Confédération nationale des associations familiales catholiques — Wikipédia

Confédération nationale des associations familiales catholiques
Logo des AFC.
Histoire
Fondation
Cadre
Sigle
AFCVoir et modifier les données sur Wikidata
Type
Forme juridique
Domaine d'activité
Autres organisations fonctionnant par adhésion volontaireVoir et modifier les données sur Wikidata
Siège
Pays
Organisation
Présidente
Pascale Morinière (d) (depuis )Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web
Identifiants
RNA
SIREN
TVA européenne
FR85784408825Voir et modifier les données sur Wikidata

La Confédération nationale des associations familiales catholiques (CNAFC) est un mouvement familial français qui confédère les associations familiales catholiques[a] (AFC) au sein des communes.

La confédération se distingue des autres associations familiales en étant fondée sur la pensée sociale de l'Église, la famille étant le point incontournable de la vie sociale.

Elle est membre de l'Union nationale des associations familiales (Unaf) depuis sa création, en 1945.

Dans un article du quotidien Libération, elle est qualifiée de proche des milieux traditionalistes, et de « réac » par Charlie Hebdo. Promouvant la culture de vie, elle s'engage notamment contre le PACS, le mariage pour tous ou encore le droit à l'avortement.

Historique[modifier | modifier le code]

L'histoire des AFC débute en 1905 avec l'évolution de la loi des association cultuelles[2]. La première association est fondée par le chanoine Tournier. Elle est alors nommée « Association catholique de chefs de famille » (ACCF). Elle a pour but de veiller au respect des consciences dans l'enseignement public[3].

En 1911, les ACCF se sont multipliées et se regroupent dans une Union nationale des ACCF[4]. Trois ans plus tard, en 1914, on compte 762 associations et 32 fédérations départementales sur le territoire français. Cette année-là, lors d'un important congrès organisé à Lyon, les ACCF précisent leur orientation et gravent dans leur ADN la vocation de promouvoir la famille à la lumière de la doctrine et de la morale catholique, et de favoriser la formation de la jeunesse. En 1920, les ACCF participent, avec d'autres mouvements familiaux, au congrès de Lille[5], qui adopte la première déclaration des droits de la famille. En 1923, elles participent aux « États généraux de la famille », définissant les grandes lignes d'une politique de natalité. Grâce au travail des associations, la famille devient un sujet de préoccupation pour les responsables politiques[6]. C'est en que les premiers fruits au niveau national se font ressentir de façon durable. Le Code de la famille et de la natalité françaises[b] est promulgué et les allocations familiales sont instituées[7],[8]. La promulgation du Code, faite in extremis avant l'entrée en guerre, « fait définitivement entrer le fait familial, en tant que fait sociologique, dans l'univers politico-administratif français »[9].

En 1945, les associations familiales participent activement à la fondation de l'Union nationale des associations familiales (Unaf)[10], afin de représenter les familles auprès des pouvoirs publics[11]. Deux ans plus tard, le , la déclaration de constitution de la Confédération nationale des ACCF est publiée au Journal officiel.

Les ACCF deviennent les AFC[modifier | modifier le code]

En 1955, les ACCF se dotent de nouveaux statuts et créent la Confédération nationale des associations familiales catholiques (les AFC)[12],[c]. Les deux missions du mouvement seront précisées cinq années plus tard lors de l'assemblée générale à Saint-Étienne (1960)[14],[15] :

  • défendre les intérêts spirituels, moraux et matériels des familles par une participation accrue aux Udaf et à l'Unaf et par des interventions directes auprès des pouvoirs publics et pour mettre en pratique la doctrine familiale de l'Église ;
  • apporter aux familles le soutien spirituel et l'aide éducative nécessaires pour remplir leur mission d'époux, de parents et d'éducateurs, en même temps que les services pratiques[16].

En 1967, les AFC se mobilisent face à la loi Neuwirth sur la pilule contraceptive[d],[18].

En 1975, les AFC organisent et participent aux manifestations face à la loi Veil[e],[19] et la loi sur le divorce[20].

En 1984, les AFC se mobilisent face à la loi sur l'école libre[21].

