Capesterre-Belle-Eau — Wikipédia

Capesterre-Belle-Eau
Capesterre-Belle-Eau
Les chutes du Carbet.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Guadeloupe
Département Guadeloupe
Arrondissement Basse-Terre
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Sud Caraïbe
Maire
Mandat
Jean-Philippe Courtois
2020-2026
Code postal 97130
Code commune 97107
Démographie
Gentilé Capesterrien(ne)s
Population
municipale
17 731 hab. (2021 en diminution de 6,58 % par rapport à 2015)
Densité 172 hab./km2
Population
agglomération
25 369 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 16° 03′ 00″ nord, 61° 34′ 00″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 1 450 m
Superficie 103,3 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Capesterre-Belle-Eau
(ville-centre)
Aire d'attraction Les Abymes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Capesterre-Belle-Eau
(bureau centralisateur)
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Guadeloupe
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Capesterre-Belle-Eau
Géolocalisation sur la carte : Guadeloupe
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Capesterre-Belle-Eau
Liens
Site web capesterrebelleeau.fr

Capesterre-Belle-Eau (prononcé [kapɛstɛʁ] ; anciennement Capesterre-de-Guadeloupe ; en créole guadeloupéen : Kapèstè) est une commune française, située dans le département de la Guadeloupe. Les habitants sont appelés les Capesterrien(ne)s.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

En rouge le territoire communal de Capesterre-Belle-Eau.

De 103,3 km2 de superficie totale[1], la commune de Capesterre-Belle-Eau se situe au sud-est de la Basse-Terre. Au nord, elle se limite à la ravine de la Petite Briqueterie qui la sépare de Goyave ; au sud, à la rivière du Trou au Chien qui la sépare de Trois-Rivières ; à l'ouest, la ligne de crête reliant le Grand Sans Toucher (1 354 m), la Grande Découverte (1 263 m), le morne du Col (1 261 m), le morne Carmichaël (1 414 m) à la Soufrière (1 467 m), la sépare de Baillif sur quelques centaines de mètres puis principalement de Saint-Claude.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Elle est traversée par trois principaux cours d'eau : la rivière du Grand Carbet, la Grande Rivière de la Capesterre et la rivière du Pérou qui se rejoignent pour former une embouchure commune avant de se jeter dans l'océan Atlantique juste au nord du bourg principal au niveau de la pointe de la Capesterre.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Capesterre-Belle-Eau est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Capesterre-Belle-Eau, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[5] et 25 369 habitants en 2021, dont elle la ville-centre[6],[7].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction des Abymes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8],[9].

La commune, bordée par l'Océan Atlantique à l'est, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[10]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[11],[12].

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Les différents lieux-dits de Capesterre-Belle-Eau sont Bananier, Bélair, Bord-Bois, Cacador, Cacoville, Cambrefort, Cantamerle, Carangaise, Cayenne, Changy, Christophe, la Digue, Fonds-Cacao, Four-à-Chaux, Fromager, Grande-Chasse, L'Habituée, Îlet-Pérou, Manceau, Marquisat, Mon Repos, Moravie, Moulin-à-l'Eau, Neuf-Château, Petit Marquisat, Petit-Pérou, Sainte-Marie, Saint-Sauveur et Sarlassonne la Plaine.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Le , lors de son second voyage, Christophe Colomb accoste aux environs de l'embouchure de la rivière du Grand Carbet où des Indiens caraïbes avaient installé un village. Lorsque l'équipage débarque pour s'approvisionner en eau après un si long voyage, les autochtones sont effrayés et prennent la fuite. Huit d'entre eux, dont six femmes, sont capturés ; et ce n'est qu'après leur avoir offert des présents qu'ils sont relâchés. Le lendemain, Colomb mouille à l'endroit correspondant à Sainte-Marie près de l'embouchure de la rivière de Sainte-Marie. Afin de commémorer cet événement un buste de Christophe Colomb a été élevé en 1916. Dix jours plus tard, Colomb quitte le mouillage après y[Où ?] avoir planté plusieurs espèces de plantes venues d'Europe et laissé plusieurs paires de cochons afin qu'ils se multiplient dans le but de s'approvisionner en victuailles sans craindre de souffrir de la famine pour un éventuel prochain voyage[réf. nécessaire].

