Dustin Hoffman — Wikipédia

Dustin Hoffman
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Dustin Hoffman en 2013.
Nom de naissance Dustin Lee Hoffman
Naissance (86 ans)
Los Angeles, Californie, États-Unis
Nationalité Drapeau des États-Unis Américaine
Profession Acteur
Producteur
Réalisateur
Films notables voir filmographie.

Dustin Hoffman[1], né le à Los Angeles, est un acteur américain, par ailleurs producteur et réalisateur.

Notamment connu pour ses prestations d'antihéros versatiles et de personnages vulnérables, Dustin Hoffman connaît à ses débuts un succès critique pour sa prestation au théâtre dans Eh ?, où il gagne un Theatre World Award et un Drama Desk Award. Mais la reconnaissance internationale vient en 1967 avec son personnage de Benjamin Braddock, le personnage principal du film Le Lauréat. Depuis, sa carrière s'est principalement focalisée sur le cinéma, avec des retours sporadiques au théâtre.

Ses plus grands succès sont Macadam Cowboy (1969), Little Big Man (1970), Les Chiens de paille (1971), Papillon (1973), Lenny (1974), Les hommes du président (1976), Marathon Man (1976), Kramer contre Kramer (1979), Tootsie (1982), Rain Man (1988) et Des hommes d'influence (1997), des films qui deviendront des classiques du septième art.

Il a remporté par deux fois l'Oscar du meilleur acteur pour ses rôles dans Kramer contre Kramer et Rain Man, cinq Golden Globes, quatre BAFTA, trois Drama Desk Awards, un Genie Award et un Emmy Award. En 1999, il reçoit l'AFI Life Achievement Award et en 2012 le Kennedy Center Honors.

Il débute dans la réalisation en 2012 avec le film Quartet.

Biographie[modifier | modifier le code]

Jeunesse et formation[modifier | modifier le code]

Dustin Hoffman en 1968.

Dustin Lee Hoffman naît à Los Angeles, dans une famille juive d'origine roumaine (de Iași) et ukrainienne (de Kiev)[2],[3]. Il est le deuxième fils de Lillian (née Gold) et Harry Hoffman, un décorateur de plateau chez Columbia Pictures[4]. Il doit son prénom Dustin à l'acteur de théâtre et du cinéma muet Dustin Farnum. Son frère aîné, Ronald, est avocat et économiste[5].

Il sort diplômé du Los Angeles High School en 1955 et se destine à des études médicales au Santa Monica College. Il quitte l'université au bout d'un an et va étudier l'art dramatique à la Pasadena Community Playhouse (en)[6], puis part à New York suivre les cours du célèbre Lee Strasberg à l'Actors Studio[5].

Lorsqu'il annonce à sa famille sa vocation d'acteur, sa tante Pearl lui réplique : « Tu ne peux pas être acteur, tu n'es pas assez beau ». Arrivé à New York, il partage un appartement avec deux autres talentueux aspirants acteurs : Robert Duvall et Gene Hackman[5].

Révélation et consécration (années 1960-1980)[modifier | modifier le code]

En 1964, Dustin Hoffman fait ses débuts sur les planches dans une pièce de Samuel Beckett, En attendant Godot. Alors qu'il joue le rôle d'un nazi travesti bossu dans Eh ? à Broadway, le réalisateur Mike Nichols le remarque et lui offre le rôle principal du film Le Lauréat, qui lui vaut en 1967 une nomination à l'Oscar du meilleur acteur. Hoffman y joue le personnage de Benjamin Braddock, issu de la haute bourgeoisie californienne, et qui revient dans sa famille après avoir obtenu un diplôme universitaire. Ne sachant plus quoi faire de sa vie, il a une aventure avec Mrs Robinson, mariée à l'associé de son père et par ailleurs alcoolique et névropathe.

Dustin Hoffman et Mia Farrow dans John et Mary (1969).

