Gorze — Wikipédia

Gorze
Gorze
Collégiale Saint-Étienne.
Blason de Gorze
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Metz
Intercommunalité Communauté de communes Mad et Moselle
Maire
Mandat
Frédéric Levee
2020-2026
Code postal 57680
Code commune 57254
Démographie
Gentilé Gorzien[1]
Population
municipale
1 145 hab. (2021 en diminution de 3,38 % par rapport à 2015)
Densité 64 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 03′ 17″ nord, 5° 59′ 59″ est
Altitude Min. 169 m
Max. 356 m
Superficie 17,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Metz
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Coteaux de Moselle
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Gorze
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Gorze
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Gorze

Gorze est une commune française située dans le département de la Moselle en région Grand Est, connue pour son aqueduc romain du Ier siècle qui alimentait Metz et son abbaye bénédictine fondée au VIIIe siècle, foyer majeur du chant messin, futur chant grégorien.

Géographie[modifier | modifier le code]

Gorze est située à vingt kilomètres au sud-ouest de Metz et est entourée de forêts préservées au cœur du parc naturel régional de Lorraine[2].

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Le village est logé au creux du vallon du ruisseau de Gorze, alimenté par de nombreuses sources du vallon et qui va se jeter dans la Moselle, quelque six kilomètres en aval. Elle est drainée également part le ruisseau de Parfond Val[Carte 1].

Le ruisseau de Gorze, d'une longueur totale de 18,4 km, prend sa source dans la commune de Rezonville-Vionville et se jette dans la Moselle à Novéant-sur-Moselle, après avoir traversé cinq communes[3].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Gorze.

La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment du ruisseau de Gorze, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 782 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Metz-Frescaty », sur la commune d'Augny à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 713,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −23,2 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Gorze est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Metz, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 245 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,3 %), terres arables (28,9 %), zones agricoles hétérogènes (10,2 %), zones urbanisées (2 %), prairies (1,6 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

  • Gorzia (748, 761, 773, 788, 815, 973, 976, 982), Archipresbyteratus de Gorzia (1539), Gorze (1793), Gorz (1915–1918), Gorschen (1940–1944).

Sobriquet[modifier | modifier le code]

Surnom sur les habitants : Lés wahhs-chins (les chiens verts)[17], car l’entrée de la petite place de l’hôtel de ville aurait été gardée anciennement par deux grands chiens de bronze.

Histoire[modifier | modifier le code]

Au Ier siècle, les sources de Gorze furent captées par les Romains pour alimenter Divodorum en eau à l'aide d’un aqueduc allant de Gorze à Metz, long de 22 km et dont on peut encore admirer quelques arches de la partie aérienne, de part et d'autre de la Moselle à Jouy-aux-Arches et Ars-sur-Moselle.

En 749, l’évêque de Metz Chrodegang fonde l’abbaye de Gorze. Elle devient un foyer majeur du chant liturgique qui se répand dans le monde, alors appelé chant messin, par la suite qualifié de chant grégorien.

Les souverains carolingiens Pépin, Charles et Louis munirent l´abbaye de donations dans les ans 751, 761, 773, 788 et 815 (Cartul. Gorze p. 109, Reg.Imp. I.,93,154,294,579).

L'abbaye est réformée en 934 par Jean de Vandières à la demande d’Adalbéron Ier de Metz. Otton Ier octroie par la suite des diplômes à l'abbaye de Gorze, notamment les domaines de Varangéville, Vanault ou Moivrons.

Les religieux répandent la culture et le savoir-faire de la vigne dans la région, dans le Pays messin jusqu'à Rombas.

Entre le XIIe et XIIIe siècles, est construite l’église Saint-Étienne, le plus ancien édifice gothique de Lorraine.

Au XVIe siècle, l’abbaye est dévastée et sécularisée.

Plan de Gorze (1787)

Chef-lieu de canton entre 1790 et 1871 dans l'ancien département de la Moselle, puis de 1919 à 1950 dans le nouveau département de la Moselle. En 1950, le chef-lieu du canton de Gorze est transféré à Ars-sur-Moselle.

Terre de Gorze[modifier | modifier le code]

La terre de Gorze[18] est une ancienne seigneurie. Composée de trente hautes justices[18], elle formait le domaine[18] de l’abbaye bénédictine Saint-Gorgon de Gorze[18]. Forte de plus de vingt villages, son origine remontait à l’aube des temps carolingiens.

