André-Paul Duchâteau — Wikipédia

André-Paul Duchâteau
André-Paul Duchâteau en 1998.
Fonction
Rédacteur en chef
Tintin
BDétectives
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 95 ans)
UccleVoir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonymes
D. Aisin, Michel Vasseur, André Jean, André Nô, Michaël Nô, André Voisin, CapVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Scénariste de bande dessinée, éditeur associé, écrivain, journaliste, romancier, scénariste de télévisionVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaillé pour
Genre artistique
Roman de mystère (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
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André-Paul Duchâteau, né le à Tournai (province de Hainaut) et mort le à Uccle (région de Bruxelles-Capitale) est un journaliste, nouvelliste, écrivain de roman policier et scénariste de bande dessinée belge.

Également connu sous plusieurs noms de plume tels que D. Aisin, Michel Vasseur, André Jean, André Nô, Michaël Nô, André Voisin[1] ainsi que le pseudonyme collectif Cap avec Christian Denayer[2], il est particulièrement reconnu, avec le dessinateur Tibet, pour la création de la série de bande dessinée Ric Hochet, dont les albums sont vendus à plus de 15 millions d'exemplaires et traduits dans sept langues[3].

Biographie[modifier | modifier le code]

Jeunesse[modifier | modifier le code]

André-Paul Duchâteau naît le à Tournai en Belgique[4]. Descendant d’une famille bourgeoise, son arrière-grand-père, Charles Vasseur, est aquarelliste et lithographe[5]. Il grandit avec confort et joie même si son père, Gaston, général-major dans l’aviation de l’armée belge, est un personnage « tyran domestique, frappant l’un ou l’autre membre de la famille »[6]. À l'âge de six ans, il découvre Six hommes morts de Stanislas-André Steeman publié dans Le Moustique[5], ainsi que les intrigues d'Agatha Christie, de Charles Dickens ou de John Dickson Carr[7].

Durant son adolescence, il rentre à l'athénée communal Fernand Blum à Schaerbeek[8].

En 1941[8], à l'âge de seize ans, il publie son premier roman policier Meurtre pour Meurtre[9],[10],[11] aux éditions Albert Beirnaerdt[a] dans la collection « Le Jury » dirigé par Stanislas-André Steeman[7], puis plusieurs nouvelles dans le Ellery Queen's Mystery Magazine.

Carrière[modifier | modifier le code]

Débuts[modifier | modifier le code]

Au milieu des années 1940, André-Paul Duchâteau écrit beaucoup de nouvelles, voire des centaines signées, qui seront publiées dans Mon copain, Heure d'oubli, Capitaine Domingo, Mystère magazine, Fiction, Tintin et 813. Il devient journaliste de L'Indépendance belge à Charleroi[12].

En 1947, il découvre le monde de la bande dessinée : il adapte quelques œuvres de Paul Féval et de Walter Scott pour les dessinateurs Louis « Tenas » Saintels et Raoul « Rali » Livain[13] à l’hebdomadaire Bravo ![5].

En 1948, il crée le personnage Capitaine Hardell avec Tenas et Rali pour le magazine Pierrot[14].

Dans les années 1950, il est journaliste de presse jeunesse, telle que Le Journal de Mickey version belge[9], où il écrit Mickey et les Mystères de la tour Eiffel[13] — première aventure européenne de Mickey et Donald[15].

En 1952, sous le pseudonyme de D. Aisin, il publie Le Triangle de feu avec Tenas et Rali pour Spirou[13],[14].

En 1954, sous le pseudonyme de Michel Vasseur, il écrit une nouvelle La Dictée révélatrice pour Raymond Reding et Les Rivaux de la piste pour Jean Graton au journal de Tintin[14].

En 1955, il rencontre le dessinateur Tibet dans les bureaux de Tenas et Rali à la rédaction du Journal de Mickey, avec qui il partage sa passion pour les intrigues policières[9],[16] et, en 1958, il crée le personnage Ric Hochet, mettant en œuvre un journaliste-reporter dans des jeux d'enquête intitulés Relevez le gant ![9],[14] sous forme de récits complets[13]. Toujours en 1955, avec son épouse Odette[17],[18], il part s'installer à Léopoldville (aujourd’hui, Kinshasa), capitale de la République démocratique du Congo, où il gère les hebdomadaires L'Avenir et Actualités Africaines aux côtés de Joseph Mobutu[8],[19]. Trois ans écoulés, alors que le pays est en pleine transition vers l'indépendance, le couple retourne en Belgique.

