Gérard Jarlot — Wikipédia

Gérard Jarlot
Nom de naissance Gérard Marie Pierre Jean Jarlot
Naissance
Saumur (France)
Décès (à 42 ans)
Paris (France)
Activité principale
Distinctions
Auteur
Langue d’écriture français
Genres

Œuvres principales

Gérard Jarlot, né le à Saumur et mort le à Paris[1], est un journaliste, scénariste et écrivain français, lauréat du prix Médicis en 1963.

Biographie[modifier | modifier le code]

Gérard Jarlot rencontre Marguerite Duras en 1957, au début d'une nouvelle période d'écriture pour l'écrivaine qui lui dédie le roman Moderato cantabile. Avec elle, il en fait l'adaptation et écrit les dialogues, pour le film homonyme réalisé par Peter Brook en 1959.

En 1960, il signe le Manifeste des 121 titré « Déclaration sur le droit à l’insoumission dans la guerre d’Algérie ».

Il meurt le au sein de l'Hôtel des Saint-Pères dans le 6e arrondissement de Paris[1] et est inhumé dans un cimetière de Saint-Étienne (Loire)[2].

Œuvre[modifier | modifier le code]

Littérature[modifier | modifier le code]

Scénarios[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • L'Homme menti, ébauche de roman de Marguerite Duras, inédit cité par Jean Vallier : C'était Marguerite Duras, Tome II, 1946-1996, Fayard, 2010, commenté par Marguerite Duras dans La Vie matérielle (POL, 1987).

Liens externes[modifier | modifier le code]