Classification des arts — Wikipédia

La classification des arts désigne les typologies d'arts définissant un certain nombre d'arts, souvent sous forme de classement. L’expression septième art découle d'une typologie populaire pour désigner le cinéma comme le septième art, après 6 autres arts.

Dans l'Antiquité[modifier | modifier le code]

Les Grecs de l’Antiquité n’avaient pour eux ni le concept ni le mot correspondant à « art ». Ceux-ci distinguaient certaines activités, appelées « τεχνή » (techné).

Ces dernières étaient parrainées par des Muses, dont le nombre total finit par se stabiliser à neuf :

Ces activités artistiques sont toutes liées aux Lettres, aux langages musicaux ou gestuels, et non aux arts plastiques (architecture, peinture...). Ces considérations remontent à l'époque archaïque, à Homère, dans l'Iliade, implorant la « Muse » de l'« inspirer ».

Au VIIIe siècle av. J.-C., Hésiode (dans Théogonie, 53-57 et 915-917) nous fait connaître leurs noms, mais c’est Platon (dans Ion) vers 401 av. J.-C., puis les néoplatoniciens, qui font des Muses les médiatrices entre le dieu et le poète ou tout créateur intellectuel.

Cette conception de l’art (le poète est possédé, transi par le dieu) sera contestée par le classicisme de Nicolas Boileau, le mouvement de l’Art pour l’Art ou l’éloge de l’effort de Paul Valéry.

Au Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Depuis le VIIIe siècle, la classification du savoir était différente (voir Alcuin), et on ne distinguait pas les arts des sciences.

Les arts libéraux étaient au nombre de sept, classés en deux groupes :

Les arts mécaniques (les activités manuelles) désignaient, outre les activités qui seront regroupées comme les Beaux-Arts (l’architecture, la sculpture, la peinture et l’orfèvrerie), toutes les activités qui transforment de la matière, celles qui relèvent des six corps des marchands (qui n'étaient pas de simples négociants, mais des fabricants) comme la draperie, l'épicerie dont relèvent les apothicaires, l'orfèvrerie ou la mercerie, ainsi que beaucoup d'autres qui relevaient d'autres catégories comme la sidérurgie, la verrerie ou la coutellerie.

Les disciplines qui ont en commun la transformation d’une matière tangible (celles des artisans et des artistes – les « artefices » opposés aux artista pratiquant les arts libéraux) sont alors rangées parmi les « arts serviles ». Cependant, Plotin au IIIe siècle (dans ses Ennéades, I, 6 et V, 8) fait une apologie de l’activité de l’artiste (ce mot signifiant alors « artisan ») et suit, au Moyen Âge, une certaine tradition reconnaissant à l’artiste la capacité de dépasser les seules réalités sensibles. La règle bénédictine termine de réévaluer les arts mécaniques en leur affectant un quart de l'emploi du temps de tous les moines et en les portant à un très haut degré de perfectionnement dont témoignent l'architecture, les vins ou les fromages français.

Hugues de Saint-Victor, au XIIe siècle, énumère les sept sciences mécaniques : filage, architecture, navigation, agriculture, chasse, médecine, théâtre[1].

Les nobles arts (activités propres à l'apprentissage et au perfectionnement des nobles) désignaient le maniement des armes, les arts martiaux, l'équitation, la chasse, les jeux nobles comme la paume, la danse, le cérémonial, la quintaine, la stratégie, les échecs[2]...

À la Renaissance[modifier | modifier le code]

Pendant la Renaissance italienne, le mot Arte (pluriel Arti) désigne encore l’ensemble des gestes précis concernant une pratique maîtrisée (un métier) entre la science théorique et la pratique spontanée. Mais, avec la naissance de la notion d’artiste signant ses œuvres et reconnu comme tel, il prend le sens plus moderne de beaux-arts.

L’arte del disegno[3] regroupe à cette époque les arts du volume (sculpture, architecture) et ceux de la surface (dessin, peinture, gravure), opposition que l’on retrouvera étymologiquement dans les expressions « arts plastiques » et « arts graphiques ». Le point commun de ces pratiques manuelles était alors l’action sur la matière.

