Hugo Boss (IMOCA, 2015) — Wikipédia

Guyot Environnement
Water Family

FRA 09
illustration de Hugo Boss (IMOCA, 2015)
Hugo Boss au départ
du Vendée Globe 2016-2017
Symbole de classe
Symbole de classe

Autres noms Hugo Boss (2015-2018)
11th Hour Racing (2019-2021)
11th Hour Racing-Alaka'i (2021)
Guyot Environnement-Team Europe (janvier-juillet 2023)
Type voilier monocoque
Classe Imoca
Fonction course au large
Gréement sloop
Histoire
Architecte Verdier-VPLP
Chantier naval Green Marine (Hythe)
Fabrication fibre de carbone, matériaux composites, acier, fibre de verre, kevlar
Design prototype
Lancement
Équipage
Équipage un, deux ou quatre marins
Caractéristiques techniques
Longueur 20,82 m (60 pieds)
Longueur de coque 18,28 m (60 pieds)
Longueur flottaison 18,28 m (60 pieds)
Maître-bau 5,50 m[1]
Tirant d'eau 4,50 m
Tirant d'air 29 m
Déplacement 7,8 t
Appendice quille basculante, foils, double safrans suspendus
Lest 3,1 t
Hauteur de mât 27,5 m
Voilure 340 m2 au près
570 m2 au portant[1]
Propulsion voile
Vitesse 38,5 nœuds ()
Carrière
Propriétaire Benjamin Dutreux[2]
Armateur équipe 11th Hour Racing (2019-2021)
Pavillon Drapeau de la Grande-Bretagne britannique (2015-2019)
Drapeau des États-Unis américain (2019-2021)
Drapeau de la France français (depuis 2022)
Port d'attache Portsmouth (2015-2019)
Concarneau (de juin 2019 à décembre 2021)[3]
Brest (depuis 2022)

Hugo Boss, sixième du nom, est un voilier monocoque de la classe Imoca, destiné à la course au large. Plan VPLP-Verdier, c'est un des premiers Imoca à foils. Il est mis à l'eau le pour Alex Thomson. Il devient ensuite 11th Hour Racing, skippé par Charlie Enright ; 11th Hour Racing-Alaka'i, skippé par Justine Mettraux et Simon Fisher ; Guyot Environnement-Water Family, skippé par Benjamin Dutreux ; et Guyot Environnement-Team Europe, skippé par Benjamin Dutreux et Robert Stanjek.

Dans le Vendée Globe 2016-2017, barré par Thomson, il montre de redoutables dispositions, jusqu'à ce qu'il soit handicapé par la casse d'un foil. Il termine 2e. Dans la Route du Rhum 2018, il affiche une nette supériorité du premier au dernier jour. Mais un recours au moteur pour se déséchouer vaut à Thomson une pénalité de 24 heures, qui le relègue à la 3e place.

Hugo Boss bat deux records de distance parcourue en 24 heures en monocoque : en solitaire en 2017, record qui tient toujours en 2023 ; et en 60 pieds, en équipage, en 2018.

Caractéristiques et développement[modifier | modifier le code]

Le sixième Hugo Boss est conçu par les architectes Guillaume Verdier et VPLP, comme tous les autres Imoca de la génération 2015 : Safran II[4], Banque populaire VIII, Gitana 16, StMichel-Virbac, et Vento di Sardegna. Ce sont les premiers Imoca dotés de foils. Ces deux appendices rétractables remplacent les dérives asymétriques, dont ils sont une évolution. Ils permettent de soulever la coque aux allures portantes afin de réduire la traînée et augmenter la vitesse[5]. Hugo Boss est donc conçu pour être efficace aux allures portantes et tirer un maximum de profit des foils[6].

Il est construit au chantier Green Marine à Hythe, dans le Hampshire. Il est mis à l'eau le [7].

Performances[modifier | modifier le code]

Historique[modifier | modifier le code]

Hugo Boss, sixième du nom, barré par Alex Thomson[modifier | modifier le code]

Transat Jacques-Vabre 2015[modifier | modifier le code]

Portrait, de profil, très souriant, bonnet sur la tête.
Alex Thomson.

