Europe 1 — Wikipédia

Europe 1
Description de l'image Europe1_FLAT.png.
Présentation
Pays France
Siège social Paris
Propriétaire Lagardère Radios
Financement Lagardère News contrôlé à 100 % par Lagardère SCA
Langue Français
Statut Généraliste nationale privée (catégorie E)
Site web europe1.fr
Différents noms Europe no 1 (1955-1983)
Europe 1 (depuis 1983)
Historique
Création
Sanction 3 mises en demeure et un avertissement entre 2011 et 2019
Diffusion hertzienne
AM  Non
FM  Oui
RDS  Oui
DAB+  Oui
Satellite  Oui
Diffusion câble et Internet
Câble  Oui
IPTV  Oui
Streaming  Oui
Podcasting  Oui

Europe 1, anciennement Europe no 1, est une station de radio généraliste française de catégorie E créée en 1955 par Charles Michelson et Louis Merlin. Elle est détenue par Lagardère News, la filiale média du groupe Lagardère. Les médias de Lagardère News sont officiellement dirigés par Vincent Bolloré depuis 2023.

Les programmes sont diffusés depuis la rue des Cévennes, dans le 15e arrondissement de Paris, après le déménagement de la radio en 2018 de son siège historique de la rue François-Ier, dans le 8e arrondissement de Paris.

Depuis 2017, la station connaît une chute d'audience très importante. À partir de 2021, elle effectue un rapprochement avec le groupe Vivendi de Vincent Bolloré, qui se traduit par un virage éditorial à droite et se concrétise notamment par la diffusion conjointe par la station et par la chaîne d'informations CNews d'émissions telles que Punchline avec Laurence Ferrari, L'Heure des Pros avec Pascal Praud et Le Grand Rendez-vous avec Sonia Mabrouk.

Historique[modifier | modifier le code]

La rédaction d'Europe 1.

1939 - 1952 : les origines, un investisseur[modifier | modifier le code]

L'origine de la station remonte à l'immédiat après-guerre en 1945, lorsque le financier Charles Michelson veut poursuivre ses investissements dans le secteur de la communication. Bénéficiaire en 1939 d'une concession pour exploiter une radio à Tanger, alors zone internationale, Michelson rachète la petite Radio Tanger pour en faire Radio Impérial, voix de la France pour son empire colonial. Au cours de la Seconde Guerre mondiale, Michelson doit céder cette radio au gouvernement de Vichy[1].

En 1945, le gouvernement français instaure un monopole d'État de la radiodiffusion et de la télévision à travers la Radiodiffusion française. L'auditeur peut cependant écouter trois stations de radio privées à l'étranger, Radio Andorre, RMC et Radio-Luxembourg. Michelson, en dédommagement de Radio Tanger, veut obtenir Radio Andorre mais l'opération, qui déchaîne les passions du monde journalistique et politique, n'aboutit pas. Il obtient alors en compensation 98 millions de francs, ainsi que, pour une durée de cinq ans, la fréquence en ondes courtes de Radio Monte-Carlo, majoritairement détenue par la Sofirad et de fait par l'État français. Mais ces ondes courtes ne bénéficient d'aucune écoute de masse. Aussi Michelson réussit à transformer, le , cette concession en une option pour l'exploitation financière de la chaîne de télévision Télé Monte-Carlo, dans la principauté, grâce à une décision du ministre concerné sur le départ, François Mitterrand[2]. Il crée à cette fin la société de droit monégasque Image et Son[3], avec l'appui de la Société monégasque de banques et de métaux précieux[4].

Localisation de la Sarre en violet (la RFA est en bleu, la RDA est en rouge et Berlin-Ouest en jaune).

Poursuivant ses investissements, Michelson prépare en secret le lancement de Télé-Sarre et de la radio périphérique Europe No 1[5]. En 1952, le monopole de la télévision et de la radiodiffusion dans le protectorat français de la Sarre, indépendant de la République fédérale d'Allemagne (RFA), est attribué à M. Michelson et à sa société. En contrepartie de la création d'une chaîne de télévision germanophone régionale baptisée Télé-Saar, il obtient des autorités sarroises la concession d'un émetteur de forte puissance pour une « périphérique », échappant au monopole français de la radiodiffusion. Il regroupe ses radios et télévisions dans la holding Image et Son. Pour la diffusion, un émetteur est construit en Sarre, près de Sarrelouis, sur le plateau du Felsberg qui, d'après des études des techniciens du IIIe Reich faites à la demande d'Hitler, serait le meilleur endroit pour couvrir toute la France[6] (voir Émetteur de Felsberg-Berus).

1952 - 1955 : origine du nom, premières équipes, premières émissions[modifier | modifier le code]

Pour concevoir les programmes de la nouvelle station périphérique, Michelson recrute Louis Merlin, artisan du succès de Radio Luxembourg.

Ex-siège de la rue François-Ier.

Il embauche également Pierre Sabbagh, le créateur du journal télévisé français, pour diriger la rédaction et Pierre Delanoë pour diriger les programmes de la station qui privilégient alors la musique pop. Europe no 1 s'installe au 26 bis rue François Ier à Paris, dans les anciens studios de Voice of America.

La station prend le nom d'Europe no 1 sur une idée de Louis Merlin, ainsi que celui-ci l'indique dans ses mémoires : « On m'a souvent demandé comment et pourquoi j'avais choisi ce nom. Les causes en sont multiples et simples. Lorsqu'à la fin de 1953 je rêvai à un avenir nouveau et à la possibilité de créer une station nouvelle (que je croyais alors devoir être de télévision), je pensais qu'il fallait adopter un nom différent des autres, qui tournaient tous autour de Radio ou Télé-quelque-chose. De plus, cette station idéale devait être dans mon esprit le premier poste "européen". Enfin, cela ne me déplaisait pas d'annoncer qu'il serait « No 1 ». Les expressions « le premier », « le meilleur », « le plus grand », etc., portent toujours sur le public[7] ».

Pour attirer de nouveaux annonceurs publicitaires, Louis Merlin pense que la station doit séduire une « foule indécise et indéfinie qui souhaite autre chose que la facilité populaire de Radio Luxembourg (RTL) et la pompe de la RTF » et décide que la station doit prendre le contre-pied de Radio Luxembourg sur les aspects suivants[8] :

  • attitudes des speakers ;
  • impression sonore de la publicité ;
  • place de l'information ;
  • attitude des journalistes dans les bulletins d'information ;
  • importance donnée à la thématique sociale ;
  • le direct dans les journaux d'information ;
  • style des passages musicaux.

La première émission, expérimentale, a lieu le à h 30[9] et commence par « Bonjour l'Europe ! » dit par Micheline Francey, on y diffuse une chanson de Gilbert Bécaud[10], mais elle doit s'interrompre 30 minutes plus tard car elle perturbe d'autres émetteurs, notamment le radiophare de l'aéroport de Genève[11]. Durant les jours suivants, Europe no 1 change plusieurs fois de fréquence, brouillant l'émission d'autres stations européennes qui protestent. Ainsi, le , Radio Luxembourg est parasitée et bien qu'elle-même ne bénéficie alors d'aucune autorisation officielle, entend protester vigoureusement. Ces difficultés font connaître la station auprès du grand public grâce aux journaux qui y consacrent de nombreux articles[12]. Quasi inaudible et sans ressources, la station fait appel au soutien financier de ses auditeurs qui en huit jours, la sauvent de la disparition en lui faisant parvenir 19 millions de Francs par la poste[11].

