Geneanet — Wikipédia

Geneanet
logo de Geneanet
Logotype de Geneanet.

Création
Forme juridique Société anonyme à conseil d'administration
Slogan Réinventons la généalogie
Siège social Paris
Drapeau de la France France
Direction Christophe Becker depuis le [1]
Actionnaires Fondateurs et investisseurs individuels
Activité Généalogie
Société mère Ancestry (depuis 2021)
SIREN 42881257200066
Site web Site officiel

Fonds propres 218 759[2]
Chiffre d'affaires 1 215 259 (2008)[3]

Geneanet (GeneaNet selon la graphie originale) est un site Internet de généalogie proposant une base de données alimentée par les participants et à destination du public. Le fonctionnement du site est collaboratif et les données mises en ligne par ses membres sont consultables gratuitement par toute personne intéressée. Un abonnement annuel facultatif permet de disposer de fonctions de recherche plus élaborées et de consulter des sources supplémentaires[4],[5]. Geneanet a été racheté en 2021 par le groupe américain Ancestry.

Historique[modifier | modifier le code]

Création[modifier | modifier le code]

En , Jacques Le Marois, Jérôme Abela et Julien Cassaigne lancent « LPF » (Liste des patronymes de France), un site visant à « utiliser la puissance d'Internet pour constituer une base de données indexant l'ensemble des ressources généalogiques existantes dans le monde, accessibles ou non sur Internet », l'ancêtre de Geneanet[6],[7]. Geneanet est lancé le par Jacques Le Marois, Jérôme Abela et Julien Cassaigne avec comme slogan « The Genealogical Database Network »[8],[9].

L'idée du site est, par le partage des arbres généalogiques de membres, de comparer et croiser des centaines de milliers de fichiers et données généalogiques, pour multiplier les chances de trouver des données en commun et d'étendre les arbres. Une recherche dans cet index permet de savoir si tel patronyme, dans telle commune, entre telle et telle année, est étudié par tel généalogiste (le plus souvent amateur). Au fil des années, Geneanet développe de nouveaux outils : une messagerie interne, des outils d'impression d'arbres ou de listes, une bibliothèque numérique… Le site est passé de 330 000 visiteurs uniques en 2006 à plus d'un million en 2011[10]. En 2019, Geneanet comptabilise deux millions de visiteurs mensuels et est qualifié de « poids lourd du secteur »[11].

2012-2021 : succès et développement[modifier | modifier le code]

En , la base de données Geneanet passe le cap du milliard de références[12], celui des deux milliards en [13], et celui des six milliards en 2019[14].

En , Geneanet lance un projet d'identification et d'indexation des combattants de la Première Guerre mondiale[15]. À cette date, le site héberge plus de 530 000 arbres généalogiques recensant environ 800 millions de personnes[15]. D'autres opérations collaboratives sont lancées autour de la Grande Guerre : l'indexation des soldats mentionnés sur l'Anneau de la mémoire en [16], la mise en ligne des photographies des sépultures des nécropoles militaires[17], l'indexation des Livres d'Or des morts pour la France à partir d', et à laquelle participèrent 700 bénévoles, ou encore l'indexation des fusillés[18]. Un mini-site, « Nos ancêtres dans la Grande Guerre », a également été lancé à l'occasion des commémorations du centenaire de cette guerre[19].

Depuis 2015, Geneanet participe chaque année au salon de la généalogie qui se tient à la mairie du 15e arrondissement de Paris[20],[21].

En 2018, Geneanet relance le débat sur l’utilisation des tests ADN à vocation généalogique [22],[23],[24] ; le site réalise depuis des études annuelles auprès de divers membres (20 000 en 2018)[11]. Bien que la pratique soit illégale en France, Geneanet propose en un nouveau service GeneanetADN de « dépôt de fichiers ADN » sur son propre portail en ligne[25].

Le , le PDG de Geneanet, Jacques Le Marois, est présent lors de l'assemblée générale de Filae, son principal concurrent, car la société Trudaine Participations (détenue à plus de 30 % par la société Geneanet) a acquis 25 % du capital de Filae[26],[27].