Le succès qu'il remporte alors lui permet de profiter des fastes années 1970 du cinéma américain et, variant les registres, de multiplier les tournages de films dont la plupart sont depuis devenus des classiques du 7e art. Il incarne ainsi Ratso Rizzo dans Macadam Cowboy (1969), joue dans Little Big Man (1970), les Chiens de paille (1971) de Sam Peckinpah, Papillon (1973) au côté de Steve McQueen ou Lenny de Bob Fosse (1974). Peu après, il se glisse dans la peau du journaliste du Washington Post Carl Bernstein dans Les Hommes du président (1976) d'Alan J. Pakula, avant de subir un véritable calvaire entre les mains du dentiste tortionnaire Laurence Olivier dans le glaçant Marathon Man, sorti la même année.

En 1978, il envisage de passer à la réalisation avec Le Récidiviste dont il est également l'acteur principal : mais, trouvant trop difficile le cumul de la mise en scène et de son travail de comédien, il préfère laisser la réalisation à Ulu Grosbard[7].

En 1979, le film de Robert Benton, Kramer contre Kramer, lui rapporte son premier Oscar du meilleur acteur.

En 1982, le film Tootsie, dans lequel il interprète un comédien au chômage travesti en femme pour décrocher un rôle, est un succès à la fois critique et commercial qui lui vaut sa cinquième nomination à l'Oscar du meilleur acteur.

Durant les années 1980, il ne tourne que quatre films, dont Ishtar, réalisé par Elaine May et avec Warren Beatty, qui constitue le plus gros échec de sa carrière : le film a dû faire face à de sévères problèmes de production, il reçoit de la totalité des critiques un avis négatif et est nommé pour trois Razzie Awards. Cependant, Hoffman et Beatty aiment le montage final et tentent de le défendre. Ils ne sont pas affectés par le flop du film et Ishtar devient par la suite un film culte.

Cependant, en 1988, grâce au drame Rain Man et sa prestation émouvante d'un autiste prodige chaperonné par son frère (Tom Cruise), il décroche un deuxième Oscar en 1989 qui le rend à nouveau crédible face aux producteurs.

Grosses productions (années 1990)[modifier | modifier le code]

Durant les années 1990, Dustin Hoffman se diversifie, en s'aventurant dans de grosses productions hollywoodiennes : en 1991, il joue le rôle-titre du drame Billy Bathgate, de Robert Benton, mais incarne aussi le Capitaine Crochet dans Hook ou la Revanche du Capitaine Crochet, un blockbuster d'aventures familial réalisé par Steven Spielberg.

En 1992, il tourne dans Héros malgré lui sous la direction de Stephen Frears, puis en 1995, il fait partie du casting du film de science-fiction Alerte ! (Outbreak) de Wolfgang Petersen.

L'année 1996 le voit réaliser un doublé critique le drame American Buffalo, qui l'oppose à Dennis Franz, puis le drame Sleepers réalisé par Barry Levinson.

Retour à un ton polémique en 1997 avec Mad City de Costa-Gavras, et Des hommes d'influence, toujours avec Barry Levinson, dans lequel l'acteur incarne un cynique producteur hollywoodien.

Gros flop critique en 1998 pour sa quatrième collaboration avec Levinson : le film de science-fiction Sphère est éreinté par la critique[8].

En 1999, il endosse la soutane pour le Jeanne d'Arc de Luc Besson, se faisant ensuite plus discret durant quelque temps, avant un retour amorcé en 2002.

Seconds rôles (années 2000)[modifier | modifier le code]

L'acteur à la première londonienne de Last Chance for Love, en juin 2009.

Les années 2002-2003 voient Dustin Hoffman revenir sur les écrans avec trois drames reposant sur des quatuors d'acteurs : le film indépendant Moonlight Mile avec Jake Gyllenhaal, Susan Sarandon et Holly Hunter ; le thriller d'arnaque Confidence, avec Edward Burns, Andy Garcia et Rachel Weisz ; puis enfin le thriller judiciaire Le Maître du jeu, où l'acteur donne la réplique à Gene Hackman, John Cusack et de nouveau Rachel Weisz.