En 1959, en même temps que des jeux d’énigme avec Tibet durant l'année jusqu’en août 1962, il écrit des récits complets de quatre pages de Ric Hochet tels que Enquête chez les timbrés et Ric Hochet contre l'ombre, ainsi que La Terre aux enchères pour Albert Weinberg[14].

En 1960, il continue à gérer les jeux d'enquête du journaliste-photographe Bob Binn pour Édouard Aidans et à écrire des récits pour J. López Fernandez (alias Fernan)[14].

Accession à la notoriété[modifier | modifier le code]

Ric Hochet, logo des couvertures dans les années 1990-2000.

En , avec Tibet, André-Paul Duchâteau signe la première aventure « à suivre » de Ric Hochet : Signé Caméléon et Traquenard au Havre en octobre[14]. il participe à l'écriture de la série Le Club des « Peur-de-rien », créée par Greg et Tibet en 1958, pour la revue Junior, le supplément jeunesse de l'hebdomadaire belge Chez nous[20].

En 1962, pour Mittéï avec l'aide non créditée de Tibet, il écrit les aventures des 3 A sous le pseudonyme de Michel Vasseur — patronyme emprunté de son grand-père Charles Vasseur — pour éviter, à la demande de l’éditeur, toute comparaison avec Ric Hochet[13]. Pour le journal de Tintin, il écrit le roman Les Enquêtes de Ric Hochet : Monsieur X frappe à minuit en septembre[14].

En 1963, avec Tibet, il publie le premier album cartonné Traquenard au Havre de la série Ric Hochet aux éditions du Lombard. Pour le journal de Tintin, il écrit un récit de quatre pages Bougainville et le Curé de Boulogne pour William Vance[14].

En 1964, il écrit des récits de six pages des aventures d'O. K. 27-43 pour Mazel[14].

En 1965, il crée la série Les Aventures d'Alex Vainclair pour Édouard Aidans dans le journal Pilote[14].

En 1967, il crée des jeux d’enquêtes pour Antonio Parras, dont Commissaire Marin pour le magazine Illustré du dimanche et Commissaire Jeudy pour Pilote[14].

En 1968, il accompagne Tibet dans l'écriture pour la série de western humoristique Chick Bill, à compter Le Rapace de Wood-City[14]. Il participe au court métrage télévisé belge Signé Caméléon de vingt-six minutes, produit par Belvision, avec l'acteur belge Daniel Vigo dans le rôle de Ric Hochet. Tibet et André-Paul Duchâteau y incarnent les deux figurants agents de police[21].

En 1969, il crée Saint-Fauston pour Henri Desclez au journal de Tintin, ainsi que de nouveaux jeux Voulez-vous jouer avec Toah ? pour Eddy Paape[14] et les aventures du reporter de télévision Yalek pour le décoriste Christian Denayer — rencontré chez Tibet en 1966, publiées dans Le Soir jusqu’en 1978. Jacques Géron remplace le dessinateur en 1979, poursuivant dans Super As[2].

Mr Magellan, créée par Jean Van Hamme et Géri (Henri Ghion) en 1969.

En 1970, il remplace Jean Van Hamme pour poursuivre Mr Magellan avec le dessinateur Géri, espionnage mi-réaliste mi-humoristique à la façon de Chapeau melon et bottes de cuir prépublié dans Tintin[22]. Même année, sous le pseudonyme d'Héric, il crée Richard Bantam pour Henri Desclez chez Spirou[14] et, sous le pseudonyme de Cap, Alain Chevallier, pilote de Formule 1, pour Christian Denayer et les aventures se poursuivent dans Le Soir jusqu’en 1975[2]

En 1971, pour le journal de Tintin, il crée une nouvelle série Yorik des tempêtes pour Eddy Paape[14]. Il écrit quelques aventures de Monfreid et Tilbury, dessinées par Cosey, dans Le Soir-Jeunesse[23] et republiées dans Samedi-Jeunesse.

En 1972, sous le pseudonyme de Michel Vasseur, il reprend le personnage Patrick Leman créé par Jean-Pierre Verheylewegen pour Christian Denayer[2] chez Spirou[14].

En , lors d'un voyage en train pour le festival international de la bande dessinée d'Angoulême, il partage ses idées sur Les Casseurs avec Christian Denayer : cette aventure policière paraît dans les pages du Tintin version belge, le [2].

