d'une radiobalise pour la localisation des sinistres en mer), un message indiquant qu'un navire ou un aéronef ou leurs embarcations et radeaux de sauvetage se trouvent en détresse est tenu de se porter à vitesse maximale au secours des personnes en détresse et de les en informer, si possible. En cas d'impossibilité ou si, dans les circonstances spéciales où il se trouve, il n'estime ni raisonnable ni nécessaire de se porter à leur secours, il doit inscrire au journal de bord la raison pour laquelle il ne se porte pas au secours des personnes en détresse.

Ce qui donne par exemple sur 500 kHz :

SOS RMS Titanic RMS Titanic RMS Titanic ici RMS Carpathia RMS Carpathia RMS Carpathia
RRR SOS
RMS Carpathia part à toute vapeur sera dans 4 heures à la position 41°46'N 50°14'O
ar
k

Annulation[modifier | modifier le code]

Quand le capitaine d'un navire qui a émis le signal d'alarme ou de détresse estime ultérieurement que l'assistance n'est plus nécessaire, ou qu'il n'y a plus lieu de donner suite au message, il doit immédiatement le faire savoir à toutes les stations intéressées.

Urgence[modifier | modifier le code]

Message urgent[modifier | modifier le code]

Dans tous les autres cas où le capitaine d'un navire doit faire transmettre un message urgent concernant la sécurité d'un navire, d'un aéronef ou d'une personne quelconque se trouvant à bord ou en vue du bord, il doit faire usage du signal d'urgence : trois répétitions du groupe XXX en radiotélégraphie.

Il résulte la forme :

trois fois XXX, de/du (nom du navire répété trois fois également)
Dégagement de la fréquence de détresse.
trois XXX, de nom du navire (3 fois aussi)
  • Position (latitude et longitude ou position relative)
  • Nature de l’urgence
  • Secours demandé
  • Nombre de personnes à bord
  • Intentions
  • Tout renseignement supplémentaire qui pourrait être utile (caractéristiques du navire…)
  • ar (fin de transmission)
  • k (invitation à transmettre)

Ce qui donne par exemple sur 500 kHz :

trois XXX de Titanic Titanic Titanic
Demandons remorqueurs qrw 480 ar

Suivi sur 480 kHz de :

trois XXX de Titanic, Titanic, Titanic
Position 41°46'N 50°14'O
Chaufferies inondées suite à voie d’eau réparée
Demandons remorqueurs
2201 personnes à bord
Paquebot noir de 269 m de long à 4 cheminées
ar
k

Annulation[modifier | modifier le code]

Quand le capitaine d'un navire qui a émis un signal d'urgence estime ultérieurement que l'assistance n'est plus nécessaire, ou qu'il n'y a plus lieu de donner suite au message, il doit immédiatement le faire savoir à toutes les stations intéressées.

Transports sanitaires[modifier | modifier le code]

Navire-hôpital

Dans une zone de combats, aux fins d'annonce et d'identification de transports sanitaires[40] placés sous la direction d'une partie à un conflit ou d'États neutres, ou d’un navire portant secours aux blessés, aux malades et aux naufragés, le capitaine du navire doit faire transmettre par le radiotélégraphiste les signaux d'urgence : d'un seul groupe XXX suivi par l'adjonction du seul groupe YYY en radiotélégraphie.

Historique en zone de combats[modifier | modifier le code]

Navire-hôpital coulé par faits de guerre

La nécessité d'utiliser les radiocommunications pour annoncer et identifier les transports sanitaires est apparue pendant la Seconde Guerre mondiale. En mer, plus de 45 navires-hôpitaux et quatre navires affrétés par le CICR furent coulés ou endommagés par faits de guerre: l'absence de moyens d'identification efficaces fut la cause de la plupart des attaques en surface ou sous-marines. En 1943, un navire-hôpital attaqué par des avions s'efforça de se faire identifier par radio. La station côtière de Malte retransmit le message du navire sous forme d'appel à tous (CQ), mais les avions assaillants ne purent capter cette émission.

