Fauchon Paris — Wikipédia

Fauchon
logo de Fauchon Paris

Création 1886
Dates clés 25-02-1983 immatriculation rcs
Fondateurs Auguste Fauchon
Forme juridique SASU (société par actions simplifiée unipersonnelle)
Siège social Paris
Drapeau de la France France
Direction M Samy Vischel Président depuis 2018
Actionnaires Michel Ducros
Activité Autres commerces de détail alimentaires en magasin spécialisé
Filiales Fauchon Paris
Fauchon Réceptions
Fauchon Monaco
Fauchon Japon
Fauchon Hong Kong
Fauchon Middle East
Fauchon Vente à distance
SIREN 326315462
Site web www.fauchon.com

Chiffre d'affaires Comptes annuels non déposés

Fauchon est une entreprise mondiale de gastronomie de luxe, vendant des produits à sa marque dans toutes les catégories de l’agroalimentaire. Fauchon a pour métiers principaux l’épicerie fine, la pâtisserie, la boulangerie, la confiserie, mais aussi les activités d'hôtellerie et de restauration.

Fondée en 1886 à Paris, Fauchon dispose de 66 points de vente dans le monde.

Historique[modifier | modifier le code]

Les origines[modifier | modifier le code]

Le fondateur de la marque Fauchon, Auguste Fauchon, nait dans le Calvados en 1856. Arrivé en 1880 à Paris, il commence à vendre ses produits dans la rue comme marchand de quatre saisons, puis négociant en vins et alcools[1].

Puis, en 1886, à tout juste 30 ans, il se lance en ouvrant l'épicerie Fauchon, place de la Madeleine dans le 8e arrondissement. Ce premier magasin existe encore, après avoir été totalement rénové en 2005[2][réf. non conforme], puis en 2007 par le designer Christian Biecher[3][réf. non conforme].

La qualité des produits fabriqués par Fauchon et ses nombreux fournisseurs lui assurent rapidement une notoriété internationale[4], symbolisant le luxe à la française.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, les restrictions et le rationnement général mettent la société en situation difficile. Auguste Fauchon meurt en 1945 et l’entreprise est vendue par ses enfants en 1952[1].

L'ère moderne : de 1952 à 1998[modifier | modifier le code]

Entrée du magasin Fauchon de la place de la Madeleine en 2008.

En 1952, Joseph Pilosoff, ancien propriétaire du Chocolat Poulain, des « Ciseaux d’argent » à Saint-Cloud et d'« Aux 100 000 chemises »[5] à Paris, reprend l’affaire Fauchon et entreprend un important partenariat avec la compagnie Air France[6]. Il développe également l'enseigne à l'étranger, avec l’ouverture de magasins Fauchon, notamment au Japon, dès 1972, au sein des grands magasins Takashimaya[6].

Le , elle est pillée par des militants maoïstes[7].

Après le décès de Joseph Pilosoff en 1981, sa fille reprend la direction de Fauchon. Elle meurt accidentellement dans un incendie avec sa fille cadette Nathalie Guglielmino, dans le restaurant de direction de l’entreprise en , à la suite d'un départ de feu dans les cuisines[8]. À 33 ans, sa fille aînée Martine et son mari Philippe Prémat se retrouvent propriétaires de Fauchon[8].

La reprise par Martine Prémat s’avère difficile : le chiffre d'affaires stagne depuis le début de la décennie autour de 250 millions de francs (38 millions d’euros), avec des pertes de 5 millions en 1991, 4,7 millions en 1993 et 11,9 millions en 1996, un endettement de 73 millions de francs (11 millions d’euros) et des capitaux propres négatifs de 4,9 millions[9]. La stratégie engagée pour entrer dans la grande distribution chez Carrefour ou Auchan[9] est vivement critiquée, car il est reproché à la direction d'avoir pris le risque de banaliser et de brouiller l'image de la maison[10].

En 1986, Pierre Hermé prend la direction de la pâtisserie chez Fauchon, poste qu'il conservera 10 ans jusqu'à son départ chez Ladurée en 1996[11].