Le , barré par Alex Thomson et Guillermo Altadill (en), Hugo Boss prend le départ de la Transat Jacques-Vabre. Deux jours plus tard, des problèmes de structure sont détectés. Le 28,Thomson et Altadill décident de faire route vers La Corogne, tout en procédant à des réparations d'urgence. Le 31, dans le deuxième coup de vent de la course, Hugo Boss est à la cape, lorsqu'il est retourné par une déferlante et démâte. Une voie d'eau se déclare. Le , le bateau menaçant de couler, les deux marins sont hélitreuillés par la marine espagnole à 82 milles des côtes[16] Le , Hugo Boss est remorqué jusqu'à La Corogne[17].

Le , Thomson prend le départ de la Transat New York-Vendée-Les Sables-d'Olonne. Il termine 3e[18].

Vendée Globe 2016-2017[modifier | modifier le code]

Vue trois quarts arrière d'un voilier noir, amarré dans le port.
Hugo Boss trois jours avant le départ du Vendée Globe 2016-2017.

Le , il est au départ du Vendée Globe. C'est la première édition où les Imoca sont équipés de foils. À l'approche des îles du Cap-Vert, Thomson prend la tête[19]. Le , il établit un temps de référence sur la distance Les Sables-équateur[20]. Dans le contournement de l'anticyclone de Sainte-Hélène, il choisit une route ouest, assez longue, mais lui offrant un meilleur angle[21]. Les 18 et , Hugo Boss parcourt 535,34 milles en 24 heures[22]. Le 19, il a 134 milles d'avance sur le Banque populaire VIII d'Armel Le Cléac'h (2e)[23],[24]. Hugo Boss semble bien parti pour dominer la course. C'est alors qu'une collision avec un OFNI endommage le foil tribord[25]. Celui-ci ne peut être rétracté entièrement, et le moignon ralentit le bateau[26].

Gros plan sur foil intact.
Le foil bâbord intact après le Vendée Globe 2016-2017.

Le , tribord amures, c'est-à-dire sur son foil valide, Hugo Boss établit un nouveau temps de référence à la longitude du cap de Bonne-Espérance[27],[22]. Il précède alors Banque populaire de 103 milles. Mais, trois jours plus tard, Le Cléac'h passe en tête : bâbord amures, Banque populaire va en moyenne 1,8 nœud plus vite que Hugo Boss[28]. Le , tribord amures, Thomson passe en tête[29]. Le 3, Le Cléac'h le dépasse. Nettement handicapé bâbord amures par la perte de son foil tribord, Thomson va rester 2e jusqu'à la fin de la course. Le , les deux bateaux sont ralentis dans une zone de transition. Thomson peine à s'extraire des calmes. Devant faire du près sans foil tribord, il dérive[30]. Le , son retard sur Le Cléac'h atteint 820 milles.

En remontant l'Atlantique sud, il bénéficie de conditions favorables et, le 30, revient à 29 milles de Banque populaire. Le , tribord amures, il bat le record de distance parcourue en 24 heures[8],[31]. Malgré cela, il ne peut rattraper son rival. La fin de course s'effectue bâbord amures. Le , Hugo Boss termine 2e, seize heures après Banque populaire[32].

Nouveau record sur 24 heures[modifier | modifier le code]

En août 2017, dans la Fastnet Race, barré par Thomson et Nicholas O'Leary, Hugo Boss termine 8e sur 9 Imoca[33]. En octobre, il est 22e sur 104 en IRC dans la Middle Sea Race (en)[34].

Du 19 au 20 juillet 2018, skippé par Thomson lors d'un convoyage de New York à Gosport, Hugo Boss bat le record de distance parcourue en 24 heures, en 60 pieds et en équipage[13],[14].

Route du Rhum 2018[modifier | modifier le code]

Le , barré par Thomson, Hugo Boss est au départ de la Route du Rhum. Dès le premier jour, il prend la tête. Il va la conserver jusqu'au bout. Il tente une option nord[35], ce qui signifie chemin plus court, mais vent soutenu et mer forte. Les routages donnent la route nord gagnante sans prendre en compte l'état de la mer, qui empêche de suivre la cadence estimée[36].

Dans la nuit du 6 au , Thomson abandonne cette route nord. Il n'a cure de perdre une partie de son avance (plus de 90 milles)[37], il table sur la vitesse au portant de Hugo Boss : elle lui permettra de faire la différence dans l'alizé[38]. Il descend plein sud. Dans la soirée, Hugo Boss bat son record « personnel » de vitesse : 38,5 nœuds[15]. Conservant la première place, il recroise avec le SMA de Paul Meilhat (2e).

