Bakhita (roman) — Wikipédia

Bakhita
Image illustrative de l’article Bakhita (roman)
Portrait de Joséphine Bakhita.

Auteur Véronique Olmi
Pays France
Genre Roman
Éditeur Albin Michel
Collection Roman français
Date de parution
Nombre de pages 464
ISBN 9782226393227

Bakhita est un roman de Véronique Olmi paru le aux éditions Albin Michel et ayant reçu la même année le prix du roman Fnac[1].

Résumé[modifier | modifier le code]

Cette biographie romancée de Joséphine Bakhita (1869-1947) retrace la vie de cette ancienne esclave soudanaise, enlevée à sept ans, au Darfour, amenée en Italie (surnommée La Moretta soit littéralement la « petite Maure » ou de manière péjorative « la noiraude »), déclarée libre à vingt ans, baptisée à vingt-et-un ans sous le nom de Gioseffa Margherita Fortunata Maria Bakhita, puis devenue religieuse catholique au sein de la congrégation des Filles de la charité canossiennes, à Venise, puis à l'orphelinat de Schio de Vicence. La romancière dit avoir découvert son existence en visitant l'église Saint-Jean-Baptiste de Langeais.

Elle est canonisée par le pape Jean-Paul II en 2000.

Personnages[modifier | modifier le code]

  • Famille : Kishmet, Dijou, et les noms oubliés (mère, père, sœur jumelle, et son propre nom)
  • Compagnes et compagnon d'esclavage : Binah, Hawa, Yebit, Indir...
  • Italie, Vénétie : Cal(l)isto Legnani, Augusto Michiele, Maria Turina Michieli, Stefano Massarioto (Signore Illuminato Checchini) et sa famille (Clementina, Mélia, Chiara, Giuseppe), Alice Alessandrina Augusta Michieli, Madre Fabretti, Elvira...

Éditions[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]