Il faut attendre le pour que la station Europe no 1, reprenne l'ancienne fréquence de Radio Paris, proche de celle (185 kHz) du Deutschlandsender de la R.D.A. orientée vers l'est[13], en se fixant sur 1 647 m grandes ondes (182 kHz) depuis un émetteur de 400 kW situé sur le plateau du Felsberg, près de Sarrelouis (Saarlouis) en Sarre alors sous protectorat, ce qui lui donne la liberté de disposer à son gré de l'attribution de fréquences de radio-télévision[14].

Les premiers animateurs de la station sont Roger Duquesne, Robert Marcy, Guy Vial, Jean-François Mansart, Maurice Gardett et Anne-Marie, Éric Lipmann, Roméo Carles et Maurice Biraud[15].

Les informations sont confiées à Maurice Siegel, ancien rédacteur en chef de Paris-Presse l'Intransigeant (sous la direction de Pierre Lazareff) assisté de Jean Gorini. De futures signatures renommées comme celles de Jacques Paoli, André Arnaud, Albert Ducrocq ou Michel Anfrol y feront leurs débuts.

Pierre Laforêt, journaliste et producteur, dirige un groupe de réflexion où travaillent des créatifs comme Jacques Chancel, Pierre Bouteiller, Michel Anfrol, Pierre Bellemare, Jacques Antoine ou Éric Lipmann.

Parmi les programmes qui contribuent à la notoriété d'Europe no 1 dès 1955, figure l'émission « La question » consacrée à la torture en Algérie, un sujet refusé par les stations et chaînes publiques. La situation de l'émetteur en Sarre lui garantissant une certaine indépendance pour parler de cette actualité taboue, à l'instar de sa concurrente directe Radio Luxembourg[16].

Dès 1956, Pierre Bellemare et Jacques Antoine amorcent une idée qui va devenir l'émission mythique, « Vous êtes formidables ! ». La première émission est consacrée au sauvetage de l'association « Jeunesses Musicales de France » qui retrouvera un équilibre financier grâce aux dons des auditeurs. Juste après, l'opération « Cœurs d'Enfants » permet de récolter, en 24 heures, avec ses parrains que sont Raymond Savignac, Eugène Schueller, Claude Chapeau et Robert Charles Sainson, des fonds suffisants pour créer un hôpital spécialisé dans les maladies cardiaques infantiles.

1955 - 1959 : reprise en main par l'État[modifier | modifier le code]

En , Sylvain Floirat est appelé par le gouvernement français pour reprendre la société Europe no 1, dont le sort incertain consécutif aux premières difficultés de la station, déclenche un débat polémique à l'Assemblée nationale. Michelson cède l'entreprise qu'il a créée à la future Sofirad, pour une somme estimée comme considérable pour l'époque, soit 245 millions de francs. L'État en devint propriétaire au mois de . Une régie publicitaire, Régie no 1, est créée en 1960. Toutefois en 1962, après le succès remporté par la station, Michelson tente de renégocier cet accord auprès des tribunaux, en vain. La polémique qui s'ensuit atteint le sommet des États français et monégasque. La presse relate alors ces péripéties dont un article des quotidiens Le Monde daté du et Le Figaro, le jour suivant.

En 1959, les difficultés financières de la station entraînent un retrait d'actionnaires. L'État en profite pour prendre le contrôle d'une partie du capital (35,76 %) de la société par l'intermédiaire de la SOFIRAD[17].

1959 - 1974 : nouveautés journalistiques, modernité[modifier | modifier le code]

La naissance de la station coïncide avec l'apparition de trois inventions qui engendrent une influence significative sur son style : le Nagra (magnétophone portable procurant une plus grande souplesse d'intervention et d'autonomie aux reporters), le transistor qui favorise l'écoute individuelle de la radio en déplacement notamment, celle des jeunes ainsi que le disque microsillon lequel permet de substantielles économies pour la rediffusion d'œuvres musicales en grande qualité, sans parler du radio-cassette, au début des années 1960.

Maurice Siegel modifie sensiblement le style des journaux parlés, permettant à Europe no 1 d'acquérir une certaine réputation dans le domaine de l'information. Il crée les premiers flash infos, met fin aux speakers, les journalistes venant eux-mêmes présenter leurs papiers. Il fait également évoluer les journaux parlés de l'information pure vers les magazines et développe la pratique du radio-reportage[18].

Parmi les premières émissions à succès d'Europe no 1, on compte « Pour ceux qui aiment le jazz » et le « café de l'Europe » (1955), « Signé Furax » et « Vous êtes formidables » (1956), ou encore « Salut les copains » et « La Coupe des reporters » (1959).

Lors des événements de Mai 68, le journaliste Julien Besançon assure pour la station la couverture en direct des affrontements parisiens entre étudiants et forces de l’ordre et des premières nuits de barricades au Quartier latin. D'autres reporters de la station sont également sur le terrain : Fernand Choisel, Gilles Schneider, François Jouffa. Europe no 1, alors surnommée par certains « Radio Barricades », est accusée par les autorités de donner une version trop favorable aux manifestants des événements de mai 68. Le ministre de l'Intérieur, estimant que les reportages en direct des radios périphériques (dont Europe no 1) créent un danger pour l'ordre public, interdit l'usage des voitures émettrices durant plusieurs jours. Sur ordre de Matignon, le ministre de l'Intérieur fait également couper les fréquences des stations périphériques pour contrer la diffusion en direct des manifestations. Plusieurs journalistes jugés trop engagés sont licenciés l'année suivante, à l'instar des antennes radio et télévision du service public.[réf. souhaitée]

En 1974, le nouveau président de la République Valéry Giscard d'Estaing et son Premier ministre Jacques Chirac, accusant la radio de « persifler », poussent le directeur Maurice Siegel et plusieurs autres dirigeants à la démission[17].

1974 - 1986 : ère de l'information, concurrence de la FM, privatisation[modifier | modifier le code]

En 1974, Jean-Luc Lagardère reprend donc en main la société, et devient directeur général[19], assisté d'Étienne Mougeotte, directeur d'antenne. À partir de 1976, la radio parvient en tête des audiences, devant RTL puis France Inter. Durant ces années 1970, Europe No 1 est alors la grande station de l'information, avec ses flashes et ses journaux présentés par André Arnaud (Europe Midi et Europe Soir), ses signatures journalistiques (Jean-Claude Dassier, Guillaume Durand, Olivier de Rincquesen, Jean-François Kahn, Jean-Pierre Joulin…), et ses correspondants ou envoyés spéciaux (François Ponchelet, Alexandre Fronty, Patrick Meney) présents sur tous les points chauds du monde.

Après l'élection de François Mitterrand en 1981, Étienne Mougeotte est amené à démissionner. La gauche met en place la nouvelle direction et s'immisce dans les choix éditoriaux de la radio, à l'instar du pouvoir précédent. Les radios privées désormais autorisées sur la bande FM ponctionnent une partie de l'audience d'Europe 1 qui amorce alors son déclin. Philippe Gildas prend la tête de la direction de l'antenne. Sont créés le Top 50 et de nouvelles émissions insolentes, comme « Radio Libre à… » animée par François Jouffa et Viviane Blassel, parmi lesquelles le rendez-vous animé par Coluche. Toutefois, l'ensemble des radios généralistes voient fondre leur audience face aux radios FM et face aux émissions télévisées de plus en plus efficaces[Lesquelles ?].

Le , Europe no 1 change officiellement de nom et devient Europe 1 (même si le nom Europe 1 est utilisé à l'antenne depuis la fin des années 1960)[20].

