Demain il fera jour — Wikipédia

Les conséquences de l'occupation allemande servent de sujet à la pièce

Demain il fera jour est une pièce dramatique en trois actes d'Henry de Montherlant.

Écrite en 1948, elle a été jouée pour la première fois en 1949[1].

Description[modifier | modifier le code]

Personnages[modifier | modifier le code]

La pièce met en scène trois personnages : Georges Carrion, un avocat, Gilles Sandoval (dit Gillou), son fils illégitime, et Marie Sandoval, la mère aimante de Gilles.

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1944, alors que la Libération est en cours, l'avocat Georges Carrion est contraint de laisser son fils illégitime Gilles entrer dans la Résistance afin de faire oublier son lourd passé de collaborateur. Parallèlement, il rentre en contact avec Marie, la mère de son fils, prête à tout pour sauver son enfant du danger[2].

Controverse[modifier | modifier le code]

Lors de ses premières représentations en 1949, la pièce frôle la censure. L'Occupation et l'épuration sont alors des sujets très sensibles en France.

En 2012, Michel Fau repense la pièce qu'il joue en compagnie de Léa Drucker et Loïc Mobihan au Théâtre de l'Œuvre à Paris[3].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Demain il fera jour - Blanche - Gallimard - Site Gallimard », sur www.gallimard.fr (consulté le )
  2. « Demain il fera jour - Henry de Montherlant - Babelio », sur www.babelio.com (consulté le )
  3. « « Demain il fera jour » : à l'épreuve de la liberté », sur www.philomag.com (consulté le )