Au XVIIIe siècle[modifier | modifier le code]

Kant et ses trois arts[modifier | modifier le code]

Emmanuel Kant[4], en 1790, propose de distinguer trois catégories d'art (d'après la synthèse de Dominique Chateau[5]) :

  • les bildenden Künste (dérivé du substantif Bild, signifiant « image », et du verbe bilden, qui signifie « former »), soit « les arts de l'expression des Idées dans l'intuition des sens[6] », comprenant la sculpture et l'architecture (die Plastik) ainsi que la peinture (Malerei) ;
  • les redenden Künste, soit les arts de la parole, comprenant l'éloquence et la poésie ;
  • le Kunst des schönen Spiels der Empfindungen, soit l'art du beau jeu des sensations, comprenant la musique et l'art des couleurs (Farbenkunst).

Au XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Dès le XVIIIe siècle, on ne se contente plus de donner une liste des arts, mais on cherche à élaborer leur système. En poursuivant ce but, la plupart des auteurs vont contre le sens commun, et selon leurs besoins amalgament, ignorent ou différencient.

Hegel et ses cinq arts[modifier | modifier le code]

Au début du XIXe siècle, adoptant cette manière philosophique dans ses cours d’esthétique donnés entre 1818 et 1829, Hegel distingue cinq arts. Il les classe en fonction de deux critères : l’expressivité et la matérialité. Ainsi il organise une double échelle allant de l'art le moins expressif mais plus matériel à l'art le plus expressif mais le moins matériel. Cela donne[7] :

  1. l’architecture ;
  2. la sculpture ;
  3. la peinture ;
  4. la musique ;
  5. la poésie.

« Ces cinq arts forment le système déterminé et organisé des arts réels. En dehors d’eux, il existe, sans doute, encore d’autres arts, l’art des jardins, etc. Mais nous ne pourrons en parler que d’une manière occasionnelle[8]. »

Au XXe siècle[modifier | modifier le code]

Souriau et ses sept arts[modifier | modifier le code]

Après plusieurs tentatives et propositions voire querelles sur la classification des arts, Étienne Souriau[9] a proposé sa classification qu'il voulait totale et générale dans son livre La Correspondance des arts, éléments d'esthétique comparée (1969), où il distingue sept classes d'art d’après leurs caractéristiques sensorielles (la saillie, la ligne, la couleur, la mélodie, le mouvement, la prononciation et la lumière). Chaque classe peut produire un art sur deux niveaux, représentatif/abstrait, c'est-à-dire :

  1. sculpture / architecture ;
  2. dessin / arabesque ;
  3. peinture représentative / peinture pure ;
  4. musique dramatique ou descriptive / musique ;
  5. pantomime / danse ;
  6. littérature et poésie / prosodie pure ;
  7. cinéma et lavis photo / éclairage projections lumineuses.

Classification populaire des arts[modifier | modifier le code]

La classification suivante était communément admise au XXe siècle :[réf. nécessaire]

Pour les arts récents, plusieurs furent généralement qualifiés de « huitième » ou « neuvième art » sans considération pour leur ancienneté : la radio[10], la télévision[11], la photographie, la bande dessinée — généralement plus spécifiquement qualifiée de neuvième art, tel que proposé par Claude Beylie en 1964 qui accordait à la télévision la place de 8e art[12] — ou le jeu vidéo[13].

À partir du XXe siècle[modifier | modifier le code]

Aux cinq arts communément cités au XIXe siècle, le XXe va en rajouter cinq autres pour arriver à un total de dix arts sans pouvoir se mettre d’accord sur un 11e art.

Les dix arts[modifier | modifier le code]

Prenant parti pour la tradition et le sens commun, des auteurs ajoutent à la liste du XIXe siècle la danse, qu’ils conçoivent de façon élargie, y incluant l’art du mime et tout art scénique, dont le théâtre[20],[21],[22].

