Chaumet (entreprise) — Wikipédia

Chaumet
logo de Chaumet (entreprise)
illustration de Chaumet (entreprise)
L'hôtel Baudard de Saint-James au 12 place Vendôme à Paris, où se trouve la boutique Chaumet

Création [1]Voir et modifier les données sur Wikidata
Fondateurs Marie-Étienne Nitot[1]Voir et modifier les données sur Wikidata
Personnages clés Impératrice Joséphine
Napoléon Ier
Marie-Étienne Nitot
François-Régnault Nitot
Jean-Baptiste Fossin
Jules Fossin
Jean-Valentin Morel
Prosper Morel
Joseph Chaumet
Forme juridique SA à conseil d'administration
Siège social 12 place Vendôme (Paris)
Drapeau de la France France
Direction Charles Leung
Activité Joaillerie, horlogerie
Société mère LVMH Moët Hennessy Louis VuittonVoir et modifier les données sur Wikidata
Effectif 1 275 ()Voir et modifier les données sur Wikidata
SIREN 342966942[2]Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web www.chaumet.com/frVoir et modifier les données sur Wikidata

Chiffre d'affaires 226 661 048 € en 2018
Résultat net 13 673 062 € en 2018

Chaumet[3] est une maison française de joaillerie, de bijouterie et d’horlogerie fondée en 1780 par Marie-Étienne Nitot.

Histoire[modifier | modifier le code]

Période Nitot : de l'Ancien Régime à l'Empire (1780-1815)[modifier | modifier le code]

Ancien apprenti puis collaborateur de[4] chez Ange-Joseph Aubert (1736-1785), à l'époque joaillier de la reine Marie-Antoinette[5], Marie-Étienne Nitot (1750-1809) fonde sa Maison [6] en 1780 à Paris. Nitot sertit le célèbre diamant Le Régent sur l’épée consulaire de Napoléon Bonaparte [7], future « épée du sacre », en 1802, puis devient le joaillier attitré de l'Empereur[8] et le plus recherché d'Europe[9]. Nitot s'associe ensuite avec son fils François-Régnault (1779-1853).

En 1805, Napoléon Ier leur commande une tiare pour remercier le pape Pie VII d’avoir célébré la cérémonie du sacre. En présentant ce joyau au couple impérial, François-Régnault Nitot rencontre l’impératrice Joséphine de Beauharnais. Passionnée de bijoux, elle montre son intérêt pour cette création et fait de la maison Nitot son joaillier attitré[10].

L’histoire d’amour de Napoléon avec Joséphine est l’occasion de nombreuses commandes de bijoux de sentiment ou de joyaux d’apparat[11] créés par Nitot. Le joaillier réalise notamment les diadèmes de l’impératrice, un joyau de pouvoir remis au goût du jour par Joséphine[12]. La personnalité de l’impératrice inspire toujours Chaumet aujourd’hui à travers les collections Joséphine, Liens et Bee My Love[13].

François-Régnault Nitot reprend la Maison de joaillerie de son père à sa mort en 1809. En 1812[14], Chaumet s'installe place Vendôme, au no 15, dans l'hôtel de Gramont (futur hôtel Ritz)[9] et continue son activité jusqu'à la chute de l'Empire en 1815[15] et cède donc son affaire à son chef d'atelier, Jean-Baptiste Fossin (1786-1848), rejoint en 1830 par son fils Jules Fossin (1808-1869)[16].

Périodes Fossin et Morel : le Romantisme (1815-1889)[modifier | modifier le code]

Jules Fossin (1808-1869) et ses associés dirigent l'entreprise et s’illustrent dans la création de bijoux romantiques. Les sources d’inspiration sont variées et mêlent différentes époques et styles empruntés au passé. Cette période est surtout marquée par l’exaltation de la nature, représentée en mouvement et avec vérité, dans ses infimes détails.

