Koheilan — Wikipédia

Koheilan
Ace of Bask, exemple typique d'étalon de lignée Koheilan.
Ace of Bask, exemple typique d'étalon de lignée Koheilan.
Région d’origine
Région Drapeau de l'Arabie saoudite Arabie saoudite
Caractéristiques
Morphologie Cheval de selle
Taille Jusqu'à 1,52 m
Robe Généralement gris ou alezan
Tête Yeux élégants

Koheilan (en arabe : كحيلان, kuḥaylān?) est l'une des cinq lignées majeures du cheval pur-sang arabe reconnues par les Bédouins, les Al Khamsa. De haute taille et forte constitution, elle doit son nom à la beauté de ses yeux, sur une peau noire qui semble naturellement rehaussée de khôl. L'existence de la lignée Koheilan est relatée par le voyageur ottoman Evliya Çelebi au XVIIe siècle, puis par le comte polonais Wenceslas Séverin Rzewuski au XVIIIe siècle, qui en fournit une description détaillée. Tenant les chevaux du Nejd d'Arabie en très haute estime, il en fait l'acquisition pour ses haras. La lignée Koheilan est largement exportée en Europe centrale et de l'Est, ainsi qu'en Russie, où elle influence de nombreuses races telles que le Shagya et le Tersk. Elle a donné la majorité des chevaux arabes polonais vainqueurs en course d'endurance.

De nos jours, cette lignée est essentiellement élevée en Arabie saoudite et en Iran.

Terminologie[modifier | modifier le code]

Il existe des variantes dans la transcription de l'arabe كحيلان : Keheilan[1] Kehilan et Kuhailan[2], Kocheilan et Nejdi Kocheilan[3], cette dernière transcription étant issue de l'origine de ces chevaux, chez les Bédouins établis sur les hauteurs du Nejd au centre de l'Arabie saoudite[4]. D'après Éphrem Houël, les noms que la lignée reçoit le plus communément en langue française sont « kahel, kahejle, kailhan, koheilan, et enfin kochlani »[5].

Histoire[modifier | modifier le code]

D'après les traditions bédouines décrites par Wenceslas Séverin Rzewuski, « Koheyléh » fut l'une des cinq juments qui revinrent malgré leur soif quand le prophète Mahomet prononça leur nom[6]. Il leur aurait enduit les yeux de khôl, d'où leur nom et celui de leur progéniture, « Koheilan »[6]. Les chevaux Koheilan sont considérés comme descendants directs des Al Khamsa (الخمسة), les cinq lignées de juments favorites de Mahomet[4], que les nomades Bédouins voient à l'origine de la race Arabe, la qualité d'appartenance ou non à la lignée se transmettant par la jument poulinière mère[7],[8]. Dans les faits, les noms de ces lignées proviennent souvent de la famille bédouine qui les élève[9]. L'orientaliste Alexander Chodźko note que les Koheilan sont considérés comme les meilleurs chevaux arabes[10]. La croyance bédouine attribue à ces chevaux la faculté de choisir le meilleur chemin pour leur cavalier, grâce à une forme de prescience[3].

Roger D. Upton (1873) estime que le cheval Darley Arabian, originaire de la région d'Alep, était un Koheilan-Ras-El-Fedawi[11] (une théorie controversée, d'autres estimant qu'il appartenait à la lignée Muniqi[12]). Au XIXe siècle, le nom de « Koheilan » est donné aux chevaux du désert de Syrie[13].

Notes de voyage d'Evliya Çelebi[modifier | modifier le code]

Le voyageur ottoman Evliya Çelebi (1611-1682) rapporte qu'en 1648-1650, l'Empire ottoman élevait des Koheilan (parmi d'autres lignées) dans des harems impériaux, et qu'il leur était fourni l'herbe, le trèfle et le grain le plus fin[14]. Il cite, parmi 20 000 mousquetaires, des cavaliers montés sur des chevaux « Kuheilan »[15].

Notes de voyage du comte Wenceslas Séverin Rzewuski[modifier | modifier le code]

Dessin.
Juments Nejdi Koheilan dessinées par Wenceslas Séverin Rzewuski.

L'une des descriptions les plus connues est celle du comte Wenceslas Séverin Rzewuski. Ce voyageur polyglotte d'origine polonaise rédige un traité en français durant son expédition chez les Bédouins du Nejd d'Arabie, de 1817 à 1819. Il y propose une « table de gradation du sang de chevaux »[16]. D'après lui, la race « tout de sang et de feu », la plus chaude, est celle du « Nejdi Kocheilan bédouin des déserts du Schamalieh et Hediazet », avec une température de sang de 80 degrés[17]. Il classe ensuite, à 70°, le Kocheilan et le Pur-sang[16].