7e art : le cinéma[modifier | modifier le code]

Ils permettent ainsi de transformer le système conceptuel de Hegel en une simple liste, qui ouvre ainsi la porte à toutes les possibilités. Celui qui va numéroter la liste est Ricciotto Canudo, qui défend dès 1908 le cinématographe lorsqu’il écrit (en italien) Triomphe du cinématographe, repris en 1911 en français dans La Naissance d’un sixième art. Essai sur le Cinématographe[23]. À ce moment-là, il voulait faire du cinématographe le 6e art, celui qui ferait la synthèse des « arts du temps » (la musique et la poésie) et les « arts de l’espace » (l’architecture, la sculpture et la peinture). Apprenant que la danse, le mime, le théâtre et le cirque pouvaient être regroupés en « arts corporels », il imagine le cinématographe comme le 7e art. En 1922, il fonde La Gazette des sept arts, une des premières revues de critique cinématographique, il y publie, en 1923, un « Manifeste du 7e art » qui, à la suite des efforts déjà déployés par Guillaume Apollinaire, Abel Gance, Maïakovski, Meyerhold, Colette et les futurs surréalistes ou le critique Louis Delluc, contribue à élever le cinéma au statut d’un art.

8e art : les arts médiatiques (radio, télévision)[modifier | modifier le code]

Hans Hartje décrit la radio, en la qualifiant d’art et d’essais, comme un 8e art dans un livre très laudatif[24]. Déjà en 1938, Victor Keppler publiait A Life of Color Photography: The Eighth Art et en 1941, Roger Clausse publiait La Radio, huitième art.

La télévision est aussi considérée comme le 8e art. En 1961, le prince Rainier de Monaco crée une manifestation consacrée, selon ses dires, uniquement au 8e art, le Festival de télévision de Monte-Carlo[25]. Un éditeur spécialisé dans ce média porte le nom Huitième Art, il publie nombre de livres sur des émissions ou feuilletons culte de la télévision[26].

Certains auteurs, principalement canadiens, font une synthèse de ces trois arts sous le nom d’« arts médiatiques » (arts dont le fonctionnement fait appel à un composant technologique).

Il existe à Montréal le Centre OBORO englobant les arts visuels et les arts médiatiques.

9e art : la bande dessinée[modifier | modifier le code]

Quarante ans après le cinéma, le même processus se répète. Le critique Claude Beylie qualifie ainsi la bande dessinée de « neuvième art » dans une série d'articles publiée dans Lettres et médecins début 1964[27],[28]. À partir de décembre 1964, Morris et Pierre Vankeer utilisent également l'expression pour une série d'articles consacrées au patrimoine de la bande dessinée occidentale publié dans l'hebdomadaire jeunesse Spirou : 9e Art : Musée de la bande dessinée[27],[29]. L'expression est définitivement popularisée en 1971 par le critique Francis Lacassin avec son essai Pour un neuvième art, la bande dessinée[27],[30].

En octobre 2022, Benoît Peeters, écrivain, scénariste de bande dessinée et titulaire de la chaire de création artistique du Collège de France (2022-2023), prononce sa leçon inaugurale sur le thème de la poétique de la bande dessinée[31].

10e art : les jeux vidéo[modifier | modifier le code]

En novembre 2012 le Museum of Modern Art à New York (MoMA) décide d'intégrer 14 jeux vidéo à sa collection d’œuvres d'art[32]. De même, depuis 2011, la Cour suprême des États-Unis reconnaît officiellement les jeux vidéo comme un art[33].

En France, c'est depuis 2006 que le ministère de la Culture reconnaît les jeux vidéo comme une forme d'expression artistique et demande qu'elle soit considérée en tant que telle[19] bien que l'idée ne soit pas communément admise[34].

La désignation « 10e art » a aussi été revendiquée pour les arts numériques en général : infographie, web design et jeux vidéo[35].