Les villages que comprenait la terre de Gorze étaient les suivants[18] :

Le village de Chambley, appartenant au duché de Lorraine, était enclavé dans la terre de Gorze[48].

Au XVIe siècle, les rois de France reconnaissent l’abbé et la terre de Gorze comme leurs alliés : Henri II dès avec le traité du Cateau-Cambrésis[49] puis Henri IV en avec le traité de Vervins[50].

Le , le cardinal Charles de Lorraine, abbé commendataire de Gorze, obtient du pape Grégoire XIII la sécularisation de l’abbaye et de la terre de Gorze[51],[52].

Par un édit du mois d’, Louis XIII crée la prévôté de Gorze, une prévôté dont le siège est à Gorze, dont la terre de Gorze est le ressort et qui relève du bailliage de Metz[53]. L’entrée en vigueur de cet édit est différée : il n’est envoyé au parlement de Metz qu’à la fin de l’année et la cour souveraine ne l’enregistre que le .

Le , le traité de Vincennes rattache la terre de Gorze à la France.

Les cinq villages d’Arnaville, Hagéville, Jonville (auj. Jonville-en-Woëvre), Olley et Vilcey (auj. Vilcey-sur-Trey) ne relevaient qu’en partie de la terre de Gorze. L’article 10 du traité de Paris du les répartit entre la France et la Lorraine : Hagéville, Jonville et Vilcey vont, en entier, à la France ; Arnaville et Olley, en entier, à la Lorraine[54].

La Maison de la Terre de Gorze, musée d’art et d’histoire, est centré sur l’ancienne seigneurie abbatiale[55],[56].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
maire en 1837 ? M. Gillon   Conseiller d'arrondissement puis conseiller général
mars 1989 2014 Jacques Hoffmann    
2014 En cours Frédéric Levée DVD Retraité[57]
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[59].

En 2021, la commune comptait 1 145 habitants[Note 4], en diminution de 3,38 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
1 5891 5351 5681 5351 8001 8101 8531 7741 529
1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
1 4931 4161 4511 3261 2121 2161 2211 208807
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
8379581 0368741 0921 2031 1221 2041 254
1990 1999 2006 2008 2013 2018 2021 - -
1 3891 3921 2781 2421 1981 1581 145--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[60] puis Insee à partir de 2006[61].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Bassin de l'aqueduc de Jouy-aux-Arches ;
  • Maison de l'histoire de la Terre de Gorze, rue de l'Église : ce musée, centré sur l'histoire de la seigneurie abbatiale de Gorze, présente des reproductions de manuscrits du XIVe siècle (légende de saint Clément), des pièces d'histoire locale et deux diaporamas consacrés à l'aqueduc romain et à la vie monastique.
  • Souterrain entre l’ancienne abbaye et le Bois-le-Prêtre. Ce trou est une cavité naturelle créée par la rupture de la roche. Elle est composée d’un puits de 7 mètres de profondeur et d’un boyau long de 40 mètres fait de deux galeries disposées en vis-à-vis.
  • Ancien hôtel de ville, bel édifice du XIXe siècle. Halle publique à l'origine, il était la propriété de l'abbé. Pendant la Révolution, il abrita les assemblées populaires et les locaux de sûreté, toujours visibles sous la cour. Au début du XIXe siècle le maire Joseph Louis-Anne de Marionnelz y fonde un collège. Le bâtiment, remanié en 1844, accueille le commissariat de police, le conseil municipal et le tribunal cantonal (jusqu'en 1871). Il connut ensuite des fortunes diverses et de nombreux occupants, y compris la recette postale. Actuellement il abrite les associations de Gorze.

