Mandray — Wikipédia

Mandray
Mandray
Mandray, l'église et la mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Saint-Dié-des-Vosges
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Saint-Dié-des-Vosges
Maire
Mandat
Emmanuel Laurent
2020-2026
Code postal 88650
Code commune 88284
Démographie
Gentilé Mandresayens
Population
municipale
589 hab. (2021 en diminution de 0,84 % par rapport à 2015)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 13′ 08″ nord, 6° 59′ 47″ est
Altitude 584 m
Min. 398 m
Max. 770 m
Superficie 12,36 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Dié-des-Vosges
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Dié-des-Vosges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Dié-des-Vosges-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Mandray
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Mandray
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Mandray
Liens
Site web http://www.mandray.mairie.com/Mairie-88-mandray.awp

Mandray ([mɑ̃dʁɛ] Écouter en vosgien de la montagne [mɑ̃dʁɑː]) est une commune française située dans le département des Vosges, en région Grand Est.

Ses habitants sont appelés les Mandresayens.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Mandray est un village de piémont, inclus dans les 201 communes réparties sur quatre départements : les Vosges, le Haut-Rhin, le Territoire de Belfort et la Haute-Saône, dans le parc naturel régional des Ballons des Vosges[1].

Il se niche dans la vallée du Mandresey, petit affluent droit de la Meurthe, à 10 km au sud-est de Saint-Dié-des-Vosges.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Par le col de Mandray, on accède à Fraize et à La Croix-aux-Mines. Malgré une indication de 707 m sur le panneau en bord de route, l'altitude de ce col est de 696 m. L'altitude maximum de la commune est atteinte entre le col de Mandray et le col des Journaux à 770 m.

Hameaux[modifier | modifier le code]

L'habitat est dispersé, avec plusieurs hameaux : Haute-Mandray, Mi-Mandray, Basse-Mandray, Bénifosse, la Béhouille, la Nold, le Pré du Moulin, Mardichamp, le Raichant (signifiant jardin en patois), les Angles et enfin les Carrières.

Sismicité[modifier | modifier le code]

Commune située dans une zone 3 de sismicité modérée[2].

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Mandray[3],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Mandray.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 416 mm, avec 13,7 jours de précipitations en janvier et 11,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ban-de-Sapt », sur la commune de Ban-de-Sapt à 14 km à vol d'oiseau[6], est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 027,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 36,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Mandray est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Dié-des-Vosges, une agglomération intra-départementale regroupant 16 communes[14] et 41 161 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Dié-des-Vosges dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (58,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,6 %), prairies (36,1 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %), zones urbanisées (2,5 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Gare de Saint-Dié-des-Vosges.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Lignes SNCF[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le village de Mandray s'étire tout au long de la vallée des ruisseaux du Mandresey et du Bérinchamp, la toponymie s'est ainsi adaptée : de l'ouest vers l'est nous trouvons successivement la Basse-Mandray, la Mi-Mandray, la Haute-Mandray et en fond de vallée, la Béhouille et le Moyen-Grain, en passant par les Censes du Hagis de la Roche[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le toponyme de Mandray (de Mandritio) remonte au moins au XIe siècle. Le ban ou mairie de Mandray comprenait les villages et hameaux de Mandray (divisé en Moyenne, Haute et Basse-Mandray), Bénifosse, Entre-Deux-Eaux, Remémont et partie de Fouchifol. Dans tout ce ban, sauf à Basse-Mandray où le seigneur de Saulcy avait dix hommages, le chapitre de Saint-Dié possédait la haute, moyenne et basse justice et droit de mainmorte[21].

Des combats se sont déroulés dès 1914 sur le territoire de la commune. En représailles, les Allemands ont incendié l'église le de cette même année[22],[23] et fusillé des civils.

La commune a été décorée le de la Croix de guerre 1914-1918[24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 mars 1989 Maurice Vincent   Retraité
mars 1989 mars 2001 Jean-Marie Simon   Artisan menuisier
mars 2001 mars 2007 Étienne Vincent (1954-2007)   Employé de la SNCF
Décédé au cours du mandat
avril 2007 En cours
(au 18 février 2015)
Emmanuel Laurent (°1967) DVD Directeur d'école

Budget et fiscalité 2022[modifier | modifier le code]

La mairie-école.