Dans une zone de combats, aux fins d'annonce et d'identification d'un navire placé sous la direction d'un État neutre à un conflit, le capitaine du navire doit faire transmettre par le radiotélégraphiste les signaux d'urgence : d'un seul groupe XXX suivi par l'adjonction du seul groupe NNN en radiotélégraphie[41].

Dès 1944, les navires neutres naviguant en Méditerranée signalaient leur position en émettant toutes les quatre heures un message sur la fréquence internationale de détresse et d'appel en radiotélégraphie Morse de 500 kHz. Dans l'Atlantique, ils émettaient ce message une fois par jour. Ces messages de position sur 500 kHz étaient prescrits par les belligérants.

Sécurité[modifier | modifier le code]

Sécurité épave dangereuse pour la navigation

Dans tous les cas où le capitaine d'un navire doit faire transmettre un message concernant la sécurité de la navigation ou donnant des avertissements météorologiques importants, il doit faire usage du signal de sécurité : trois répétitions du groupe TTT en radiotélégraphie.

Exemple sur 500 kHz :

  • TTT TTT TTT de FFU FFU FFU
  • AVURNAV qrw 443,5 ar (puis dégagement sur 443,5 kHz)
  • TTT TTT TTT de FFU FFU FFU
  • TTT AVURNAV Brest NR 030 M 016 France
  • Le à 2400z. France Telecom cessera n'importe quel trafic sur la fréquence 500 kHz.
  • ar
  • QSY 500

Appel de routine[modifier | modifier le code]

L'appel de routine permet aux bateaux d'entrer en relation pour les télégrammes avec la terre, d'échanger, entre bateaux, des messages relatifs à la navigation, la météo, d'obtenir des données nautiques concernant les opérations portuaires.

L'appel général[modifier | modifier le code]

L'appel général à toutes les stations.

cq cq cq de ffu ffu ffu
k

Autre exemple :

cq cq cq de ffu ffu ffu
tfc list qrw 443.5 =
cq cq cq de ffu ffu ffu =
tfc list cnfv cnfv uanw uanw uuzb uuzb + du ffu nw lsn 480 K
de ffu nw 500

L'appel d’une station[modifier | modifier le code]

ffb ffb ffb de ffu ffu ffu
qrw 443.5 =
k

Période de silence radio du Temps universel coordonné[modifier | modifier le code]

Pour la fréquence 500 kHz. En rouge les périodes de silence radio de 3 minutes en Temps universel coordonné. (En vert pour la fréquence 2 182 kHz)
  • Dans les stations radios internationales, une montre marque l'heure du Temps universel coordonné comme référence.
  • Les secteurs de couleur rouge déterminent des périodes de silence radiotélégraphique du Temps universel coordonné.
  • Dans les secteurs de couleur rouge, les stations radiotélégraphiques effectuent un silence radio obligatoire de h + 15 à h + 18 et de h + 45 à h + 48 sur la fréquence 500 kHz.
  • Dans le monde, depuis 1999, les émissions doivent cesser dans la bande comprise entre 495 kHz à 505 kHz durant la période de silence radio[34].
  • Dans quelques pays appliquant toujours l'ancienne recommandation, les émissions doivent cesser dans une bande comprise entre 490 kHz à 510 kHz durant la période de silence radio.
  • L’appel de routine, de sécurité et d’urgence est autorisé aux heures de h + 18 à h + 44 et de h + 48 à h + 14 avec un dégagement sur une fréquence de travail.
  • Cette disposition ne s'applique pas aux stations en détresse.

Le journal du service radioélectrique[modifier | modifier le code]

Le journal du service radioélectrique doit être tenu à bord des navires. Ce livre de bord contient :

  • le nom du radiotélégraphiste assurant la veille ;
  • les heures de début et de fin de cette veille ;
  • les interruptions de cette veille ;
  • les communications de détresse, urgence, sécurité ;
  • les communications avec les stations côtières ;
  • les opérations d’entretien des batteries ;
  • les essais de matériel.

