Limogne-en-Quercy — Wikipédia

Limogne-en-Quercy
Limogne-en-Quercy
Le dolmen de Pech-Lapeyre.
Blason de Limogne-en-Quercy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Cahors
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Lalbenque-Limogne
Maire
Mandat
Jean-Claude Vialette
2021-2026
Code postal 46260
Code commune 46173
Démographie
Population
municipale
807 hab. (2021 en augmentation de 4,67 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 23′ 54″ nord, 1° 46′ 16″ est
Altitude Min. 214 m
Max. 403 m
Superficie 32,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Marches du Sud-Quercy
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Limogne-en-Quercy
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Limogne-en-Quercy
Liens
Site web http://www.mairie-limogne.fr

Limogne-en-Quercy est une commune française, située dans le sud du département du Lot en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Limogne, un des quatre causses du Quercy, dénudé et clairsemé de champs de lavande, de genévriers et de chênes truffiers.

Exposée à un climat océanique altéré, aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune. Incluse dans le parc naturel régional des Causses du Quercy, qui a depuis 2017 le label de géoparc mondial Unesco, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un espace protégé (la réserve naturelle nationale d'intérêt géologique du département du Lot) et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Limogne-en-Quercy est une commune rurale qui compte 807 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 1 507 habitants en 1861. Ses habitants sont appelés les Limognais ou Limognaises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Le village est situé sur le Causse de Limogne dans l'ancienne province du Quercy. La route qui traverse le village est l'ancienne route nationale 111 entre Cahors et Villefranche-de-Rouergue.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Beauregard, Calvignac, Cénevières, Lugagnac, Promilhanes, Puyjourdes, Saint-Jean-de-Laur, Varaire et Vidaillac.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 930 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Caylus à 18 km à vol d'oiseau[4], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 799,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8],[9].

La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[10]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[11],[12]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy », faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[13],[14].

Un autre espace protégé est présent sur la commune : la réserve naturelle nationale d'intérêt géologique du département du Lot, classée en 2015 et d'une superficie de 800 ha, composée de 59 sites d'intérêts géomorphologique, minéralogique, tectonique et paléontologique remarquables[15],[16].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[17] : la « combe de Pecholié » (45 ha), couvrant 2 communes du département[18].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Limogne-en-Quercy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[19],[I 1],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (61,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,2 %), zones agricoles hétérogènes (24,2 %), prairies (8,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,8 %), zones urbanisées (2,6 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Limogne-en-Quercy est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

Limogne-en-Quercy est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[24].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Limogne-en-Quercy.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des éboulements, chutes de pierres et de blocs[25]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 48,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 519 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 121 sont en aléa moyen ou fort, soit 23 %, à comparer aux 72 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2021. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[22].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom Limogne est formé à partir du gaulois limo qui désigne un arbre du genre de l'orme. Il pourrait aussi provenir du nom d'homme gaulois Limonius issu du nom gaulois d'arbre limo[28].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le 1er juin 1944, un groupe de SS de la 2e Division SS Das Reich arrive à Limogne alors que se tient le marché du village. Un mouvement de panique a lieu, des gens s'enfuient en courant et les SS leur tirent dessus. 9 civils sont tués ce jour-là[29].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[30]
Période Identité Étiquette Qualité
1802 1804 Jean Louis Pradine    
1804 1826 Jean François Dalat    
1826 1840 Joseph Louis Pradine    
1840 1850 Jean Pierre Pradines    
1850 1851 Jean Combarieu    
1851 1865 Pierre Firmin Cosse    
1865 1899 François Joseph Pradines    
1899 1903 Charles Marie Albert Pradines    
1904 Pierre Emilien Espinasse    
1908 Charles Marie Albert Pradines    
1934 Marie Paulin Charles Roger Couderc    
1934 1944 Jean Achille Ouvrieu    
1944 1945 Henri Félix Bach    
1945 1947 Jean-Baptiste Félix Crayssac    
1947 1955 Jean Achille Ouvrieu    
1955 1977 Gabriel Rous    
1989 Raymond Miquel    
Yves Lacam    
2011 Joël Massabie    
2010 (par intérim, remplaçant Joël Massabie pour raisons de santé) 2010 François Trébosc    
2011 2014 Francis Mercadier    
2014 2020 Josiane Hoeb-Pélissié    
2020 2021 Matthieu Gaillard    
2021[31] En cours Jean-Claude Vialette    
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal fonctionne avec 14 élus depuis 2011.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