11e art ?[modifier | modifier le code]

Il n’y a pas de consensus sur la désignation d’un 11e art actuellement, cependant, diverses activités artistiques ou ludiques sont revendiquées avec ce titre, dont notamment la performance artistique[36], le jeu de rôle[37], le modélisme (et par extension, ce qui tourne autour du maquettisme)[38], l’art culinaire et la gastronomie[réf. nécessaire], l'art de la table, le graphisme ou arts graphiques[réf. nécessaire], la calligraphie[réf. nécessaire], la parfumerie[39], l'aménagement des parcs et jardins, l'humour, l'origami, le tatouage, la mode, l'illusionnisme, l'art de la marionnette[40], etc.

Cependant, certains peuvent être regroupés dans des arts déjà existants :

  • la calligraphie et le tatouage dans les arts visuels ;
  • le jeu de rôle, l'humour, la prestidigitation, la marionnette, dans les arts de la scène ;
  • l'origami, le modélisme dans la sculpture ;
  • le graphisme dans les arts visuels ou les arts numériques.

Il resterait donc trois grands arts :

  • les arts culinaires et arts de la table ;
  • la mode et la parfumerie ;
  • l'art floral et l'aménagement des parcs et jardins ;

La performance artistique étant le mélange de différents arts.

Art audiovisuel[modifier | modifier le code]

L'art audiovisuel regroupe les pratiques artistiques de l'audiovisuel : diaporama, cinéma expérimental, art vidéo, mapping vidéo, vidéo-jockeyetc.[réf. souhaitée]

Arts olfactifs[modifier | modifier le code]

Ces classifications sont toutes limitées aux formes classiques, picturales, plastiques ou musicales, liées à la vision, au toucher, à l'audition, au sens de l'équilibre. Elles méconnaissent au moins deux sens humains qui portent une expression esthétique ancestrale, les sens chimiques, olfaction et gustation.