Canaux utilisés par les navires[modifier | modifier le code]

Pour tous les navires, dans la bande hectométrique, la puissance maximale des émetteurs radiotélégraphiques homologués marine est comprise entre 150 W et 1 000 W.

Canaux Utilisations
410 kHz Fréquence normale de radiogoniométrie en Radiotélégraphie Morse (positions des navires et des aéronefs)[42]
425 kHz Radiotélégraphie Morse de navires à navires en régions 2 et 3[43] (sauf Europe et Afrique)
454 kHz Radiotélégraphie Morse de navires à navires
458 kHz Radiotélégraphie Morse de navires à navires en région 1 (Europe et Afrique)[33]
468 kHz Radiotélégraphie Morse de navires à navires
480 kHz Radiotélégraphie Morse de navires à navires
500 kHz Fréquence internationale de détresse en radiotélégraphie Morse. L'appel de routine, de sécurité et d'urgence est autorisé entre l'heure H + 18 et H + 45 et entre H + 48 et H + 15.
512 kHz Radiotélégraphie Morse de navires à navires. Les stations de navires peuvent utiliser cette fréquence comme fréquence d’appel supplémentaire lorsque la fréquence 500 kHz est employée pour la détresse. Dans les zones à fort trafic, la fréquence est utilisée pour l'appel de routine[44].

Radiogoniométrie[modifier | modifier le code]

Station radiogoniométrie.
Radiogoniométrie.

Les stations de radiogoniométrie remontent au début du XXe siècle à une époque où les navires et les aéronefs demandaient à trois stations au sol les triangulations par radiogoniométrie pour leurs positions, et cela avant les radiophares.

Historiquement les goniomètres de stations côtières ont été utilisés comme équipement d'aide à la navigation, tant pour les aéronefs que pour les navires. Les stations de radiogoniométrie travaillaient en radiotélégraphie Morse sur la fréquence normale[45] 410 kHz[42] (ou sur l'ancienne fréquence de radiogoniométrie: 666 kHz à présent canal de radiodiffusion depuis 1927), et donnaient leurs positions aux navires et aéronefs qui le demandaient.

  • Les stations de radiogoniométrie pouvaient travailler sur la fréquence internationale d'appel et de sécurité des aéronefs[46]
  • Les stations de radiogoniométrie pouvaient travailler sur la fréquence: 500 kHz pour déterminer l'emplacement d'une station radio en détresse. Durant l'émission radio de deux traits de 10 secondes à la fin du message d'appel de détresse;

Propagation en ondes moyennes[modifier | modifier le code]

La propagation sur 500 kHz se produit par deux mécanismes entièrement distincts et différents:

  • L'onde de sol.
  • L'onde d’espace.

Onde de sol[modifier | modifier le code]

Antenne Marconi de 147 mètres
La propagation par l'onde de sol sur la surface de la Terre.

Les ondes de sol voyagent à la surface de la Terre (entre le sol et la couche ionisée D de l’atmosphère). L'onde de fréquence 500 kHz se propage régulièrement le jour et avec un léger renforcement la nuit. L'atténuation de l’énergie de l’onde de sol est en fonction du carré de la distance, sans tenir compte de la courbure de la terre sur une base kilomètres/watts exponentielle par l'Établissement de l'équation de propagation à partir des équations de Maxwell. La réception diurne par onde de sol des stations marines distantes de 2 000 km est possible sur une mer particulièrement salée (et donc plus conductrice). Dans les mêmes conditions, un signal par onde de sol se propageant sur un terrain rocheux pourrait couvrir à peine 500 km[47]. Exemple: Un émetteur de 1 kW sur 600 mètres, donne à 100 km un champ de 20 µV/m sur terrain mauvais conducteur et 800 µV/m sur terrain bon conducteur[48].

