Boulevard du Montparnasse — Wikipédia

6e, 14e, 15e arrts
Boulevard du Montparnasse
Voir la photo.
Le boulevard du Montparnasse.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissements 6e
14e
15e
Quartiers Notre-Dame-des-Champs
Necker
Montparnasse
Début Place Léon-Paul-Fargue et 145, rue de Sèvres
Fin 20, avenue de l’Observatoire
Morphologie
Longueur 1 632 m
Largeur 39 m
Géocodification
Ville de Paris 6455
DGI 6522
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
boulevard du Montparnasse
Images sur Wikimedia Commons Images sur Wikimedia Commons

Le boulevard du Montparnasse[1] est un boulevard de Paris qui se situe à la limite des 6e, 14e et 15e arrondissements de Paris.

Situation et accès[modifier | modifier le code]

Le boulevard du Montparnasse en direction du nord-ouest, vu depuis son extrémité sud-est (à son intersection avec l'avenue de l'Observatoire).

Quasiment rectiligne, il relie — du nord-ouest vers le sud-est — la place Léon-Paul-Fargue (où est située la station de métro Duroc) à la place Camille-Jullian où sont situés la gare du RER B Port-Royal et le carrefour avec l'avenue de l'Observatoire. Il passe au pied de la tour Montparnasse, place du 18-Juin-1940.

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Le boulevard tire son nom d'un monticule, sans doute artificiel et constitué de séculaires amas de gravois, qui s'érigeait sur son parcours à hauteur de la place Pablo-Picasso actuelle. Cette butte s'appelait « Mont de Parnasse[2] » au XVIIe siècle en référence au mont Parnasse, résidence des Muses de la mythologie grecque. Des étudiants voisins, qui venaient y déclamer des vers, lui auraient donné ce nom par dérision. La butte fut d'abord traversée par le boulevard[3], puis entièrement aplanie au milieu du XVIIIe siècle.

Le boulevard du Montparnasse appartient à trois arrondissements :

Historique[modifier | modifier le code]

Plaques de rue du boulevard du Montparnasse : la plaque en mosaïque comporte la variante fautive « boulevard Montparnasse ».

Le boulevard du Montparnasse fait partie des « boulevards du Midi », comme les boulevards de l'Hôpital, Auguste-Blanqui, Saint-Jacques, Raspail et des Invalides dont la construction est prescrite en 1704 par Louis XIV.

Amorcée vers 1720, sa construction ne fut achevée qu'au début des années 1760.

Lorsque le boulevard fut achevé, il se terminait rue d'Enfer, l'avenue de l'Observatoire n'existait pas encore. Le boulevard était peu construit et assez désert jusqu'au milieu du XIXe siècle. Un guide de 1828 le décrit comme "une promenade belle mais partout solitaire; de loin en loin on y rencontre quelques habitations et des jardins ; on s’y promène au milieu des champs, on y jouit des beautés de la nature ; rarement on y voit des cafés, encore sont-ils sans élégance"[5].

Il fut pavé en 1839 et éclairé en 1843. Après un premier embarcadère de la ligne de Versailles-rive gauche construit en 1840 barrière du Maine, la gare Montparnasse est implantée en 1852 le long du boulevard. La rue de Rennes est percée face à la gare à partir de 1855.

L'ancienne gare de 1852 est détruite pendant les années 1960[6], pour laisser place à la tour Montparnasse, tandis que la nouvelle infrastructure ferroviaire est déplacée de plusieurs centaines de mètres vers le sud.

Dans les années 1950, le boulevard du Montparnasse est transformé par l'élargissement de sa chaussée automobile, qui passe de 13,5 à 21 mètres de large, au détriment des trottoirs[7].