Elles ignorent par exemple la création parfumée, l'esthétique odorante, l'abstraction olfactive, les formes olfactives, la manipulation de l'humeur par des odeurs. Pourtant, du parfum, on peut en raconter l'histoire[41], ou en apprendre les fondements développés par un grand artiste du XXe siècle, Edmond Roudnitska, compositeur de parfums[42].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Hugues de Saint-Victor Libri septem eruditiones didascaliae ch.26 (PL 176, col.760) : lanificium, armaturum, navigationem, agriculturem, venationem, medicinam, theatricam.
  2. René Du Pont, Matthieu Le Heurt, La Philosophie des esprits (3e édition), Antoine Mesnier, (lire en ligne), p. 666-670.
  3. Voir :
    J.-R. Gaborit, « Arts plastiques », in Encyclopaedia universalis (ISBN 2-8522-9887-2).
    Alain Rey, Marianne Tomi, Tristan Hordé, et. al., Dictionnaire historique de la langue française, Paris, Dictionnaires le Robert, 2006 (ISBN 2-8490-2236-5).
  4. Critique de la faculté de juger, § 51, 1790.
  5. Dominique Château, « Plastique, arts plastiques, bildenden Künste », dans Vocabulaire européen des philosophies : dictionnaire des intraduisibles, dir. Barbara Cassin, Seuil, Dictionnaires le Robert, 2004 (ISBN 2-02-030730-8).
  6. Trad. de Alexis Philonenko.
  7. Georg Wilhelm Friedrich Hegel (1997) Esthétique, Le livre de Poche, collection Les classiques de la philosophie, Paris, tome 1 776 pages, tome 2 780 pages, t. 2 p. 19-22.
  8. Georg Wilhelm Friedrich Hegel (1997) Esthétique, Le livre de Poche, collection Les classiques de la philosophie, Paris, t. 1, 776 p., t. 2, 780 p. (t. 2 p. 23).
  9. Étienne Souriau, La Correspondance des arts, Éléments d'esthétique comparée, Paris, Flammarion, 1969.
  10. Roger Clausse a publié La Radio, huitième art en 1941.
  11. D'après Télévision. La part de l'art, de Gilles Delavaud].
  12. Comme le remarque le blog neuviemeart.citebd.org
  13. « Le jeu vidéo, un "huitième art" en quête de reconnaissance », ladepeche.fr, 7 juin 2012.
  14. a b c d et e Hegel: une philosophie de la raison vivante, André Stanguennec, p. 209 (ISBN 2711612996).
  15. En 1982, le ministère de la Culture crée le Centre national de la photographie.
  16. Robert Sinnerbrink, Early Film-Philosophy: A Dialectical Fable, Screening the Past #38 (décembre 2013).
  17. Le théâtre est aussi parfois appelé « quatrième art ». Habib Meddah, « Tensions entre didascalies et dialogues dans Le Barbier de Séville de Beaumarchais », dans Frédéric Calas ; Romadhane Elouri ; Saïd Hamzaoui ; et Tijani Salaaoui ; Le Texte didascalique : à l’épreuve de la lecture et de la représentation, Presses universitaires de Bordeaux, 2007 : « Dans cette version, c’est le potentiel dionysiaque du quatrième art qui se trouve mobilisé. Le théâtre-dialogue gage sur l’écoute attentive […]. »
  18. a b et c Histoire de l'Art par les citations: Les Beaux-Arts dans la culture générale, p. 15.
  19. a et b Thomas Crampton, « For France, Video Games Are as Artful as Cinema », The New York Times,‎ (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le ).
  20. (de) M. Schasler, Ästhetik als Philosophie des Schönen, Berlin, 1872.
  21. (de) A. Zeising, Ästhetische Forschungen, Frankfurt am Main, 1855.
  22. (de) L. Adler, Über das Systeme der Kunste, Z. fur Ästhetik and allgemeine Kuntswissenschaft, vol. 17, 1923.
  23. Le Cinéma : naissance d’un art textes choisis et présentés par Daniel Banda et José Moure. (2008) Flammarion Champs art.
  24. Hans Hartje (2008) Pour un 8e art, Presses universitaires de la Méditerranée, Montpellier.
  25. Site du Festival de télévision de Monte-Carlo.
  26. Huitième Art éditeur.
  27. a b et c Thierry Groensteen, « « Neuvième art » : petite histoire d'une appellation non contrôlée », Neuvième Art, no 1,‎ , p. 4.
  28. Claude Beylie, « La bande dessinée est-elle un art ? », Lettres et Médecins, supplément littéraire de La Vie médicale, mars 1964.
  29. « 9ème art dans Spirou », sur BD oubliées.
  30. Francis Lacassin, Pour un neuvième art, la bande dessinée, Paris : 10×18, 1971.
  31. « La BD au Collège de France : ultime consécration d’un art devenu majeur », France Culture, L'Invité(e) des Matins, le .
  32. (en) « Video Games: 14 in the Collection, for Starters », sur moma.org (consulté le ).
  33. (en) John D. Sutter, CNN, « Supreme Court sees video games as art », Edition CNN,‎ , p. 1 (lire en ligne)
  34. « Pourquoi le jeu vidéo est-il si peu considéré en France ? », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  35. « Communiqué de presse : Connaissez-vous le 10e art ? L'art numérique », sur big-presse.com, (version du sur Internet Archive).
  36. Alain Amiel, Jean Mas, Manifeste de la Performance, mars 2012.
  37. Frederic Veil, « Manifeste pour le Dixième Art », Casus Belli no 102, Descartes Éditeur, Paris, février 1997.
  38. Tribune de Jacques Le Plat dans Loco Revue no 613, avril 1998 et un manifeste.
  39. « Cinq parfumeurs adoubés Chevaliers des Arts et des Lettres par Frédéric Mitterrand », 27 janvier 2012.
  40. « L’art de la marionnette, art mineur ou art majeur ? - THEMAA », sur THEMAA, (consulté le ).
  41. Annick Le Guérer, Le Parfum, des origines à nos jours, Paris, Odile Jacob, .
  42. Edmond Roudnitska, L'Esthétique en question : introduction à une esthétique de l'odorat, Paris, Presses universitaires de France, , 264 p..

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]