Portée de l'onde de sol en fonction de la puissance[modifier | modifier le code]

Tableau des portées de l'onde de sol en fonction de la puissance rayonnée sur la longueur d'onde de 600 mètres :

Puissance rayonnée Portée sur mer Portée sur terrain
0,1 W 60 km 30 km
W 100 km 50 km
10 W 200 km 100 km
100 W 500 km 300 km
1 000 W 1 000 km 500 km

Onde d’espace[modifier | modifier le code]

La propagation par onde réfléchie entre ciel et terre.
  • Dans la journée, l’onde d’espace est totalement absorbée par l’ionosphère.
  • De nuit, on rencontre en partant de l’émetteur une zone de réception par onde de sol, une zone de silence, une zone de réception indirecte, une zone de silence, une zone de réception indirecte, une zone de silence et ainsi de suite. L’énergie radiofréquence est réfléchie par les couches de l'ionosphère. Ces réflexions successives entre la mer (ou le sol) et les couches de l'ionosphère permette de liaisons radiotélégraphique intercontinentales nocturnes pour l’opérateur radio d’une station correctement équipé et informé. Beaucoup de radiotélégraphistes, dans de nombreuses parties du monde, ont capté des stations de nombreux pays dans les années passées; en dépit de l’accroissement du brouillage des stations (GO et PO !), et des parasites industriels.

Onde de sol et onde d’espace[modifier | modifier le code]

  • Dans la journée, l’onde d’espace du signal est totalement absorbée par la partie basse de l’ionosphère et une réception stable des stations s’établissent par onde de sol.
  • Quand l’absorption de l’onde d’espace commence à disparaître aux environs du crépuscule, un taux significatif de l’onde d’espace commence à revenir sur la mer (ou le sol), loin de l’émetteur. Aux endroits où l'onde de sol et d’espace sont présentes c'est la zone de fading. L’interférence de ces deux signaux produit une distorsion et un fading sévère à la réception: instables en amplitude et en phase. Qui peut être régulier, irrégulier, lent, rapide, sélectif ou déformant.
  • Ainsi des stations reçues avec un signal clair et puissant le jour, développent un fading prononcé et caractéristique à partir du crépuscule.

France Télécom ferme les émissions en radiotélégraphie Morse[modifier | modifier le code]

Jusqu'en 1997, France Télécom était la principale entreprise française travaillant en radiotélégraphie par le code Morse.

Les stations de France Télécom étaient[modifier | modifier le code]

Nuit du au ,[modifier | modifier le code]

Appareil de télégraphie Morse utilisé au début
cq cq cq de ffu ffu ffu
f/cl down broadcast =
this is our final cry on 500 khz before eternal silence stop
nearly all the century round ffu has provided w/t svc at the tip of brittany stop
thank you all for good kii good cooperation over decades and best wishes to those remaining on air stop
good bye from all at brest le conquet radio stop
silent key for ever stop
adieu 31 01 1997 / 2348 gmt b de ffu + + va.…
ost de ffu bsr vx merci 73
eao de ffu bs gracias 73
oxz de ffu gn 73 tu
gld de ffu ge om thanks and all the best 73 tu
ffu de ffb qsl 73 va
ffb de ffu mci 73 tu
ffu de gpk bon chance mes amis kenavo 73 de gpk
cq cq cq de ffb lst february 1997 00h00 gmt =
this is the last radio telegraphic message transmitted by ffb in a few minutes our 500 kilocycles transmitter will be switched off
thank you all for good cooperation over decades and best wishes to those remaining on air
de ffb operators good luck in the future es best 73 de ffb nw + +
ffb de ffc merci mike pour tout adieu 1 ami 73
ffb de ffu bsr vx et pour la derniere 73 i 73 + . .
ok ff de ffb merci vx kenav ii kenavo = 73 . nw sp
Station radiotélégraphique de Ouessant TSF en 1922
Station radiotélégraphique d'un paquebot en 1922
Station radiotélégraphique d'un chalutier en 1922
Station radiotélégraphique d'un paquebot, en 1919