En 1990, c'est le lancement des premiers « Chantiers-Éducation », groupes de parole et de partage entre parents sur des questions éducatives concrètes[22]. En 2013, après 23 années d'existence, ces « Chantiers-Éducation » sont considérés par l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) comme un « un bon exemple de ce qui peut être fait pour soutenir et responsabiliser les parents, ce qui rejaillit sur la scolarité, le comportement des enfants à l'école, les relations parents/école… »[23]

Réaffirmant leur caractère « catholique », et résolues à collaborer, en tant que mouvement de laïcs, à la pastorale familiale de l'Église, les AFC signent le , un protocole avec l'Église[24], renouvelé en 1996, en 2003, en 2009 et en 2014. Début 2021, il est de nouveau signé, après une révision, entre la Confédération et la Conférence des évêques de France[25].

En 1997, les AFC se mobilisent en faveur du principe d’universalité des prestations familiales face au plafonnement de ces dernières. En 1999, lors d'un congrès à Lourdes, les AFC confirment leur attitude résolument constructive. Elles puisent dans ce congrès les forces d'un élan nouveau. Un an plus tard, les AFC adoptent à l'unanimité la « charte de l'an 2000 » : « Fruit d'un travail collectif, la charte reformule les fondements des AFC, leur vocation et leurs missions, dans la fidélité à la doctrine familiale de l'Église, avec pour objectif de mieux répondre aux opportunités et aux exigences de l'environnement actuel. C'est un lien entre les AFC d'hier et les AFC de demain »[26].

En 2004, le mouvement obtient la reconnaissance d'utilité publique (RUP)[27]. Cette même année, les AFC se mobilisent à nouveau face à la loi sur la pilule abortive. La même année, les AFC se mobilisent contre le mariage et l’adoption pour les personnes de même sexe prévus par la loi Taubira autorisant le mariage homosexuel[28]. En 2020, les AFC manifestent face à la loi de bioéthique relative à la PMA « pour toutes » ainsi que les manipulations génétiques et le traitement des embryons[29].

Gouvernance[modifier | modifier le code]

Pascale Morinière en 2019 lors de la manifestation "Marchons Enfants" contre la PMA et la GPA.

La confédération a le statut juridique d'association loi de 1901[30]. Depuis la création de la CNAFC en 1955, huit présidents se sont succédé[31] :

  • 1944 - 1958 : Roger de Saint-Chamas
  • 1958 - 1985 : Louis Reverdy
  • 1985 - 1994 : Régis de Crépy
  • 1994 - 2001 : Jean-François Chaumont
  • 2001 - 2007 : Paul de Viguerie
  • 2007 - 2014 : Antoine Renard
  • 2014 - 2019 : Jean-Marie Andrès
  • depuis 2019 : Pascale Morinière[32].

Actions[modifier | modifier le code]

Les AFC, membres de l'Unaf et des Udaf[modifier | modifier le code]

Membres fondateurs de l'Unaf au niveau national et des Udaf au niveau départemental, les AFC sont le deuxième mouvement familial en nombre de familles adhérentes[33].

Éducation[modifier | modifier le code]

Depuis 1990, les Chantiers-Éducation, créés au sein des AFC et ouverts à toutes les familles[f], sont un temps d'écoute, d'échange et de partage sur les questions éducatives[35]. En équipe de 6 à 10, les parents se rencontrent une fois par mois pendant l'année scolaire[36]. Les participants y enrichissent leurs expériences quotidiennes d'éducation et développent leurs compétences à rechercher le « bien » pour chaque enfant[37].

FAFCE – international[modifier | modifier le code]

Fondée en 1997, notamment par la Confédération, la FAFCE[38] est une organisation qui compte 27 associations familiales nationales et locales de 21 pays européens. La FAFCE détient un statut participatif auprès du Conseil de l'Europe depuis 2001. Elle est membre de la Plateforme des droits fondamentaux de l'Union européenne.

La Fédération européenne a deux missions :

  • faire entendre la voix des familles auprès des institutions de l'Union européenne et du Conseil de l'Europe, dans une perspective catholique ;
  • inspirer le développement d'associations familiales en Europe et au-delà, par une fonction de plateforme européenne de mise en réseau et d'échange.

Formation[modifier | modifier le code]

La confédération organise deux formations principales : la formation « Cap DSE » pour connaître la Doctrine sociale de l'Église et « Les Familiades » : chaque année, en été, trois jours de formation et repos sont proposés à toutes les familles, adhérentes et non adhérentes. Appelées « Université d'été des familles » entre 2013 et 2019, elles changent de nom en 2020 pour « les Familiades »[39].

Prises de position[modifier | modifier le code]

Les AFC revendiquent faire la promotion de la famille[40] et prennent position sur des sujets sociétaux : lois de bioéthique, avortement, euthanasie[41]… Ces prises de position font écrire à Bernadette Sauvaget que « L'organisation est proche des milieux traditionalistes »[42].