En 1636, alors que la guerre entre Français et Caraïbes fait rage, ces derniers se fixent principalement à Capesterre. Pour les y déloger, Longvillier de Poincy (gouverneur général des Îles depuis 1637) charge le sieur Sabouilly avec 264 hommes afin d'assister la colonisation de la Guadeloupe en . La guerre est féroce et après plus de trente heures d'une résistance, les Caraïbes quittent l'île depuis Capesterre pour Marie-Galante et la Dominique[réf. nécessaire]. C'est en 1644 que Charles Houël du Petit-Pré, gouverneur de la Guadeloupe (de 1643 à 1664) et fondateur de Basse-Terre en 1649) impulse durablement la naissance du bourg de Capesterre. En effet, il développe ses alentours par l'introduction de la canne à sucre et l'édification du premier moulin. Vers 1654, des Hollandais juifs et protestants s'installent à Capesterre et valorisent son territoire par le défrichement du Carbet, de Bois-Riant, de Carengaise, de Changy et de Sainte-Marie et 1659, le gouverneur érige à Sainte-Marie, le « fort de Cabesterre ». En , Louis XIV fait de cette Sainte-Marie et de ses environs un marquisat.

Jusqu'en 1848, ce sont des esclaves importés d'Afrique qui valorisent la terre puis, après l'abolition de l'esclavage, ce sont des Indiens, improprement nommés Hindous, qui arrivent sur le territoire de la commune. Le premier convoi est fort de 344 Indiens en 1854.

C'est le que Capesterre-de-Guadeloupe devient Capesterre-Belle-Eau[13]. Son nom provient d'une expression de la marine du XVIIe siècle : cab-est-terre, qui désigne une terre exposée au vent de l'est ; l'abondance des cascades, des rivières et des plans d'eau lui vaut par ailleurs l'adjonction du complément Belle Eau. En créole, la commune est appelée familièrement Kapèstè pa ni dlo (soit « Capesterre sans eau ») pour signifier le fait que l'eau coule à flots dans les rivières, mais pas dans les robinets, en raison de la vétusté du réseau.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune appartient à l'arrondissement de Basse-Terre et est le bureau centralisateur du canton de Capesterre-Belle-Eau depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle était divisée en deux cantons :

Pour l'élection des députés, Capesterre-Belle-Eau fait partie depuis 1988 de la quatrième circonscription de la Guadeloupe.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Capesterre-Belle-Eau appartient à la communauté d'agglomération Grand Sud Caraïbe avec dix autres communes.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[14]
Période Identité Étiquette Qualité

(décès)
Paul Lacavé PCG Pharmacien
Député de la 2e circonscription de la Guadeloupe (1967 → 1973)
Conseiller général du canton de Capesterre-Belle-Eau (1955 → 1976)
Alexius de la Croix PCG Conseiller général du canton de Capesterre-Belle-Eau (1976 → 1983)
Gérard Lauriette DVG Instituteur
Conseiller général du canton de Capesterre-Belle-Eau (1983 → 1985)
Léo Andy PS Enseignant
Député de la 3e circonscription de la Guadeloupe (1995 → 2002)
Conseiller général du canton de Capesterre-Belle-Eau-1 (1985 → 1998)
Joël Beaugendre RPR puis UMP
puis DVD
Médecin généraliste
Député de la 3e circonscription de la Guadeloupe (2002 → 2007)
Conseiller général du canton de Capesterre-Belle-Eau-2 (1992 → 2002)
Conseiller général du canton de Capesterre-Belle-Eau-1 (2011 → 2015)
Président de la CA Grand Sud Caraïbe (2019 → )[15]
en cours Jean-Philippe Courtois[16] GUSR Analyste biologiste
Conseiller régional (2015 → )[17]
Les données manquantes sont à compléter.

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2008.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1961, premier recensement postérieur à la départementalisation de 1946. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[18],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 17 731 habitants[Note 4], en diminution de 6,58 % par rapport à 2015 (Guadeloupe : −3,44 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1961 1967 1974 1982 1990 1999 2006 2011 2016
16 08517 91218 14317 47219 01219 56819 61019 44818 923
2021 - - - - - - - -
17 731--------
De 1961 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Insee de 1968 à 2006[19] puis à partir de 2006[20])
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Comme toutes les communes de l'archipel de la Guadeloupe, Capesterre-Belle-Eau est rattaché à l'Académie de la Guadeloupe. La ville possède sur son territoire sept écoles maternelles (Cayenne, Fonds-Cacao, Îlet-Pérou, Routhiers, Saint-Sauveur, Sainte-Marie et Sarlassone) et douze écoles primaires (Amédée-Fengarol, Anatole-Beuve, Belair, Cambrefort, Elie-Chaufrein, Frédéric-Joliot-Curie, Îlet-Pérou, L'Habituée, Léonce-Minatchy, Routhiers, Stéphane-Mathieu-Bananier et Sainte-Marie), toutes publiques.