Vue du boulevard, à la hauteur de la station de métro Vavin, en direction de l’ouest. Les immeubles du premier plan à gauche sont dans le quartier du Montparnasse, ceux du premier plan à droite, dans le quartier Notre-Dame-des-Champs.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]

De la rue de Sèvres au carrefour Vavin - place Pablo-Picasso[modifier | modifier le code]

  • No 1 : immeuble ayant abrité le domicile de la peintre Chériane (1898-1990). Celle-ci épouse en 1943 Léon-Paul Fargue, qui s’installe chez elle. Frappé d'hémiplégie en 1943, Léon-Paul Fargue reste paralysé, mais garde jusqu'à sa mort une activité littéraire intense en ce lieu, où il meurt le . Le carrefour au pied de l’immeuble porte, depuis un arrêté du , le nom de « place Léon-Paul-Fargue ».
No 13.
No 25.
Une plaque commémorative rend hommage à l'écrivain britannique D. H. Lawrence (1885-1930). Il y séjourna en 1929 alors qu'il cherchait un éditeur pour son roman L'Amant de lady Chatterley.
No 80, boulevard du Montparnasse.
No 93.
  • No 92 : à cet adresse se trouvait le pigeonnier d'Édouard Cassiers, président de la société colombophile L'Espérance[28], association qui contribua à maintenir des communications entre la capitale et la province durant le siège de Paris (1870-1871) ; ne quittant plus son pigeonnier dans les premiers temps de ce siège[29], y réceptionnant des messages par pigeons voyageurs, Cassiers franchit ensuite les lignes allemandes vers la province à bord du ballon monté Le Vauban , avec des volatiles destinés à revenir à Paris.
  • No 93 : sur la façade, une inscription ancienne, conservée de nos jours, indique « sous-secrétariat d'État des Postes et Télégraphes - Direction de la Seine ». Le bâtiment devient ensuite le siège du secrétariat général à l'aviation civile, puis de la DGAC, de 1946 à 1993. Il héberge l'Inspection générale de l'aviation civile et le Conseil médical de l'aéronautique civile jusqu'en [30]. Depuis transformé en logements sociaux et étudiants.
  • No 96 : boutique (aujourd’hui disparue, à son emplacement se trouve actuellement une crêperie) du fleuriste André Baumann, qui, en 1926, fait faire sa devanture en Lap bleu, dans le style Art déco, par l'architecte Léon Leyritz[31]. Simone Bouyer, mère de Coluche, sera une des employées de la boutique. L'écrivain Eugène Ionesco vit également dans cet immeuble de 1964 à sa mort. En 1994 ; une plaque lui rend hommage.
  • No 98 : cinéma Sept Parnassiens.
  • no 99 : brasserie Le Select. Fondée en 1923, elle est le premier établissement à rester ouvert toute la nuit.
  • No 102 : brasserie La Coupole, ouverte en 1927.
  • No 103 : cinéma UGC Rotonde. Un immeuble préexistant à cet endroit est une des adresses sur le boulevard de Philippe Solari (en 1867) ; dans un bel appartement de l'immeuble actuel naît, le , Simone de Beauvoir[32], elle y habite enfant jusqu'en 1919, quand des revers de fortune obligent sa famille à déménager dans un logement moins cossu, au 71, rue de Rennes[33].
  • No 105 : brasserie La Rotonde, établissement ouvert en 1911. Cocteau y a photographié Picasso.
  • No 108 : brasserie Le Dôme, ouvert en 1897. L'immeuble est d'Albert Sélonier. Il compte parmi ses clients Lénine et Trotsky. Parmi les autres clients célèbres Hemingway dont un chapitre de Paris est une fête s'intitule : « Avec Pascin au Dôme », Man Ray, Henry Miller, Blaise Cendrars, André Breton, Samuel Beckett
  • Nos 105 et 113 : entre ces numéros et les nos 108 et 112 : « carrefour Vavin », officiellement dénommée place Pablo-Picasso depuis 1984. Situé à l'emplacement d'une partie des anciens boulevards du Midi — but de promenades champêtres au XVIIIe siècle — l'endroit devient à la fin du XVIIIe siècle un lieu de divertissement (voir Le bal de la Grande Chaumière au no 112), puis du XIXe siècle jusqu'au début de la Seconde Guerre mondiale le lieu favori de rencontres et d'échanges entre artistes peintres, plasticiens, photographes, modèles, écrivains et journalistes.
    Au nord du carrefour, en retrait sur le terre-plein central du boulevard Raspail se dresse depuis 1939 une statue de Balzac coulée en bronze d'après l'œuvre originale (1891-1897) du sculpteur Auguste Rodin (1840-1917).