En 1974, sous le pseudonyme d'Héric, il écrit le scénario Le Manuscrit de Galilée de la série Stany Derval pour Mitacq, déjà prépubliée dans Spirou depuis 1968[14]. Il obtient le grand prix de littérature policière pour son roman De cinq à sept avec la mort[7],[9]. En fin année, il est rédacteur en chef au Soir-Jeunesse, jusqu’en 1976[24].

En 1976, il est rédacteur en chef du journal Le Journal de Tintin jusqu’en 1979[9]. Entre-temps, il écrit des dramatiques pour la radio et pour la télévision. Il écrit les nouvelles Calamiteuses enquêtes de l'inspecteur Corniche, illustrées par Greg, pour Achille Talon magazine[14].

En 1977, William Vance fait appel au scénariste pour le scénario de l'épisode Trois Salopards dans la neige de la série Ringo (1965)[14].

En 1978, pour le journal de Tintin, il écrit des scénarios Mission en 2012 de Luc Orient et d'Udolfo pour Eddy Paape, mais ce dernier n’a pas le temps de dessiner et propose à son assistant Andreas de réaliser tous les crayonnés des deux épisodes La Montre aux 7 rubis et Le Grimoire de Lucifer (1980), tandis que lui se charge uniquement de l'encrage[25],[26].

En 1979, venant de céder son poste éditorial pour reprendre sa carrière d'écrivain et de scénariste à part entière, il rejoint Grzegorz Rosiński pour créer le premier épisode de Hans[27]. Il écrit le scénario d'Hypérion pour Franz. Il participe avec les auteurs à l'histoire Bill a disparu ! pour la publication dans Spirou[14].

1980 : année du Lombard[modifier | modifier le code]

En 1980, André-Paul Duchâteau écrit des récits complets de la série Pharaon pour Daniel Hulet, prépubliés dans Super As, ainsi que le scénario Domino et les Agents secrets de la série Domino pour André Chéret et Le Château de cauchemar de la série Villard de Fer pour Jacques Géron[14].

En 1981, il crée le personnage Chris Melville pour André Chéret, dont les récits complets sont prépubiés dans Spirou[14]. Après la disparition de la série des Aventures de Jean Valhardi dans Spirou depuis 1965, il reprend le personnage avec René Follet dans l'histoire intitulée Dossier X dans les numéros 2249 et 2250. Le retour continue l'année suivante avec cette fois une histoire à suivre intitulée Les Naufrageurs aux yeux vides publiée du no 2324[28].

En 1983, il crée le personnage Serge Morand pour Patrice Sanahujas, dont le premier récit à suivre Plutonium est prépublié dans Circus[14].

En 1986, William Vance lui demande de pouvoir reprendre les aventures de Bruce J. Hawker. Réflexion faite et vu que la maison a besoin de son talent, André-Paul Duchâteau accepte donc d'écrire épisodiquement la série avec lui pour lui permettre de la poursuivre[18].

En 1989, il est responsable de la collection « BDétectives » aux éditions Claude Lefrancq[3], où il réalise une soixantaine de bandes dessinées adaptées des « classiques » de la littérature policière tels que Rouletabille, Arsène Lupin ou Sherlock Holmes[18].

En 1990, il entre à nouveau dans la collaboration d'Eddy Paape pour la série Carol détective dans Hello Bédé, continuation du Journal de Tintin, jusqu’en 1991[29]

En 1992, il revisite La Sangsue rouge de Sherlock Holmes pour Guy Clair et Le Monde perdu de Challenger pour Patrice Sanahujas dans Vaillant, le journal de Pif[14].

André-Paul Duchâteau, aux côtés du dessinateur Daniel Hulet, à la Foire du livre de Bruxelles, en .

En 2001, il collabore avec Éric Lenaerts pour Les Romantiques aux éditions Casterman.

En 2002, il publie son autobiographie intitulé 7 à 77 ans : Souvenirs d'un scénariste aux éditions Memor, où il souligne les grands moments de sa vie professionnelle[8]. Cette même maison d'édition édite quatre romans écrits avec Frank Andriat[8]. Il signe le premier tome du diptyque Terreur avec le dessinateur René Follet dans la collection « Signé » du Lombard, pour lequel il obtient le prix Saint-Michel en 2003.

, il apprend la mort de son ami Tibet : le 78e album À la poursuite du griffon d'or est inachevé. Seule la moitié est dessinée. Le scénariste souhaite publier cet album en l'état parce qu'il est « difficile, pour la famille de Tibet, de demander à un autre dessinateur d’achever l’album »[16]. Il arrête ensuite définitivement Ric Hochet.