Rzewuski montre une grande admiration et une forte attirance pour la race Koheilan du Nejd[18], qu'il décrit comme « sans contredit le plus noble cheval du monde et souvent même le plus beau. Sa race est la plus pure, la mieux constatée. Elle n'a jamais pu être mélangée »[19]. Son carnet compte aussi de nombreuses notes linguistiques sur la langue arabe[20], et dix pages de listes généalogiques de ces chevaux[21]. Entre autres, il écrit que « ces chevaux sont Nejdi parce qu'ils sont nés dans les déserts du Nejd, et Kocheilan parce qu'ils ont les qualités requises en noir aux yeux »[22]. Il décrit également les traditions de capture et d'échange de chevaux chez les Bédouins, les chevaux capturés sur des caravanes (nakisat) étant revendus à d'autres tribus en les informant du nom et de la race des animaux, ce que Rzewuski décrit comme « un usage de courtoisie et de respect pour la pureté du sang Nejdi Kocheilan »[23]. Définissant la race par le contrôle de la généalogie et par le climat, il place naturellement les chevaux qu'il importe et élève lui-même dans ses haras au sommet du classement sanguin qu'il a établi[16].

Description[modifier | modifier le code]

Photo de cheval gris
Vashara Chamal, étalon de lignée Koheilan.

D'après l'étude de l'université d'Oklahoma, les éleveurs modernes de chevaux arabes considèrent plus généralement la lignée Koheilan comme l'un des trois grands types de la race arabe, avec Saklawi et Muniqi[24]. Cette lignée arabe est essentiellement réputée pour la beauté de ses yeux, qui sont surmontés de paupières donnant l'impression qu'ils ont été peints en noir[25]. La tête est courte, large entre les deux yeux et au niveau des joues[2]. Wenceslas Séverin Rzewuski accorde une grande importance à la couleur de la peau, qui doit être noire, y voyant un signe de supériorité de la race[26].

La constitution est plus solide et trapue que chez les autres lignées[24] : d'après l'étude de caractérisation publiée en URSS en 1989, le type Koheilan se distingue par « une masse corporelle proéminente, une grande taille, une construction solide et la capacité de prospérer indépendamment des conditions de gestion ». Elle ajoute que les Koheilan montrent une bonne action et une endurance satisfaisante[27]. C'est une lignée de « type masculin », à poitrine profonde, grande taille et grande puissance, pouvant atteindre une taille de 1,52 m[2]. Le Koheilan symbolise la puissance et l'endurance[28].

Schéha comparatif de trois chevaux, de profil
Types chez la race Arabe :
A : Koheilan ;
B : Saklawi ;
C : Muniqi.

Les robes les plus courantes sont le gris et l'alezan[2].

Une étude a été publiée en 2011 concernant la consanguinité des chevaux de lignée Koheilan élevés en Iran. Le coefficient de consanguinité des 615 chevaux analysés est de 2,4, soit davantage que chez la lignée Abeya (1,8) mais moins que chez la lignée Hamdani (3)[29].

Utilisations[modifier | modifier le code]

Une étude sur les chevaux d'endurance de Pologne relève qu'un nombre important d'entre eux sont des Arabes de lignée Koheilan[30]. La lignée « Koheilan Adjuze » compte peu de gagnants. La lignée « Kuhailan Afas » comptabilise le plus grand nombre de départs en course, et le plus haut taux de victoires sur 80 km et plus[30].

Influence sur les races de chevaux européennes et russes[modifier | modifier le code]

Jument Shagya de lignée Koheilan importée par le Japon depuis la Hongrie en 1911.

La lignée a eu une influence particulièrement importante sur les races de chevaux d'Europe centrale et de l'Est, ainsi que de Russie. Au XIXe siècle, ces chevaux sont importés en grand nombre. Les Bédouins n'utilisent cependant pas de stud-book comme les Européens. D'après Bernadette Lizet, Wenceslas Séverin Rzewuski précise qu'un hudget (un attestat écrit) s’attache aux chevaux Koheilan issus d'autres régions que le Nedj, et un certificat de noblesse aux Nedji Koheilan[31], la présence d'attestations écrites étant une exigence des importateurs russes, allemands et polonais[32].

Koheilan I, un étalon gris né au haras national de Bábolna en Hongrie en 1922, a été exporté au haras de Janów Podlaski en Pologne, où il est devenu chef de lignée de chevaux arabes de course. Certains de ses descendants ont été exportés aux États-Unis[33]. Le haras national de Bábolna a privilégié le courant Koheilan parmi ses demi-sangs arabes[34]. La race hongroise du Shagya est ainsi en partie issue de l'étalon Koheilan IV[35]. La lignée a également été exportée en Russie[36], où elle a influencé la race Tersk[37] : les chevaux Koheilan forment l'une des trois lignées arabes majoritairement exportées dans ce pays[38]. La lignée a également été importée dans la région de Chouchi, dont les traditions locales des années 1920 conservaient le souvenir[39], et plus largement dans le Haut-Karabagh, d'où elle a influencé la race locale[40].