Du carrefour Vavin à l'avenue de l'Observatoire[modifier | modifier le code]

  • Nos 112 à 136 et Nos 201 à 229 du boulevard Raspail: emplacement, de 1788 à 1853, du bal de la Grande-Chaumière.
  • No 120 bis : Rogatien de Cidrac, architecte en chef des bâtiments civils et palais nationaux y a eu une agence d'architecture dans les années 1960.
    • Le poète et dramaturge libanais Georges Schehadé (1905-1989) y vit entre 1984 et 1989, l'année de sa mort.
  • No 124 : adresse, à un angle du boulevard avec la rue Léopold-Robert, durant une période de l'entre-deux-guerres, du Stage B, une boîte de jazz où sont organisés des bals de nuit. En 1935, photographiés par Émile Savitry, s'y produisent Django Reinhardt, Stéphane Grappelli et le Quintette du Hot Club de France ainsi que Valaida Snow[34]. Plus tard, cette adresse est celle[35] du New Jimmy’s créé en 1961 par Régine, dans les locaux d'une boîte de striptease fermée depuis un an[36]. Le twist y est lancé. Régine habite à cette époque au-dessus de cette boîte de nuit[37]. Dans les murs de cet établissement, depuis longtemps disparu, se succèdent jusqu'à aujourd’hui plusieurs restaurants.
    Adresse à laquelle est domiciliée au cinquième étage la famille de l'officier de marine, météorologue et explorateur Jules Rouch (1884-1973), au plus tard en 1937, année au cours de laquelle le jeune Jean Rouch (1917-2004) intègre l'École nationale des ponts et chaussées[38]. Celui-ci, futur réalisateur et ethnographe, revient régulièrement boulevard du Montparnasse entre ses expéditions et prend alors l'habitude de donner ses rendez-vous au café Le Bullier. A la fin de sa vie, il habite encore boulevard du Montparnasse[39].
  • No 125 : la librairie Tschann, créée en 1929.
No 126.
Siège de l'École pratique de service social (EPSS).
  • No 142 : en 1865, Émile Zola demeure, avec à sa mère, dans un logement au second étage à cette adresse, un des multiples domiciles parisiens successifs de l'écrivain durant l'existence précaire de sa jeunesse[44]. En 1882, Paul Alexis rapporte que le bruit de détonations, provenant d'un stand de tir à proximité de cet appartement, empêchait Zola de travailler[45].
  • No 145 : la professeur de philosophie Marie-Louise Imbert y créé L'École à l'hôpital en 1929 ; une plaque lui rend hommage.
  • No 146 : adresse, au coin de la rue Campagne-Première de deux établissements successifs aujourd’hui disparus, emblématiques de la bohème « montparnos ». Tout d’abord, le café-cabaret littéraire Le Caméléon (inspiré de celui du Chat Noir), dont les animations et conférences sont dirigées avant la Première Guerre mondiale par Alexandre Mercereau, lieu ensuite fréquenté après cette guerre par l’avant-garde russe dans un bistrot nommé Le Cocher fidèle. Lui succède, à partir de , le cabaret-club Le Jockey, où se produit Kiki de Montparnasse.
    Au printemps 1923, le Dahoméen Kojo Touvalou est expulsé, sur la pression d'une partie de la clientèle américaine, raciste, avant de l'être aussi du Bal Tabarin de Montmartre, motivant une note du Quai d'Orsay (Poincaré étant à l'époque président du Conseil) à l'adresse des touristes étrangers chatouilleux sur les questions de race, condamnant officiellement ces incidents et les discriminations[46].
    Dans sa jeunesse, Simone de Beauvoir fréquenta l'établissement ; elle se souvient : « J'aimais, sur les murs, les affiches coloriées où se mêlaient le canotier de Chevalier, les souliers de Charlot, le sourire de Greta Garbo ; j'aimais les bouteilles lumineuses, les petits drapeaux bigarrés, l'odeur de tabac et d'alcool, les voix, les rires, le saxophone »[47].
    Le Jockey traverse ultérieurement le boulevard pour s'installer au no 127.
    La modeste bâtisse qui hébergea ces établissements est remplacée en 1932 par un immeuble, réalisé pour Helena Rubinstein, par Bruno Elkouken, blanc et formé de longues baies horizontales, un angle arrondi, deux derniers étages en terrasse et en contre-courbes pour rester fidèle au style « paquebot » alors en vogue. Au troisième étage[48] de l'immeuble est l' « appartement-studio-musée-salle de poker »[49] du chanteur Daniel Bevilacqua, dit Christophe, mort en 2020[50].
  • No 147 : après avoir quitté le no 70 du boulevard, Jeanne Simon et son mari Lucien Simon, emménagent dans cet immeuble en 1895.
162, boulevard du Montparnasse avec les plaques de Lila Kedrova et Romain Rolland.


Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Boulevard Montparnasse ou boulevard de Montparnasse sont des abus de langage.
  2. Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Paris, Les Éditions de minuit, 1972, 1985, 1991, 1997, etc. (1re éd. 1960), 1 476 p., 2 vol.  [détail des éditions] (ISBN 2-7073-1054-9, OCLC 466966117), p. 157.
  3. Il s'appelait alors « Cours Nouveau du Montparnasse ».
  4. Plan de Paris, plan Michelin no 11, 1986, 181 p. (ISBN 2-06-000-118-8), p. 34.
  5. « Le véritable conducteur parisien », Richard, éditeur Roy et Compagnie, 1828p. 297.
  6. Cf. les paroles de la chanson écrite par Jacques Lanzmann et Anne Segalen, composée et interprétée par Jacques Dutronc, Il est cinq heures, Paris s'éveille, sortie en 1968 : « sur le boulevard Montparnasse la gare n'est plus qu'une carcasse. »
  7. Frédéric Héran, Le Retour de la bicyclette. Une histoire des déplacements urbains en Europe, de 1817 à 2050, Paris, La Découverte, 2015, 256 p. (ISBN 978-2707182029), p. 74.
  8. "Les locataires célèbres du Vatican", Le Parisien, 16 avril 2009.
  9. Julien Lacaze, « Comment dénaturer une création de Michel Roux-Spitz par des changements de fenêtres », sppef.fr, 6 mai 2016.
  10. Marquis de Rochegude, Promenades dans toutes les rues de Paris, par arrondissement, Paris, éd. Hachette, 1910.
  11. Martine Azoulai, « Germaine Cellier, le sens de la formule », Vanity Fair, no 14, août 2014, p. 104-111.
  12. Lieux insolites : La Maison aux cornues, sur le site Paris Promeneurs (consulté le 17 décembre 2017).
  13. « Une maison bien cachée, la Maison aux Cornues », publié le 14 décembre 2016 par Mélanie C, sur le site dansmonpotdeconfiture (consulté le 17 décembre 2017).
  14. Lettre autographe du 31 janvier 1869 entre Léopold Flameng (1831-1911) et Léon Gaucherel (1816-1886), sur le site delcampe.it (consulté le 17 décembre 2017).
  15. La Chronique des arts et de la curiosité, 1876, p. 307, sur le site de l'université de Heidelberg (consulté le 17 décembre 2017).
  16. Manuscrit autographe du 6 juillet 1898 entre Léopold Flameng et Jules Massenet (1842-1912), sur le site Gallica (consulté le 17 décembre 2017).
  17. Décès Paris 16e, 5 octobre 1922 (acte n° 1924)-14 novembre 1922 (acte n° 2108), cote 16D124, page 17/31 acte N°1976
  18. « Le rêve d’une maison », sur le site defap-bibliotheque.fr (consulté le 17 décembre 2017).
  19. « David Hamilton retrouvé mort », publié le 26 novembre 2016 par Yves Jaeglé, sur le site Le Parisien (consulté le 17 décembre 2017).
  20. Société du salon d'automne, Exposition de 1906: Catalogue de Peinture, Dessin, Sculpture, Gravure, Architecture et Arts Décoratifs, Grand Palais des Champs-Élysées, Cie Française des Papiers-Monaie, Paris, , 244 p.
  21. a et b « Les domiciles d'Eugène Carrière », www.eugenecarriere.com (consulté le 15 décembre 2017).
  22. Pierre Pelletier, Les verriers dans le Lyonnais et le Forez, 1887.
  23. « Matériaux en vrac à exploiter », www.societe-cezanne.fr, 6 août 2016.
  24. « Présentation », www.loeilecoute.com.
