Chéronnac — Wikipédia

Chéronnac
Chéronnac
L'église de Chéronnac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Rochechouart
Intercommunalité Communauté de communes Porte Océane du Limousin
Maire
Mandat
Raymond Vouzellaud
2020-2026
Code postal 87600
Code commune 87044
Démographie
Population
municipale
316 hab. (2021 en diminution de 6,23 % par rapport à 2015)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 45′ 31″ nord, 0° 45′ 45″ est
Altitude Min. 217 m
Max. 323 m
Superficie 18,90 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Rochechouart
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Chéronnac
Liens
Site web www.cheronnac.fr

Chéronnac (Charennac en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation de la commune de Chéronnac en Haute-Vienne.
Source de la Charente.

C'est dans cette localité que le fleuve Charente prend sa source, dans l'emprise du cratère de la météorite de Rochechouart.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 075 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1995 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records CHERONNAC_SAPC (87) - alt : 295 m 45° 45′ 12″ N, 0° 45′ 36″ E
Statistiques établies sur la période 1995-2010 - Records établis sur la période du 01-07-1995 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,9 1,8 3,7 5,7 9,2 12,2 13,5 13,5 10,4 8,9 4,1 1,7 7,2
Température moyenne (°C) 5,2 5,9 8,7 11,1 14,7 18,1 19,5 19,7 16,3 13,5 7,8 5,1 12,2
Température maximale moyenne (°C) 8,5 10 13,8 16,5 20,2 24,1 25,5 25,8 22,2 18,1 11,4 8,5 17,1
Record de froid (°C)
date du record
−10,4
08.01.09
−15
12.02.12
−12,1
01.03.05
−4,2
04.04.96
−0,7
06.05.19
3,5
01.06.11
6,6
15.07.16
5
31.08.95
1,5
25.09.02
−4,2
29.10.97
−9,3
22.11.98
−12
29.12.96
−15
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
18,2
01.01.22
24,5
15.02.98
26,2
20.03.05
30,4
30.04.05
32,2
30.05.01
37,9
27.06.11
37,8
23.07.19
39,5
07.08.03
34,5
12.09.16
30
02.10.11
24,1
08.11.15
18,6
19.12.15
39,5
2003
Précipitations (mm) 106,2 83,9 85,9 103,6 86,7 77,3 72,3 79,3 80,1 97,1 122,1 112,8 1 107,3
Source : « Fiche 87044001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Chéronnac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (71,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38,7 %), prairies (28,4 %), forêts (27,4 %), terres arables (5,6 %)[13]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Chéronnac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chéronnac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[16]. 49,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[17].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d'exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Chéronnac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune comprend des sites tels que : Les Batailles, Le Panthéon qui laissent supposer un lieu de rencontres militaires belliqueuses.

Les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

Le lieu-dit l'Hôpital est une ancienne commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[19] réunie avec celles de Milhaguet et de Reilhac[20] avant d'être intégrée aux possessions de la commanderie de Bourganeuf[21] lorsque celle-ci est devenue le chef-lieu du grand prieuré d'Auvergne.

Blasonnement[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Chéronnac se blasonnent ainsi :

D'azur au chevron d'argent accompagné de trois roses des jardins du même.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie et l'école.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 En cours Raymond Vouzelaud[22] PCF Retraité

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

En 2021, la commune comptait 316 habitants[Note 6], en diminution de 6,23 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9499631 0221 0321 0471 0651 0039851 109
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0931 0091 0461 0221 0531 0201 0501 0981 042
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0751 0651 031894853797776719643
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
632611463371338308305300325
2015 2020 2021 - - - - - -
337317316------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église est construite à l'emplacement d'une chapelle, elle-même bâtie sur une motte castrale. L'église fut quant à elle fortifiée jusqu'à la Fronde et il ne subsiste plus que les souterrains creusés dans le tuf. La nef a été édifiée au XIe siècle, le portail et son verrou ajoutés au XIIe siècle. Le chœur, avec ses nervures retombant sur les colonnes engagées sans chapiteau, présente une architecture typique de la guerre de Cent Ans. Les deux chapelles latérales datent du XVIIIe siècle[27].
  • Château de Chéronnac, bâtie dans la seconde moitié du XVIe siècle, avec des couleuvrinières à triple ébrasements à ressauts[28].
  • Château de Mirabeau à 2 kilomètres. Restes d'une enceinte carrée avec une tour ruinée du XVe siècle[29].

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l'existence du risque RGA ;
    • au maître d'ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l'étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  7. « Fiche du Poste 87044001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Chéronnac », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  19. « Pouillé historique du diocèse de Limoges : Manuscrit de l'abbé Joseph Nadaud (1775) », Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin, Limoges, Ducourtieux & Gout, t. LIII,‎ , p. 485-486 (CHERONNAC), lire en ligne sur Gallica.
  20. Georges Guigue, Inventaire-Sommaire des archives départementales antérieures à 1790 : Rhône - Archives Ecclésiastiques - Série H - H1 à H 702 - Ordre de Malte -Langue d'Auvergne , t. I, (lire en ligne), p. 197 (H. 244.)
    « de Charempnac, Relhac, Melhaguet et Esterdel ». Ce document comptable permet de connaître le nom des principales commanderies de la langue d'Auvergne au XIVe siècle.
    .
  21. Louis-Augustin Vayssière, « L’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte en Limousin et dans l’ancien diocèse de Limoges », Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze,‎ , p. 47, lire en ligne sur Gallica.
  22. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 383.
  28. Christian Rémy, Seigneuries et châteaux-forts en Limousin.2 : La naissance du château moderne (XIVe – XVIIe siècles), Regards, coll. « Culture & Patrimoine en Limousin », , 159 p. (ISBN 978-2-911167-43-0), p. 46.
  29. Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen Âge en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 28e éd. (1re éd. 1979), 1304 p. (ISBN 2-86535-070-3, OCLC 1078727877), p. 325 (Chéronnac).
  30. La réserve naturelle nationale FR3600169 - Astroblème de Rochechouart-Chassenon sur le site de l'INPN [1].
  31. ZNIEFF 740000072 Vallée de la Tardoire (du moulin de Cros à Peyrassoulat), INPN.
  32. « Lily Fayol », sur dutempsdescerisesauxfeuillesmortes.net.