Les Fossin comptent notamment parmi leur clientèle la monarchie restaurée des Bourbon[17]. Après la révolution française de 1848, la maison Fossin ouvre un dépôt[18] à Londres avec un atelier confié à Jean-Valentin Morel (1794-1860) aidé par son fils Prosper Morel, né en 1825. Lors de l'exposition Universelle de Londres de 1851, Morel reprend la tradition de l'émaillerie des XVIe et XVIIe siècles et réalise des coupes en pierre dure à monture émaillée[19]. La Reine Victoria accorde à Jean-Valentin Morel le brevet de fournisseur officiel[réf. nécessaire]. Les Morel retournent en France en 1852. Prosper Morel succède à Jules Fossin en 1862.

Période Joseph et Marcel Chaumet : de la Belle Époque et l’Art déco à l’après-guerre (1889-1958)[modifier | modifier le code]

En 1875, Joseph Chaumet (1852-1928), collaborateur de Prosper Morel[20], épouse une de ses quatre filles, Blanche-Marie et prend ainsi en 1885[21] la direction de la maison à laquelle il donne son nom. En 1907, les ateliers et la boutique s'installent au 12, place Vendôme, dans l’hôtel Baudard de Sainte-James qui est aujourd’hui encore le siège de la maison[22]. Joseph Chaumet y fait installer un laboratoire de photographie pour immortaliser toutes les créations qui sortent des ateliers[23]. Entre 1904 et 1914, il dépose une dizaine de brevets et sa contribution fait progresser le domaine de la gemmologie[24].

Joseph Chaumet, à la Belle Époque, propose des bijoux inspirés par la nature[25]. Sous son impulsion, les aigrettes, alternatives légères au diadème, deviennent une spécialité de la maison[26]. Des clients comme les maharadjahs en Inde ou la famille impériale de Russie s'y intéressent[24]. Le joaillier participe à l'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes de 1925 de Paris.

Marcel Chaumet (1886-1964) succède à son père Joseph en 1928, en pleine période « Art déco ». Le style de la maison se caractérise alors par des formes géométriques, des contrastes de noir et de blanc, l’utilisation de pierres semi-précieuses ou encore des inspirations exotiques[27]. Les clientes des Années Folles sont séduites par les sautoirs et les bandeaux portés sur le front[28].

Dans les années 1930, l’héritage de Chaumet est réinterprété dans des créations tout en volume et en courbes.

Durant la Seconde Guerre mondiale, le stock de Chaumet est caché à la campagne et la production est ralentie jusqu’à la fin du conflit[29].

Période 1950-1999[modifier | modifier le code]

En 1958, les fils de Marcel Chaumet, Jacques et Pierre, sont nommés codirecteurs généraux[30] de la maison. Chaumet entre dans un nouveau cycle de propositions créatives avec des collections permettant de toucher un public plus large, et l’ouverture d’un département dédié à l’horlogerie[31]. La maison reprend d’ailleurs Breguet en 1970. Et François Bodet, cadre de la maison Chaumet, positionne la marque sur le segment haut de gamme horlogère.

À partir de 1961, Chaumet fait appel au dessinateur Pierre Sterlé, qui travaille exclusivement pour la maison à partir de 1976[32]. Avec René Morin, il apporte une modernité inattendue au style Chaumet : leurs créations privilégient les jeux de volume et de matière, à travers des pierres dures sculptées ou encore de l’or travaillé selon différents effets[33].

En 1977, la maison lance la collection Liens qui existe encore aujourd’hui et célèbre l’attachement sous toutes ses formes[34].