En 2019, pour les commémorations du 75e anniversaire du massacre d'Oradour-sur-Glane, Geneanet crée un arbre collaboratif afin de reconstituer la généalogie des familles touchées par le drame[28],[29],[30].

Un partenariat entre les Archives nationales et Geneanet est signé en pour l'indexation des dossiers nominatifs du fichier central de la Sûreté nationale, dit « fonds de Moscou », soit plus de 630 000 dossiers individuels[31].

En décembre 2022, Geneanet termine le recensement des 434 victimes de la catastrophe ferroviaire de Saint-Michel de Maurienne le 12 décembre 1917, avec leurs 33 000 descendants[32].

2021 : grands projets et rachat[modifier | modifier le code]

Début 2021[33], Myheritage, un des sites concurrents de Geneanet, annonce son intention de racheter un autre concurrent, Filae, dont Geneanet est premier actionnaire par le biais de la holding Trudaine Participations avec 42,95 % du capital et 48,07 %[34] des droits de vote. Par le biais de son PDG, Jacques Le Marois, Geneanet entend créer un champion français[35] de la généalogie. Le [36], la justice empêche Filae de décider de son avenir sans avoir consulté ses actionnaires, notamment Trudaine-Geneanet.

Le , à la suite de l'assemblée générale des actionnaires de Filae, cette dernière vote, à 53,5 % des votes représentant 52,7 % des droits de vote, la vente des activités de filae.com au site concurrent MyHeritage. La cession des actifs de Filae.com interviendra donc d'ici fin 2021 et ne seront donc pas rapprochés de Geneanet qui avait émis une offre concurrente[37].

Le , MyHeritage acquiert Filae après avoir signé un accord avec Geneanet et Trudaine Participations afin de mettre fin à une situation de blocage de plusieurs mois, ainsi Trudaine Participations et Geneanet renoncent au projet d'OPA et décident de ne pas s’aligner ni de surenchérir sur le prix proposé par MyHeritage dans le cadre de sa dernière offre remise à Filae et cèdent l’intégralité de leurs actions, respectivement 489 075 et 221 707 actions Filae au groupe MyHeritage au prix de 20,75 € par action. Le groupe MyHeritage conclut également le même jour un accord avec les fondateurs et actionnaires historiques de Filae, dont Toussaint Roze, aux termes duquel ces derniers cèdent un nombre d’actions Filae représentant 47,83 % du capital social de Filae au prix de 20  par action Filae. À l’issue des deux opérations, MyHeritage détient 90,91 % du capital de Filae[38],[39].

Le , Geneanet annonce son rachat par l'entreprise américaine Ancestry, leader mondial de la généalogie. Geneanet explique que le rachat par Ancestry est la conséquence de l'échec des négociations Filae avec la naissance d'un concurrent redoutable. Le site Geneanet.org qui doit rester autonome indique qu'il donnera accès à de nombreuses bases de données indexées par Ancestry dans le cadre des abonnements Premium[40].

En avril 2023, Jacques Le Marois annonce qu'il va quitter la présidence et que celle-ci sera assurée par Christophe Becker[41].

Description[modifier | modifier le code]

Geneanet compte 4 000 000 membres, 800 000 arbres généalogiques et sept milliards de noms d’ancêtres collectés en [réf. nécessaire]. Le site propose trois niveaux d'utilisation (visiteur, inscrits et premium) : le second niveau permet de créer son arbre généalogique, le dernier niveau est payant et propose l’accès à des données listées par des cercles généalogiques partenaires entre autres[6],[42].

Fonctionnalités[modifier | modifier le code]

Le site Geneanet, basé sur GeneWeb, permet notamment, grâce à la fonctionnalité de calcul de parenté de ce logiciel, de trouver et d'afficher la ou les parentés entre deux individus d'un même arbre, en mettant en valeur un ou plusieurs liens éventuels de consanguinité. Certains cousinages célèbres ont ainsi été relayés dans la presse[43],[44],[45],[46],[47].