Diffusion de l'élevage[modifier | modifier le code]

« Keheilan » est considéré comme une lignée originelle du cheval arabe élevée en Arabie saoudite[1]. Ces chevaux ont été amenés en Égypte, où ils sont à l'origine d'une lignée dite « Koheilan-Harkan »[41]. En Iran, le Koheilan est reconnu comme l'une des cinq lignées majeures de la race Arabe[42], plus particulièrement de l'Arabe persan[43]. Dans le Khouzistan, le prestige des chevaux s'évalue en fonction de la famille qui a élevé leur lignée : les chevaux Koheilan des Mojadami sont considérés comme particulièrement prestigieux[44].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b (en) « Keheilan/Saudi Arabia », DAD-IS (consulté le ).
  2. a b c et d (en) Fran Lynghaug, The Official Horse Breeds Standards Guide : The Complete Guide to the Standards of All North American Equine Breed Associations, MBI Publishing Company LLC, , 672 p. (ISBN 1-61673-171-0, lire en ligne), p. 181Voir et modifier les données sur Wikidata.
  3. a et b Homéric 2012, p. 319.
  4. a et b CNRS, Techniques & culture, Éditions de la Maison des sciences de l'homme, , p. 192.
  5. Éphrem Houël, Histoire du cheval chez tous les peuples de la terre: depuis les temps les plus anciens jusqu’à nos jours, Bureau du Journal des Haras, , 606 p., p. 4.
  6. a et b Homéric 2012, p. 320.
  7. Schofler 2006, p. 10.
  8. (en) Iwona Głażewska, « Speculations on the origin of the Arabian horse breed », Livestock Science, vol. 129, nos 1-3,‎ , p. 49–55 (DOI 10.1016/j.livsci.2009.12.009, lire en ligne).
  9. (en) Filip Kucera, « Arab Horse in the Culture of Orient », Sensus Historiae, vol. XII,‎ , p. 16 (ISSN 2082-0860).
  10. (en) Alexander Chodźko (trad. Alexander Chodźko), Specimens of the Popular Poetry of Persia: As Found in the Adventures and Improvisations of Kurroglou, the Bandit-minstrel of Northern Persia and in the Songs of the People Inhabiting the Shores of the Caspian Sea, vol. 58, Brockhaus, coll. « Oriental Translation Fund », , 592 p. (lire en ligne), p. 79.
  11. (en) Roger D. Upton, Newmarket & Arabia: An Examination of the Descent of Racers and Coursers, Henry S. King, , 211 p. (lire en ligne), p. 36.
  12. (en) Virginia C. Johnson et Barbara Crookshanks, Virginia Horse Racing: Triumphs of the Turf, Arcadia Publishing, , 160 p. (ISBN 1625843925 et 9781625843920), p. 24.
  13. JU; de Portes, Journal des haras, chasses, et courses de chevaux, des progrès des sciences zooïatriques et de médecine comparée, vol. 7, Parent, (lire en ligne), p. 293.
  14. (en) Evliya Çelebi (trad. du turc), Narrative of Travels in Europe, Asia and Africa in the 17th Century, vol. 1, partie 2. 33 de Oriental Translation Fund, Oriental Translation Fund of Great Britain and Ireland ; sold, , 256 p. (lire en ligne), p. 85.
  15. (en) Adam Zertal Z"l et Nivi Mirkam Z"l, The Manasseh Hill Country Survey, vol. 3 : From Nahal ‘Iron to Nahal Shechem, BRILL, coll. « Culture and History of the Ancient Near East », , 614 p. (ISBN 9004312307 et 9789004312302, lire en ligne), p. 64-65.
  16. a b et c Bernadette Lizet, « Le cheval arabe du Nejd et le système des races orientales dans le manuscrit de Wenceslas Severyn Rzewuski », Anthropozoologica, vol. 39, no 1,‎ , p. 79-97 (lire en ligne).
  17. Rzewuski 2002, p. 628.
  18. Subhi 2017, p. 98.
  19. Subhi 2017, p. 93.
  20. Subhi 2017, p. 99.
  21. Subhi 2017, p. 100-101.
  22. Subhi 2017, p. 94.
  23. 2002, p. 469.
  24. a et b Hendricks 2007, p. 43.
  25. (en) Maurizio Bongianni (trad. Ardèle Dejey), Simon & Schuster's Guide to Horses and Ponies, New York, Simon & Schuster, , 255 p. (ISBN 0-671-66068-3, OCLC 16755485, lire en ligne), « Arab », p. 44Voir et modifier les données sur Wikidata.
  26. 2002, p. 527.
  27. (en) Nikolaĭ Grigorʹevich Dmitriev et Lev Konstantinovich Ėrnst, Animal genetic resources of the USSR, Food and Agriculture Organization of the United Nations, (ISBN 9251025827 et 9789251025826), p. 260.
  28. Schiele 1970, p. 21.
  29. Gharahveysi et Irani 2011, p. 4.
  30. a et b (en) Dorota Sobczuk, « Characterization of the performance of purebred Arabian horses in endurance riding in Poland in the years 2005–2009 », Annales universitatis Mariae Curie-SK Ł Odowska Lublin - Polonia, vol. XXIX,‎ (lire en ligne).
  31. 2002, p. 559.
  32. Lizet 2004, p. 83.
  33. (en) Andra Kowalczyk, Tennessee's Arabian Horse Racing Heritage, Arcadia Publishing, coll. « Images of America », , 127 p. (ISBN 073854390X et 9780738543901), p. 32.
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  37. (en) Tamsin Pickeral, Encyclopedia of horses and ponies, Barnes & Noble Books, , 384 p. (ISBN 0760734577 et 9780760734575), p. 365.
  38. (en) Charles Evelyn Graham Hope et Noel Jackson, The encyclopedia of the horse, Viking Press, , 336 p., p. 326.
  39. Paul Dechambre, Traité de zootechnie: Les équidés, vol. 2 de Traité de zootechnie, Librairie agricole de la maison rustique, , 2e éd., p. 42.
  40. (ru) K. Bockarev, « Sovremennaja karabahskaja lošadj [Le cheval Karabakh au jour présent] », Konevodstvo, no 9,‎ , p. 16-20 (lire en ligne).
  41. Piduch 1988, p. 98.
  42. Hendricks 2007, p. 337-338.
  43. (en) A. Fotovati, « Persian Horse Breeds From Ancient Time to Present and Their Rules in Development of World Horse Breeds », Asian-Aus. J. Anim. Sci., vol. 13 Supplement July,‎ , C: 401 (lire en ligne).
  44. Hendricks 2007, p. 338.

