Eileen Agar — Wikipédia

Eileen Agar
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 91 ans)
LondresVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalités
Formation
Slade School of Fine Art (jusqu'en )
École d'art Byam Shaw (en)
Heathfield School, Ascot (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Période d'activité
Conjoint
Joseph Bard (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Mouvement
Maîtres
Henry Tonks, Leon Underwood (en)Voir et modifier les données sur Wikidata

Eileen Agar, née le à Buenos Aires et morte le à Londres, est une artiste peintre et photographe anglaise qui a côtoyé le surréalisme.

Biographie[modifier | modifier le code]

En 1911, la famille Agar, père écossais et mère américaine, quittent l'Argentine pour Londres. Eileen s'y inscrit à la Byam Shaw School of Fine Art en 1919, puis à l'Underwood School of Painting and sculpture.

En 1926, elle rencontre l'écrivain hongrois Joseph Bard (en). Ils s'installent à Paris en 1928 et elle fait la connaissance d'André Breton et de Paul Éluard.

En 1936, Eileen Agar participe à l' Exposition surréaliste internationale de Londres où elle présente trois tableaux, dont Quadriga et cinq objets. En 1937, elle fait un séjour à Mougins, avec Paul et Nusch Éluard, Picasso et Dora Maar, Roland Penrose et Lee Miller qui réalise d'elle un portrait[1]. Jusqu'en 1940, elle participe aux expositions surréalistes organisées à Amsterdam, New York, Paris et Tokyo.

Après la Seconde Guerre mondiale et jusqu'en 1985, Eileen Agar connaîtra pas moins de seize expositions monographiques.

Quelques œuvres[modifier | modifier le code]

  • Eileen Agar, autoportrait figuratif, huile sur toile, 1927[2]
  • Trois symboles, huile sur toile, 1930[3]
  • Quadriga, huile sur toile, 1935[4]
  • L'Ange de l'anarchie, objet, 1940[5]
  • L'Horloge d'une femme, huile sur toile, 1989[6]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Colvile, op. cité, p. 25.
  2. Studio international [1]
  3. Aware, Archive of women artists, research and exhibitions [2]
  4. Reproduction dans Colvile, op. cité, p. 26.
  5. Reproduction dans Colvile, op. cité, p. 27. Ainsi que dans la Gazette de Drouot : [3]
  6. Reproduction dans Colvile, op. cité, p. 29.

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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