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

  • collégiale Saint-Étienne du XIe siècle ; restaurée aux XIXe et XXe siècles : clocher central bulbé XIIIe siècle, porte royale, porche et tympan du Jugement dernier XIIe siècle, extérieur roman, intérieur gothique (oculus) ; grand christ en bois attribué à Ligier Richier XVIe siècle, boiseries du chœur XVIIIe siècle. L'église abbatiale est classée au titre des monuments historiques par arrêté du [62].
  • abbaye de Gorze, ancienne abbatiale détruite au XVIe siècle ;
  • ancien palais abbatial du XVIIe siècle (construit de 1696 à 1699) ; par l’abbé Philippe Eberhardt de Löwenstein de Bavière[63]. Au XVIIIe siècle, le palais abbatial a été mis à la disposition de parlementaires messins pour de grandes fêtes. Chapelle baroque XVIIIe siècle. Le palais est vendu comme bien national en 1792. En 1811, le département de la Moselle achète le château pour y installer son dépôt de mendicité. Travaux d’aménagement et d'agrandissement. En 1813, le palais sert d’hôpital militaire. En 1816, il devient caserne de cavalerie. En 1828, annexe de l’hospice Saint-Nicolas de Metz[64]. La congrégation des Filles de la Charité de Strasbourg s’y installe en 1886. La porte d'entrée, les escaliers, les terrasses et les murs de soutènement décorés de fontaines sont classés au titre des monuments historiques par arrêté du . Les parties anciennes du palais abbatial en totalité, le sol de la cour et le sol de ses jardins sont à leur tour classés par arrêté du [65].
  • chapelle Saint-Clément construite en 1603, en mémoire du passage à Gorze de saint Clément, évêque de Metz. À côté de la chapelle, l'autel des lépreux date de 1582 : niche en pierre surmontée d'une croix, servait à dire la messe aux lépreux résidant en face, sur le mont Saint-Blin. La chapelle Saint-Clément, l'oratoire daté 1582, ainsi que la croix dite "Croix aux Loups" sont inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du [66].
  • chapelle du prieuré Saint-Thiébault, XVe siècle, aujourd'hui centre de spiritualité orthodoxe occidentale.
  • croix aux Loups 1607, située dans la forêt (les fidèles y déposaient des petites croix de bois).
  • statue de Notre-Dame-de-Gorze, sur le mont Belin. Elle est érigée sur un rocher de 9,25 mètres. Avec le nimbe, la statue mesure 4 mètres ; elle est en fonte, d'un poids de 1 800 kilos. Inaugurée le .
  • prieuré de 1773, conserve encore dans ses murs un four à pain, un potager et une magnifique alcôve dans les jardins se trouve une pierre de haute justice et son gibet. Actuellement occupé par les locaux de la mairie, de l'office du tourisme et de son musée.

Gastronomie[modifier | modifier le code]

