Méthode du parallélogramme — Wikipédia

Les vecteurs (en vert) et (en bleu) peuvent être additionnés graphiquement de deux manières, représentées par les lignes pointillées et formant un parallélogramme. Le vecteur (en rouge) est la résultante de l'addition.

La méthode du parallélogramme[1] réfère à une méthode d'addition graphique de deux vecteurs euclidiens. Elle tire son nom de la forme créée par les possibilités d'additions graphiques des deux vecteurs. Ainsi, puisque l'addition de vecteurs euclidiens est commutative, l'addition graphique de deux vecteurs peut-être réalisée de deux manières. Par exemple, les vecteurs et de la figure ci-contre peuvent être additionnés selon l'ordre , qui donne le trajet supérieur, ou , qui donne le trajet inférieur. L'ensemble des trajets possibles forme le parallélogramme.

Lorsque la méthode concerne des forces, on parle de parallélogramme des forces. Lorsque appliquée pour additionner plus de deux vecteurs euclidiens, on parle de méthode du polygone. Lorsqu'elle concerne tous types de vecteurs, on parle de relation de Chasles.

Exemples[modifier | modifier le code]

Parallélogramme des vitesses[modifier | modifier le code]

Parallélogramme des forces[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Parallelogram of force » (voir la liste des auteurs).
  1. Mario Vallières, « Les vecteurs », sur recit.csdps.qc.ca (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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