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DeutschHermann von Stülpnagel — Wikipédia
| Generalleutnant Prusse |
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| Naissance | |
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| Décès | |
| Activité | |
| Père | Karl Bernhard von Stülpnagel (d) |
| Enfants | |
| Parentèle | Robert von Prittwitz und Gaffron (beau-frère) |
| Grade militaire |
|---|
Hermann Friedrich Karl von Stülpnagel (né le à Potsdam et mort le à Darmstadt) est un lieutenant général prussien et commandant de la ville de Francfort-sur-le-Main.
Biographie[modifier | modifier le code]
Origine[modifier | modifier le code]
Ses parents sont le lieutenant-général prussien Karl Bernhard von Stülpnagel (de) (1794-1875) et son épouse Eleonore von Bismarck (1805-1876) de la branche de Briest[1].
Carrière militaire[modifier | modifier le code]
Stülpnagel suit sa formation scolaire au lycée d'Halberstadt, puis arrive le à Potsdam en tant que cadet à Potsdam et de là, le , à Berlin, où il devient page personnel de la reine Élisabeth de Prusse. Le , il est nommé sous-lieutenant au 1er régiment à pied de la Garde de l'armée prussienne. Il y est promu premier lieutenant le et, à partir du , il occupe le poste d'adjudant auprès du commandement général du corps de la Garde. À ce titre, Stülpnagel participe aux batailles de Soor, Königinhof et Sadowa la même année lors de la guerre contre l'Autriche. Le , il devient capitaine surnuméraire de la Garde. Le , il est nommé commandant de compagnie dans le 1er régiment à pied de la Garde. Lors de la guerre contre la France, Stülpnagel combat à Saint-Privat, au siège de Paris et le 30 août au au Bourget. Il reçoit la croix de fer de 2e classe[2].
Le , il est nommé lieutenant d'aile auprès de l'empereur Guillaume Ier. Le , il est transféré à la légation prussienne de Munich en tant qu'attaché militaire à l'ambassade de Prusse (de) à Munich. Le , il est décoré de la croix de chevalier de l'ordre de la maison royale de Hohenzollern avec épées. Stülpnagel est promu major le , reçoit le l'ordre russe de Saint-Stanislas de 2e classe avec couronne et épées ainsi que l'ordre de la Couronne de fer de 2e classe. Le , il reçoit la croix de commandeur de l'ordre bavarois du Mérite militaire. Le , il est promu lieutenant-colonel et le chargé de la direction du régiment de fusiliers de la Garde en position à la suite[3].
Le , il est promu colonel et nommé commandant du régiment. À partir du , Stülpnagel commande par intérim la 11e brigade d'infanterie, avant d'être nommé commandant de cette grande unité le , avec promotion au grade de major général. Il reçoit le l'ordre de l'Aigle rouge de 2e classe avec feuilles de chêne. Le , Stülpnagel est nommé commandant de Francfort-sur-le-Main et le , il reçoit l'étoile de l'ordre de la Couronne de 2e classe. Guillaume II lui confère le le caractère de lieutenant-général. En outre, il décore Stülpnagel de l'ordre de la Couronne de 1re classe le et de l'ordre de l'Aigle rouge de 1re classe avec feuilles de chêne et épées le . En approbation de sa demande de départ, est mis à disposition le avec la pension légale et le droit de porter l'uniforme du régiment de fusiliers de la Garde. Il meurt le à Darmstadt, mais est enterré à Francfort-sur-le-Main[4].
Famille[modifier | modifier le code]
Stulpnagel se marie le à Munich avec Luise baronne von der Tann-Rathsamhausen (de) (1856-1907), fille du général d'infanterie bavarois Ludwig von der Tann-Rathsamhausen et de son épouse Anna la comtesse von Voß. Le couple a plusieurs enfants[5] :
- Ludwig (1878-1914), tué comme lieutenant de réserve à Lombardsijde en Belgique
- Carl-Heinrich (1886-1944), général d'infanterie allemand et résistant assassiné marié avec Helene baronne von Pentz (de) (1889–1965)
- Luise (née en 1887) mariée avec Friedrich von Stumm (de)
- Élisabeth (née en 1889) mariée avec Hans Schmucking
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Kurt von Priesdorff, Soldatisches Führertum. Volume 8, Hanseatische Verlagsanstalt Hamburg, [Hambourg], o. J. [1941], DNB 367632837, p. 357–359, Nr. 2642.
- Gothaisches Genealogisches Taschenbuch der Adeligen Häuser. 1905. Sechster Jahrgang, Justus Perthes, Gotha, 1904, p. 786.
Références[modifier | modifier le code]
- Gothaisches genealogisches Taschenbuch der adeligen Häuser 1905. Sechster Jahrgang, Justus Perthes, Gotha 1904, p. 786.
- Chronik des Ersten Garde-Regiments zu Fuß und dessen Stamm-Truppen 1675–1900. im Auftrage des Regiments herausgegeben, Verlag von Martin Oldenbourg in Berlin 1902.
- Franz von der Mülbe: Das Garde-Füsilier-Regiment. Zweite Auflage, Verlag R. Eisenschmidt, Berlin 1901.
- Kurt von Priesdorff : Soldatisches Führertum. Volume 8, Hanseatische Verlagsanstalt Hamburg, o. O. [Hambourg], o. J. [1941], DNB 367632837, p. 357–359, Nr. 2642.
- Gothaisches Genealogisches Taschenbuch der Adeligen Häuser. 1905. Sechster Jahrgang, Justus Perthes, Gotha 1904, p. 786.
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