La tomme de Gorze est un fromage à pâte étuvée, non cuite, qui après avoir été pressée est affiné durant deux semaines à quatre mois. Sa saveur douce et typée est due à l'utilisation d'une présure de brebis-chevreau. Elle est commercialisée plus ou moins jeune, également sous la forme poivrée. Malheureusement cette tome n'est plus produite depuis 2014 [67].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Gorze Blason
D'azur à saint Gorgon à cheval d'or, armé de pied en cap, sur une terrasse du même.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Gorze » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « genealogie-metz-moselle.fr/ars… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  2. Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie, Décret no 2015-73 du 27 janvier 2015 portant renouvellement du classement du parc naturel régional de Lorraine (région Lorraine), (lire en ligne)
  3. Sandre, « le ruisseau de Gorze »
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Gorze et Augny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Metz-Frescaty », sur la commune d'Augny - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Metz-Frescaty », sur la commune d'Augny - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Metz », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  17. Passé-Présent : La Moselle dévoilée No 4 (Novembre-Décembre 2011)
  18. a b c d e et f Entrée « Gorze » dans Ernest de Bouteiller, Dictionnaire topographique de l’ancien département de la Moselle : Comprenant les noms de lieu anciens et modernes ; rédigé en 1868 (monographie, répertoire géographique), Paris, Imprimerie nationale, , LV-316 p., in-4o [28 cm] (OCLC 433271911, BNF 30149354, lire en ligne), p. 99 [fac-similé (page consultée le 11 mars 2016)].
  19. a b c d e f g h i j k l m et n Bulletin de la Société d’archéologie lorraine et du Musée historique lorrain, , p. 187 [premier aperçu (page consultée le 12 mars 2016)].
  20. Entrée « Sainte-Catherine1 » dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p. 235 [fac-similé (page consultée le 12 mars 2016)].
  21. a b c d e et f Bulletin de la Société d’archéologie lorraine et du Musée historique lorrain, , p. 188 [aperçu (page consultée le 12 mars 2016)].
  22. Entrée Auconville dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p. 11 [fac-similé (page consultée le 12 mars 2016)].
  23. Entrée Labauville dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p. 139 [fac-similé (page consultée le 12 mars 2016)].
  24. Entrée « Bagneux » dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p. 14 [fac-similé (page consultée le 11 mars 2016)].
  25. Entrée « Champs » dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p. 49 [fac-similé (page consultée le 12 mars 2016)].
  26. Entrée « Dampvitoux » [php] dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p. 65 [fac-similé (page consultée le 11 mars 2016)].
  27. Entrée « Marimbois » dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p. 160 [fac-similé (page consultée le 11 mars 2016)].
  28. Entrée « Dornot » dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p. 70 [fac-similé (page consultée le 12 mars 2016)].
  29. Entrée « Hagéville » dans Ernest de Bouteiller, op. cit. p. 109 [fac-similé (page consultée le 11 mars 2016)].
  30. Entrée « Jonville » [php] dans Félix Liénard, Dictionnaire topographique du département de la Meuse (monographie, répertoire géographique), Paris, Imprimerie nationale, , XLIV-297 p., in-4o [28 cm] (BNF 30818141, lire en ligne), p. 117 [fac-similé (page consultée le 12 mars 2016)].
  31. Entrée « Moncheux-la-Grande » dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p. 172 [fac-similé (page consultée le 11 mars 2016)].
  32. Bulletin de la Société d’archéologie et d’histoire de la Moselle, vol. 9e année, Metz, , séance du , p. 127.
  33. Entrée « Novéant » dans Ernest de Bouteiller, op. cit. p. 191 [fac-similé (page consultée le 11 mars 2016)].
  34. Entrée « Voisage » dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p. 277 [fac-similé (page consultée le 12 mars 2016)].
  35. a b c d e f et g Bulletin de la Société d’archéologie lorraine et du Musée historique lorrain, , p. 187 [second aperçu (page consultée le 12 mars 2016)].
  36. Entrée « Onville » dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p. 194 [fac-similé (page consultée le 11 mars 2016)].
  37. Entrée « Ornel » dans Félix Liénard, op. cit., p. 173 [fac-similé (page consultée le 11 mars 2016)].
  38. Entrée « Rezonville » dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p. 215 [fac-similé (page consultée le 11 mars 2016)].
  39. Entrée « Saint-Julien-lez-Gorze » [php] dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p. 230 [fac-similé (page consultée le 11 mars 2016)].
  40. Entrée « Villers-aux-Bois » dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p. 272 [fac-similé (page consultée le 11 mars 2016)].
  41. Entrée « Sponville » [php] dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p. 251 [fac-similé (page consultée le 11 mars 2016)].
  42. Entrée « Tronville » [php] dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p. 261 [fac-similé (page consultée le 11 mars 2016)].
  43. Entrée « Villecey-sur-Mad » dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p. 271 [fac-similé (page consultée le 11 mars 2016)].
  44. Entrée « Grande-en-Haie » dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p. 101 [fac-similé (page consultée le 12 mars 2016)].
  45. Entrée « Vionville » dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p. 274 [fac-similé (page consultée le 11 mars 2016)] et p. 275 [fac-similé (page consultée le 11 mars 2016)].
  46. Entrée « Waville » dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p. 282 [fac-similé (page consultée le 11 mars 2016)].
  47. Entrée « Moulin (le Petit)7 » dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p. 178 [fac-similé (page consultée le 12 mars 2016)].
  48. Entrée « Chambley » dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p. 48 [fac-similé (page consultée le 11 mars 2016)].
  49. Étienne Manson (éd.), Gorze au fil des siècles : 9e centenaire de la mort de l’abbé Henri le Bon (monographie), Metz, Serpenoise, [1re éd.], 207+[errata], 24 cm (ISBN 2-87692-155-3 et 978-2-87692-155-9, OCLC 463805132, BNF 35696843), p. 205, n. 5 [aperçu (page consultée le 12 mars 2016)].
  50. Étienne Manson, op. cit., p. 205, n. 8 [aperçu (page consultée le 12 mars 2016)].
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  53. Jean-Louis Masson, Histoire administrative de la Lorraine : des provinces aux départements et à la région (monographie), Paris, Fernand Lanore, [1re éd.], 577 p., 25 cm (OCLC 461732472, BNF 34683566), p. 87 [lire en ligne (page consultée le 12 mars 2016)].
  54. « Corps universel diplomatique du droit des gens; contenant un recueil des traitez d'alliance, de paix... de toutes les conventions... & autres contrats, qui ont été faits en Europe, depuis le regne de l'empereur Charlemagne jusques à présent ; avec les capitulations imperiales et royales... & en général de tous les titres... qui peuvent servir à fonder, établir, ou justifier les droits et les interets des princes et etats de l'Europe... par Mr J. Dumont... [ Tome I, partie I - Tome VIII, partie II] », sur Gallica (consulté le ).
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