  25. « L’ancienne École polonaise de Montparnasse », www.paris-unplugged.fr.
  26. Isabelle Laurin, « L’Art nouveau à Sèvres. L’école Guérin et le vase des Pommerets », Revue de la Société des amis du Musée national de céramique, n.d. (lire en ligne).
  27. « Payen Louis », sur artlyriquefr.fr (consulté le ).
  28. http://www.coppoweb.com/pigeon/fr.pigeon9.php
  29. « Les ballons du siège de Paris » [livre], sur Google Books (consulté le ).
  30. Plaque commémorative à l'entrée de l'actuel siège de la DGAC, au 50, rue Henry-Farman, à Paris.
  31. « Le patrimoine. Lap, une aventure technique et artistique », www.ville-antony.fr.
  32. « Le Paris de Sartre et de Beauvoir », sur Paris ZigZag / Insolite & Secret (consulté le ).
  33. Terresdecrivains.com, « Sur les pas des ecrivains : Simone de BEAUVOIR à Paris, Marseille, Rouen et ailleurs », sur terresdecrivains.com (consulté le ).
  34. « Emile Savitry. Photographe. », sur emilesavitry.com (consulté le ).
  35. « Jean Harlow Evening at Regine at the New Jimmy's », www.gettyimages.fr.
  36. « Le New Jimmy's », www.regine-officiel.com.
  37. « Entretien avec Roger Kahane », www.underscores.fr.
  38. Jean Sauvy, Jean Rouch tel que je l'ai connu : 67 ans d'amitié 1937-2004], L'Harmattan, 2006, p. 10.
  39. « « Jean Rouch, titi africain du 14e arrondissement de Paris » dans Le Monde, , sur le site lemonde.fr.
  40. « Louis Süe, 1875-1968 » [livre], sur Google Books (consulté le ).
  41. Fonds Louis Süe, au Centre d'archives d'architecture du XXe siècle, no  inv. 30/13.
  42. « Boulevard du Montparnasse à Paris : visite, infos, avis, prix, plan, réserver », sur cityzeum.com (consulté le ).
  43. Annuaire des peintres, sculpteurs, esperts, galeries de France et professionnels des arts graphiques, Patrick Bertrand éditeur d'art, Sainte-Hélène-sur-Mer, 1995, p. 230.
  44. [1] « Émile Zola », www.terresdecrivains.com.
  45. Émile Zola. Notes d’un ami, chapitre V : La lutte littéraire, sur Wikisource.
  46. Dominique Chathuant, « Français de couleur contre “métèques” : les députés coloniaux contre le préjugé racial (1919-1939) », Outre-mers, tome 97, nos 366-367, 1er semestre 2010, p. 239-253.
  47. Simone de Beauvoir, Mémoires d'une jeune fille rangée, 1958, Gallimard, rééd. 2019, Folio n°786, p. 354.
  48. Le Parisien, « Ma nuit avec Christophe », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  49. Christophe Conte, « Christophe, l'émoi bleu » Accès payant, sur liberation.fr, Libération, (consulté le ).
  50. Philippe Vasset, « Les vestiges du chaos », Vanity Fair,‎ , p. 20-22 (lire en ligne).
  51. « Amadeo De Souza Cardoso / SOCIETE HISTORIQUE ET ARCHEOLOGIQUE DU 14eme ARRONDISSEMENT DE PARIS », sur sha14.fr (consulté le ).
  52. http://www.oniros.fr/PAIL-VDM.pdf
  53. « Autour de Maurice des Ombiaux », www.arllfb.be.
  54. « Autour du Luxembourg. Romain Rolland à Paris », www.association-romainrolland.org.
  55. Protections patrimoniales, 6e arrondissement, Ville de Paris, Règlement du PLU, tome 2, annexe VI, p. 153 à 219.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :