Alix de Saint-André — Wikipédia

Alix de Saint-André
Alix de Saint-André à la foire du livre 2010 de Brive-la-Gaillarde.
Biographie
Naissance
Nom de naissance
Alix Peïtevin de Saint-AndréVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Père
Jean Peïtevin de Saint-André (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Distinctions

Alix de Saint-André est une journaliste et écrivaine française née le à Neuilly-sur-Seine. Elle s'est fait connaître comme chroniqueuse dans Nulle part ailleurs sur Canal+ auprès de Jérôme Bonaldi. Elle a été journaliste dans des magazines comme Elle ou Le Figaro Magazine. Elle a écrit plusieurs romans et quelques récits autobiographiques[1].

Biographie[modifier | modifier le code]

Fille du colonel Jean Peïtevin de Saint-André, ancien écuyer en chef du Cadre noir[2], Alix grandit aux environs de Saumur, élevée dans des pensionnats de religieuses. Elle devient grand reporter et journaliste. Elle travaille pour le magazine Elle. En 1994, elle publie L'Ange et le Réservoir du liquide à freins et L'Archive des anges (en 1998) dans lequel elle enquête sur l'existence de ces créatures aériennes aussi bien dans la Bible que le Talmud et le Coran.

De 1993 à 1997, elle travaille comme chroniqueuse pour Canal+, avec entre autres Frédéric Taddeï dans l'émission Nulle part ailleurs lors de la première partie de l'émission, présentée par Jérôme Bonaldi.

Alix de Saint-André revient à la fiction avec Papa est au panthéon (2001) et Ma nanie (2003), prix Terre de France, où Alix, dans un monologue affectueux adressé à cette femme, revisite son enfance et sa relation privilégiée avec cette "nanie", morte en 2001. En 2007, paraît Il n'y a pas de grandes personnes, livre principalement consacré à sa passion pour André Malraux et où elle nous raconte sa rencontre avec la fille de ce dernier, Florence Malraux[3].

Elle s'intéresse aux religions, en particulier aux anges et en parle généralement avec humour.

Œuvre[modifier | modifier le code]

Prix Louis-Castex de l’Académie française en 2011

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Article de La Croix, 4 et 5 février 2012
  2. « Le Cadre noir de Saumur - Site officiel », sur Le Cadre noir (consulté le ).
  3. « Alix de Saint-André », sur evene.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]