Vie privée[modifier | modifier le code]

Marié à Odette[17], il a une fille : Sylvie[5].

Mort[modifier | modifier le code]

André-Paul Duchâteau meurt le à l'âge de 95 ans[3] à Uccle (Belgique)[30].

Œuvres[modifier | modifier le code]

Romans policiers[modifier | modifier le code]

  • Meurtre pour meurtre, Bruxelles, Éditions Albert Beirnaerdt[a], coll. « Le Jury » (no 29) (1re éd. 1940), 32 p., Premier roman..
  • Tout ou Rien, Bruxelles, Éditions Albert Beirnaerdt, coll. « Le Jury » (no 39) (1re éd. 1942).
  • La mort est du voyage, Bruxelles, Éditions Albert Beirnaerdt, coll. « Le Jury » (no 49) (1re éd. 1940).
  • Pique-nique, Bruxelles, Revue Heures d'oubli (1re éd. 1942).
  • De 5 à 7 avec la mort, Bruxelles, Éditions du Rocher, coll. « Les Maîtres de la littérature policière » (1re éd. 1974), Grand prix de littérature policière.
  • La Ville des démons, Bruxelles, Éditions du Rocher, coll. « « Les Maîtres de la littérature policière » » (1re éd. 1984), 185 p. (ISBN 978-2-268-00321-4).
  • Entre la vie et la mort, Bruxelles, Éditions Nocturne (1re éd. 1986), 156 p..
  • La Petite Fille à gauche sur la photo, Bruxelles, Éditions du Rocher, coll. « « Les Maîtres de la littérature policière » » (1re éd. 1987).
  • La Vielle Dame à la poupée, Bruxelles, Éditions du Rocher, coll. « « Les Maîtres de la littérature policière » » (1re éd. 1989) (ISBN 978-2-268-00795-3).
  • Mourir à Angoulême, Bruxelles, Éditions du Rocher, coll. « Les Maîtres de la littérature policière » (1re éd. 1990).
  • La 139e victime, Bruxelles, Le Masque, coll. « Le Masque » (no 1984) (1re éd. 1990).
  • Palmarès pour cinq crimes, Bruxelles, Le Masque, coll. « Le Masque » (no 2020) (1re éd. 1990).
  • Crimes par ricochet, Bruxelles, Claude Lefrancq éditeur, coll. « Attitudes » (1re éd. 1991).
  • Sherlock Holmes revient, Bruxelles, Claude Lefrancq éditeur, coll. « Attitudes » (1re éd. 1992).
  • Défis Impossibles, Bruxelles, Quorum, coll. « Police Fiction » (1re éd. 1994).
  • Les Chemins de lune, Bruxelles, Le Masque, coll. « Labyrinthes » (no 69) (1re éd. 2000).
  • Le Voleur d'âmes, Bruxelles, Le Masque, coll. « Labyrinthes » (no 82) (1re éd. 2000).
  • Les Anges de cire, Bruxelles, Le Masque, coll. « Labyrinthes » (no 116) (1re éd. 2003).
  • avec Frank Andriat, Manipulations, Bruxelles, Memor (1re éd. 2002).
  • avec Frank Andriat, Intrusions, Bruxelles, Memor (1re éd. 2004).
  • avec Frank Andriat, Le Coupable rêvé, Bruxelles, Mijade (1re éd. 2008).

Bande dessinée[modifier | modifier le code]

Sauf précision, Duchâteau est le scénariste de ces albums et son collaborateur leur dessinateur.

One shots[modifier | modifier le code]

  • Chris Melville, Éditions Jonas, coll. « 1/1 », Bruxelles, 1987
    Scénario : Alain De Kuyssche et André-Paul Duchâteau - Dessin : Daniel Hulet
  • Énigme à bord du Thalys, Thalys - Le train éclair, 1996
    Scénario : André-Paul Duchâteau - Dessin et couleurs : Christian Denayer,
    (livret promotionnel de huit pages).
  • Les Enquêtes du chat-tigre, Lombard, coll. « Signe de piste », Bruxelles, 1991
    Scénario : André-Paul Duchâteau - Dessin et couleurs : Didier Desmit - (ISBN 2-8036-0921-5)
  • Hypérion, Lombard, coll. « Phylactère », Bruxelles, 1981
    Scénario : André-Paul Duchâteau - Dessin : Franz

Albums[modifier | modifier le code]

Sous Michel Vasseur[modifier | modifier le code]
Sous André-Paul Duchâteau[modifier | modifier le code]

Autres[modifier | modifier le code]

  • Préfaces des œuvres complètes de Stanislas-André Steeman, six tomes aux éditions du Masque.
  • L'Écrivain habite au 21, Quorom, 1998. Biographie de Stanislas-André Steeman.
  • 7 à 77 Ans, Souvenirs d'un Scénariste, Mémor, coll. « Transparences », 2002[33]. Autobiographie.

