Michel Durafour — Wikipédia

Michel Durafour
Illustration.
Fonctions
Ministre d'État[N 1]
Ministre de la Fonction publique et des Réformes administratives

(3 ans et 3 jours)
Président François Mitterrand
Premier ministre Michel Rocard
Gouvernement Rocard I et II
Prédécesseur Hervé de Charette (Fonction publique, ministre délégué)
Camille Cabana (Réforme administrative, ministre délégué)
Successeur Jean-Pierre Soisson
Ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de l'Économie, des Finances et du Budget

(7 mois et 3 jours)
Président Valéry Giscard d'Estaing
Premier ministre Raymond Barre
Gouvernement Barre I
Prédécesseur Jean-Pierre Fourcade (ministre)
Successeur Robert Boulin
Ministre du Travail

(2 ans, 2 mois et 28 jours)
Président Valéry Giscard d'Estaing
Premier ministre Jacques Chirac
Gouvernement Chirac I
Prédécesseur Georges Gorse
Successeur Christian Beullac
Sénateur français

(4 ans, 8 mois et 18 jours)
Élection 25 septembre 1983
Circonscription Loire
Groupe politique Gauche démocratique

(1 an, 6 mois et 8 jours)
Élection 26 septembre 1965
Circonscription Loire
Groupe politique Gauche démocratique
Député français

(3 ans, 1 mois et 19 jours)
Élection 19 mars 1978
Circonscription 1re de la Loire
Législature VIe (Cinquième République)
Groupe politique UDF
Prédécesseur Pierre-Roger Gaussin
Successeur Paul Chomat

(6 ans, 10 mois et 24 jours)
Élection 12 mars 1967
Réélection 30 juin 1968
11 mars 1973
Circonscription 1re de la Loire
Législature IIIe, IVe et Ve (Cinquième République)
Groupe politique PDM (1967-1973)
RDS (1973-1974)
Prédécesseur Bernard Muller
Successeur Pierre-Roger Gaussin
Président du conseil régional
de Rhône-Alpes

(11 mois et 9 jours)
Prédécesseur Paul Ribeyre
Successeur Charles Béraudier
Maire de Saint-Étienne
[N 2]
(12 ans, 3 mois et 14 jours)
Élection
Réélection mars 1965 et mars 1971
Prédécesseur Alexandre de Fraissinette
Successeur Joseph Sanguedolce
Biographie
Nom de naissance Michel André François Jean Durafour [1]
Date de naissance
Lieu de naissance Saint-Étienne (Loire)
Date de décès (à 97 ans)
Lieu de décès Saint-Étienne (Loire)
Nationalité française
Parti politique UDSR (1945-1948)
PRRRS (1948-1956)
CR (1956-1977)
UDF-RAD (1978-1992)
MDR (dès 1992)
Père Antoine Durafour
Diplômé de Faculté de droit de Paris
École libre des sciences politiques
Profession Journaliste
Universitaire
Écrivain
Religion Catholicisme

Michel Durafour
Maires de Saint-Étienne

Michel Durafour, né le à Saint-Étienne (Loire) et mort le dans la même ville[2],[3], est un homme politique et écrivain français.

D'abord membre du Parti républicain, radical et radical-socialiste puis du Parti radical valoisien, il est membre des gouvernements de Jacques Chirac puis de Raymond Barre, entre 1974 et 1977. Il se rapproche en 1988 de la gauche en entrant au gouvernement de Michel Rocard et devenant ainsi une personnalité symbolique de l'ouverture.

Il est maire de Saint-Étienne de 1964 à 1977, sénateur de la Loire de 1965 à 1967, puis député de la 1re circonscription de la Loire de 1967 à 1981, de nouveau sénateur de la Loire de 1983 à 1988 et brièvement président du conseil régional de Rhône-Alpes de 1980 à 1981.