À compter de 1984, apparaît une nouvelle chaîne télévisée privée, Canal+ : le paysage audiovisuel, limité à trois chaînes avant cette date, va se modifier dans les années qui suivent, accentuant la concurrence sur le plan de l'information et du divertissement.

Le , la Sofirad vend à Jean-Luc Lagardère et à sa société Hachette sa participation de 34,9 % dans Europe 1. La radio est ainsi complètement privatisée[17].

1987 - 1996 : chute de l'audience[modifier | modifier le code]

Jean-Yves Lafesse à gauche et Philippe Gildas à droite, dans un studio de la station en .

Depuis le milieu des années 1980, le média radio et les grandes stations traditionnelles, d'une manière générale, connaissent un déclin sensible en termes de part d'audience.

La station Europe 1 connaît un plus fort déclin encore lors de la saison 1994-1995. D'après les mesures de Médiamétrie, Europe 1 passe sous la barre des 10 % d'audience entre avril et , passant derrière France Info (lancée en 1987)[21]. La station parvient à remonter à 10,1 % entre novembre et , mais recule à 9,5 % au premier trimestre 1996[22].

1996 - 2010 : recentrage sur l'information[modifier | modifier le code]

Sur fond de crise, Jérôme Bellay, le créateur de France Info, devient directeur général de l'antenne en [23]. Sous sa houlette, la station met en place un format « News et Talk » et réduit considérablement les émissions musicales (notamment Vinyl Fraise par François Jouffa, le Top de Marc Toesca et Les classiques d'Europe 1 par Philip de la Croix) de divertissement et de jeux (Gérard Holtz, Jean Roucas, Pascal Brunner, François Jouffa et Arthur sont remerciés). La nouvelle programmation alterne tranches d'information et interactivité avec les auditeurs[24]. Par ailleurs, le célèbre carillon marquant les heures de la station est changé et la diffusion se fait désormais en voie monaurale.

En , la station, au meilleur de sa forme, est écoutée par 5,5 millions de personnes[25].

En , Europe 1 compte 192 fréquences à travers la France.

Le , Arnaud Lagardère, président-directeur général de Lagardère Active, pôle audiovisuel de Lagardère SCA, nomme Jean-Pierre Elkabbach directeur général de l'antenne d'Europe 1, en remplacement de Jérôme Bellay, et administrateur de Lagardère Active Broadcast.

La rentrée 2005-2006 est marquée par un nouveau logo, un nouveau slogan (« Parlons-nous ! ») et un nouvel habillage sonore, qui s'accompagne d'une légère modification du fameux carillon, emblème de la station.

Le , Alexandre Bompard, directeur des sports de Canal+ depuis 2005, devient président de la station et de sa filiale Sport, à la place de Jean Pierre Elkabbach. Ce dernier, qui conserve son interview quotidienne ainsi que son interview dominicale sur Europe 1, prend alors la tête de Lagardère News, le nouveau pôle de coordination des médias de Lagardère SCA[26],[27]. Alexandre Bompard modifie considérablement l'équipe et la grille des programmes[28]. Il renforce le sport à l'antenne avec notamment des émissions sportives de 15 h à 23 h chaque week-end[29]. Pour diriger les sports, il compte sur Thierry Clopeau[30], assisté de Laurent Jaoui[31], tous deux venus de France Télévisions.

La station gagne des auditeurs et dépasse dès le cap des 5 millions d'auditeurs chaque jour selon Médiamétrie.

Pendant la présidence de Nicolas Sarkozy, Europe 1 est parfois surnommée « radio Sarko » en raison de sa proximité avec le pouvoir politique[32].

2009 - 2016 : des mutations en permanence[modifier | modifier le code]

La rentrée 2009 marque un changement de position pour la radio, qui renoue avec une grille plus généraliste. Pour accompagner cette évolution, un nouveau slogan est adopté : « Bien entendu ». En , Alexandre Delpérier est mis à pied pour avoir présenté une conférence de presse de Raymond Domenech et de Thierry Henry comme un entretien exclusif[33], et démissionne quelques jours plus tard[34].

La rentrée 2010 se caractérise par un recentrage sur l'information[35].

En , après le départ d'Alexandre Bompard fin 2010 et l'annonce d'audiences décevantes avec une perte de 500 000 auditeurs en un an, Nicolas Demorand et Marc-Olivier Fogiel annoncent tour à tour qu'ils quittent la station[36]. Denis Olivennes est alors le directeur général d'Europe 1. À la rentrée de , l'animateur de la matinale est remplacé, cette matinale est restructurée, les soirées sont remaniées.

Pour la rentrée 2013, avec la première grille sous la direction de Fabien Namias, la station tente une communication originale avec une campagne de publicité s'inspirant des affiches électorales en prévision des élections municipales de 2014[37]. Le slogan s'adapte en conséquence et devient « Europe 1 réveille les Français ».

À la suite du départ de Laurent Ruquier pour RTL en 2014, Europe 1 connaît à nouveau de grands mouvements sur sa programmation pour la saison 2014-2015.

Le , Europe 1 fête son anniversaire et ses 60 ans d'existence en faisant venir à l'antenne toutes les grandes voix qui ont fait les riches heures de la station[38].

2016 - 2020 : état d'urgence face à la concurrence[modifier | modifier le code]

Mis en cause simultanément dans deux affaires de mœurs, Jean-Marc Morandini est mis en retrait par la direction d'Europe 1[39]. Cyril Hanouna, dont l'émission Les Pieds dans le plat n'est pas parvenu à surmonter les mauvaises audiences après le départ de Laurent Ruquier, quitte également la station[40]. Alessandra Sublet lui succède.

Le , Fabien Namias est remplacé par Richard Lenormand à la direction générale d'Europe 1[41]. En même temps, Jean-Pierre Elkabbach quitte Europe 1[42]. En juin 2017, c'est l'ex directeur adjoint du Parisien, Donat Vidal Revel, qui est nommé à la direction de l'information.

Le sondage Médiamétrie pour la période indique qu'Europe 1 est dépassée par Franceinfo et égalée par RMC en termes d'audience cumulée. Une motion de défiance contre la direction, rebaptisée « motion d'état d'urgence », est votée à l'unanimité par le personnel d'Europe 1[43] Le , Arnaud Lagardère prend la présidence d'Europe 1 à la place de Denis Olivennes[44], recrutant Frédéric Schlesinger le [45]. Le , Frédéric Schlesinger devient vice-président du pôle FM de Lagardère, regroupant les stations Europe 1, Virgin Radio et RFM. Le , la presse révèle la nouvelle organisation interne autour d'Europe 1, voulue par Frédéric Schlesinger[46] : Emmanuel Perreau est installé comme directeur délégué d'Europe 1, aux programmes et à l'antenne, Nathalie André disparaissant du nouvel organigramme, Jean Béghin, autre débauché de Radio France, est nommé adjoint du pôle radio de Lagardère Active, Donat Vidal est nommé directeur délégué à l'information, et Bérengère Bonte est nommée directrice adjointe de la rédaction d'Europe 1. L'arrivée de Patrick Cohen en provenance de France Inter qui succède à Thomas Sotto à la matinale renommée Europe Matin constitue l'un des principaux transferts de présentateurs en 2017. Il devient par ailleurs directeur délégué de la station.