En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[25] :

  • total des produits de fonctionnement : 456 000 , soit 769  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 438 000 , soit 738  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 36 000 , soit 60  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 97 000 , soit 163  par habitant ;
  • endettement : 171 000 , soit 288  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 21,92 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 41,27 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 21,74 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2021 : médiane en 2021 du revenu disponible, par unité de consommation : 21 950 [26].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 589 habitants[Note 4], en diminution de 0,84 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
7816859531 1401 2721 3781 4101 4601 326
1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
1 3231 3601 4581 3781 3431 3231 2211 1551 096
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
1 061848841760702697577501429
1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019
411523596619609602627595581
2021 - - - - - - - -
589--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[31] :

  • Écoles maternelles et primaires à Mandray, Fraize, Saint-Léonard, Saulcy-sur-Meurthe, Anould, Coinches.
  • Collèges à Fraize, Saint-Dié-des-Vosges.
  • Lycées à Saint-Dié-des-Vosges.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[32] :

  • Médecins à Saulcy-sur-Meurthe, Fraize, Anould, Plainfaing, Ban-de-Laveline.
  • Pharmacies à Saulcy-sur-Meurthe, Fraize, Anould, Plainfaing, Ban-de-Laveline.
  • Hôpitaux à Fraize, Gerbépal, Le Bonhomme, Sainte-Marie-aux-Mines.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses[34].
  • Élevage de vaches laitières.
  • Élevage d'autres bovins et de buffles.
  • Élevage de chevaux et d'autres équidés.

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Hébergements et restauration à Fraize, Planfaing, Saulcy-sur-Meurthe[35].
Haut-fer : roue dans la glace en 2001.

Commerces et services[modifier | modifier le code]

  • Commerces et services de proximité à Fraize, Saulcy-sur-Meurthe, Plainfaing[36]
  • Haut-fer : scierie.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux :

Autres patrimoines et sites :

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Marie Jeanne Delille, née Vaudechamp[45],[46].

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Mandray » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Liste des 201 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
  2. Informations sur les risques naturels et technologiques
  3. « Fiche communale de Mandray », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Mandray et Ban-de-Sapt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Ban-de-Sapt », sur la commune de Ban-de-Sapt - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Ban-de-Sapt », sur la commune de Ban-de-Sapt - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Saint-Dié-des-Vosges », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Dié-des-Vosges », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. Roger CHALOT - Christophe MARCINIAK, « Dolomie de Mandray - Localisation », sur www4.ac-nancy-metz.fr (consulté le ).
  21. Archives départementales des Vosges. Répertoire numérique détaillé de la sous-série E dpt 289. Archives communales de Mandray (1607-1956), par Marie-Claire Martin, Geneviève Rodrique et Jean-Yves Vincent sous la direction de Yves Kinossian conservateur du patrimoine
  22. Intérieur de l'Eglise : l'autel était l'un des plus riches de France
  23. L'église incendiée volontairement par les Bavarois qui ont occupé le village pendant dix-sept jours
  24. Communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918
  25. Les comptes de la commune
  26. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Établissements d'enseignements
  32. Professionnels et établissements de santé
  33. Paroisse Notre-Dame-du-Val-de-Meurthe
  34. Annuaire Agriculture, sylviculture et pêche
  35. Hébergements et restauration
  36. Le cadre de vie des Territoires
  37. Monument aux Morts devant l'église, Stèle commémorative au col de Mandray, Corps restitués
  38. CMonument aux morts : Rénovation intégrale par aérogommage
  39. Tombe au col de Mandray : trois Français et dix Allemands
  40. « moulin à farine puis scierie communale hydraulique à cadre », notice no IA88001774, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. Moulin à farine puis scierie communale hydraulique à cadre avec logement
  42. Scierie à haut-fer de Mandray.
  43. Notice no IM88004727, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture scie alternative à cadre dite « haut-fer »
  44. Le Haut-fer, Scierie hydraulique communale
  45. Marie Jeanne Delille, née Vaudechamp, fille du maître d'école de Mandray
  46. « Biographie de Marie Jeanne Delille, née Vaudechamp, Dictionnaire des Vosgiens célèbres », sur le site personnel de Bernard Visse (consulté le ).