En 2021, la commune comptait 807 habitants[Note 3], en augmentation de 4,67 % par rapport à 2015 (Lot : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9511 1751 1561 2141 0721 2261 2471 3461 458
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4541 5071 4581 3901 4081 4331 3721 3481 242
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1101 012908774738723675665623
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
584591616637618724788795764
2021 - - - - - - - -
807--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 369 ménages fiscaux[Note 4], regroupant 696 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 050 [I 4] (20 740  dans le département[I 5]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 9,1 % 10,7 % 9,9 %
Département[I 7] 7,3 % 8,9 % 9,6 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 343 personnes, parmi lesquelles on compte 72,4 % d'actifs (62,4 % ayant un emploi et 9,9 % de chômeurs) et 27,6 % d'inactifs[Note 5],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était supérieur à celui de la France en 2008.

La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 303 emplois en 2018, contre 309 en 2013 et 347 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 223, soit un indicateur de concentration d'emploi de 136,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 38,8 %[I 10].

Sur ces 223 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 126 travaillent dans la commune, soit 57 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 68,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,5 % les transports en commun, 13,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 17,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

99 établissements[Note 6] sont implantés à Limogne-en-Quercy au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 7],[I 13].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 99 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
10 10,1 % (14 %)
Construction 9 9,1 % (13,9 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
40 40,4 % (29,9 %)
Information et communication 2 2 % (1,8 %)
Activités financières et d'assurance 2 2 % (2,8 %)
Activités immobilières 3 3 % (3,5 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
5 5,1 % (13,5 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
18 18,2 % (12 %)
Autres activités de services 10 10,1 % (8,7 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 40,4 % du nombre total d'établissements de la commune (40 sur les 99 entreprises implantées à Limogne-en-Quercy), contre 29,9 % au niveau départemental[I 14].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[36] :

  • EURL Morel Bassoul Sylvie Et Gerard, commerce de détail de quincaillerie, peintures et verres en petites surfaces (moins de 400 m2) (188 k€) ;
  • Postmortem, activités spécialisées de design (71 k€).

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans les Causses », une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[37]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 35 21 16 17
SAU[Note 9] (ha) 1 122 1 374 1 918 2 206

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 35 lors du recensement agricole de 1988[Note 10] à 21 en 2000 puis à 16 en 2010[39] et enfin à 17 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 51 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[40],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune est restée relativement stable, passant de 1122 ha en 1988 à 2206 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 32 à 130 ha[39].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Mégalithisme[modifier | modifier le code]

La commune bénéficie d'un patrimoine mégalithique très riche, dont cinq dolmens classés aux Monuments Historiques :

Dolmen d'Agranel
Dolmen du Lac d'Aurie.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jacques Ozouf historien, a vécu dans la commune, où il est décédé en .
  • Mona Ozouf, historienne et épouse du précédent.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Parti : au 1er coupé au I d'azur à trois étoiles d'or rangées en pal, au II d'or à trois bandes de gueules, au 2e d'azur à la tour d'argent, maçonnée de sable, au chef cousu de gueules chargé de trois casques d'or.

Le Pèlerinage de Compostelle[modifier | modifier le code]

Sur la via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle

On vient de Cajarc, la prochaine commune est Varaire.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Limogne-en-Quercy » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Limogne-en-Quercy » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Limogne-en-Quercy » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Limogne-en-Quercy » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Limogne-en-Quercy et Caylus », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Caylus » (commune de Caylus) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Caylus » (commune de Caylus) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  9. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur parc-causses-du-quercy.fr (consulté le ).
  11. [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur parc-causses-du-quercy.fr (consulté le ).
  12. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « le géoparc des Causses du Quercy »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le ).
  14. « Géoparc des Causses du Quercy - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Réserve naturelle d'intérêt géologique du département du Lot. », sur reserves-naturelles.org (consulté le ).
  16. « la réserve naturelle nationale d'intérêt géologique du département du Lot - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Limogne-en-Quercy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « ZNIEFF la « combe de Pecholié » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  22. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Limogne-en-Quercy », sur Géorisques (consulté le ).
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  24. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Lot », sur lot.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  26. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Limogne-en-Quercy », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  28. Gaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol. 1,‎ , p. 115-116 (lire en ligne).
  29. Stèle commémorative dans le village
  30. « Les maires de Limogne-en-Quercy », sur Site francegenweb, (consulté le ).
  31. « Lot : Jean-Claude Vialette élu maire de Limogne », sur La Dépêche, (consulté le ).
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  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. « Entreprises à Limogne-en-Quercy », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  37. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  38. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  39. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Limogne-en-Quercy - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  40. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Lot » (consulté le ).

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  6. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  7. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  8. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[38].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

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