Lors de la saison suivante, Europe 1 signe la plus mauvaise rentrée de toute son histoire, soit depuis sa création en 1955, et se retrouve derrière RTL, France Inter, France Info et RMC[47]. Début 2018, la chute de l'audience se poursuit avec une perte de 810 000 auditeurs en un an, le point noir étant selon Le Figaro la matinale de Patrick Cohen qui fait fuir les auditeurs les plus conservateurs et n'aurait pas attiré ceux de France Inter[48]. Un peu plus d'un an après l'arrivée de Frédéric Schlesinger et la mise en place de son organisation autour de lui, il est remplacé, le , par le nouveau vice-président Laurent Guimier, Guy Birenbaum devenant son conseiller[49].

La chute d'audience se poursuit pendant la saison 2018 - 2019. En , la station enregistre sa treizième baisse consécutive enregistrée par la station malgré l'optimisme de Laurent Guimier[50]. D'autre part, le , le tribunal des prud'hommes reconnaît le licenciement sans cause réelle et sérieuse de l'ex-directeur de l'information d'Europe 1, Fabien Namias, et condamne Europe 1 à lui verser 411 500 euros[51]. Le , les chiffres publiés par Médiamétrie sont accablants pour Europe 1[52]. En parallèle, une contestation de plus en plus importante émane de la part des employés de la radio qui préparent une motion de défiance à l'encontre d'Arnaud Lagardère[53],[54]. Le , cette motion de défiance contre Arnaud Lagardère, PDG d'Europe 1, est adoptée lors d'une assemblée générale des salariés[55]. Le , Arnaud Lagardère tient à rassurer les salariés d'Europe 1. « On ne vendra pas Europe 1 », assure-t-il avant d'indiquer qu'il compte rencontrer les salariés afin de les rassurer sur ses intentions de relancer la radio[56],[57]. Le , les salariés adressent une nouvelle lettre ouverte à Arnaud Lagardère pour dénoncer « l'absence criante de stratégie » dans un contexte de dégringolade des audiences[58],[59].

Début , le départ de Laurent Guimier est annoncé[60],[61]. Il est remplacé par Constance Benqué[62],[63]. Sur la vague , Europe 1 n'est plus écoutée que par 2,7 millions de Français, ayant encore perdu en un an près d'un million d'auditeurs. Le , Arnaud Lagardère est présent lors de la conférence de rentrée d'Europe 1. Pour la première fois depuis son arrivée en 2003, le propriétaire de la radio participe à cette conférence où il a réaffirmé son intention de ne pas vendre Europe 1 mais au contraire de poursuivre sa tentative de redressement[64],[65].

Le , la station coupe son émetteur historique ondes longues après 64 ans d'émission[66], pour des raisons économiques.

Depuis 2020 : poursuite du déclin d'audience et rapprochement avec le groupe Vivendi[modifier | modifier le code]

Depuis , le groupe Vivendi, détenu par Vincent Bolloré est devenu le premier actionnaire du groupe Lagardère, propriétaire d'Europe 1[67]. Il pousse alors en faveur d'une orientation éditoriale très à droite voire à l'extrême-droite de la station[68]. Dans un ouvrage sur Europe 1, l'historien Denis Maréchal écrit que le milliardaire s’inspire de la croisade ultraconservatrice de Rupert Murdoch. Ce que ce dernier « entreprit aux États-Unis dès 1996 avec Fox News et le New York Post notamment, Vincent Bolloré en a tout simplement dupliqué le modèle deux décennies plus tard en France avec CNews et Europe 1 »[32].

Tout commence par la possible nomination de Louis de Raguenel[69] : le directeur de la rubrique Défense et International du journal Valeurs actuelles et ancien cadre de l'UMP est supposé prendre la tête du service politique de la station, ce qui suscite de fortes réactions parmi le personnel[70]. La conférence de presse de présentation de la nouvelle grille est annulée et finalement Louis de Raguenel devient seulement chef adjoint du service politique. Il est annoncé qu'il participera aux conférences de rédaction[71],[72].

Vers la fin de la saison, le climat de travail se dégrade de plus en plus : en , la direction d'Europe 1 annonce l'ouverture prochaine d'une rupture conventionnelle collective portant sur une quarantaine de postes, notamment à la direction de la rédaction et à celle des technologies[73],[74].

Enfin, en juin 2021, le journaliste Victor Dhollande est mis à pied après un accrochage avec une directrice des ressources humaines[75]. Une grève de cinq jours éclate alors, recevant beaucoup de soutien, notamment de la part d'Anne Sinclair, Patrick Cohen, Pascale Clark, etc.

Pendant ce temps, plusieurs animateurs et journalistes ont annoncé leur départ, parmi eux : Patrick Cohen, Julie Leclerc, Laurent Cabrol, Nicolas Canteloup, Sébastien Krebs, Bertrand Chameroy, Eva Roque, Jimmy Mohamed, Émilie Mazoyer, Wendy Bouchard et Julian Bugier (à cause de son arrivée au Journal de 13 heures de France 2). Enfin, Emmanuel Duteil, le chef du service économie-social quitte la station le 1er février 2022[76].

Ces départs sont accompagnés de nombreuses révélations dans la presse : le quotidien Libération relève que le directeur de l'information d'Europe 1, Donat Vidal-Revel, ennemi déclaré des idées de gauche, a donné pour consigne de diffuser le moins possible la paroles des syndicalistes lors des mouvements sociaux[77]. Le site d'investigation Les Jours révèle par ailleurs un management extrêmement agressif de la part de la direction de la station, qui provoquerait des crises de panique au sein du personnel[78].

La grille 2021-2022 est très largement renouvelée avec l'arrivée de nombreuses voix venues du Groupe Canal+ (dont CNews) : Dimitri Pavlenko (précédemment à la tête de la matinale économique de Radio Classique), Laurence Ferrari, Sonia Mabrouk, William Leymergie, Romain Desarbres, Anthony Favalli, Mouloud Achour, ou encore Laurie Cholewa. D'autres animateurs comme Alexandre Le Mer, Bérénice Bourgueil, ou encore Julia Vignali rejoignent également Europe 1.

Ces changements mènent à un effondrement des audiences : la station comptabilise 2,3 millions d’auditeurs en 2021, en baisse de 448 000 en un an, contre 6,9 millions et en augmentation pour France Inter[79]. Les finances de la radio sont par ailleurs fortement déficitaires, avec des pertes s'élevant à plusieurs dizaines de millions d’euros par an[80].

La rentrée 2022-2023 amorce en outre une nouvelle vague de départs : Matthieu Noël, humoriste emblématique de la station quitte Europe 1 pour France Inter, mais aussi Julien Pearce ou encore Nicolas Beytout, qui assurait l'édito politique en partenariat avec le journal L'Opinion.

En octobre 2022, le journaliste politique Victor Chabert, qui était chargé de la couverture de l'extrême-droite pendant l'élection présidentielle de 2022 pour Europe 1, est recruté par le Rassemblement national comme responsable des relations presse[81].

Le 12 juillet 2023, Médiamétrie publie les résultats de la nouvelle vague d'audiences : Europe 1 passe sous la barre des 2 millions d'auditeurs par jour, son plus bas niveau historique qui ne permet à la radio que de se classer au 11e rang, avec à peine 1.963.000 auditeurs[82].

À la rentrée 2023-2024, deux arrivées majeures bousculent la grille des programmes : celle de Pascal Praud, qui quitte ainsi RTL après 6 mois d'hésitation (entre RTL-M6 et Europe 1-CNews), et celle de Sophie Davant, quittant l'animation de l'émission à succès de France 2, Affaire Conclue. Pascal Praud s'installe à la mi-journée et Sophie Davant occupe l'ancienne case de Stéphane Bern entre 16h et 18h. Depuis la rentrée, les audiences marquent une progression notable, pour atteindre 2,2 millions d'auditeurs quotidiens en novembre-décembre[83].