En ce qui concerne l'enseignement secondaire, la ville accueille deux collèges (Germain-Saint-Ruf et Bonne-Espérance situé dans le quartier de Bel-Air depuis 2013) et le lycée d'enseignement professionnel Paul-Lacavé spécialisé notamment dans les métiers de l'automobile[21].

Santé[modifier | modifier le code]

L'offre de soins de la commune est assurée par le centre hospitalier de Capesterre-Belle-Eau qui disposait jusqu'en 2012 d'une capacité totale d'accueil de 49 lits[22], avant une importante reconstruction de l'établissement qui a porté celle-ci à 198 lits en janvier 2016[23] (finalement opérationnel depuis la fin juillet 2017[24]). Il est équipé depuis juillet 2021 d'un scanner[25].

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

Palais des Sports Gérard Marianne

La commune possède un stade d'athlétisme (avec 1 500 places en tribune), des salles multisports (dont le gymnase Gérard-Marianne à Sarlassone), trois courts de tennis et quatre boulodromes. Plusieurs clubs sont présents :

  • Sarlasonne Tennis Club (tennis)
  • OMSC (multisports)
  • Club Sportif de Capesterre-Belle-Eau (football)
  • Club Amical de Marquisat (football)
  • US Cambrefort (football)
  • USC Bananier (football)
  • OSC Old School Capestè (basket-ball)
  • Rayon d'Argent (cyclisme)
  • Union cycliste capesterrienne (UCC) (Cyclisme)

Économie[modifier | modifier le code]

L'activité économique de Capesterre-Belle-Eau est principalement basée sur l'agriculture, avec les cultures de bananes (dont la production représentent la moitié des tonnages guadeloupéens exportés vers l'Europe) et de café. Sur le territoire de la commune se trouve la distillerie Espérance qui produit les rhums Longueteau et Karukera à partir de la canne à sucre venant principalement d'autres communes guadeloupéennes. À ces fins, et pour faire face au problème récurrent de manque d'eau pour l'irrigation agricole en période de carême, il a été décidé de la construction du barrage de Dumanoir, un barrage hydraulique en remblai alimenté par la rivière du Grand Carbet d'une capacité de retenue de 630 000 m3. L'ouvrage a été mis en service en février 2010 pour l'irrigation[26] et il est envisagé qu'il puisse alimenter, après traitement des eaux, le réseau guadeloupéen d'eau potable.

Depuis 1993, la commune accueille sur son territoire la centrale hydroélectrique du Carbet – installée sur la rivière du Grand Carbet et le canal Saint-Louis qui est exploitée par l'entreprise Force hydraulique antillaise – d'une puissance de 3,5 MW ainsi que depuis 1994 la centrale de Bananier – installée sur la rivière du Bananier et exploitée par EDF – d'une puissance totale de 3 MW (en deux unités : Bananier amont 1,2 MW et Bananier aval 1,8 MW)[27], tous injectés dans le réseau électrique de l'île[28].

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Sites naturels[modifier | modifier le code]

La commune de Capesterre-Belle-Eau constitue le point de départ des célèbres chutes du Carbet situées dans le parc national de la Guadeloupe. Ayant donné son attribut de « Belle Eau » à la commune – et plus largement le nom premier de Karukéra à la Guadeloupe –, ce sont les plus hautes chutes d’eau de l'archipel (plus de 100 m pour les deux premières). Il s'agit de l'un des sites les plus visités de Guadeloupe accessible seulement à pied. Le Grand Étang (ainsi que l'étang Zombis voisin) se trouve sur la route d'accès des chutes et constitue un site d’observation ornithologique.

Les principales plages de la commune sont les anses Bernard, Saint-Sauveur, à la Fontaine ainsi que la plage de Roseau et la plage de Bananier. Le lieu de débarquement de Christophe Colomb en Guadeloupe en 1493 est au site de Sainte-Marie où se trouve un buste du navigateur, érigé en 1916[29].

Monuments civils et religieux[modifier | modifier le code]

La commune est célèbre pour son allée Dumanoir[30] – anciennement « allée des Palmistes » –, bordée de palmiers royaux. Cette portion de route pittoresque constitue une image touristique classique de l'île.

Différents éléments du patrimoine civil et religieux de la commune ont été construits par l'architecte Ali Tur entre 1930 et 1935 dont la mairie, le marché, le groupe scolaire, l'école mixte et des filles, le clocher de l'église Sainte-Hyacinthe et son agrandissement avec la construction des deux nefs latérales[31]. La communauté hindoue de Capesterre, l'une des plus importantes de l'île, célèbre ses cérémonies au temple hindou de Changy. La commune possède également un cimetière des Esclaves.