Postes radiotélégraphiques en 1922[modifier | modifier le code]

Stations côtières françaises travaillant sur la longueur d'onde de 600 mètres (500 kHz) et sur la longueur d'onde de 300 mètres (1 000 kHz) au [50] :

Stations côtières françaises dans des territoires ou colonies de France :

Stations côtières du Maroc travaillant avec la France :

Autres :

Marine marchande[modifier | modifier le code]

  • De nombreux cargos, sont encore équipés du minimum jusqu’en 1970 (un simple Émetteur à ondes amorties de secours type bobine Tesla d'une puissance de plusieurs dizaines de watts) pour la portée obligatoire de 250 km sur les fréquences 425 kHz et 500 kHz[51],[26].
  • L'émetteur « type d'ondes amorties » désigné par la lettre B (avant 1982) sont des ondes composées de séries successives d'oscillations dont l'amplitude, après avoir atteint un maximum, diminue graduellement, les trains d'ondes étant manipulés suivant un code télégraphique. Procédé abandonné à présent.
  • Depuis 1970. Pour tous les navires, dans la bande hectométrique, la puissance des plus faibles émetteurs radiotélégraphiques homologués marine est de 150 W[52].
  • Sur les photos en 1922, une différence dans l’évolution du matériel radio entre les différents navires est évidente.

L'appel en zone de convergence intertropicale[modifier | modifier le code]

Position de la Zone de convergence intertropicale en janvier (en bleu) et en juillet (en rouge)

Entre les deux tropiques les bandes en dessous de 2 000 kHz soit 150 mètres sont inutilisables en réception à cause des bruits radioélectriques de la Zone de convergence intertropicale, la portée radio de la fréquence de 500 kHz est considérablement plus faible dans cette zone.
En plus de la fréquence de 500 kHz, les pays dans cette zone de convergence intertropicale utilisent la fréquence de 2 091 kHz comme fréquence de détresse et d'appel en radiotélégraphie Morse.

L'appel en bande décamétrique[modifier | modifier le code]

Emetteur-récepteur étanche à bord des embarcations de sauvetage. Fréquences 500 kHz, 8 364 kHz (et 2 182 kHz en radiotéléphonie).

La Propagation en haute fréquence de la bande décamétrique comprise de 4 000 kHz à 27 500 kHz est utilisée pour les radiocommunications à grande distance.

Tableau des fréquences d'appel assignées aux stations de navires pour la radiotélégraphie Morse manuelle par les ondes décamétriques.

La fréquence de détresse en radiotélégraphie de 8 364 kHz [28] , est utilisé pour les communications de détresse SOS et les embarcations et radeaux de sauvetage en radiotélégraphie par code Morse international [53],[54] , [NB 1].
Les signaux radiotélégraphiques d'une puissance de 1 W sont reçus jusqu'à 3 000 kilomètres de jour et la moitié du monde de nuit. Une antenne radioélectrique de 16,5 mètres (ou 8,25 mètres vertical) est nécessaire pour émettre. La détermination du lieu d'émission est difficile car les signaux radios rebondissent entre ciel et mer/terre, les survivants doivent donner leur position en longitude et en latitude ou d'un lieu terrestre.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Utilisation de la fréquence 8 364 kHz
    La fréquence 8 364 kHz est la fréquence internationale de détresse en radiotélégraphie Morse pour les stations du service mobile maritime et aéronautique travaillant dans bande 4 000 kHz à 27 500 kHz. De la disponibilité de cette fréquence dépend l'efficacité de la veille effectuée par les stations côtières. Elle doit être employée pour: le trafic de détresse, le trafic de recherche.
    Avant d'émettre sur la fréquence 8 364 kHz, un laps de temps d'écoute suffisant est nécessaire, afin d'être certain qu'aucun nouveau trafic de détresse n'est en cours.
    Depuis le système mondial de détresse et de sécurité en mer SMDSM 1999, les stations ne sont plus tenues à l'écoute obligatoire du canal 8 364 kHz.
  1. Recommandation UIT-R M.1677-1 (10/2009) Code Morse international
  2. Convention et Règlements administratifs de l'Union internationale des télécommunications. Rec. UIT -R M.1172 Abréviations et signaux divers à employer dans les radiocommunications du service mobile maritime.
  3. Communications de détresse à l'intention du commandant de bord d'aéronef
  4. RADIOCOMMUNICATIONS POUR LE SYSTEME MONDIAL DE DETRESSE ET DE SECURITE EN MER ANNEXE DIVISION 219-02. 20.5 J.O 29/12/04
  5. IUT États signalétiques des stations côtières assurant un service de correspondance publique 2017 Nomenclature des stations côtières 2017
  6. RÈGLEMENT DE SERVICE, ANNEXÉ À LA CONVENTION RADIOTÉLÉGRAPHIQUE INTERNATIONALE. de Berlin.
  7. Canaux du poste de bord SFR type B14K a ondes amorties.
  8. (fr) Convention de Londres de 1912. Convention radiotélégraphique internationale en date du 3 juillet 1912 et applicable à la date du 1er juillet 1913.
  9. (mul) Conférence de Berlin de 1906
  10. Convention radiotélégraphique de Washington de 1927
  11. 1 800 mètres sera transférée sur 143 kHz par la Convention radiotélégraphique de Washington de 1927.
  12. Convention radiotélégraphique de Washington de 1927.
  13. a et b En 1927, la Convention radiotélégraphique de Washington Convention radiotélégraphique de Washington.
  14. Petite Histoires des communications maritimes
  15. CONFÉRENCE PRÉLIMINAIRE. LA TELEGRAPHIE SANS FIL. BERLIN, 4-13 AOUT 1903. BERLIN. REICHSDRUCKEREI. 1903
  16. La station de la "Pointe à la renommée surGraffici.ca
  17. Arrêté du 7 octobre 1904 Le Ministre du Commerce de l'Industrie et des Postes et Télégraphes arrête: La station radiotélégraphique d'Ouessant est ouverte à partir du 10 octobre 1904 à l'échange des correspondances privées avec les navires en mer.
  18. conférence internationale radiotélégraphique
  19. Convention radiotélégraphique internationale de 1912
  20. Convention SOLAS 1914 signée par 13 pays le 20 janvier 1914.
  21. Règles de la Haye 1923.
  22. Convention internationale des télécommunications de Madrid en 1932
  23. conférence d'Atlantic City 1947
  24. Règlement des radio-communications annexé à la convention internationale des télécommunications (Atlantic City, 1947), Genève, Secrétariat général de l'Union internationale des télécommunications, (lire en ligne), chap. 13, p. 154, article 34RR, no 830 à 833
  25. Règlement des radio communications annexé à la convention internationale des télécommunications (Atlantic City, 1947), Genève, Secrétariat général de l'Union internationale des télécommunications, (lire en ligne), chap. 13, p. 136, article 33RR, no  711 Recommandation de l'usage des émissions de la classe B, 711.1 Exceptionnellement pour les stations de navire relevant de I’Australie
  26. a et b Règlement des radio communications annexé à la convention internationale des télécommunications (Atlantic City, 1947), Genève, Secrétariat général de l'Union internationale des télécommunications, (lire en ligne), chap. 13, p. 136, article 33RR, no  712, Recommandation de l'usage des émissions de la classe B pour les équipements des embarcations, radeaux et engins de sauvetage