En , le site Geneanet permet à tous les utilisateurs d'accéder à un moteur de recherche multi-critères qui peut effectuer des requêtes par nom et prénom, faculté qui était réservée auparavant aux abonnés payants[48]. En , Geneanet lance une nouvelle fonction de comparaison pour retrouver des références communes entre les arbres généalogiques des membres[49].

À partir de 2018, Geneanet propose la rédaction automatisée de livres généalogiques à partir de sa base de données par le biais d'un partenariat avec le site Patronomia[50].

Depuis , le site propose un abécédaire des métiers anciens et disparus collectés à partir des relevés d'archives et des arbres généalogiques de ses membres[51],[52].

Début 2020, Geneanet lance Mémoire des lieux, une plateforme collaborative consacrée à l'histoire des lieux et des bâtiments[53],[54]. Chacun peut consulter et enrichir son contenu, tel que l'historique d'une rue, d'un bâtiment, les événements marquants qui s'y sont déroulés ou les personnes qui y ont vécu.

Le , Geneanet lance « Geneanet ADN », une plateforme où les utilisateurs ayant réalisé un test génétique en France ou à l'étranger peuvent déposer leur fichier ADN, dans le but de retrouver de nouveaux cousins[55],[56]. Cette fonctionnalité est supprimée en décembre 2023[57].

Autres sites et projets[modifier | modifier le code]

Geneanet est à l’origine d'autres sites de généalogie :

  • GeneaStar, pour rechercher des cousinages avec des célébrités, le site recense en un portail unique l’accès à la généalogie de près de 15 000 célébrités. Il bénéficie d'une refonte complète en 2021[58],[59].
  • GeneaWiki, encyclopédie de type wiki consacrée à la généalogie, créée en 2005[6].
  • Nos ancêtres dans la Grande Guerre, site lancé en 2014 dans le cadre du Centenaire de la première guerre mondiale, ayant pour objectif de recenser les soldats figurant dans les arbres Généanet grâce à l’indexation.
  • Mémoire des lieux, site lancé en 2020 qui ayant objectif de retracer l'histoire des lieux[60].
  • Racines Sportives, site lancé dans le cadre des Jeux olympiques d'été de 2020 ayant pour objectif de retracer la généalogie de sportifs ayant participé aux Jeux Olympiques et de rechercher des cousinages avec eux[61],[62],[63].

Geneanet a également créé plusieurs applications mobiles :

Identité visuelle[modifier | modifier le code]