Médiatiquement, c'est en 2004 qu'il se fait remarquer : d'abord en incarnant le père de Ben Stiller dans la comédie Mon beau-père, mes parents et moi, qui lui permet aussi de retrouver Robert De Niro ; puis en jouant dans le mélodrame Neverland, porté par les stars Johnny Depp et Kate Winslet ; puis en s'adjoignant à l'impressionnant casting du quatrième film de David O. Russell, la comédie indépendante J'adore Huckabees. Pour finir, il fait une simple apparition dans le film d'aventures familial Les Désastreuses Aventures des orphelins Baudelaire, où il campe un directeur de théâtre pince-sans-rire et débonnaire dans le drame.

En 2006, il tient l'un des rôles principaux du drame Le Parfum, histoire d'un meurtrier, adaptation signée Tom Tykwer, puis tient un second rôle dans l'acclamée comédie dramatique fantastique L'Incroyable Destin de Harold Crick, portée par Will Ferrell et Emma Thompson.

Particulièrement fier du film, il collabore à nouveau avec son scénariste, Zach Helm, pour son premier film, la comédie fantastique familiale Le Merveilleux Magasin de Mr. Magorium, sorti en 2008, dont il partage l'affiche avec Natalie Portman. Décidément enclin au monde de l'enfance, il double cette année-là des protagonistes des films d'animation Kung Fu Panda et La Légende de Despereaux.

En 2009, alors qu'il retrouve Emma Thompson pour partager l'affiche de la romance indépendante Last Chance for Love, écrite et réalisée par Joel Hopkins, il est fait commandeur dans l'ordre des Arts et des Lettres.

Télévision et passage à la réalisation (années 2010)[modifier | modifier le code]

Ben Stiller et Dustin Hoffman au festival de Cannes 2017, pour la présentation du film The Meyerowitz Stories.

Dans les années 2010, Dustin Hoffman tourne beaucoup moins.

Il redevient le père de Ben Stiller à deux reprises : tout d'abord pour la comédie potache Mon beau-père et nous, conclusion de la trilogie amorcée en 2001, cette fois réalisée par Paul Weitz ; puis pour le drame indépendant The Meyerowitz Stories, de Noah Baumbach, sorti en 2018.

En 2011, il retrouve Paul Giamatti pour partager l'affiche de la comédie dramatique indépendante Le Monde de Barney.

Mais surtout, en 2012, trente-quatre ans après la tentative avortée du Récidiviste, il tourne le drame indépendant Quartet, son premier film en tant que réalisateur, dans lequel il ne joue pas. Il confie le premier rôle à la britannique Maggie Smith. Parallèlement, il tient le rôle principal de la série télévisée évènement Luck, écrite par David Milch et réalisée par Michael Mann pour la chaîne HBO. Mais la série ne dépasse pas sa première saison de dix épisodes.

L'année 2014 est marquée par ses seconds rôles dans deux longs-métrages mis en scène par des acteurs déjà passés à la réalisation avec succès : Jon Favreau pour la comédie dramatique Chef, puis Thomas McCarthy pour son premier essai dans l'humour avec The Cobbler.

En 2015, il tient des petits rôles dans les drames Le Virtuose de François Girard et The Program, qui marque ses retrouvailles avec Stephen Frears.

Vie privée[modifier | modifier le code]

Mariage et problèmes de santé[modifier | modifier le code]

Dustin Hoffman et son épouse Lisa en 2013.

En 2013, Dustin Hoffman est traité avec succès pour un cancer.[réf. nécessaire]

Engagements[modifier | modifier le code]

L'acteur (au second plan) au Kennedy Center en décembre 2012, où il est honoré, parmi d'autres invités, par le président des États-Unis Barack Obama.