En 2022 par la Cour de cassation qui rejette définitivement la demande de la CNAFC qui demandait à ce que le fait d'être modèle de webcam soit reconnu comme de la prostitution et que les sites de camgirls soient poursuivis pour proxénétisme[40]. En 2010 également, la CNAFC saisi la justice afin que le Hellfest soit contraint de transmettre les textes et traduction des groupes programmés et que l'entrée soit interdite aux mineurs non accompagnés. Son recours est rejeté[43].

En 2012, la CNAFC saisi la justice pour faire interdire l'implantation d'une boutique vendant des sex-toys à proximité d'une école parisienne[44]. La cour d'appel de Paris lui donne raison[45]. La même année, la Confédération obtient du tribunal administratif l'annulation de l'agrément donné par le ministère de l'Éducation nationale à l'association SOS homophobie, au titre des associations complémentaires de l'enseignement public en raison de modules de sensibilisation litigieux[46],[g].

Après s'être engagée contre le Pacte civil de solidarité, la CNAFC participe également à La Manif pour tous en 2013[47]. En 2014, la CNAFC s'engage également contre le droit à l'avortement[48] et participe aux Marches pour la vie.

En 2015, la CNAFC tente de faire interdire le site Gleeden, invoquant la promotion de l'infidélité, procès qu'elle perd en 2021[49]. En 2016, la Confédération alerte à la sortie du film Sausage Party « dont le contenu est non seulement grossier mais surtout clairement pornographique »[50].

Une plainte est déposée en 2018 contre son président, Jean-Marie Andrès, après qu'il a proféré des propos homophobes lors de l'université d'été de la Manif pour Tous[51]. La CNAFC s'engage en 2019 contre la PMA pour toutes et la gestation pour autrui (GPA)[52].

Publications[modifier | modifier le code]

Revue[modifier | modifier le code]

À destination de ses adhérents et abonnés, la confédération publie cinq fois par an La vie des AFC depuis 1995.

Ouvrages[modifier | modifier le code]

  • Comité d'histoire de la Sécurité sociale de l'association pour l'étude de l'histoire de la Sécurité sociale, « Les mouvements familiaux et leur institution en France - Anthologie historique et sociale », Cahier d'histoire de la Sécurité sociale, no 3, 2006, 640 pages (ISBN 2-90588-269-7)
  • Jacques Arènes, Bernadette Barthelet, Pierre Benoit, Georges Eid, Jean-Marc Ghitti, Xavier Lacroix, Quel avenir pour la Famille ? Le coût du non-mariage, éditions Bayard, 2006 (ISBN 978-2-22747-632-5)
  • Marie-Paule Mordefroid, Vivre les Conflits, 2009, Éditions de l'Emmanuel, 166 pages (ISBN 978-2-35389-0-446)
  • Quel monde voulons-vous pour demain ? 10 fiches de bioéthique pour comprendre les techniques possibles et leurs enjeux humains, 2018, éditions Pierre Téqui
  • Brochures éducatives et pédagogiques « En questions » (voir ci-dessus)
  • Vadémécum :
    • Comprendre l'assistance médicale à la procréation, 2012
    • Sortir des coûts du non-mariage, 2012
    • Reconstruire la politique familiale, 2014
    • Accompagner la fin de vie, 2014

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Michel Emmanuel, Ludovic Laloux, Élisabeth Masson-Leruste, Histoire des associations familiales catholiques - Un siècle d'action civique et sociale, Éditions François-Xavier de Guibert⋅, 2005, (ISBN 2-75540-018-8)
  • Paul de Viguerie, Pour que la famille ait droit de cité - Les associations familiales catholiques pour donner un sens à l'avenir, édition C.L.D., 2004, (ISBN 2-85443-458-7)
  • « Les mouvements familiaux et leur institution en France - Anthologie historique et sociale », Cahier d'histoire de la Sécurité sociale, no 3, 2006, publié par le Comité d'histoire de la Sécurité sociale de l'association pour l'étude de l'histoire de la Sécurité sociale, 640 pages (ISBN 2-90588-269-7)
  • Sophie Rétif, « 9. Défendre la famille et représenter les familles. L’engagement au sein des Associations familiales catholiques », in Bruno Dumons éd., Catholicisme et identité. Regards croisés sur le catholicisme français contemporain (1980-2017). Paris, Karthala, « Signes des Temps », 2017, p. 155-170, [lire en ligne].