Michel Durafour est également écrivain sous son patronyme et sous les pseudonymes de Pierre Jardin, Cécil Viborg et Rémi Sibel[4].

Biographie[modifier | modifier le code]

Jeunesse et études[modifier | modifier le code]

Michel Durafour est le fils d'Antoine Durafour (1876-1932), avocat, homme politique et d'Olga Gaillard (1899-1992), d'origine suisse. Il est le filleul laïc d'Aristide Briand (1862-1932), homme politique et prix Nobel de la paix en 1926[5].

Michel Durafour est élève au lycée Claude-Fauriel de Saint-Étienne[6] puis diplômé de la faculté de droit de Paris[7] et de l'École libre des sciences politiques[8]. En 1939, au début de la Seconde Guerre mondiale, il s'engage dans l'armée et effectue son service militaire à Poitiers.

Michel Durafour est démobilisé en 1940 après la défaite et en 1941, il achève ses études à l'École libre des sciences politiques (section Diplomatie, promotion 1941) alors installée à Lyon.

Michel Durafour est marié à Maryse Forissier, sa quatrième épouse depuis 1973[9],[10]. Il est père de deux enfants : Estelle Durafour (épouse Metton) et Jean-Michel Durafour, philosophe et théoricien des images et du cinéma[7].

Parcours professionnel[modifier | modifier le code]

En , il entre comme chargé de mission au cabinet du ministre de l'Information. Il exerce cette responsabilité jusqu'en , successivement auprès de Pierre-Henri Teitgen, Jacques Soustelle et André Malraux. Michel Durafour est ensuite journaliste dans différents organes de presse.

Il rejoint tout d'abord l'Union démocratique et socialiste de la Résistance (UDSR) avant d'en être exclu en 1948 par Eugène Claudius-Petit. Il devient alors membre du Parti radical-socialiste.

Adjoint au maire de Saint-Étienne de 1947 à 1964 puis maire de cette ville de 1964 à 1977, il prend ainsi la suite de son père, Antoine Durafour. À cette date, les électeurs lui reprochant un manque de présence locale[11], il est battu aux élections municipales de 1977 par le communiste Joseph Sanguedolce. Très attaché au développement de la culture à l'échelle locale, alors adjoint à la mairie de Saint-Étienne, il décide de créer systématiquement un adjoint délégué à la culture. Cette initiative pionnière dans les années 1960 sera suivie ensuite par d'autres villes.

Sénateur de la Loire (Centre républicain) de 1965 à 1967, il est député de ce département de 1967 à 1974.

Président du groupe des réformateurs démocrates sociaux de l'Assemblée nationale de 1973 à 1974, il remplit les fonctions de ministre du Travail de 1974 à 1976 puis de ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de l'Économie, des Finances et du Budget de 1976 à 1977. Il laisse alors son siège de député à son suppléant, Pierre-Roger Gaussin. Le , il signe avec le premier ministre Jacques Chirac, le décret autorisant le regroupement familial ouvrant ainsi la voie à l'immigration de masse.

Lors des élections législatives de 1978, il est réélu député de la Loire sous l'étiquette de l'UDF et préside la commission de la production et des échanges de l'Assemblée nationale en 1978. Il est battu en 1981 par le candidat communiste Paul Chomat.

De 1980 à 1981, il préside le conseil régional de Rhône-Alpes et poursuit une carrière universitaire en tant que professeur associé de gestion à l'université Paris-Dauphine, professeur d’université à l'université Jean-Moulin-Lyon-III et conférencier à l'université Panthéon-Sorbonne[7].

Sénateur de la Loire de 1983 à 1988, il est inscrit au groupe de la Gauche démocratique.

Ministre d'État puis ministre de la Fonction publique et des Réformes administratives de 1989 à 1991, il constitue, aux côtés d'autres personnalités d'ouverture, le Mouvement des réformateurs. Après une longue négociation avec les fédérations de fonctionnaires, il conclut avec cinq d'entre elles (FEN, CFDT, FGAF, CFTC et CGC) un accord sur la réforme de la grille de la fonction publique le . Il est conseiller d'État en service extraordinaire de 1992 à 1996.