Dirigée par les frères Jacques et Pierre Chaumet, l'entreprise dépose le bilan en 1987 avec un passif de 1,4 milliard de francs, soit trois[35] fois le chiffre d'affaires annuel, notamment à cause des lourdes pertes dans leur activité d'achat et de revente de diamants, à la suite de la chute du cours mondial[36]. Les deux frères sont reconnus coupables d'activités bancaires illégales, pour avoir ouvert dans leur société des comptes qui promettaient d'importants intérêts sur le principal. Un de leurs clients fut le ministre Albin Chalandon. Reconnus coupables de « banqueroute, escroquerie, abus de confiance et exercice illégal de la profession de banquier », ils sont condamnés respectivement à cinq ans d’emprisonnement, dont deux ferme, et quatre ans dont six mois ferme, à la suite du verdict rendu en décembre 1991. Leur peine est allégée par la cour d'appel de Paris à six mois de prison, purgés en détention provisoire[37].

XXIe siècle : tradition et modernité[modifier | modifier le code]

À la suite de cette faillite[38] frauduleuse, Chaumet est racheté en 1987 par Investcorp, fonds d'investissement de Bahreïn. Après une perte nette cumulée de 10 millions de francs en 1995-1997, le groupe obtient en 1998 un chiffre d'affaires de 280 millions de francs et il est acquis par le groupe LVMH en octobre 1999[39]. Après une tentative infructueuse de pénétrer le marché américain à la fin des années 1990, la maison se tourne vers les marchés asiatiques puis vers le Moyen-Orient [40] pour améliorer sa croissance.

En 2006, la marque s’implante en Chine et ouvre de nombreuses [41] boutiques dans le pays. La Chine représente une part importante des ventes du joaillier.

Le , Chaumet est victime d'un braquage dont le montant s'élève à 1,9 million d'euros[42].

Dans les années 2010, la maison lance ses collections signature dans la lignée de Liens. D’abord Joséphine, inspirée par l’impératrice, sa première grande cliente. Puis la collection Bee My Love en 2011[43]. Ces collections et les créations de haute joaillerie touchent aujourd’hui une clientèle internationale[44].

En 2015, Jean-Marc Mansvelt prend la direction de la maison dont il reste à la tête pendant neuf ans. En 2024, c’est Charles Leung, ancien directeur de Fred, qui lui succède[45].

Expositions et communication[modifier | modifier le code]

Chaumet organise régulièrement des expositions autour de son patrimoine et son histoire et pour présenter ses créations historiques et contemporaines: Splendeurs Impériales à Pékin en 2017[46], Les Mondes de Chaumet à Tokyo en 2018[47] , Chaumet en majesté à Monaco en 2019[48]  et Joséphine & Napoléon, une histoire (extra)ordinaire à Paris en 2021[49].

Chaumet collabore aussi régulièrement avec des maisons d’édition pour publier des ouvrages sur les différentes facettes de son identité et de sa culture[50],[51],[52],[53].

Chaque année, l'entreprise publie aussi son magazine Rendez-Vous qui lie l’actualité de la maison à la culture[54].

Par ailleurs, l’atelier de haute joaillerie de Chaumet forme des jeunes artisans et des apprentis de manière à perpétuer le savoir-faire séculaire de la maison[55].

En 2023, Chaumet lance les "Echo Culture Awards", un prix dont l'objectif est de valoriser les initiatives locales portées par des femmes dans tous les métiers liés à la culture en France[56].

Collections[modifier | modifier le code]

Les trois collections emblématiques de la Maison Chaumet sont Joséphine, Liens et Bee My Love.

  • Lancée en 2010, la collection Joséphine s’inspire de l’impératrice Joséphine – première grande cliente de la Maison. La collection transpose le diadème pour les femmes d’aujourd’hui[57].
  • La collection Liens s’inscrit dans la tradition des bijoux de sentiment[58]. Elle décline ce motif, symbole de l’attachement entre deux personnes[59]. Les premières pièces de la collection ont été créées en 1977. Aujourd’hui, elle rassemble Jeux de Liens, Liens Évidence et Liens d’Amour.
  • La collection Bee My Love s’inspire de l’abeille, symbole impérial lié à l’histoire de Chaumet, joaillier de Joséphine et Napoléon. Les premières créations Bee My Love ont été lancées en 2011[60].