Malgré les tentatives de développement au cours des années 1990, en ouvrant successivement des magasins à Genève et en Arabie saoudite, Martine Prémat cède en l'entreprise et ses actifs, dont les immeubles de la place de la Madeleine à un groupe d’investisseurs dirigé par Laurent Adamowicz[12],[13].

De 1998 à 2003 : l'ouverture vers de nouveaux marchés[modifier | modifier le code]

Laurent Adamowicz positionne la marque sur le marché de la gastronomie de luxe : campagnes de publicité, rénovation des magasins, lancement de nouveaux produits[14], sortie de la marque de la grande distribution, partenariat avec Air France. Il assure aussi la promotion de jeunes chefs pâtissiers[15] tels que Sébastien Gaudard, Christophe Adam et Dominique Ansel, après le départ de Pierre Hermé.

En , Fauchon vend l'ensemble immobilier de la Place de la Madeleine pour 100 millions de francs à la société foncière OGIC afin de financer son développement sur le marché américain. Fauchon devient ainsi locataire de ses surfaces commerciales[16].

La société se développe sur le marché américain, en consacrant 60 millions de francs (9,2 millions d’euros) sur 5 ans et en s'associant à l'enseigne de grands magasins Neiman Marcus[17],[18], mais aussi au Japon, en Corée du Sud, à Taïwan, au Moyen-Orient, aux Etats-Unis[19],[20],[21].

En France, l'acquisition pour 39 millions d'euros des boutiques Flo Traiteur au Groupe Flo en [17],[22],[23] augmente le nombre de points de vente parisiens de 12 boutiques[24]. En 2003, le réseau Fauchon comptabilise ainsi 650 points de vente en franchise, 16 magasins en propre (dont 3 à New York et 13 à Paris).

Intérieur d'un magasin Fauchon à Paris en 2003.

Durant l'été 2003, l'entreprise, lourdement endettée par la conversion des magasins parisiens de Flo Traiteur à l’enseigne Fauchon[25],[26], connaît une grave crise de trésorerie, dans un contexte économique mondial difficile qui touche de plein fouet les industries du luxe (la guerre d'Irak en , l’épidémie mondiale de grippe aviaire (SRAS) en , puis la canicule européenne de 2003). Le , Laurent Adamowicz cède ses actions de contrôle du holding de tête de Fauchon et quitte le groupe[27].

Depuis janvier 2004 : nouveaux développements[modifier | modifier le code]

Michel Ducros est nommé président de Fauchon en par tous les actionnaires du groupe[28],[29],[30], alors qu’il ne détient encore que 17 % des actions[31], et s’attelle immédiatement à sa gestion dans un contexte délicat : Fauchon a perdu 11,5 millions d'euros pour 80 millions de chiffre d'affaires pour l'année terminée le [32].

Les nouveaux actionnaires de l’entreprise adoptent dès lors une stratégie visant à réduire les coûts et cèdent les activités non stratégiques :

  • La fermeture des magasins en Russie et aux États-Unis[33],[34],[35]
  • La vente des activités de plateaux-repas au groupe Fleury Michon[36]
  • La cession des magasins parisiens de Fauchon au concurrent Lenôtre[37],[38]
  • Des suppressions d'emplois de 700 personnes entre 2004 à 2010, passant de 900 à 200 personnes[39].

À partir de 2005, Michel Ducros rachète la plupart des actionnaires privés et institutionnels : la totalité des actions détenues par le Groupe Barclays, puis en 2009, la participation de 36 % de la Compagnie du Bois Sauvage (nl), celle de Matignon Investissement & Gestion[40], et enfin les actionnaires minoritaires[40]. Michel Ducros détient 95 % du capital de Fauchon[41] : « Je suis un entrepreneur, j'investis à long terme », affirme l'intéressé[40].