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Une association familiale catholique est une association dont les membres sont des familles (d'où le qualificatif de « familiale »), qui a une vocation d'universalité : définition du qualificatif de « catholique »[1].
  2. Le Code de la famille et de la natalité françaises est remplacé en 1956 par le Code de la famille et de l'aide sociale, lui-même remplacé en 2000 par le Code de l'action sociale et des familles.
  3. Le sigle ACCF et le nom « Association catholique des chefs de famille » sont repris en par une association des Côtes-d'Armor[13].
  4. La loi Neuwirth a pour titre loi relative à la régulation des naissances et abrogeant les articles L. 648 et L. 649 du code de la santé publique[17].
  5. La loi Veil a pour nom « loi du relative à l'interruption volontaire de grossesse ».
  6. Les Chantiers-Éducation sont ouverts à tous, adhérents et non adhérents aux AFC, quelles que soient l’origine, les convictions et les situations de chacun[34].
  7. Voir SOS homophobie#Retrait temporaire de l'agrément ministériel en 2013 sur Wikipédia.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Définition de l'adjectif « catholique » dans le Centre national de ressources textuelles et lexicales (CNRTL)).
  2. Journal officiel de la République française, , p. 6499, cité par Michel Emmanuel, Ludovic Laloux, Élisabeth Masson-Leruste, Histoire des Associations familiales catholiques, Éditions François-Xavier de Guibert, 2005, p. 22.
  3. « Programme électoral des Associations catholiques de chefs de famille », École et famille, septembre-octobre 1919, cité par Michel Emmanuel et alii dans Histoire des associations familiales, p. 28.
  4. Michel Emmanuel et alii, Histoire des associations familiales, p. 23.
  5. Bruno Duriez, « Mouvements familiaux et catholicisme social dans le Nord (1919-1945) » in Revue du Nord, tome 73, no 290-291, avril-septembre 1991, « Cent ans de catholicisme social dans la région du Nord », Actes du colloque de Lille, 7 et 8 décembre 1990, p. 445-454.
  6. Abbé R. Talmy, Histoire du mouvement familial en France (1896-1939), 1962.
  7. Journal officiel de la République française, no 0178 du .
  8. Naissance de la politique familiale sur le site vie-publique.fr de la Direction de l'information légale et administrative.
  9. Page 13 de l'ouvrage « Les mouvements familiaux et leur institution en France - Anthologie historique et sociale », Cahier d'histoire de la Sécurité sociale, no 3, 2006, publié par le Comité d'histoire de la Sécurité sociale de l'association pour l'étude de l'histoire de la Sécurité sociale, 640 pages (ISBN 2-90588-269-7).
  10. Ordonnance no 45-323 du , Journal officiel de la République française du .
  11. Michel Emmanuel et alii dans Histoire des associations familiales, p. 78-81.
  12. Michel Emmanuel et alii dans Histoire des Associations familiales catholiques, chapitre IV, « Vers les associations familiales catholiques », p. 118.
  13. Déclaration au Journal officiel des associations.
  14. Louis Reverdy, cité par Michel Emmanuel et alii dans Histoire des associations familiales, p. 140.
  15. p. 239 de l'ouvrage « Les mouvements familiaux et leur institution en France - Anthologie historique et sociale », Cahier d'histoire de la Sécurité sociale, no 3, 2006, publié par le Comité d'histoire de la Sécurité sociale de l'association pour l'étude de l'histoire de la Sécurité sociale, 640 pages (ISBN 2-90588-269-7).
  16. Cardinal Jean-Marie Villot cité par Michel Emmanuel et alii dans Histoire des associations familiales, p. 140.
  17. « Loi no 67-1176 du relative à la régulation des naissances et abrogeant les articles L. 648 et L. 649 du code de la santé publique », sur le site Légifrance (consulté le ).
  18. « Audition de la Confédération nationale des associations familiales catholiques par la Commission Neuwirth » citée par Michel Emmanuel et alii dans Histoire des associations familiales, p. 153.
  19. « Déclaration des Associations Familiales Catholiques sur l'avortement devant la commission sénatoriale », cité par Michel Emmanuel et alii dans Histoire des associations familiales, p. 163.
  20. « La libéralisation du divorce », La Vie des AFC, no 60, mars-avril 1975, cité par Michel Emmanuel et alii dans Histoire des associations familiales, p. 170.