Identité de la station[modifier | modifier le code]

Siège[modifier | modifier le code]

Le siège social historique d'Europe 1 était situé au 26 bis, rue François-Ier dans le 8e arrondissement de Paris jusqu'en 2018[84].

Le , celui-ci est transféré dans l'ancien siège de Canal+ au 2 rue des Cévennes dans le 15e arrondissement de Paris, près du quai André-Citroën[85],[86]. La station est installée dans le même siège social que Paris Match, Le Journal du Dimanche, RFM et Europe 2[87],[88].

Capital[modifier | modifier le code]

À la suite du désengagement du Groupe Lagardère de ses activités médias, la branche Lagardère Active est scindée en cinq pôles en 2020, le pôle news regroupant les radios Europe 1, Europe 2, RFM et les titres de presse Le Journal du dimanche et Paris Match[89]. Cette nouvelle entité, dénommée Lagardère News, reste contrôlée à 100 % par Lagardère SCA.

La société Europe 1 Télécompagnie[note 1] édite et diffuse les programmes d'Europe 1 en étant détenue à 100 % par le groupe Lagardère.[réf. souhaitée]

En 2023, dans le cadre de l'OPA de Vivendi sur le groupe Lagardère, Europe 1 et les autres radios du groupe; Europe 2 et RFM sont regroupées dans une Société en commandite par action (SCA) dénommée Lagardère radio. Arnaud Lagardère en est le gérant et le garant de l'indépendance vis à vis de Vivendi[90]. Ce changement a été soumis et validé par l'Arcom sous de nombreuses conditions[91].

Studios[modifier | modifier le code]

Europe 1 dispose de cinq studios dit « antenne », désignés par le nom de personnalités ayant marqué la station. Il y a deux studios principaux : le studio « Jean-Luc Lagardère » et le studio « Coluche », et deux studios publics : le studio « Louis Merlin » et le studio « Pierre Bellemare »[92].

Le studio Merlin et le studio Bellemare sont devenus des studios de télévision, ce dernier est utilisé par les émissions Punchline et Le grand rendez-vous diffusées en simultané sur CNews et Europe 1.

Depuis le décès de Pierre Bellemare, grande figure de la station, la direction a décidé de baptiser son grand studio public (jusqu'à présent appelé Espace) en son nom pour lui rendre hommage. L'inauguration de ce studio s'est déroulée le pendant la matinale de Nikos Aliagas et en présence de son fils, Pierre Dhostel, ainsi que de Franck Riester, alors ministre de la Culture. Ce studio comprend un auditorium d'une centaine de places destiné à accueillir des émissions en public[93].

Il existe également un studio de secours, servant aussi aux enregistrements de podcasts inédits : le studio « Maurice Siegel ».

Identité visuelle (logo)[modifier | modifier le code]

Slogans[modifier | modifier le code]

Le studio Louis Merlin, 2011.
  • 1965 à 1975 : « Je choisis, Europe 1 ! »
  • 1975 à 1981 : « Europe 1, c'est naturel. »[94]
  • 1981 à 1983 : « Europe 1, la radio libre de choc. »[95]
  • 1983 à 1986 : « De grands moments, à chaque instant. »
  • 1986 à 1995 : « Europe 1, c'est la pêche[96]. »
  • 1996 à 2000 : « A quoi sert l'info si on ne s'en parle pas ? »
  • 2000 à 2001 : « Europe 1, c'est bien. »
  • 2001 à 2005 : « Europe 1, ça me parle. »[97]
  • 2005 à 2009 : « Parlons-nous. »[98]
  • 2009 à 2013 : « Europe 1, bien entendu. »
  • 2013 à 2014 : « Europe 1 réveille les Français. »
  • 2014 à 2016 : « Europe 1 : Un temps d'avance[99]. »
  • 2016 à 2018 : « Europe 1, Mieux capter son époque[100]. »
  • 2019 : « Europe 1, bien dans son époque. »
  • 2019 à 2021 : « Écoutez le monde changer[101]. »
  • Depuis 2021 : « Le pouvoir de l'écoute. »[102]

Voix antenne[modifier | modifier le code]

Voix off actuelles :

  • voix masculine : Sylvain Agäesse (depuis 2023) ;
  • voix féminine : Barbara Gateau[103] (2013-2018 / depuis 2019 ).

Anciennes voix off :

Carillon[modifier | modifier le code]

« Le Carillon » d'Europe 1, est mis en service en 1955. Il exploite un appareil physique relié à une pendule, qui se déclenche automatiquement chaque heure, sauf cas exceptionnel lors des allocutions du chef de l'État[104].

En 1996, lors de l'arrivée de Jérôme Bellay à la direction de la station, le Carillon est déclenché uniquement sur commande du technicien pour gagner en souplesse à l'antenne[104].

Le Carillon est réorchestré et numérisé en 1998[105].

Il est réorchestré plusieurs fois depuis 1998 et fait l'objet de versions spéciales selon les événements de la station (fait historique, match de foot, Noel etc)[106].

Les notes historiques du Carillon en do majeur (sol sol mi / sol mi do) correspondent à l'indicatif d'ouverture d'Europe 1, composé par Raymond Lefebvre[107].

À la rentrée 2023-2024, Europe 1 et le studio Zéro Janvier remixent le carillon emblématique de la station en introduisant une chanteuse qui lance l'habillage[108].

Personnel de la station[modifier | modifier le code]

Dirigeants[modifier | modifier le code]

Équipes à l'antenne[modifier | modifier le code]

La station Europe 1 emploie sur son antenne plusieurs types de professionnels, parmi eux des animateurs, des journalistes, des chroniqueurs, des consultants, des correspondants à l'étranger, des grands reporters, des humoristes.

Animateurs, journalistes, chroniqueurs et consultants actuels[modifier | modifier le code]

Anciens animateurs[modifier | modifier le code]

Anciens journalistes-présentateurs[modifier | modifier le code]

Meneuses de jeu (jusqu'en 2021, puis à partir de 2023)[modifier | modifier le code]

Voici la liste[121] :

  • Céline Da Costa (du à , du au )
  • Julie Leclerc (1972-1975, 1976-2021)
  • Anissa Haddadi (2013-2020, 2023-…)
  • Ombline Roche (2014-2020)
  • Justine Hollman (du au )
  • Marlène Duret (du au 21 août 2020, 2023-…

Depuis fin février 2023, le rôle de meneuse de jeu, de retour sur Europe 1, est assuré par Anissa Haddadi (en plus de la météo) pour les émissions Europe 1 Matin et Culture Médias.

Programmation[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

La programmation d'Europe 1 est dominée par les émissions d'informations, incarnée par 3 tranches horaires d'importances en semaine : Europe 1 Matin, entre 7h et 9h, Europe 1 13h entre 13h et 14H et Europe 1 Soir entre 19h et 20h. La programmation info est complétée par des flashs à chaque début d'heure entre 4h30h et 0h tandis que le week-end, de nombreux magazines comme Les grandes voix, C'est arrivé... ou Europe 1 Soir Week-end abordent les thèmes qui ont dominé l'actualité de la semaine écoulée. De plus, la grille du dimanche est complétée par un Grand Rendez-Vous, désormais emblématique et assuré de 10h à 11h en partenariat avec CNews et le quotidien Les Echos.

