Grégoire Dubreuil — Wikipédia

Grégoire Dubreuil
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Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 51 ans)
DinanVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Grégoire Marie Jacques Joseph Guillaume DubreuilVoir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonyme
Hugues MontseugnyVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activité
Autres informations
Distinction
Prix Vitet ()Voir et modifier les données sur Wikidata

Grégoire Marie Jacques Joseph Guillaume Dubreuil, né le à Versailles et mort le à Dinan, est un écrivain, critique littéraire et libraire français.

Biographie[modifier | modifier le code]

Fils des écrivains Jean-Louis Dubreuil et Brigitte Huret, dont le nom de plume est Claude Campagne[1],[2], Grégoire Dubreuil a trois frères et une sœur.

Il signe, sous le nom de plume d'Hugues Montseugny, Un certain bonheur, son premier roman, à vingt ans[3]. En 1977, Un certain bonheur reçoit le Prix des moins de Vingt-cinq ans.

En 1986, il reprend, avec l'accord de Michel Mourlet, et pour un franc symbolique, la direction de la revue Matulu[4]. Il fait publier onze numéros auxquels contribuent notamment Raymond Abellio, Jean Cau, Bruno de Cessole, Emil Cioran, Dominique de Roux, Philippe de Saint-Robert, Willy de Spens d'Estignols, Jean Dutourd, Jean-Edern Hallier, Michel Serres et Kenneth White.

Il reçoit, en 1985, le prix Vitet de l'Académie française pour La jeunesse est lente à mourir.

En , il quitte Paris pour Dinan, où il reprend la librairie du Pays de Rance[5].

Médias[modifier | modifier le code]

Il contribue à La Nouvelle Revue de Paris[6], à la Revue des Deux Mondes, à Impact Médecin et à Éléments.

Œuvres[modifier | modifier le code]

  • Hugues Montseugny, Un certain bonheur, Alsatia, coll. Signe de piste, 1977
  • Hugues Montseugny, L'Île complicité (préf. Jean-Louis Foncine), Alsatia, coll. Signe de piste, 1979
  • Grégoire Dubreuil, Au large du siècle, La Table ronde, 1983
  • Grégoire Dubreuil, La jeunesse est lente à mourir, La Table ronde, 1984[7],[8],[9]

Prix[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Prêtres et guerriers », Eléments n°57-58, 1986, sur archiveseroe.eu.
  2. « Hugues Montseugny (Grégoire Dubreuil) », sur auteurs.romans-scouts.com (consulté le )
  3. Bertrand de Ramondy, « Grégoire Dubreuil, un guerrier du style », 7 avril 2014, sur denecessitevertu.fr.
  4. Christian De Maussion, « à la diable: Nos années Matulu », sur à la diable, (consulté le )
  5. Article sur lire.fr.
  6. Notice de la revue sur revues-litteraires.com.
  7. « ROMANS Écartèlements », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  8. Carrol F. Coates, « Review of La Jeunesse est lente à mourir », The French Review, vol. 59, no 4,‎ , p. 644–645 (ISSN 0016-111X, lire en ligne, consulté le )
  9. Juan Asensio, « La Jeunesse est lente à mourir de Grégoire Dubreuil », sur Stalker, (consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]