Le patrimoine économique et industriel inclut le port de pêche du lieu-dit de Bananier et la plage, près de la rivière du Bananier ; la savonnerie de Saint-Sauveur, juste au sud de l’accès à la route des chutes du Carbet ; la distillerie Rhum Longueteau, qui fonctionne toujours à la vapeur, chauffée avec la bagasse, résidus sec de la canne à sucre ; la plantation Grand-Café-Bel-Air ; et la kassaverie traditionnelle. L'habitation Bois-Debout est l'une des anciennes maisons de la famille de Saint-John Perse (sur la branche maternelle Dormoy). Enfin, le jardin des épices et des senteurs de Cantamerle est jardin pédagogique conservatoire de plantes médicinales, d'épices, d'arbres fruitiers, d'orchidées et de fleurs tropicales[32].

Enfin, la commune accueille sur ton territoire le cinéma-théâtre Le Majestic.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Chiffres clés de la commune de Capesterre-Belle-Eau (97107), INSEE, 21 avril 2021.
  2. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  4. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Unité urbaine 2020 de Capesterre-Belle-Eau », sur insee.fr (consulté le ).
  6. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Commune hors attraction des villes », sur insee.fr (consulté le ).
  9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  11. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. Code officiel géographique, « Commune de Capesterre-de-Guadeloupe (97107) », Géographie administrative et d’étude,‎ (lire en ligne).
  14. Liste des maires de Capesterre-Belle-Eau sur le site www.francegenweb.org
  15. « Joël Beaugendre élu à la tête de la Communauté d'agglomération Grand Sud Caraïbe », sur Guadeloupe La Première, .
  16. Eddy Golabkan et Carole Petit, « Cérémonie d'investiture : Jean-Philippe Courtois, nouveau maire de Capesterre-Belle-Eau », Guadeloupe La 1re, 3 juillet 2020.
  17. « Jean-Philippe Courtois veut associer le citoyen à son projet », France Antilles, 9 décembre 2019.
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
  20. pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021
  21. Etablissements scolaires Capesterre-Belle-Eau 97130, college-lycee.com, consulté le 6 septembre 2020.
  22. Présentation sur le site officiel du Centre hospitalier de Capesterre-Belle-Eau.
  23. Diagnostic satisfaisant pour le chantier du centre hospitalier, France-Antilles, 8 octobre 2015.
  24. Le nouvel hôpital est désormais opérationnel, France-Antilles, 28 juillet 2017.
  25. « La Guadeloupe dispose de nouveaux équipements radiologiques », Guadeloupe La 1re, 4 juillet 2021.
  26. « La barrage de Dumanoir opérationnel », France-Antilles, 2 février 2010.
  27. La production d’énergie hydraulique en Guadeloupe sur le site de la région Guadeloupe, consulté le 25 août 2017.
  28. Sites de production d'énergie de l'Archipel Guadeloupe, sur le site EDF Guadeloupe, consulté le 25 août 2017.
  29. Photo académie Guadeloupe
  30. horizon-guadeloupe.com Capesterre - Allée Dumanoir, www.horizon-guadeloupe.com, consulté le 17 avril 2017.
  31. Michèle Robin-Clerc, Note descriptive de l’œuvre d’Ali Tur, Basse-Terre, Conseil régional de Guadeloupe, (lire en ligne), p. 7-8.
  32. Le Jardin Cantemerle, consulté le 17 avril 2017

Annexes[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Daniel Bastid, Max Bien-aimé, Gérard Cosaque, Betty Gaydu et al., Histoires de Capesterre Belle-Eau, Capesterre Belle-Eau, Capesterre Belle-Eau : Collège Germain Saint-Ruf, , 48 p. (BNF 35286211)
  • Henrie Jabot, Capesterre-Belle-Eau dans l'histoire de la Guadeloupe (histoire), Gourbeyre ; Corbeil-Essonnes, Éditions Nestor, , 239 p. (ISBN 2365970249, EAN 9782365970242, BNF 42740976)
  • (fr + gcf) Denis Walter, Le steel band à Capesterre-Belle-Eau de 1950 à nos jours, Gourbeyre, Éditions Nestor, , 53 p. (ISBN 9782365972772, EAN 9782365972772, OCLC 1158391547, BNF 46520147)

Filmographie[modifier | modifier le code]