Massillargues-Attuech — Wikipédia

Massillargues-Attuech
Massillargues-Attuech
Blason de Massillargues-Attuech
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Alès
Intercommunalité Alès Agglomération
Maire
Mandat
Aurélie Genolher
2020-2026
Code postal 30140
Code commune 30162
Démographie
Population
municipale
669 hab. (2021 en augmentation de 1,83 % par rapport à 2015)
Densité 107 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 00′ 57″ nord, 4° 01′ 30″ est
Altitude Min. 112 m
Max. 179 m
Superficie 6,27 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Alès
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Quissac
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Massillargues-Attuech
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Massillargues-Attuech

Massillargues-Attuech [masijaʁɡ atɥɛʃ], en occitan Massihargue-Atuech[1], est une commune française située dans le centre du département du Gard en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Gard, le ruisseau de l'Ourne et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Massillargues-Attuech est une commune rurale qui compte 669 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Alès. Ses habitants sont appelés les Massituéchois ou Massituéchoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Hydrographie et relief[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 000 mm, avec 6,8 jours de précipitations en janvier et 3,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cardet à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 14,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 974,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[8] : le « Gardon d'Anduze et Gardon » (461 ha), couvrant 11 communes du département[9] et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[8] : la « vallée moyenne des Gardons » (1 848 ha), couvrant 24 communes du département[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Massillargues-Attuech est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[11],[I 1],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alès, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (44,7 %), cultures permanentes (43,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,8 %), zones urbanisées (4,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Massillargues-Attuech est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) d'Alès, regroupant 37 communes autour d'Alès, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[16], retenu au regard des risques de débordements de la Cèze et des Gardons. Parmi les dernières crues significatives qui ont touché le territoire figurent celles de 1958 et de septembre 2002. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[17],[18]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1993, 1995, 1997, 2001, 2002, 2010, 2014 et 2020[19],[14].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Massillargues-Attuech.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[20]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 339 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 339 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Provençal Massihargue, du roman Marcilhargues, Masseyliargues, Marsilhargues, du bas latin villa de Massilhanicis, Massillanicis, Macellanigis, Marcianicus, Marcilhanicæ, Massilianicæ, Marcelhanicæ[1].

Au XVIIIe siècle, On trouve les graphies Marsolargues / Massolargues relatives aux possessions de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem et de la commanderie de Saint-Christol.

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

Le , Chabot Rochayrol et Peyronelle sa femme, font don de la terre de « Marsolargues » aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem d'Alès[23],[24]. On retrouve ensuite Massilargues parmi les membres de la commanderie de Saint-Christol mais la visite effectuée en 1761 par les commissaires de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem indique que la bâtisse seigneuriale est entièrement ruinée et qu'il ne reste qu'un domaine avec six pièces de terre[25].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Le village de Marssilargues est mentionné Parrochia Sancti-Marcelli et aussi Castrum et mandamentum de Massilianicis en 1345 dans le cartulaire de la seigneurie d'Alais[26] et le hameau d'Attuech Mansus de Atogiis, in parrochia de Sancti-Marcelli lui aussi en 1345 dans le même cartulaire[26].

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1981 1983 Raymond Arnaud PCF  
1983 1995 Claude Foubert    
1995 2008 Jacques Blanc PS viticulteur
2008 En cours Aurélie Genolher EELV Agricultrice
Conseillère régionale d'Occitanie depuis 2015
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 669 habitants[Note 5], en augmentation de 1,83 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
286293383345339376373419423
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
397398383386430432391371384
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
390402389345334339317311318
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
337335318331419522652706675
2014 2019 2021 - - - - - -
662667669------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 296 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 664 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 930 [I 4] (20 020  dans le département[I 5]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 11 % 14,4 % 13,5 %
Département[I 7] 10,6 % 12 % 12 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 376 personnes, parmi lesquelles on compte 72,5 % d'actifs (59 % ayant un emploi et 13,5 % de chômeurs) et 27,5 % d'inactifs[Note 7],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Alès, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 88 emplois en 2018, contre 96 en 2013 et 128 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 229, soit un indicateur de concentration d'emploi de 38,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49,5 %[I 10].

