Accords d'Alger (1981) — Wikipédia

Les accords d'Alger du ont été négociés par le gouvernement algérien entre les États-Unis et la république islamique d'Iran pour résoudre la crise iranienne des otages, crise née de la prise de contrôle de l'ambassade américaine à Téhéran le , et de la prise d'otage du personnel de celle-ci. Par cet accord les 52 citoyens américains ont été mis en liberté et furent en mesure de quitter l'Iran.

Parmi ses principales dispositions suivantes :

  • Les États-Unis n'interviennent pas dans les affaires intérieures iraniennes.
  • D'enlever le gel des avoirs iraniens aux États-Unis et pas de sanctions commerciales contre l'Iran.
  • Les deux pays prendraient fin du contentieux entre leurs gouvernements respectifs et les citoyens en se référant à l'arbitrage international.
  • Les États-Unis feraient en sorte que les décisions des tribunaux des États-Unis concernant le transfert des biens de l'ex-Shah serait indépendante de « principes de l'immunité souveraine » et ne seraient pas forcées.
  • Les dettes iraniennes à des institutions américaines seraient payées.

Le négociateur en chef américain a été Secrétaire d'État adjoint Warren Christopher et le négociateur en chef algérien a été le ministre des Affaires Étrangères Mohamed Seddik Benyahia.

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