Au-delà de ces trois collections emblématiques, Chaumet est reconnu pour ses collections mariage, bagues de fiançailles et alliances, proposées sous le nom de Crown Your Love.

Organisation[modifier | modifier le code]

Chaumet fait partie du groupe LVMH. L'entreprise est intégrée dans les marques de montres et de joaillerie comprenant TAG Heuer, Bulgari, Zenith, Fred, Hublot, Montres Christian Dior et Tiffany & Co[61].

L’hôtel particulier historique du 12 Vendôme regroupe le magasin, l'atelier de haute joaillerie et les grands salons où Chaumet expose ses archives et ses créations patrimoniales[62].

Joailliers[modifier | modifier le code]

Depuis la création de la maison, les chefs d'atelier ont été formés par leur prédécesseur[63],[64]. Sous la direction de Benoit Verhulle, 13e chef d’atelier depuis 1780[65],  plusieurs joailliers, sertisseurs, polisseurs et apprentis réalisent à la main les commandes spéciales et les collections de haute joaillerie[66]. Il s’agit d’abord d’interpréter les dessins du studio de création, qui illustrent l’art du trait emblématique de Chaumet[67]. L'une des pratiques spécifiques à l'entreprise est le travail des maquettes des bijoux en maillechort, qui permet de montrer la forme ou le volume du bijou au commanditaire, avant de le réaliser à l'atelier[68],[66]. À partir de la maquette en maillechort, les artisans façonnent des créations qui se distinguent par leur souci du moindre détail, leur légèreté, leur capacité à suggérer le mouvement et la vie[69]. Les gemmes dont ils sont sertis sont sélectionnées et appairées par le service pierres de la maison, pour leur couleur, leur pureté et l’émotion qu’elles dégagent[70].

Horlogerie[modifier | modifier le code]

La maison a commencé à fabriquer des montres au début XIXe siècle. La paire de bracelets-montres de 1811, commandée par Eugène de Beauharnais pour son épouse Auguste-Amélie de Bavière, et créée par Nitot, est la plus ancienne montre de poignet[71]. Elle a été réalisée en or, perles et émeraudes, sa fabrication conjugue joaillerie et mouvement horloger minutieux[72]. C’est à cette époque que la maison réussit à mettre au centre de ses bracelets des cadrans miniatures[73].