  27. Brest message numéro 30 du .
  28. a et b Référence aux dispositions du règlement des radiocommunications RR5.111 ; AP17, Parties A, B
  29. REFLETS DE L'OMI CATASTROPHES ET SURVIE - LE SAUVETAGE EN MER page 11 le code Morse n'est plus utilisé.
  30. Référence
  31. NAVDAT R-REC-M.2010
  32. [PDF] Ordre du jour de la Conférence mondiale des radiocommunications (CMR-12) 1.23 envisager une attribution de l'ordre de 15 kHz au service d'amateur à titre secondaire
  33. a b et c Référence aux dispositions du règlement des radiocommunications RR472/S5.83 ; RR2970 ; RR3010 ; RRN3067 ; RR4679A ;
  34. a et b IUT Appendice S13 section 3 A-500 KHz 2 A
  35. Union internationale des télécommunications Appendice S13 section 3 Veille sur les fréquences de détresse A20 veille obligatoire jusqu'au
  36. L'arrêté du 21 avril 1995. Art. 10. - Les titulaires d'un certificat d'opérateur délivré en application de l'arrêté n° 4052 du 28 décembre 1976 susvisé peuvent utiliser les équipements des stations radioélectriques de navires jusqu'au 31 janvier 1997.
  37. Arrêté du 28 décembre 1976 concernant les examens d'aptitude aux emplois de radiotélégraphiste et de radiotéléphoniste à bord des stations mobiles.
  38. IUT RR 4215A Mob 1987 § 11A. Les stations qui font des émissions radiotélégraphiques Morse à bande latérale unique utilisent à cette fin la bande latérale supérieure. Les fréquences spécifiées dans le présent règlement pour des émissions des classes H2A et H2B telles que les fréquences 500 kHz et 8 364 kHz, sont utilisées comme fréquences porteuses
  39. Convention et Règlements administratifs de l'Union internationale des télécommunications. Rec. UIT - R M.1170 Procédures radiotélégraphiques Morse dans le service mobile maritime.
  40. Convention de Genève du CICR sur la radio International Humanitarian Law - Annexe I amendée P I.]
  41. Convention et Règlements administratifs de l'Union internationale des télécommunications. RÉSOLUTION 18 (Mob-83) Relative à la procédure d'identification et d'annonce de la position des navires et des aéronefs des États non parties à un conflit armée.
  42. a et b Référence aux dispositions du règlement des radiocommunications RR468/S5.76
  43. Référence aux dispositions du règlement des radiocommunications RR4237
  44. Référence aux dispositions du règlement des radiocommunications RR4237 ; RR4239
  45. Dans le service de radionavigation maritime, la fréquence 410kHz est la fréquence normale de radiogoniométrie en radiotélégraphie. Toutes les stations radiogoniométriques du service de radionavigation maritime faisant usage de la radiotélégraphie doivent pouvoir l'utiliser. Elles doivent, de plus, être en mesure de prendre des relèvements sur la fréquence 500 kHz, notamment pour relever les stations émettant des signaux de détresse, d'alarme et d'urgence.
  46. La fréquence de 333 kHz (désignée aussi par sa longueur d'onde: 900 mètres) était la fréquence internationale d'appel et de sécurité en radiotélégraphie Morse sur onde hectométrique comprise de 325 kHz à 405 kHz du service aéronautique.
  47. Courbes de propagation de l'onde de sol entre 10 kHz et 30 MHz Recommandation P.368-9 (02/07) Approuvée en 2007-02 Des études ont produit des courbes de conditions moyennes utilisées par de nombreux gouvernements pour la création des nouvelles stations.
  48. Aide-mémoire de René Besson électronique DUNOD TECH
  49. Almanach de la TSF 1927 éditions de SYSTEME D
  50. Nomenclature des stations TSF du .
  51. Règlement des radio communications annexé à la convention internationale des télécommunications (Atlantic City, 1947), Genève, Secrétariat général de l'Union internationale des télécommunications, (lire en ligne), chap. 13, p. 136, article 33RR, no  711 Recommandation de l'usage des émissions de la classe B, 711.1 Recommandation de l'usage des émissions de la classe B exceptionnellement pour les stations de navire relevant de I’Australie
  52. Norme AFNOR C-94-101 et C-01-063.
  53. Procédures radiotélégraphiques Morse dans le service mobile maritime
  54. Fréquence internationale de détresse 8 364 kHz pour les naufragés, survivants, embarcations et radeaux de sauvetage

Articles de références[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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