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • [Forbis et Ferriss 1990] (en) Judith Forbis et Joe Ferriss, Authentic Arabian bloodstock, Ansata Publications, , 423 p. (ISBN 0962564400 et 9780962564406)
  • [Hendricks 2007] (en) Bonnie Lou Hendricks, International Encyclopedia of Horse Breeds, Norman, University of Oklahoma Press, , 2e éd., 486 p. (ISBN 0-8061-3884-X, OCLC 154690199, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'articleVoir et modifier les données sur Wikidata
  • [Homéric 2012] Homéric, Dictionnaire amoureux du Cheval, Plon - EDI8, , 494 p. (ISBN 2259218598 et 9782259218597)
  • [Piduch 1988] (en) Erwin Adolf Piduch, Egypt's Arab Horses: History and Cultural Heritage, Kentauros-Verlag, , 285 p. (ISBN 3925069038 et 9783925069031)
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  • [Rzewuski 2002] Wenceslas Séverin Rzewuski, Bernadette Lizet, Françoise Aubaile-Sallenav, Piotr Daszkiewicz et Anne-Élizabeth Wolf, Impressions d’Orient et d’Arabie. Un cavalier polonais chez les Bédouins (1817-1819), Paris, José Corti-Muséum national d’histoire naturelle, , 711 p.
  • [Schiele 1970] Erika Schiele, The Arab horse in Europe: history and present breeding of the pure Arab, Harrap, , 320 p.
  • [Schofler 2006] (en) Patti Schofler, Flight without Wings: The Arabian Horse And The Show World, Rowman & Littlefield, , 304 p. (ISBN 1461748925 et 9781461748922)

Études[modifier | modifier le code]

  • [Gharahveysi et Irani 2011] (en) Shahabodin Gharahveysi et Mehrdad Irani, « Inbreeding Study on the Iranian Arab Horse Population », World Journal of Zoology, vol. 6, no 1,‎ (ISSN 1817-3098, lire en ligne)
  • [Subhi 2017] Hana Subhi, « Voyage du comte Waclaw Seweryn Rzewuski en Arabie 1817-1819 : de la recherche des chevaux à l'intégration dans la société bédouine », dans Odysseys / Odyssées: Travel Narratives in French / Récits de voyage en français, BRILL, , 254 p. (ISBN 9004334726 et 9789004334724), p. 82-108

Articles connexes[modifier | modifier le code]