Des émissions et chroniques de divertissements composent la grille de journée, incarnée par Jean-Luc Lemoine et Stephane Bern. Durant la matinale, l'humoriste Gaspard Proust assure une signature du mardi au jeudi dans la matinale.

Les divers magazines abordent des thématiques variées : actualités, médias, vie quotidienne et santé, histoire, cinéma, musique. La station propose également des émissions d'entrevues abordées sous divers prismes : musique, carrière[122]... Le sport a une importance réduite sur la grille avec une émission d'une heure diffusée du vendredi au dimanche avec Jacques Vendroux: Europe 1 Sport - Le Studio des Légendes

Évolutions depuis 2008[modifier | modifier le code]

Saison 2023-2024[modifier | modifier le code]

Malgré le maintien de certains animateurs et journalistes, la grille d'Europe 1 est à nouveau modifiée : Ombline Roche et Alexandre Le Mer restent aux commandes d'Europe 1 Bonjour et Dimitri Pavlenko à celles d'Europe 1 Matin. Ce dernier accueille un nouvel arrivant au sein de son équipe, Olivier de Lagarde, venu de France Info, qui anime la revue de presse, disparue de l'antenne depuis 2019 avec David Abiker[170].

L'émission Culture Médias reste à l'antenne, mais dans une mouture se voulant plus interactive avec Thomas Isle en remplacement de Philippe Vandel, remercié après 6 ans à l'antenne[171]. Pascal Praud s'installe pour une tranche d'information à la mi-journée nommée Pascal Praud & Vous[172]. Débutant à 11 H, il remplace Mélanie Gomez et Julia Vignali, dont l'émission Bienfait pour vous ! est supprimée. A 13 H, Céline Géraud anime Europe 1 13 H pour faire le point sur l'actualité du jour[173].

L'après-midi est lui aussi modifié. Si Christophe Hondelatte et Stéphane Bern sont toujours présents, les mauvaises audiences en écoute linéaire[174] et le début d'effritement des audiences en podcasts (Christophe Hondelatte a perdu 2 millions d'écoutes en moins d'un an et Stéphane Bern a quitté le Top 20 des émissions les plus écoutées[175]) conduisent leurs émissions à être réduites de moitié. Christophe Hondelatte continue Hondelatte raconte... à 14 H et Stéphane Bern continue l'animation de l'émission Historiquement vôtre ! à 15 H, dans un format remanié. Ces changement se font au profit de Sophie Davant, qui anime Sophie et les copains, une émission de bande avec des invités et des chroniqueurs sous fond de jeu avec les auditeurs[176].

Europe 1 Sport est annulée[177] après une saison ayant provoqué une chute massive d'audiences, l'émission est remplacée par quatre émissions qui se partagent son ancien horaire : La France bouge avec Elisabeth Assayag entre 20 H et 21 H, qui était diffusée entre 13 H et 14 H la saison précédente ; l'émission musicale Hey Joe ! animée Joe Hume, transfuge de la matinale de Oui FM ; Europe 1 Nuit à 22 H ; et la libre antenne de Olivier Delacroix à 22 H 15[178].

Yann Moix quitte la Libre Antenne du Week-End et est remplacé par Valérie Darmont, ayant assuré ce rôle l'été[179]. Yann Moix était beaucoup critiqué durant la saison précédente à la présentation de la Libre Antenne, certains auditeurs lançant même une pétition pour exiger son départ[180] pour ne pas laisser la parole aux auditeurs, en déviant du concept de libre-antenne, ou en s'infiltrant dans les locaux de Radio France pour tenter d'animer son émission depuis les bureaux d'Adèle Van Reeth, directrice de France Inter[181].

Le week-end, Julia Vignali reçoit un invité à 8 H 30, malgré la suppression de son émission quotidienne. Isabelle Morizet partage la tranche 13 H -14 H avec Didier Barbelivien, elle garde une heure le samedi pour son entretien Il n'y a pas qu'une vie dans la vie !. Le dimanche, Barbelivien anime Dis moi ce que tu chantes... sur cette case horaire.

Au Coeur de l'Histoire revient à l'antenne, après être passée en format podcasts diffusés exclusivement en ligne pendant 4 ans, à la suite du départ de Frank Ferrand en 2019[182]. Virginie Girod en prend les commandes et assure le retour à l'antenne de 15 H à 16 H le samedi et le dimanche[183].

Événementiel[modifier | modifier le code]

Lorsque l'actualité le nécessite, Europe 1 a recours à une programmation événementielle, laquelle n'est plus soumise aux grilles de programmes. Ces événements, qu'ils soient politiques, économiques, sociétaux, culturels ou sportifs, se retrouvent dans les pages retraçant les chronologies annuelles du média radio.

Par exemple, entre 2017 et 2019, Europe 1 prend part aux événements suivants :

Depuis la rentrée 2022-2023, la station organise chaque vendredi une programmation dédiée à un thème de l'actualité. Ce thème est traité dans les journaux des rendez-vous d'infos et est analysé en profondeurs dans les émissions de débats (Le club de la presse, Europe 1 Soir, etc.)

À chaque élection, Europe 1 organise une édition spéciale commençant aux environs de 18h. Elle consiste en des séquences de débats, d'interventions de personnalités politiques ou de journalistes et d'annonce de résultats. Les commandes de ces éditions spéciales étaient souvent confiés au « matinalier » de la radio (Thomas Sotto en 2017 pour les présidentielles et les législatives ou encore Bruce Toussaint pour celles de 2012) ou au journaliste animant la tranche de 18h à 20h du week-end (Wendy Bouchard en 2020 pour les municipales et en 2021 pour les régionales).

Depuis son rapprochement avec la chaîne d'information en continue CNEWS, Europe 1 co-diffuse les éditions spéciales de la chaîne. En 2022, les deux médias mettent en place un dispositif commun piloté par Laurence Ferrari et avec la participation des journalistes d'Europe 1 et des chroniqueurs et éditorialistes de CNEWS (Matthieu Bock-Côté, Charlotte d'Ornellas). Ces éditions spéciales communes ne sont pas seulement diffusés lors d'élections, mais aussi à l'occasion du 14 juillet[191].

En 2023, à l'occasion des fêtes de fin d'année, Europe 1 décide de bouleverser deux fois sa grille des programmes en proposant des soirées spéciales. Ainsi, le 24 décembre à 22h15, Sophie Davant proposait le programme Il était une voix[192], une compilation de récits racontés par les grandes voix de la station (Dimitri Pavlenko, Sonia Mabrouk, Stéphane Bern, Pierre de Vilno, etc.). Puis, le 31 décembre au soir, Anissa Haddadi (meneuse de jeu de la matinée sur Europe 1) et Clément Lanoue (matinalier d'Europe 2) animaient l'émission Le club du 31 qui recevait les figures phares de la station à l'occasion d'un réveillon.

Activités connexes[modifier | modifier le code]

Récompenses décernées[modifier | modifier le code]

  • Depuis 1961, la Bourse Lauga-Delmas est un concours organisé par Europe 1 pour distinguer les meilleurs étudiants en dernière année d'école de journalisme.
  • Le , la station lance « Les Trophées de l'Avenir Europe 1 » afin de récompenser celles et ceux qui participent activement à la construction d’une société durable et harmonieuse[193].