Au milieu du XXe siècle, Chaumet rouvre un département dédié à l’horlogerie puis la maison rachète Breguet en 1970. Aujourd’hui, Chaumet est fidèle à sa tradition d’horlogerie joaillière : ses montres sont d’abord des bijoux qui donnent l’heure[74].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « https://hedendaagsesieraden.nl/2021/12/14/chaumet/ »
  2. Sirene, (base de données)Voir et modifier les données sur Wikidata
  3. « Chaumet : informations légales et comptables », sur societe.com (consulté le ).
  4. « Il fut le bijoutier attitré de Napoléon Ier », sur leparisien.fr, .
  5. Vincent Bastien, « L'orfèvre-joaillier Ange-Joseph Aubert (1736-1785), fournisseur de la reine Marie-Antoinette », Versalia. Revue de la Société des amis de Versailles, no 16,‎ , p. 31-46.
  6. Christophe Vachaudez, Chaumet en Majesté, Paris, éditions Flammarion, , p. 40
  7. Christophe Vachaudez, Chaumet en Majesté, Paris, éditions Flammarion, , P. 40
  8. Émilie Robbe, Jean-Marie Haussadis, Napoléon et les Invalides, musée de l'Armée, , p. 164.
  9. a et b Jean Watin-Augouard, Marques de luxe françaises, Eyrolles, , p. 90.
  10. Chaumet, Rendez-vous n°3, Paris, Chaumet, , p. 59
  11. Gabrielle de Montmorin, « Pourquoi faut-il se précipiter à l’exposition sur l’histoire d’amour entre Joséphine et Napoléon chez Chaumet ? » Accès libre, sur vogue.fr, .
  12. Christophe Vachaudez, Chaumet en Majesté, Paris, éditions Flammarion,
  13. Chaumet, « Inimitable Joséphine », sur chaumet.com.
  14. Christophe Vachaudez, Chaumet en Majesté, Paris, éditions Flammarion, , p.40
  15. « Il fut le bijoutier attitré de Napoléon Ier » Accès libre, sur leparisien.fr, .
  16. Jean Watin-Augouard, Marques de luxe françaises, Eyrolles, , p. 93.
  17. Richard Jean-Jacques, « Joaillerie dite CHAUMET des origines à "l'Affaire": 2 eme époque : Les Fossin », sur richardjeanjacques.com, .
  18. Henri Loyrette, Chaumet : Joaillier parisien depuis 1780, Paris, éditions Flammarion, , 400 p., P.35
  19. La renaissance de l'émail sous la monarchie de Juillet
  20. De Garo, « Chaumet », sur de-garo.com.
  21. Henri Loyrette, Chaumet, joaillier parisien depuis 1780, Paris, Flammarion, , 400 p., P. 83
  22. Marie Chabrol, « Dans les archives de la maison Chaumet », sur egemmologue.com, .
  23. Anne Doridou-Heim, « Les maillechorts de Chaumet », sur gazette-drouot.com, .
  24. a et b « Chaumet son histoire », sur plusdeluxe.fr, .
  25. Anonyme sur Luxe en France, « Chaumet », sur Luxe-en-france.com, .
  26. Christophe Vachaudez, Chaumet en Majesté, Paris, éditions Flammarion, , P. 232
  27. Malika Bauwens, « Chaumet, de la joaillerie aux mille et une vies », sur beauxarts.com, .
  28. Henri Loyrette, Chaumet, joaillier parisien depuis 1780, Paris, Flammarion, , 400 p.
  29. Henri Loyrette, Chaumet, joaillier parisien depuis 1780, Paris, Flammarion, , 400 p., P. 356
  30. Henri Loyrette, Chaumet, joaillier parisien depuis 1780, Paris, Flammarion, , 400 p., P. 107
  31. « Breguet Depuis plus de deux siècles, le nom de Breguet illumine la haute horlogerie. Toujours avec un temps d'avance, la marque n'a jamais renié ses racines. », sur lepoint.fr.
  32. Christophe Vachaudez, Chaumet en Majesté, Paris, éditions Flammarion, , p. 43
  33. Henri Loyrette, Chaumet, joaillier parisien depuis 1780, Paris, Flammarion, , P.385
  34. Marie Pasquier, « Le bijou de la semaine : la médaille romantique 'Jeux de Liens Harmony' de Chaumet », sur vogue.fr (consulté le ).
  35. Universalis, « 10 juin - 10 juillet 1987 France. Faillite frauduleuse de la joaillerie Chaumet », sur universalis.fr.
  36. Auteur inconnu, « Il y a treize ans, la banqueroute de la maison Chaumet », Les Échos,‎ (lire en ligne)
  37. AFP, « Les frères Chaumet libres », L'Humanité,‎ (lire en ligne)
  38. Le Monde, « La faillite de la joaillerie Chaumet La loi du silence », sur lemonde.fr, .
  39. XAVIER LECOEUR, « LVMH prend le contrôle du joaillier Chaumet et de l'horloger Ebel », Les Échos,‎ (lire en ligne)
  40. Chaumet, « Toutes les boutiques Chaumet », sur chaumet.com.
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  72. « Les riches heures de Chaumet », Valeurs actuelles, du 7 au 13 juillet 2011, p. 68-69
  73. Vincent Meylan, « L’heure de l’histoire », Point de vue, du 13 au 19 juillet 2011, p. 48
  74. Pauline Castellani, « Le retour en grâce des montres en or jaune et en or rose », sur lefigaro.fr, .

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]