Filmographie[modifier | modifier le code]

Télévision

Prix et distinctions[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. a et b Albert Jules Beirnaerdt, imprimeur et éditeur, 41 rue des Coteaux à Saint-Josse-ten-Noode, membre de la Résistance, né le 16 mars 1898 à Laeken, déporté par le convoi 762, du 8 mai 1944 vers Buchenwald, mort à Dora. Lire : Die Toten des KZ Mittelbau Dora, et Patrick Praats, Info over 14.840 Belgische slachtoffers van de nationaal-socialisme.
  2. Recueil de neuf histoires courtes Coups de soleil (7 planches), Le Village de la peur (11 planches), L'Assassin fantôme… (8 planches), Silence… Clinique ! (8 planches), Comme une lettre à la Poste… (8 planches), Péril en la demeure… (8 planches), Le Traître malgré lui (12 planches), Qui a volé le Tintin en or ? (7 planches), Les Otages (8 planches)
  3. Cet album reprend douze histoires courtes Ric Hochet mène le jeu (5 planches), Le Mauvais Œil (5 planches), Enquête chez les "Timbrés" (5 planches), Ric Hochet contre "l’ombre" (5 planches), L'Énigme des photos express (5 planches), La Première Enquête de Ric Hochet (1 planche), L’Affaire de la case mystérieuse (4 planches), Seul Coupable (3 planches)…

Références[modifier | modifier le code]