Partenariats[modifier | modifier le code]

  • Les 12 et , Europe 1 est partenaire de l'Eurovision 2017 et a diffusé plusieurs émissions en direct de Kiev[194].
  • Du 28 au , Europe 1 est partenaire de la 7e édition du Marrakech du rire, animant ses émissions depuis le festival[195].
  • Du 22 au , Europe 1 s'est associée à l'événement Solidays, le plus grand festival francilien[196].
  • En 2021, Europe 1 était partenaire du festival de Cannes, grâce à son rapprochement avec le groupe Canal+. Les cérémonies d'ouverture et de clôture de la 74e édition étaient diffusées et commentées en direct par les équipes de la station, notamment le critique cinéma Matthieu Charrier. Cependant, le groupe Canal+ a perdu les droits de diffusion du festival de Cannes la même année[197] au profit du groupe France Télévisions et de la plateforme Brut, Europe 1 n'a donc plus diffusé la cérémonie depuis.
  • Europe 1 est partenaire de la Cérémonie des César depuis 2022[198]. La station diffuse la cérémonie en direct et propose une soirée spéciale commentée par les experts culturels d'Europe 1 et de CNEWS.
  • Depuis 2023, Europe 1 est partenaire de CannesSéries et a diffusé plusieurs reportages, interviews et extraits traitant de la cérémonie dans ses journaux et ses émissions[199].

Autres activités[modifier | modifier le code]

Diffusion[modifier | modifier le code]

Matériel d'enregistrement et micro Europe 1 exposés lors des journées du patrimoine 2014.

Pour transmettre ses programmes, Europe 1 utilise la FM, le satellite, le DAB+, l'internet, etc.

Grandes ondes (GO) (inactif)[modifier | modifier le code]

Entre 1955 et 2019, Europe 1 est diffusée en grandes ondes (GO) sur 183 kHz par l'émetteur de Felsberg situé près de Sarrelouis en Sarre, de 4 heures du matin à h 5 avec une puissance de 1 500 kW[203]. Elle peut alors être captée dans les 3/4 de la France, en Belgique, au Luxembourg, aux Pays-Bas, en Angleterre, en Suisse, dans une grande partie de l'Allemagne, en Autriche et au Maghreb.

Le à 23 h 28, l'émetteur ondes longues historique est coupé après 64 ans d'émission[66].

Modulation de fréquence (FM)[modifier | modifier le code]

Europe 1 dispose d'une couverture FM quasiment nationale en France et, par débordement, dans quelques régions frontalières de pays limitrophes comme la Belgique, le Luxembourg, la Suisse.

Depuis le mois de juin 2015 les émetteurs d’Europe 1 en bande FM diffusent désormais en stéréo, dans la région parisienne et qui s'est généralisé quelques mois plus tard dans tout le territoire national. Pour rappel, en 1996, Europe 1, qui voit alors son audience baisser, s’oriente vers un contenu plus axé info, débats et interactivité avec les auditeurs, en supprimant les émissions musicales et de divertissement, sur décision du nouveau dirigeant de la station de l’époque, Jérôme Bellay. La stéréo, de fait, disparaît au profit de la mono[source détournée][204].

Reprises[modifier | modifier le code]

Europe 1 est reprise partiellement en France d'outre-mer et en Belgique par les radios suivantes :

Satellite[modifier | modifier le code]

  • En clair sur le bouquet radio de Canalsat, Numéricable (Europe et Afrique du Nord) (fréquence 12 363 GHz[211]) ;
  • En clair sur le satellite Eutelsat 5 West A (ex-Atlantic Bird 3 sur le bouquet Fransat) ;
  • Sur le bouquet payant Worldspace sur le faisceau ouest, distribué par le bouquet Afristar. Ce satellite couvre une zone ovale s'étendant au nord de l'Allemagne du Nord à la Roumanie, et au sud du Gabon à l’Égypte.

Radio Numérique Terrestre (DAB+)[modifier | modifier le code]

Europe 1 est diffusé en DAB+ sur l'axe Paris-Marseille (A6 et A7) depuis le 12 octobre 2021 sur le multiplex métropolitain no 2[212].

Télévision[modifier | modifier le code]

Certaines des émissions de la station ont bénéficié d'une adaptation à la télévision, des événements sont aussi diffusés en simultané :

  • C'est quoi ce bordel ? à partir d' est diffusée, tous les jeudis soir sur Virgin 17[213].
  • On va s'gêner de Laurent Ruquier, dès début 2010 est diffusée mensuellement sur France 4, mais en l'émission est supprimée par la direction de France Télévisions, qui ne souhaite pas qu'un animateur soit présent sur plusieurs chaines du groupe[214].
  • Taratata animé par Nagui sur France 2 en simultané sur Europe 1 jusqu'au , tous les vendredis soir.
  • Depuis le , l’émission de télévision Punchline qui est diffusée depuis 2017 sur CNEWS (précédemment sur D8) et est animée par Laurence Ferrari; est diffusée à la radio sur Europe 1. L’émission est exclusive à CNEWS de 17 h à 18 h, simultanée sur les deux antennes de 18 h à 19 h et exclusive à Europe 1 de 19 h à 20 h[215].
  • En novembre 2021, Cnews est partenaire d'Europe 1 pour assurer le débat consacré à la primaire de la droite (Les Républicains) en vue de l'élection présidentielle de 2022[216].
  • Le 25 février 2022, Europe 1, s'associe à Canal+ pour retransmettre la 47e cérémonie des César[217].

Podcasts[modifier | modifier le code]

Les podcasts de la station sont parmi les plus écoutés de France : ils totalisent près de 17 millions d'écoutes tous les mois. Trois de ces podcasts sont présents dans le Top 30 de Médiamétrie : il s'agit d'« Hondelatte raconte », premier podcast de récit en France avec plus de 10 millions d'écoutes mensuelles, d'« Historiquement vôtre » et d'« Au cœur de l'histoire », seul podcast original (non-diffusé à l'antenne) présent dans ce Top 30[218].

Europe 1 Studio est le label de podcasts natifs d'Europe 1.

Créations originales[modifier | modifier le code]

  • Le , la station lance la série originale En route avec en partenariat avec Peugeot[219], ce podcast est présenté par Pierre de Vilno
  • Le , Europe 1 lance L’Envol, le podcast sur le changement de vie[220].
  • Le , à l'occasion de la Coupe du monde féminine de football, la station lance Les attaquantes, podcast ayant pour thème les femmes qui font carrière dans le football[221].

Collaboration avec des marques[modifier | modifier le code]

Europe 1 développe des podcast pour d'autres médias, notamment Paris Match Stories, Le Profil de l'Emploi avec LinkedIn ou encore « les petits podcasts » avec Kinder.

Internet[modifier | modifier le code]

Le site internet et l'application Europe1 permettent d'écouter en streaming (en direct) et proposent de nombreux podcasts gratuits. Le site Europe1.fr est le premier site de radio privé en France et rassemble chaque mois près de 17 millions de visites[222].

Europe 1 se lance également sur de nouvelles plateformes:

  • Sur Youtube, la station propose une très grande partie de ses replays. Sa chaîne Youtube est la plus influente de tous les médias et totalise des dizaines de millions de vues[223].
  • Sur TikTok, Europe 1 s'est lancée le plus tardivement (le ), et propose un dispositif spécial à l'occasion des élections présidentielles de 2022: le chef du service politique, Louis de Raguenel, et Océane Thréard, lauréate de la Bourse Lauga-Delmas, répondent aux questions posées en commentaires. Ces vidéos totalisent des millions de vues[224].
  • Sur Snapchat, la radio propose un rendez-vous hebdomadaire concernant la santé, nommé Va voir le docteur, un médecin souvent entendu à l'antenne répond à une question de santé[225].
  • Sur Instagram, la chaîne propose le replay de certaines de ces chroniques, telles que Le billet de Gaspard Proust, ou encore Pascal Praud & Vous. La radio utilise également le réseau social pour communiquer: ainsi, elle propose aux abonnés de découvrir en avant-première qui sera invité de ses émissions ou encore d'en savoir plus sur les audiences de la radio ou des grands rendez-vous à venir[226].