Dans l'alizé, son avance sur SMA ne cesse de grandir : 92 milles le [39], 197 milles le 13[40], 211 milles le 14[41].

Hugo Boss « écrase la concurrence[42] ». Le , à 67 milles de l'arrivée, il a 231 milles d'avance sur SMA. Thomson décide de s'accorder un moment de sommeil avant d'entamer le tour de la Guadeloupe. Sa montre-alarme ne le réveille pas. Hugo Boss se dirige à 19 nœuds vers le nord de Grande-Terre[43]. Il talonne. Thomson se dégage au moteur. Il remet à la voile[44]. Hugo Boss franchit la ligne d'arrivée 1er sur 20 Imoca[45]. Le jury lui inflige une pénalité de 24 heures pour avoir eu recours à son moteur. Il descend à la 3e place[46].

11th Hour Racing, barré par Charlie Enright[modifier | modifier le code]

Voilier noir amarré au ponton. On voit le foil tribord.
11th Hour Racing à Lorient, la veille du départ de The Ocean Race Europe.

En , on apprend que Hugo Boss a été racheté par l'équipe des Américains Charlie Enright et Mark Towill. Il devient 11th Hour Racing, du nom du sponsor principal de l'équipe[47]. Enright et Pascal Bidégorry terminent 4es de la Transat Jacques-Vabre 2019[48].

En mai et juin 2021, skippé par Charlie Enright, 11th Hour Racing participe à la course en équipage The Ocean Race Europe. Il va terminer 2e des Imoca[49].

Entre deux étapes de la course, il est vendu à Benjamin Dutreux, qui ne le réceptionnera que quelques mois plus tard, après la Transat Jacques-Vabre[2].

11th Hour Racing-Alaka'i, barré par Justine Mettraux et Simon Fisher[modifier | modifier le code]

En attendant, l'équipe 11th Hour Racing confie le bateau à la Suissesse Justine Mettraux et au Britannique Simon Fisher pour un programme en double dans le deuxième semestre de l'année : Fastnet Race, Défi Azimut et Transat Jacques-Vabre[50]. En août, Mettraux et Fisher terminent 3es des Imoca dans la Fastnet Race[51].

Le , un nouveau 11th Hour Racing est mis à l'eau. Le , pour distinguer les deux bateaux, celui de 2015 est baptisé 11th Hour Racing-Alaka'i et celui de 2021 11th Hour Racing-Mālama[52]. Le , Mettraux et Fisher, sur 11th Hour Racing-Alaka'i, terminent 2es des 48 heures du Défi Azimut[53].

Lors de la Transat Jacques-Vabre 2021, le bateau démâte le 10 novembre alors que le duo Mettraux-Fisher pointe à la 7e place[54]. Après avoir vainement tenté de remonter le mât, les deux navigateurs doivent se résoudre à abandonner mât, voiles et gréement pour éviter des dégâts supplémentaires sur la coque et les foils[55].

Guyot Environnement-Water Family, barré par Benjamin Dutreux[modifier | modifier le code]

Voilier noir amarré au ponton. On voit le foil tribord, qui est vert. En arrière-plan, la base de sous-marins allemande.
Guyot Environnement-Water Family à Lorient, lors du Défi Azimut 2022.

Le bateau est transporté vers Les Sables-d'Olonne, où Benjamin Dutreux a installé son projet[56]. Il y arrive le [57].

Ayant acheté ce bateau, Benjamin Dutreux trouve, en mars, un nouveau partenaire : l'entreprise brestoise Guyot Environnement, engagée dans la voile depuis neuf ans, qui va le soutenir jusqu'en juin 2025. Benjamin Dutreux reste ambassadeur de l'association Water Family[56]. Entièrement vérifié[42], le bateau gagne en poids et en ergonomie. Il reçoit des foils de dernière génération (2021)[58] et un nouveau mât. Il est remis à l'eau le [56], sous le nom de Guyot Environnement-Water Family. Son nouveau port d'attache est Brest[59].

En mai 2022, Guyot Environnement-Water Family termine 6e sur 24 dans la Bermudes 1000 Race[60].