Michel Ducros revoit également sa stratégie commerciale en se recentrant sur le savoir-faire artisanal, et met en place une politique d'approvisionnement « exigeante »[42]. Ces changements s’opèrent alors qu'Isabelle Capron, recrutée comme Directrice Générale par Michel Ducros, entreprend un rajeunissement de l'image de la maison de la Place de la Madeleine ; en rénovant l'identité visuelle de Fauchon[43]. En tant que boulanger, pâtissier et traiteur, Fauchon continue à produire dans ses ateliers (à Courbevoie pour la pâtisserie), l'ensemble des créations de la maison.

Après le départ d'Isabelle Capron en 2012[44], Michel Ducros nomme Éric Vincent Directeur Général de Fauchon. Celui-ci annonce d'emblée des plans d'expansion de l'entreprise en visant une centaine de points de vente en 2017, essentiellement en franchise[41]. En , Éric Vincent quitte Fauchon[45] et Michel Ducros reprend à nouveau la direction de l'entreprise.

Malgré les expériences infructueuses aux États-Unis et en Chine[46], Fauchon totalise en 2013, une soixantaine de magasins et restaurants à enseigne implantés dans le monde, dont 23 au Japon[47]. En 2013, le chiffre d’affaires à l’international représente 80 % de l’activité du groupe[48][réf. non conforme]. Depuis 2014, soit dix ans après la reprise en main par Michel Ducros, Fauchon a repris des couleurs et investit en Asie, en Amérique du Nord[47], et au Moyen-Orient, où se concentrent les nouvelles ouvertures[49].

2015 – 2018 : diversification dans l'hôtellerie[modifier | modifier le code]

En , Fauchon adopte une nouvelle stratégie et décide de développer une offre hôtelière d'hôtels Boutique de Luxe.

Fauchon s'associe avec le groupe hôtelier parisien Esprit de France, filiale de la Compagnie Lebon, pour créer et co-gérer le premier Hôtel Fauchon place de la Madeleine à Paris (5 étoiles, 54 chambres, dont 22 suites), dans un immeuble acquis par la Qatar National Bank Capital[50],[51].

En , Fauchon crée la filiale Fauchon Hospitality pour développer une collection d'hôtels de luxe dans le monde. Fauchon Hospitality est dirigé par Jacques-Olivier Chauvin[52] et Bernard Lambert[53], précédemment président de la SBM et du Méridien, accompagne le projet dans sa stratégie internationale.

La même année, Samy Vischel[54] est nommé président de Fauchon et vice-président de Fauchon Hospitality.

Fauchon L'Hôtel Paris.

L’ambition de Fauchon Hospitality est d’ouvrir 20 boutique-hôtels de luxe dans le monde en priorité au Japon, en Europe, au Moyen-Orient et en Amérique du Nord[55].

Le , Fauchon L’Hôtel Paris ouvre ses portes. L’hôtel 5 étoiles est, dès son ouverture, affilié à Leading Hotels of the World[56]. Richard Martinet (Affine Design) en est le créateur du concept architectural, décliné par l'Atelier Paluel Marmont.

De 2018 à 2020 : difficultés financières et fermeture du magasin historique[modifier | modifier le code]

Le site historique de la Place de la Madeleine est durement frappé[57] successivement par les attentats de janvier et , en 2018 par la crise des gilets jaunes, les grèves de 2019-2020 et la quasi-disparition du tourisme à cause de la pandémie de Covid-19[58].

Le , la filiale Fauchon Réceptions est placée en liquidation judiciaire[59] suivi le par la demande de placement en redressement judiciaire de la société mère[60] qui est prononcé la semaine suivante.

Le , est lancé un appel d'offres en vue d'un plan de cession partielle[61].

Le , le tribunal de commerce de Bobigny approuve le plan de continuation de l'entreprise qui prévoit la fermeture des boutiques historiques du 24–26 et 30 Place de la Madeleine. Seuls l'hôtel, le Grand Café et la boutique de thé demeurent ouvertes[58]. La fermeture de ces deux boutiques va provoquer 77 licenciements parmi le personnel[62],[63].

2021 : Ouverture de l’hôtel Kyoto et reprise des activités[modifier | modifier le code]

Fauchon L'Hôtel Kyoto.
Boutique Fauchon Montparnasse Paris, .

