Casseneuil — Wikipédia

Casseneuil
Casseneuil
Les remparts sur les bords de la Lède.
Blason de Casseneuil
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Villeneuve-sur-Lot
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Villeneuvois
(siège)
Maire
Mandat
Marie-Laure Grenier
2020-2026
Code postal 47440
Code commune 47049
Démographie
Gentilé Casseneuillois
Population
municipale
2 371 hab. (2021 en augmentation de 0,47 % par rapport à 2015)
Densité 131 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 26′ 37″ nord, 0° 37′ 20″ est
Altitude 52 m
Min. 38 m
Max. 204 m
Superficie 18,09 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Villeneuve-sur-Lot
(banlieue)
Aire d'attraction Villeneuve-sur-Lot
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Livradais
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://www.mairie-de-casseneuil.com/

Casseneuil est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune de l'aire d'attraction de Villeneuve-sur-Lot située sur une presqu'île naturelle au confluent du Lot, de la Lède et de la Sône.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Sainte-Livrade-sur-Lot, Bias, Lédat, Pailloles, Pinel-Hauterive et Saint-Pastour.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 817 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cancon à 10 km à vol d'oiseau[5], est de 13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 852,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Casseneuil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Villeneuve-sur-Lot, une agglomération intra-départementale regroupant 13 communes[12] et 48 432 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villeneuve-sur-Lot dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (49,2 %), terres arables (20,2 %), cultures permanentes (10,3 %), forêts (8,4 %), zones urbanisées (6,9 %), eaux continentales[Note 3] (3,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %), prairies (0,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Casseneuil est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lot et la Lède. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2006, 2008, 2009, 2013 et 2021[20],[18].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements différentiels[21]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Casseneuil.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[23]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[24].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003, 2005, 2009, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval des barrages de Grandval dans le Cantal et de Sarrans en Aveyron, des ouvrages de classe A[Note 5]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[26].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom romain de Casseneuil, Cassinogilum signifie Clairière dans la forêt de chênes. Ce nom est issu du gaulois cassanos signifiant chêne[27],[Note 6].

Histoire[modifier | modifier le code]

Les premiers habitants du plateau s'y fixèrent dès l'époque néolithique (entre 5000 et 2500 A.D). Un premier village gaulois abandonna la colline pour s'installer sur la presqu'île. Le village, appartenant à la « fédération » des Nitiobroges, fut nommé « Clairière dans la forêt de chênes », latinisé en Cassinogilium.

Vivant autrefois de la batellerie, il a orienté son activité vers la fabrication de conserves alimentaires et la culture de la prune d'ente ce qui lui valut d'ailleurs le nom de « Patrie du pruneau ».

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Hildegarde de Vintzgau, femme de Charlemagne, séjourna dans le château royal en 778 à l'époque où elle était enceinte de Louis-le Pieux et de son jumeau Lothaire.

La ville a été la cible d'attaques normandes en 848 lors d'un raid contre la riche abbaye d'Eysses.

Durant la croisade contre les Albigeois, Casseneuil comprenait de nombreux cathares, a subi plusieurs sièges, et un premier bûcher y fut édifié en 1209.

En 1209, le premier siège (oc) fut levé à la suite d'un différend entre les chefs croisés. Le chef de la campagne militaire, le comte Guy II d'Auvergne ayant eu des droits et de l'argent de la part de la ville se refusa de l'assiéger, et l'archevêque de Bordeaux quant à lui voulait prendre la forteresse cathare[28],[29]. Un accord fut passé avec la cité, cette dernière se verrait libérée si les cathares abjuraient leur foi, un grand nombre refusa ce qui déboucha à l'édification de bûchers.

S'étant à nouveau rangée du côté des Albigeois, la cité fut la cible d'un deuxième siège (oc) mené par Simon de Montfort en 1214. Malgré une résistance tenace des défenseurs sous la direction d'Hugues de Rovignan, frère de l'évêque d'Agen, la cité tomba après 8 semaines et fut pillée, massacrée et enfin démantelée par le traité de Meaux-Paris.

La tradition dit que Charlemagne aurait eu une résidence à Casseneuil où il laissa son épouse en partant en campagne au-delà des Pyrénées. Elle y aurait donné naissance à deux enfants, l'un mourut en bas âge, le second devint le premier roi d'Aquitaine Louis le Pieux. il n'y a pas de preuve matérielle à cela et plusieurs cités revendiquent cela.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Casseneuil Blason
De gueules à un plant de chêne arraché feuillé de trois pièces d'argent[30].
Détails
Officiel, présent sur le site internet de la commune.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1971 juin 1995 Pierre Mandis Sans étiquette Professeur
juin 1995 mars 2001 Yves Duclos UMP  
mars 2001 juin 2020 Daniel Desplat PS Agriculteur
juin 2020 En cours Marie-Laure Grenier Sans étiquette Professeur, conseillère départementale depuis 2021

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

En 2021, la commune comptait 2 371 habitants[Note 7], en augmentation de 0,47 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 0061 7981 9921 9731 9641 9911 9211 8842 065
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9281 9231 9761 6881 8701 7721 7541 7501 648
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5131 4221 3281 1531 2591 3471 4781 6071 708
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2 0992 4592 6422 6842 4652 2962 3772 3152 372
2021 - - - - - - - -
2 371--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Vie locale[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Maison de retraite, deux médecins généralistes, dentiste, podologue, kinésithérapie.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Crèche "La Piste aux Étoiles", deux écoles maternelles et primaires, deux collèges Gaston Carrère et Saint-Pierre.

Culture[modifier | modifier le code]

Sport et loisirs[modifier | modifier le code]

  • Centre de loisirs, village de vacances...

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[25].
  6. Voir aussi les Chasseneuil.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Casseneuil et Cancon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Cancon » (commune de Cancon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Cancon » (commune de Cancon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Villeneuve-sur-Lot », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Casseneuil », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Casseneuil », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  25. Article R214-112 du code de l’environnement
  26. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  27. Henriette Walter, L'aventure des mots français venus d'ailleurs, Robert Laffont, p. 44.
  28. Guillaume de Tudèle, Chanson de la croisade contre les Albigeois, Réed. Paris, réed. Renouard, texte original 1208-1219 ; réed. 1875-1879 (lire en ligne).
  29. (en) Claire Taylor, Heresy, Crusade and Inquisition in Medieval Quercy, York, York Medieval Press, , 277 p. (ISBN 978-1-903153-38-3, lire en ligne), p. 91.
  30. Armorial de France
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. https://www.maitreprunille.com/
  36. Jacques Gardelles - Aquitaine gothique - p. 180-181 - Picard - Paris - 1992 - (ISBN 2-7084-0421-0).
  37. « Eglise Saint-Pierre », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]