Audiences[modifier | modifier le code]

Bilan[modifier | modifier le code]

Audiences en milliers d'auditeurs quotidiens et en part d'audience[227]
Janvier - Février - Mars Avril - Mai - Juin Juillet - Août Septembre - Octobre Novembre - Décembre Moyenne annuelle cumulée/ PDA
2010 5260 / 9,0%[228] 4500 / 7,7%[229] 4300 / 8,2%[230] 5100 / 8,1%[231] 4600 / 7,4%[232] 4752 / 8,1%
2011 4765 / 7,6 %[233] 4555 / 7,3 %[234] 3665 / 6,6 %[235] 4660 / 7,8 %[236] 4922 / 7,6 %[237] 4513 / 7,3 %
2012 4720 / 9 %[238] 4580 / 7,4 %[239] 3790[240] 4685[241] 4793 / 7,6 %[242] 4514 / 7,7 %
2013 4492 / 7,1 %[243] 4756 / 7,3 %[244] 4390 / 7,7 %[245] 4862 / 7,8 %[246] 4967 / 8,6 %[247] 4693 / 7,7 %
2014 4936 / 8,1 %[248] 4617 / 8,2 %[249] 4300 / 7,4 %[250] 4800 / 7,5 %[251] 4555 / 7,2 %[252] 4642 / 7,7 %
2015 4900 / 7,5 %[253] 4700 / 7,6 %[254] 4000 / 7,8 % [255] 4585 / 7,2 %[256] 4852 / 7,4 %[257] 4607 / 7,5 %
2016 4454 / 6,8 %[258] 4084 / 7 %[259] 3600 / 6,5 %[260] 4346 / 6,6 %[261] 4373 / 6,6 %[262] 4171 / 6,7 %
2017 4161 / 6,2 % [263] 3836 / 6,1 %[264] 3900 / 6 %[265] 3891 / 5,6 %[266] 3567 / 5,1 %[267] 3871 / 5,8 %
2018 3682 / 5,3 %[268] 3503 / 5,3 %[269] 2980 / 4,2 %[270] 3 381 / 4,8 %[271] 3236 / 4,7 % 3356 / 4,9 %
2019 3204 / 4,5 % 2734 / 3,9 % 2513 / 4,1 % 2813 / 4,1 % 3241 / 4,5 % 2901 / 4,2 %
2020 2953 / 4,5 %[272] 2429 / 4,0 %[273] 2 320 / 3,4 %[274] 2 655 / 4,1 %[275] 2 727 / 3,9 %[276] 2617 / 4 %
2021 2 800 / 4,5 %[277] 2 370 / 4,7 %[278] 2 401 / 4,3 %[279] 2 420 / 3,7 %[280] 2 280 / 3,4 %[281] 2 424 / 4,1 %
2022 2 172 / 3,9 % 2 125 / 3,3 %[282] 1 817 / 3,3 % [283] 2 058 / 3,7 %[284] 2 010 / 2,9 %[285] 2 055 / 3,5 %
2023 2 164 / 3,2%[286] 1 963 / 3,2%[287] Pas de mesure 2 140 / 3,3%[288] 2 244 / 3,4% 2 128 / 3,3%

Commentaires et analyses[modifier | modifier le code]

Évolution de l'audience d'Europe 1 entre 2010 et 2022.

Alors qu'Europe 1 dépassait en le cap des 5 millions d'auditeurs par jour, le sondage Médiamétrie pour la période indique que la station est écoutée par 4,7 millions d'auditeurs. Ce sondage indique qu'Europe 1 est, pour la première fois de son histoire, dépassée par Franceinfo et égalée par RMC en termes d'audience cumulée, la radio étant désormais derrière RTL, France Inter, NRJ, France Info et RMC.

En 2017, la station est écoutée par plus de 4,2 millions d'auditeurs en audiences cumulées chaque jour[289].

Sur la période , avec 5,9 % d'audience cumulée et 3,2 millions d'auditeurs quotidiens, Europe 1 est au niveau de Nostalgie et Skyrock[290].

Pour la période d'avril à juin 2019, Europe 1 est écoutée par 2,7 millions de Français : elle a perdu près d'un million d'auditeurs en une année. Elle se retrouve derrière France Inter, RTL, NRJ, France Info, RMC, Skyrock, France Bleu et Nostalgie[25]. En comparaison, à son niveau le plus haut, la station était écoutée par 5,5 millions de personnes en [25].

Europe 1 signe sa plus faible performance historique sur la période de juillet et août 2022. Elle est écoutée par 1,8 millions de Français[291].

Le 16 novembre 2023, Médiamétrie publie les résultats des audiences de la rentrée 2023-2024 avec une première hausse d'audience pour Europe 1 depuis son niveau le plus bas enregistré à l'été 2022[288]. Elle est écoutée par 2,1 millions d'auditeurs. Cette hausse est confirmée lors de la publication du 11 janvier 2024. La station revient à une audience cumulée de 4 %, c'est-à-dire 0,4 point de plus qu'un an auparavant[292].

Paroles du CSA et de la CNIL, polémiques diverses[modifier | modifier le code]

En 2011, le CSA met en demeure Europe 1 pour défaut d'information sur le coût de son numéro surtaxé[293].

En 2015, le CSA met en demeure Europe 1 et 12 autres médias pour « manquements graves » relatifs à leur couverture médiatique des attentats du mois de janvier[294].

Le , Europe 1 est mise en demeure par le CSA pour des propos tenus dans l'émission Village Médias de Philippe Vandel, propos qualifiés de « stéréotypes stigmatisants », après la diffusion des propos d'Éric Zemmour au sujet d'Omar Sy : « Ici même, Omar Sy a demandé à ce qu'on ne m'invite plus nulle part et il m'a traité de criminel. Je voudrais seulement lui signaler, qu'un criminel, c'est quelqu'un qui commet un crime » a-t-il d'abord lancé avant de poursuivre : «Je sais bien qu'entre Trappes et Hollywood il n'a pas eu le temps d'apprendre la langue française, je tiens à le dire »[295].

En , la CNIL a adressé un avertissement à Europe 1 pour un « fichage » d'auditeurs[note 3]. Dans un tweet, le vice-président d'Europe 1 Laurent Guimier estime que « ce sont des pratiques honteuses de fichage des auditeurs d’Europe 1... C'est dans le respect de nos auditeurs que nous dessinons chaque jour l'avenir d'Europe 1[299] ».

Le journal en ligne Mediapart souligne, dans une enquête publiée en , les contradictions de la politique salariale d’Europe 1 : d’un côté, des réductions budgétaires pour les salariés et pigistes ; et de l’autre, des contrats aux montants très élevés pour ses animateurs (avec des salaires moyens de 15 513 euros en 2015)[300].

Annexe[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La fiche d'identité de la société Europe 1 Télécompagnie figure dans la section des liens externes de cet article.
  2. Julian Bugier quitte l'animation d'Europe Soir afin de pouvoir se consacrer entièrement au 13 h de France 2 et à la prochaine campagne présidentielle.
  3. La radio a enregistré des fiches contenant des informations sur plus d'un demi-million d'auditeurs via un logiciel qui les stocke depuis 2002[296], « parfois dans des termes insultants »[297],[298].

Références[modifier | modifier le code]

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