Logos[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche Geneanet sur societe.com »
  2. Geneanet sur societe.com.
  3. Geneanet sur verif.com.
  4. « Présentation du logiciel Généanet », ladepeche.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. Marie-Christine Parra, « Retrouvez vos ancêtres en un clic », Le Progrès,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  6. a b et c Thierry Noisette, « Généalogie : « Avec Internet, on va beaucoup plus loin et plus vite » », L'Obs,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  7. Site expliquant le projet LPF sur Geocities (1996).
  8. « Google Groupes », sur groups.google.com (consulté le ).
  9. « Geneanet — Geneawiki », sur fr.geneawiki.com (consulté le ).
  10. Anne-Noémie Dorion, « La généalogie, une passion française », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  11. a et b Manon Boquen, « Comment la généalogie a pris un coup de jeune », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  12. Charles Giraud, « Grâce à Internet, la généalogie à la portée de tous », ledauphine.com,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  13. Sophie Viguier-Vinson, « Généalogie: une passion bien française », Notre temps,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  14. Frédéric Thébault, « Six milliards d’individus sur Geneanet ! », Geneanet,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  15. a et b « Geneanet recense les combattants de la Grande Guerre » (consulté le ).
  16. Cécile Josselin, « Les soldats de l'Anneau de la mémoire indexés sur Geneanet », sur La Revue française de Généalogie, (consulté le ).
  17. Guillaume de Morant, « Du tourisme de mémoire pour le centenaire du Chemin des Dames », sur La Revue française de Généalogie, (consulté le ).
  18. Guillaume de Morant, « Un 11 novembre sous le signe de la fin du Centenaire 14-18 », sur La Revue française de Généalogie, (consulté le ).
  19. Diane Gautret, « Généalogie : à la recherche de son ancêtre poilu », Famille chrétienne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. Carole Sauvage, « Sur la piste de nos ancêtres au Salon de la généalogie », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. Alexandra Tizio, « Partez à la conquête de vos ancêtres au Salon de la Généalogie ! », Pleine Vie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. Stéphane Kovacs, « Filiation, généalogie : la révolution des tests ADN », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. Guillaume de Morant, « ADN généalogique interdit en France : Geneanet relance le débat », sur La Revue française de Généalogie, (consulté le ).
  24. Guillaume de Morant, « Sondage ADN : 56 % des généalogistes interrogés souhaitent faire un test », sur La Revue française de Généalogie, (consulté le ).
  25. Geneanet lance un nouveau service, Geneanet ADN.
  26. Charles Hervis, « Vers un rapprochement entre Filae et Geneanet ? », sur La Revue française de Généalogie, (consulté le ).
  27. « FILAE : Trudaine Participations est entré au capital à hauteur de 25% », Capital.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. Hélène Abalo, « 75e anniversaire du massacre d'Oradour-sur-Glane : un site de généalogie met en ligne un arbre collaboratif », France 3 Régions,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Lepopulaire.fr, « Un arbre généalogique collaboratif pour les victimes d’Oradour-sur-Glane », Le Populaire du Centre,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. Guillaume de Morant, « Oradour-sur-Glane : Geneanet relève les noms des victimes », La Revue française de généalogie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « Partenariat entre les Archives nationales et Geneanet pour indexer le « fonds de Moscou » », sur La Revue française de Généalogie (consulté le ).
  32. « L’accident ferroviaire de Saint-Michel de Maurienne (1917) », sur Geneanet (consulté le ).
  33. Bourse Direct, « Proposition de rachat de Filae par My Heritage ».
  34. actunews.fr, « Dépôt d'une offre de Trudaine Participations sur la Capital de FILAE ».
  35. « Filae avec Geneanet ou Filae avec MyHeritage ? », sur geneanet.org
  36. « Trudaine obtient du Tribunal le blocage de tout changement au sein de FILAE sans décision des actionnaires », sur actunews.fr
  37. Guillaume de Morant, « Les actionnaires de Filae votent pour la vente à MyHeritage », sur rfgenealogie.com, (consulté le ).
  38. « MyHeritage acquiert Filae après avoir signé un accord avec Geneanet », sur La Revue française de Généalogie (consulté le ).
  39. « MyHeritage va acquérir 90% de Filae à 20,75 euros par action », sur Bourse Direct (consulté le ).
  40. « Geneanet racheté par Ancestry leader mondial de la généalogie », sur La Revue française de Généalogie (consulté le ).
  41. « Départ de Jacques Le Marois de la présidence »
  42. France 5, « La Quotidienne Généalogie : la nouvelle coqueluche des Français ! » [vidéo], (consulté le ), p. 13-20 min.