Dustin Hoffman a soutenu le sénateur John Kerry lors de l'élection présidentielle de 2004, il a assisté à la cérémonie d'investiture du président Barack Obama et est un proche de l'homme politique Ralph Nader. En 2006, il avait cependant soutenu la réélection du gouverneur Arnold Schwarzenegger à son poste en Californie.[réf. souhaitée]

En , il décide d’annuler sa participation au festival international du film de Jérusalem sans en donner de raison officielle. Dans une déclaration au Jerusalem Post, le directeur de la manifestation Molad Hayo pense que sa décision a un lien avec l’attaque de la flottille pour Gaza, les organisateurs ayant été avisés de son refus le lendemain de cette attaque[9].

Accusations de harcèlement sexuel[modifier | modifier le code]

En , dans le contexte de l'affaire Harvey Weinstein, Dustin Hoffman est accusé de harcèlement sexuel par l'écrivaine Anna Graham Hunter (en), mineure au moment des faits. Interrogé par The Hollywood Reporter, Dustin Hoffman s'est excusé de son comportement : « J'ai le plus grand respect pour les femmes et je suis profondément désolé que ce que j'ai pu faire ait pu la mettre dans une situation inconfortable. Je suis désolé. Cela ne correspond pas à ce que je suis »[10],[11].

Quelques heures plus tard, la scénariste Wendy Riss Gatsiounis (en) porte de nouvelles accusations contre Dustin Hoffman et le producteur Murray Schisgal. Selon elle, Hoffman et Schisgal n'avaient pas donné suite à l'adaptation d'une pièce de théâtre dont elle était l'auteur, après qu'elle avait repoussé des sollicitations sexuelles et refusé de se rendre dans un hôtel avec l'acteur[12].

Le , d'autres femmes portent contre lui des accusations semblables[13].

Filmographie[modifier | modifier le code]

Comme acteur[modifier | modifier le code]

Cinéma[modifier | modifier le code]

Années 1960[modifier | modifier le code]
Années 1970[modifier | modifier le code]
Dustin Hoffman avec Lars Jacob sur le tournage de Lenny à Fort Lauderdale en 1974.
Années 1980[modifier | modifier le code]
Années 1990[modifier | modifier le code]
Années 2000[modifier | modifier le code]
Années 2010[modifier | modifier le code]
Années 2020[modifier | modifier le code]

Animation[modifier | modifier le code]

L'acteur au festival de Cannes 2008 pour la présentation de Kung Fu Panda.

Télévision[modifier | modifier le code]

Comme réalisateur[modifier | modifier le code]

Comme producteur[modifier | modifier le code]

Distinctions[modifier | modifier le code]

Dustin Hoffman à la Mostra de Venise 1984, auréolé du succès critique et commercial du film Tootsie.
L'acteur au festival de Deauville 1985, l'année de tournage du film Ishtar.
L'acteur en 1989 à la 61e cérémonie des Oscars, où il est récompensé pour son rôle dans Rain Man.

Récompenses[modifier | modifier le code]

Nominations[modifier | modifier le code]

Décoration[modifier | modifier le code]

Voix francophones[modifier | modifier le code]

En version française, plusieurs comédiens se succèdent jusqu'en 1990 pour doubler Dustin Hoffman : Patrick Floersheim à trois reprises[17] dans Kramer contre Kramer, Ishtar et Dick Tracy ; à deux reprises chacun par Pierre Arditi dans Le Récidiviste et Agatha, Philippe Ogouz[17] dans Les Chiens de paille et Papillon ainsi que par Francis Lax dans Lenny et Les Hommes du président. Patrick Dewaere le double dans Le Lauréat, Maurice Sarfati dans Macadam Cowboy[17] Pierre Trabaud, dans Little Big Man, Michel Bedetti dans Marathon Man, Jean-Pierre Cassel dans Tootsie et Georges Berthomieu dans Mort d'un commis voyageur.