Après avoir vu son plan de continuation accepté en [64] et avoir fermé, peu après, ses magasins[65] Fauchon a commencé à relancer ses activités.

Plus de deux ans après le lancement du premier hôtel Fauchon à Paris, c’est au Japon, à Kyoto que la marque a ouvert le , son second boutique-hôtel 5 étoiles[66].

Plusieurs ouvertures de magasins ont permis la relance économique de l'entreprise :

 : ouverture magasin et restaurant au sein du Mall of the Emirates à Dubaï.

 : ouverture magasin et restaurant à Nice au sein du centre commercial Cap 3000.

 : ouverture boutique gare Montparnasse[67] à Paris ainsi qu'un second magasin à Tahiti.

 : ouverture de deux boutiques et deux restaurants à Santa Fé et Perisur (Mexique)[68].

En fin d'année 2022, la marque a annoncé l'ouverture prochaine d'un troisième hôtel 5* : Fauchon L’Hôtel Riyadh en Arabie Saoudite[69]. En mars 2023, la marque a signé un accord avec Aleph Hospitality, société de gestion hôtelière indépendante basée à Dubaï, pour exécuter le développement et la gestion opérationnelle de ses hôtels au Moyen-Orient et en Afrique[70].

2022 : L'école Fauchon[modifier | modifier le code]