En juin 2022, il termine 11e sur 25 dans la Vendée-Arctique-Les Sables-d'Olonne[61].

En septembre 2022, dans les 48 Heures équipage[62] du Défi Azimut, il termine 2e sur 4[63]. En novembre de la même année, dans la Route du Rhum, il termine 8e sur 38 Imoca[64].

A la suite pendant l'hivers 2022-2023 le bateau participe, en équipage mais toujours avec Benjamin Dutreux comme skipper à l'Ocean Race. Après notamment une avarie sur une étape il termine à la 5e position sur 5 bateaux engagés.

Guyot Environnement-Team Europe, skippé par Benjamin Dutreux et Robert Stanjek[modifier | modifier le code]

Le , le bateau prend le départ de The Ocean Race 2022-2023, sous le nom de Guyot Environnement-Team Europe. Dutreux est skipper. L'Allemand Robert Stanjek, qui apporte une partie du budget et de l'équipage, est co-skipper[65].

Le , trois jours après le départ de la troisième étape Le Cap-Itajaí, Guyot Environnement est victime d'une rupture du sandwich de la coque. Il est contraint de faire demi-tour[66]. Au Cap, on remplace l'âme en nid-d'abeilles de la structure sandwich par de la mousse[67]. Le bateau en effet a été construit en 2015, c'est-à-dire à une époque où l'on utilisait encore le nid-d'abeilles en fond de coque[68]. Depuis l'adoption des grands foils, le tossage répété (le slamming) provoque du délaminage[69]. Des renforcements de fond de coque ont été alors préconisés. Mais, estime Quentin Lucet, architecte et ingénieur chez VPLP, ces recommandations n'ont pas toutes été suivies à l'époque où le bateau s'appelait 11th Hour Racing, « et, à la vente, la consigne a dû se perdre en route[68] ». La réparation prend une dizaine de jours, ce qui contraint Guyot Environnement à se retirer de l'étape, et à gagner Itajaí en traversant l'Atlantique pour être à temps au départ de la quatrième étape[67].

Palmarès[modifier | modifier le code]

2015-2019. Hugo Boss — Alex Thomson[modifier | modifier le code]

  • 2017. 2e du Vendée Globe, en 74 jours 19 heures 35 minutes 15 secondes.
  • 2018. 3e de la Route du Rhum - Destination Guadeloupe, en classe IMOCA, en 12 jours, 23 heures, 10 minutes et 58 secondes (dont 24 h de pénalité pour utilisation du moteur) ; 8e au classement général.

2019-2021. 11th Hour Racing — Charlie Enright et Pascal Bidégorry[modifier | modifier le code]

2021. 11th Hour Racing-Alaka'i — Justine Mettraux et Simon Fisher[modifier | modifier le code]

2022. Guyot Environnement-Water Family — Benjamin Dutreux[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « 11th Hour Racing », sur imoca.org (consulté le 17 septembre 2019).
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  3. « 11th Hour Racing », sur transatjacquesvabre.org, 2019 (consulté le 17 septembre 2019).
  4. « Mise à l'eau de Safran, premier Imoca nouvelle génération », sur francetvinfo.fr, .
  5. Guillaume Loisy, « La voile succombe à l’appel du ciel », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
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  20. « Alex Thomson en éclaireur à l'équateur », sur vendeeglobe.org, 15 novembre 2016 (consulté le 15 novembre 2016).
  21. Christian Dumard, Bernard Sacré, « Un Pot au noir qui n'en finit pas et bien choisir sa trajectoire dans le sud », sur vendeeglobe.org, 17 novembre 2016 (consulté le 17 novembre 2016).
  22. a et b Carpentier et Sorlot 2017, p. 30.
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  30. Olivia Maincent, « 40e jour de solitude », sur vendeeglobe.org, 16 décembre 2016 (consulté le 16 décembre 2016). — Le foil a deux fonctions. Il soulage la coque, en lien avec la quille pendulaire : ce premier rôle est tenu par son coude, l'elbow. Et il empêche le bateau de dériver aux allures de près : ce deuxième rôle est tenu par son extrémité verticale, le tip. « Foils ou pas foils sur le Vendée », sur courseaularge.com, 18 octobre 2016 (consulté le 5 décembre 2016).
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