  1. Charles Van Dievort, « André-Paul Duchâteau, scénariste de la bande dessinée "Ric Hochet", est décédé », sur La Libre Belgique, (consulté le ).
  2. a b c d et e Gilles Ratier, « « Les Casseurs » de Christian Denayer », sur BDzoom, (consulté le ).
  3. a b et c « Décès du scénariste André-Paul Duchâteau : Ric Hochet est orphelin », sur RTBF, (consulté le ).
  4. « Duchâteau, André-Paul - biographie © Le Lombard - bibliographie - Photo », sur BD Gest' (consulté le ).
  5. a b c et d « Scénariste, journaliste, romancier - André Paul Duchâteau nous a quitté », sur Le Lombard, (consulté le ).
  6. Nicolas Anspach, « Patrick Gaumer : « André-Paul Duchâteau a eu mille et une vies dans une seule » », sur ActuaBD, (consulté le ).
  7. a b et c Olivier Delcroix, « André-Paul Duchâteau, l'autre père de Ric Hochet, tire sa révérence à 95 ans », sur Le Figaro, (consulté le ).
  8. a b c d et e Francis Matthys, « Les souvenirs d'un scénariste », sur La Libre Belgique, (consulté le ).
  9. a b c d e et f Stéphane Dreyfus, « Mort du cocréateur de Ric Hochet, André-Paul Duchateau », sur La Croix, (consulté le ).
  10. « L'auteur belge André-Paul Duchâteau, connu pour son personnage de BD Ric Hochet, est mort à 95 ans », sur France Info, (consulté le ).
  11. « André-Paul Duchâteau, scénariste de la BD Ric Hochet, est mort à 95 ans », sur Libération, (consulté le ).
  12. Patrick Gaumer, Hans : L'intégrale, t. 2, Bruxelles, Le Lombard, , 216 p. (ISBN 978-2-8036-3396-8), p. 12.
  13. a b c d et e Henri Filippini, « André-Paul Duchâteau : clap de fin pour un gentleman-détective… », sur BDzoom, (consulté le ).
  14. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x et y Bernard Coulange, « Duchâteau André-Paul (Vasseur Michel, Heric) », sur bdoubliees.com (consulté le ).
  15. Daniel Couvreur, « À 80 ans, le Journal de Mickey garde le secret de l’éternelle jeunesse », sur Le Soir, (consulté le ).
  16. a et b Nicolas Anspach, « André-Paul Duchâteau : « J’adore la tension qui accompagne l’écriture ! » », sur ActuaBD, (consulté le ).
  17. a et b Bernard Meeus, « Ric Hochet a perdu son créateur », sur Le Soir, (consulté le ).
  18. a b et c Nicolas Anspach, « André-Paul Duchâteau : "Ric Hochet est un homme pressé !" », sur ActuaBD, (consulté le ).
  19. Christian Renoy, « Décès d’André-Paul Duchâteau, scénariste de Ric Hochet », sur L'Avenir, (consulté le ).
  20. Daniel Schoorens, « Junior sup. de l' hebdo. Chez Nous no 9 du 2 mars 1961 » (consulté le ).
  21. « Ric Hochet le film : signé Caméléon », sur Jimdo (consulté le ).
  22. Patrick Gaumer, Hans : L'intégrale, t. 1, Bruxelles, Le Lombard, , 224 p. (ISBN 978-2-8036-3395-1), p. 8.
  23. Un demi-siècle d’aventures t. 2 : 1970 - 1996, p. 41.
  24. Patrick Gaumer, Hans : L'intégrale, t. 1, Bruxelles, Le Lombard, , 224 p. (ISBN 978-2-8036-3395-1), p. 4.
  25. Yves Lacroix et Philippe Sohet, Andreas : Une monographie, Saint-Egrève, Mosquito, , 124 p. (ISBN 2-908551-17-9), p. 16-18.
  26. Bernard Coulange, « Andreas », sur BD Oubliées (consulté le ).
  27. Patrick Gaumer, Hans : L'intégrale, t. 1, Bruxelles, Le Lombard, , 224 p. (ISBN 978-2-8036-3395-1), p. 11.
  28. Bernard Coulange, « Jean Valhardi dans Spirou », sur BD Oubliées (consulté le ).
  29. Bernard Coulange, « Carol Détective dans Tintin », sur BD Oubliées (consulté le ).
  30. « Mort d'André-Paul Duchâteau, papa de la bande dessinée "Ric Hochet" », sur L'Est républicain, .
  31. Frédérique Pelletier, « Pouêt pètes », BoDoï, no 44,‎ , p. 18.
  32. Francis Matthys, « Quatre histoires d'amour », La Libre Belgique,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. Fabien Tillon, « Les Très Richers Heures de Duchâteau », BoDoï, no 54,‎ , p. 6.
  34. a b c d e f g h i et j (en) Kjell Knudde et Bas Schuddeboom, « André-Paul Duchâteau (8 May 1925 - 26 August 2020, Belgium) », sur Lambiek, (consulté le ).
  35. Palmarès du grand prix de littérature policière (romans français).
  36. Un demi-siècle d’aventures t. 2 : 1970 - 1996, p. 166.
  37. (en) « André-Paul Duchâteau (b. 1925) - Awards », sur Grand Comics Database (consulté le ).
  38. Nicolas Anspach, « Saint-Gilles couronne André-Paul Duchâteau », sur ActuaBD, (consulté le ).

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Livres[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Périodiques[modifier | modifier le code]

  • Jean-Pol Stercq, « La Galerie-photo de Tintin », Tintin, Le Lombard, no 19,‎ .
  • « Reward : André-Paul Duchâteau », Tintin, Le Lombard, no 8,‎ .
  • André-Paul Duchâteau (interviewé par Jean-Louis Lechat), « Les sept péchés d'André-Paul Duchâteau », La Lettre - L'officiel de la bande dessinée, Dargaud, no 39,‎ , p. 20-21.
  • André-Paul Duchâteau (interviewé par Frédéric Bosser), « Une page d'histoire ! », dBD, no 106,‎ , p. 43-45 (ISSN 1951-4050).

Articles[modifier | modifier le code]

  • Daniel Couvreur, « André-Paul Duchâteau, Mister Mystère », Le Soir,‎ .
  • Charles Van Dievort, « André-Paul Duchâteau, scénariste de la bande dessinée "Ric Hochet", est décédé », La Libre Belgique,‎ (lire en ligne).
  • Daniel Couvreur, « Cauchemar pour Ric Hochet: André-Paul Duchâteau est mort », Le Soir,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  • Didier Pasamonik, « André-Paul Duchâteau, disparition d’un "gentleman-conteur" », ActuaBD,‎ (lire en ligne).
  • Charles-Louis Detournay et Didier Pasamonik, « André-Paul Duchâteau, retour sur le parcours d’un "gentlemen-writer" », ActuaBD,‎ (lire en ligne).

Vidéographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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