La marque a annoncé l'ouverture de l’école Fauchon[71] avec des formations sur les métiers de bouche et de service, basée à Rouen.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b mornings1975, « Biographie Auguste Fauchon 1856 – 1939 Auguste Félix Fauchon Traiteur français », sur Des Biographies Et Des Hommes, (consulté le ).
  2. http://www.prodimarques.com/documents/gratuit/53/fauchon-retour-berceau-nouveau-depart.php Voir sur prodimarques.com.
  3. http://retaildesignblog.net/2011/07/17/fauchon-food-shop-by-christian-biecher-paris/ Voir sur retaildesignblog.net.
  4. Jean-Michel Salvator, « Fauchon veut retrouver son lustre d’antan », Le Journal du dimanche, .
  5. « Fauchon », sur franconome.com (consulté le ).
  6. a et b Franck Pinay-Rabaroust, « Fauchon : 130 ans d'histoire en 10 dates-clés et quelques photos », sur ATABULA - Édition générale, (consulté le ).
  7. Jérôme Anciberro, « Les maoïstes, fans absolus du Petit livre rouge », hors série Le Monde-La Vie, no 11, « L'histoire de l'Occident. Déclin ou métamorphose ? », 2014, p. 132-133.
  8. a et b Source : Le Figaro, no 16643, lundi , interview de Martine Prémat.
  9. a et b Source : Capital, numéro de , article pages 54-55, par Eddy Murano, « Succès et Dérapages - Fauchon, un épicier fauché ».
  10. Source : Gault et Millau, no 327, février-, pages 31-34, « Enquête : La vérité sur Fauchon ».
  11. « Hermé chez Ladurée », Le Figaro,‎ , p. 21.
  12. « Fauchon, la Griffe gourmande », Le Figaro, .
  13. Europe 1, Le Journal de l’Économie, le , par Jean-Michel Salvator.
  14. (en) Financial Times, article du 22-, par Holly Finn « Tea with Sympathy ».
  15. Renaud Lecadre, « Fauchon fauché et sauvé ? La société luxembourgeoise Waldo rachète le magasin parisien de produits de luxe », sur Libération, (consulté le ).
  16. « Fauchon vend son ensemble immobilier à Paris et devient locataire », Les Échos,‎ , p. 14.
  17. a et b Christophe Palierse, « Fauchon accélère l'extension de son réseau de boutiques », Les Échos,‎ , p. 33.
  18. Les Échos, numéro 17579, , page 18, « Waldo veut développer Fauchon aux États-Unis ».
  19. (en) Florence Fabricant (en), « Fauchon Opens A Market in Midtown », sur New York Times, .
  20. Les Échos, numéro 17619 du , page 19, « Le nouveau PDG de Fauchon veut implanter l'entreprise aux États-Unis ».
  21. La Tribune du , article page 11, « L’épicerie fine Fauchon veut conquérir le marché américain ».
  22. Le Figaro, article du , « Laurent Adamowicz redéploie Fauchon ».
  23. Le Parisien, article du , « Fauchon s’installe chez Flo et mise sur la proximité ».
  24. Voir sur lhotellerie-restauration.fr (sur abonnement).
  25. FLDweb, , Comment Fauchon s’est redressé malgré la crise.
  26. « Fauchon va vendre 9 boutiques à Lenôtre », sur Nouvel Obs, .
  27. Christophe Palierse, « Fauchon fait face à une situation difficile », Les Échos,‎ , p. 25.
  28. Source : Sociétés en Portefeuille du Fonds Matignon Investissement & Gestion.
  29. Source : site Web NeoRestauration.com, article du , Page vue le .
  30. « Pierre Besnainou s’invite chez Fauchon », Le Figaro, .
  31. « Les nouvelles recettes de Michel Ducros », Le Point, no 1665,‎ .
  32. Géraldine Vial, « Fauchon lourdement dans le rouge l'an dernier », Les Échos,‎ , p. 28.
  33. (en) Source : The New York Times, article du , par Elaine Sciolino (en), « Fauchon’s Food Empire Cedes Territory to a Rival » (L’empire alimentaire Fauchon cède du territoire à son rival).
  34. (en) James Barron (en), « Demolition Plans Pit Developer Against Chocolatier », sur The New York Times, .
  35. (en) Source : The New York Times, Article du , « New York: Manhattan: Fauchon Closing 2 Of 3 Stores », Fauchon ferme 2 magasins sur 3 à Manhattan, (consulté le ).
  36. Source : Les Échos, numéro 19268, article du , « Fleury-Michon acquiert les plateaux-repas de Fauchon », (consulté le ).
  37. Source : Le Figaro, article du , « L’épicerie de luxe vend neuf boutiques à Lenôtre. Fauchon a perdu la bataille de Paris », (consulté le ) et Site officiel de la société Lenôtre.
  38. Source : L’Express, article du , pages 44-46, « Quand Ducros se jette à l’eau », (consulté le ).
  39. Corinne Scemama, « Fauchon, L’épicier chic et choc », L’Express, , page 75.
  40. a b et c « Michel Ducros est propriétaire de plus de 90 % de son affaire », Le Point, no 1933,‎ .
  41. a et b « Fauchon pousse les feux à l'international »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Les Échos.
  42. « L'Obs - Actualités du jour en direct », sur L'Obs, (consulté le ).
  43. « Fauchon met les bouchées doubles », sur Stratégies, .
  44. Source : CB News, numéro du , « Isabelle Capron quitte Fauchon ».
  45. « Divergences à la tête de Fauchon », sur Le Figaro, (consulté le ).
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  53. (en) « The Luxury Travel Bible - Q&A Bernard Lambert », sur luxurytravelbible.com (consulté le ).
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  56. « 5 Choses À Savoir Sur Fauchon L'Hôtel Paris | Forbes France », Forbes France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  62. « Fauché par la crise, Fauchon ferme deux de ses trois magasins place de la Madeleine, à Paris », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  63. Le Figaro avec AFP, « Fauchon ferme deux de ses trois magasins de la place de la Madeleine à Paris », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).
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  68. (es) « Sabores de París: nuevo restaurante Fauchon en México », sur Food and Travel México, (consulté le ).
  69. (en) Matt Turner, « Fauchon to Open Hotel at Diriyah Development In Riyadh, Saudi Arabia », sur Luxury Travel Advisor, (consulté le ).
  70. « Fauchon étend son portefeuille au Moyen-Orient et en Afrique », sur Hospitality ON (consulté le )
  71. Sylvie Callier, « À Rouen, Fauchon confirme l'ouverture de l'école d'arts culinaires », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]