  21. Michel Emmanuel et alii dans Histoire des associations familiales, p. 178-180.
  22. Mathilde de Robien, « Les Chantiers-Éducation fêtent leurs 30 ans », (consulté le ).
  23. Igas, Évaluation de la politique de soutien à la parentalité, « Chantiers-Éducation », , rapport RM2013-015P, [lire en ligne].
  24. Régis de Crépy, « Les AFC et la communauté ecclésiale », La Vie des AFC, no 131, , cité par Michel Emmanuel et alii dans Histoire des associations familiales, p. 184.
  25. Laure Daussy, « Inconnues mais très influentes : les Associations familiales catholiques », sur le site du journal satirique Charlie Hebdo, (consulté le ).
  26. Michel Emmanuel et alii dans Histoire des associations familiales, p. 187.
  27. Bernard Gorce, « Les AFC sont reconnues « d'utilité publique » », sur le site du quotidien La Croix, (consulté le ).
  28. « Droits de l’enfant : Les AFC saisissent le Conseil d’Etat contre la loi Taubira », (consulté le ).
  29. Alice Le Dréau, « Bioéthique, les opposants à la loi se mobilisent », sur le site du quotidien La Croix, (consulté le ).
  30. Site du Journal officiel des associations.
  31. Michel Emmanuel, Ludovic Laloux, Élisabeth Masson-Leruste, Histoire des associations familiales catholiques - Un siècle d'action civique et sociale, éditions François-Xavier de Guibert, 2005, (ISBN 2-75540-018-8).
  32. « Pascale Morinière devient la nouvelle présidente des AFC », sur le site du quotidien La Croix, (consulté le ).
  33. « Typologie des mouvements familiaux », Rapport de la Cour des comptes - UNAF exercices 2017 à 2021, p. 24, [lire en ligne].
  34. >Le site de la mairie de Lyon.
  35. « Chantiers éducation. Réunion d'information vendredi », sur le site du quotidien Le Télégramme de Brest, (consulté le ).
  36. « L’éducation, un grand chantier des AFC ! », sur le site du magazine Famille chrétienne, (consulté le ).
  37. « Soutenir les parents dans leur mission de premiers et de principaux éducateurs de leurs enfants, c'est ce que font les chantiers-éducation des AFC », émission de la station Radio Notre Dame du , [écouter en ligne].
  38. Yves Thibaut, « LA FAFCE : LA VOIX DES FAMILLES CHRÉTIENNES À L'UE », sur le site de la station de radio RCF, (consulté le ).
  39. Camille Lecuit, « Se former en famille avec les Associations familiales catholiques », sur le site du magazine La Vie, (consulté le ).
  40. a et b dépêche AFP, « Non, être «camgirl» ou «camboy» ne relève pas de la prostitution, tranche la Cour de cassation », sur le quotidien Libération, (consulté le ).
  41. Laure Daussy, « Lobbying : les cathos à l’assaut de la fin de vie », sur le site du journal satirique Charlie Hebdo, (consulté le ).
  42. Bernadette Sauvaget, « A quels saints se voue la galaxie catho ? », sur le site du quotidien Libération (consulté le ).
  43. Valérie Domain, « Hellfest autorisé: c'est hard pour les censeurs », sur le site du magazine Gala, (consulté le ).
  44. communiqué AFP, « Les sex toys agitent le tribunal correctionnel de Paris », sur le site de l'hebdomadaire Le Nouvel Obs, (consulté le )
  45. communiqué AFP, « Sex-shop près d'une école à Paris : le gérant condamné en appel », sur le site de l'hebdomadaire Le Nouvel Obs, (consulté le )
  46. « OS homophobie se voit retirer son agrément dans les écoles », sur le site du quotidien Le Monde, (consulté le ).
  47. Samuel Laurent, « Derrière la grande illusion de la "Manif pour tous" », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  48. Monique Vézinet, « L’IVG toujours combattue : quand les Associations Familiales Catholiques se rêvent en Tea Party à la française », sur le site de l'Union des familles laïques, (consulté le ).
  49. Noah Moulinet, « Une association catholique échoue définitivement à faire interdire Gleeden, le site de rencontres extraconjugales », Capital,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  50. « Des associations catholiques choquées par le film "Sausage Party" [+ vidéo] », Charente libre,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le ).
  51. « Propos sur les "pédés" : après Campion, un proche de la Manif pour tous visé par une plainte », Le Nouvel Obs,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le ).
  52. Élodie Hervé, « Loi bioéthique : les pires arguments des opposants à la PMA face aux Sénateurs », Têtu,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le ).