À partir du film Rain Man sorti en 1988, Dominique Collignon-Maurin devient sa voix régulière, bien que de nombreux comédiens le doublent en alternance. Collignon-Maurin le retrouve dans Family Business, Sleepers, Le Maître du jeu, Les Désastreuses Aventures des orphelins Baudelaire, les films Mon beau-père, Luck, Chef, The Program, Le Virtuose, The Meyerowitz Stories et L'Homme du labyrinthe. En parallèle, il est notamment doublé par Jean-Jacques Moreau[17] dans Confidence, Adieu Cuba, Le Parfum, Le Merveilleux Magasin de M. Magorium et Un amour de tortue. Il est également doublé à quatre reprises par Mario Santini dans Billy Bathgate, Alerte !, Des hommes d'influence et Sphère, à trois reprises par Gérard Rinaldi[17] dans J'adore Huckabees, L'Incroyable Destin de Harold Crick et Last Chance for Love ainsi qu'à deux reprises par Richard Darbois dans Hook ou la Revanche du Capitaine Crochet et Héros malgré lui. Enfin, il est doublé à titre exceptionnel par Richard Berry dans Mad City, Féodor Atkine dans Jeanne d'Arc[17], Georges Claisse dans Neverland, Bernard Tiphaine dans The Holiday et Richard Leblond dans Les Médicis : Maîtres de Florence[17].

Pour la saga d'animation Kung Fu Panda (trois films et trois court-métrages), c'est à nouveau Pierre Arditi qui lui prête sa voix pour le personnage de Maître Shifu.

En version québécoise, Guy Nadon[18] est la voix québécoise régulière de l'acteur. Il le double notamment dans Capitaine Crochet, La Correction, Des hommes d'influence, En toute confiance, Le Maître du jeu, Voyage au pays imaginaire, les films Mon beau-père, Le Merveilleux Magasin de Mr. Magorium, La Dernière Chance d'Harvey ou encore Un cordonnier bien chaussé. Jean-Marie Moncelet[18] le double dans L'Épidémie et Sphère tandis qu'Hubert Gagnon est sa voix dans Héros[18].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Prononcé [ˈdʌstɪn ˈhɒfmən] en anglais américain retranscrite selon la norme API.
  2. (en) Dominic Wills, « Dustin Hoffman - Biography »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur talktalk.co.uk.
  3. (en) « Jack Palance rejects Russian award », JStephen Bandera, ukemonde.com, 20 juin 2004.
  4. (en) « Dustin Hoffman - Biography »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur movies.yahoo.com, ?.
  5. a b et c Olivier Rajchman, « Dustin Hoffman - Héros malgré lui », Studio Ciné Live, no 81,‎ , p. 118-21.
  6. (en) « Cinema: The Moonchild and the Fifth Beatle (3 of 10) », sur Time.com, .
  7. Dustin Hoffman : « À Hollywood, un acteur est fini après 50 ans », evene.fr, 28 mars 2013.
  8. (en) « Sphere (1998) » [vidéo], sur Rotten Tomatoes.com (consulté le ).
  9. « Jérusalem : boycott du festival de film ? Le prince Albert de Monaco ne viendra pas. L'hommage à Grace Kelly n'aura pas lieu », IsraelValley, 8 juillet 2010.
  10. « Accusé d'agression sexuelle, Dustin Hoffman s'excuse: "Cela ne correspond pas à ce que je suis" », sur BFM TV, .
  11. « Une seconde femme accuse Dustin Hoffman de harcèlement sexuel », sur BFM TV, .
  12. « Harcèlement : Dustin Hoffman de nouveau accusé », sur VSD.fr, .
  13. « Dustin Hoffman de nouveau accusé d'agressions sexuelles, par trois femmes », Huffington Post, 15 décembre 2017.
  14. (en) « Bette midler : ol’ red hair is back (tv special 1977) ⭐ 8.6 » [vidéo], sur Internet Movie Database (consulté le ).
  15. La Classe Américaine est un film composé exclusivement d'extraits de films détournés de la Warner Bros.
  16. https://www.premiere.fr/Cinema/Dustin-Hoffman-Commandeur-dans-l-ordre-des-Arts-et-des-Lettres
  17. a b c d e f et g « Comédiens ayant doublé Dustin Hoffman en France » sur RS Doublage.
  18. a b et c « Comédiens ayant doublé Dustin Hoffman au Québec » sur Doublage.qc.ca, consulté le 22 novembre 2014.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]