Sur ces 229 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 51 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 90 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

53 établissements[Note 8] sont implantés à Massillargues-Attuech au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 13].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 53
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
6 11,3 % (7,9 %)
Construction 3 5,7 % (15,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
18 34 % (30 %)
Activités financières et d'assurance 2 3,8 % (3 %)
Activités immobilières 3 5,7 % (4,1 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
9 17 % (14,9 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
2 3,8 % (13,5 %)
Autres activités de services 10 18,9 % (8,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 34 % du nombre total d'établissements de la commune (18 sur les 53 entreprises implantées à Massillargues-Attuech), contre 30 % au niveau départemental[I 14].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les deux entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[31] :

  • SARL Le Fief De Misyl, terrains de camping et parcs pour caravanes ou véhicules de loisirs (301 k€)
  • SAS Sylmi, fonds de placement et entités financières similaires (29 k€)

Artisanat[modifier | modifier le code]

La commune connaît une forte production du Vase d'Anduze.

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard[32]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la viticulture[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 35 31 19 22
SAU[Note 11] (ha) 303 359 292 388

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 35 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 31 en 2000 puis à 19 en 2010[34] et enfin à 22 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 37 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[35],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 303 ha en 1988 à 388 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 9 à 18 ha[34].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Édifices civils[modifier | modifier le code]

  • Tuilerie, briqueterie Cavalier de 1856, au lieu-dit Boussot à Attuech. Cet établissement industriel désaffecté a été restauré[36].
  • Château du XIIIe siècle et parc dans le bourg.

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

  • Église XIXe qui succède à l'église Saint-Marcel disparue au XVIe siècle.
  • Temple protestant de Massillargues-Attuech.

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Massillargues-Attuech Blason
D’azur, à la main dextre d’argent, tenant une massue d’or[26].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[33].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Massillargues-Attuech » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Massillargues-Attuech » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Massillargues-Attuech » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Massillargues-Attuech » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, BNF 37258238), p. 292, t. 2 et p. 168, t. 1
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Massillargues-Attuech et Cardet », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  6. « Station Météo-France « Cardet » (commune de Cardet) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Massillargues-Attuech », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « ZNIEFF le « Gardon d'Anduze et Gardon » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « ZNIEFF la « vallée moyenne des Gardons » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Massillargues-Attuech », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 », sur rhone-mediterranee.eaufrance.fr (consulté le ).
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  18. « 0 », sur rhone-mediterranee.eaufrance.fr (consulté le ).
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  20. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Massillargues-Attuech », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. Emmanuel-Ferdinand de Grasset, Essai sur le grand prieuré de Saint-Gilles de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, suivi du catalogue des chevaliers, chapelains, diacots, donats et servants d'armes de la vénérable langue de Provence, dressé sur les titres originaux, Paris, (lire en ligne), p. 33-34
    Le membre de Marsolargues.
    .
  24. Abbé César-Augustin Nicolas, « Histoire des grands prieurs et du prieuré de Saint-Gilles par M. Jean Raybaud, avocat et archivaire de ce prieuré : tome I », Mémoires de l'Académie de Nîmes, t. XXVI,‎ , p. 53, lire en ligne sur Gallica.
  25. Abbé C. Nicolas, « Histoire des grands prieurs et du prieuré de Saint-Gilles faisant suite au manuscrit de Jean Raybaud 1751-1806 : tome III », Mémoires de l'Académie de Nîmes, t. XXIX,‎ , p. 92, lire en ligne sur Gallica
    « Le membre de Massolargues à trois lieues d'Alais » (Alès).
    .
  26. a b et c Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF 30500934, lire en ligne), p. 131-132 et 13-14
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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