Bataille de Rostov (1942) — Wikipédia

Seconde bataille de Rostov
Description de cette image, également commentée ci-après
Théâtre des opérations (en allemand).
Informations générales
Date du au
Lieu Rostov-sur-le-Don
Issue Victoire allemande
Belligérants
Drapeau de l'Allemagne nazie Reich allemand Drapeau de l'URSS Union soviétique
Commandants
Drapeau de l'Allemagne Wilhelm List
Drapeau de l'Allemagne Richard Ruoff
Drapeau de l'Allemagne Ewald von Kleist
Drapeau de l'Allemagne Wolfram Freiherr von Richthofen
Drapeau de l'Allemagne Wilhelm von Apell
Drapeau de l'Allemagne Eberhard von Mackensen
Drapeau de l'URSS Rodion Malinovski
Drapeau de l'URSS Viktor Tsyganov

Seconde Guerre mondiale

Batailles

Front de l’Est
Prémices :

Guerre germano-soviétique :

  • 1941 : L'invasion de l'URSS

Front nord :

Front central :

Front sud :

  • 1941-1942 : La contre-offensive soviétique

Front nord :

Front central :

Front sud :

  • 1942-1943 : De Fall Blau à 3e Kharkov

Front nord :

Front central :

Front sud :

  • 1943-1944 : Libération de l'Ukraine et de la Biélorussie

Front central :

Front sud :

  • 1944-1945 : Campagnes d'Europe centrale et d'Allemagne

Allemagne :

Front nord et Finlande :

Europe orientale :


Front d’Europe de l’Ouest


Campagnes d'Afrique, du Moyen-Orient et de Méditerranée


Bataille de l’Atlantique


Guerre du Pacifique


Guerre sino-japonaise


Théâtre américain

La deuxième bataille de Rostov est un épisode de l'opération Fall Blau, qui oppose pendant quatre jours l'arrière-garde de la 56e armée soviétique, en retraite, à la 17. Armee et la 1. Panzerarmee allemandes qui tentent de l'encercler.

Elle se solde par un net succès pour les Allemands qui prennent, grâce à une action « commando » du régiment Brandebourg, les ponts sur le Don, du pont de Bataisk et la digue au sud de la ville, ce qui empêche l'inondation des marais et leur permet de poursuivre leur progression vers le Caucase.

« Le jour où fut annoncée la chute de Rostov, l'angoisse qui n'avait fait que grandir durant le mois de juillet, toucha à la panique[1]. »

La bataille aura un fort retentissement en Union soviétique, où la ville était présentée comme une forteresse, et sera l'une des raisons qui conduiront Staline à publier l'ordre 227 : «  Pas un pas en arrière ! ».

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Jean Lopez, citant Alexander Welth, correspondant du Sunday Time à Moscou.[source insuffisante]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]