  43. Cédric Remia, « Improbable : Emmanuel Macron est le cousin d'un de ses adversaires politiques très célèbre ! », Télé-Loisirs,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  44. Christine Mateus, « Johnny et Jean d’Ormesson étaient cousins ! », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  45. Joseph Poirier, « Généalogie : Johnny Hallyday était le cousin de Jean d'Ormesson », Pleine Vie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  46. Soraya Idbouja, « Karin Viard, Édouard Baer : ces stars des César avec un lien de parenté », Le Journal des Femmes,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  47. Annabel Benhaiem, « Jacques Chirac était un lointain cousin de Georges Pompidou selon sa généalogie », Le Huffington Post,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  48. Guillaume de Morant, « Geneanet, la nouvelle recherche accessible à tous », sur La Revue française de Généalogie, (consulté le ).
  49. Guillaume de Morant, « Geneanet lance une nouvelle fonction de comparaison », sur La Revue française de Généalogie, (consulté le ).
  50. eZ Systems, « Le livre automatique Patronomia partenaire de Geneanet », sur La Revue française de Généalogie (consulté le ).
  51. « Quiz : connaissez-vous ces métiers anciens? », sur Notre Temps (consulté le ).
  52. « Connaissez-vous les noms de ces vieux métiers ? », sur Le Huffington Post (consulté le ).
  53. Guillaume de Morant, « Geneanet lance une nouvelle application : Mémoire des lieux », sur La Revue française de Généalogie, (consulté le ).
  54. Clémence Jost, « Généalogie : lancement d'une plateforme collaborative dédiée à l'histoire des lieux et des bâtiments fréquentés par vos ancêtres », sur Archimag, (consulté le ).
  55. BFM TV, « Un site français de généalogie en ligne permet de retrouver des cousins grâce à son ADN », sur BFM TV (consulté le ).
  56. Stéphane Kovacs,Agnès Leclair, « Généalogie: ce site français qui contourne la loi sur les tests ADN », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  57. « Arrêt du service Geneanet ADN », sur Geneanet (consulté le )
  58. Sophie Boudarel, « Entrez dans le laboratoire de Geneanet », sur La Revue française de Généalogie, (consulté le ).
  59. « Une nouvelle interface pour Geneastar », sur La Revue française de Généalogie (consulté le ).
  60. Guillaume de Morant, « Geneanet lance une nouvelle application : Mémoire des lieux », sur La Revue française de Généalogie, (consulté le ).
  61. « JO : êtes-vous cousin avec un champion olympique ? Le Figaro a fait le test avec le site «Racines Sportives» », sur lefigaro.fr, Le Figaro (consulté le ).
  62. « David Douillet descend-il des rois de France ? », sur L'Équipe (consulté le ).
  63. « Insolite. Sébastien Chabal cousin de Clovis Cornillac, Jean Vuarnet parent de Dimitri Payet... la généalogie des champions », sur ledauphine.com (consulté le ).
  64. Guillaume de Morant, « Sauvons nos tombes : plus d'un million de photos publiées », sur La Revue française de Généalogie, (consulté le ).
  65. France 3 Paris Île-de-France, « « Des racines et des arbres » : la généalogie, une passion française » [vidéo], (consulté le ), p. 1-3 min.
  66. « Nos cimetières deviennent des mines d'informations », France Inter,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  67. Guillaume de Morant, « Généanet vous fait voir aujourd'hui comment était hier… », La Revue française de Généalogie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  68. Delphine Tanguy, « Une appli pour visiter Marseille et l'Histoire », La Provence,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  69. Elsa Cadier, « Tours : l'appli Hier & Aujourd'hui géolocalise et vous plonge dans le passé », France 3 Centre-Val de Loire,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  70. Olivier Collet, « Les vieilles cartes postales de Tours réunies dans une appli », Info-Tours.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  71. Anne-Sophie Hourdeaux, « Une appli pour voir le Lille d’antan », Lilleactu,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  72. « Hier / aujourd'hui : 250 photos nostalgiques des Hauts-de-France », France 3 Hauts-de-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  73. Tiana Rafali-Clausse, « Photos : les spots les plus touristiques de Paris dans les années 1900 », Le Bonbon,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  74. Gérald Camier, « Toulouse : l'application pour visiter «Hier & aujourd'hui» », ladepeche.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  75. Daniel Gerner, « On a testé à Strasbourg l'application gratuite « Hier & Aujourd'hui » : un voyage dans le temps… plutôt tentant », France 3 Grand Est,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Guillaume de Morant, La généalogie sur Internet : Geneanet.org, Paris, Archives & Culture, coll. « Guides de généalogie », (réimpr. 2012, 2013, 2016, 2018), 80 p. (ISBN 978-2-35077-205-9, présentation en ligne)
  • Guillaume de Morant, Geneanet mode d'emploi, La Revue française de généalogie, , 80 p. (présentation en ligne)
  • Jean-Louis Beaucarnot, Commencer sa généalogie, Éditions Marabout, , 128 p.
  • Hélène Laug, La pratique généalogique amateur en France, à l'ère numérique, mémoire de Master, ENSSIB, 2017, en ligne, p. 64-67.
  • Aliénor Samuel-Hervé, La généalogie à l'ère numérique : nouvelles approches, nouveaux défis, mémoire de Master, Université Paris-Nanterre, 2017, en ligne.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]