En 1988, il lance un appel public à « exterminer le Front national »[12], Jean-Marie Le Pen lui réplique le en déclarant « M. Durafour et Dumoulin, obscur ministre de l'ouverture, dans laquelle il a d'ailleurs immédiatement disparu, a déclaré : "Nous devons nous allier, aux élections municipales, y compris avec le Parti communiste, car le PC, lui, perd des forces tandis que l'extrême droite ne cesse d'en gagner." M. Durafour-crématoire, merci de cet aveu ! ». Poursuivi pour « injure publique envers un ministre », le président du Front national est condamné en première instance à 10 000 F d'amende, le [13], puis relaxé par la cour d'appel de Versailles le [14]. L'arrêt est cassé le de la même année[15] ; Le Pen est de nouveau condamné à 10 000 F d'amende par la cour d'appel de Paris, le [16],[12], condamnation définitive, la Cour de cassation ayant rejeté son pourvoi, le de la même année. Cette affaire conduit également à l'exclusion du FN de François Bachelot, Pascal Arrighi et Yann Piat après qu'ils ont « exprimé leur désaccord avec ce « calembour » »[17].

Lors de l'élection présidentielle de 2007, il reprend des activités politiques en prenant la tête du comité de soutien de Ségolène Royal dans la Loire.

Michel Durafour et sa femme étaient des amis proches de Simone Veil[18].

Écrivain[modifier | modifier le code]

Dans les années 1950, il publie quelques romans. Il a été par la suite auteur de nombreux romans policiers et romans d'espionnage dans un style humoristique qui rappelle celui de Charles Exbrayat, notamment sous le pseudonyme de Pierre Jardin. En 1963, il remporte le prix du roman d'aventures pour Agnès et les vilains Messieurs. Sous son nom, il a également signé à partir des années 1980 des thrillers et des romans policiers historiques.

Décès et hommage[modifier | modifier le code]

Il meurt le à l'âge de 97 ans, entouré par sa femme et ses enfants[19], il était hospitalisé depuis six mois[2],[20],[21],[22],[23],[24].

Les obsèques de Michel Durafour ont été célébrées par Mgr Sylvain Bataille le en la cathédrale Saint-Charles-Borromée de Saint-Étienne en présence notamment de Gaël Perdriau, Maurice Vincent, Régis Juanico, Jean-Michel Mis et Roland Romeyer[25],[26],[27],[28].

Il est inhumé au cimetière du Crêt-de-Roc à Saint-Étienne[28].

Une minute d'applaudissements a lieu en son hommage au stade Geoffroy-Guichard lors du match ASSE-OGC Nice du [29],[30].

En , le conseil municipal de Saint-Étienne décide que le campus de Tréfilerie sera renommé à son nom[31].

Mandats et fonctions[modifier | modifier le code]

Fonctions ministérielles[modifier | modifier le code]

Période Fonction Gouvernement
du au Ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de l'Économie, des Finances et du Budget Barre I
du au Ministre du Travail Chirac I
du au Ministre d'État (à partir du )
Ministre de la Fonction publique et des Réformes administratives
Rocard I
Rocard II

Mandats et fonctions parlementaires[modifier | modifier le code]

Sénateur[modifier | modifier le code]

  • -  : Sénateur de la Loire
  • -  : Sénateur de la Loire

Député[modifier | modifier le code]

Mandats et fonctions régionales[modifier | modifier le code]

Conseiller régional[modifier | modifier le code]

Mandats locaux[modifier | modifier le code]

Conseiller général[modifier | modifier le code]

  • 1949 -  : Conseiller général du canton de Saint-Étienne-Nord-Est
  • -  : Conseiller général du canton de Saint-Étienne-Nord-Est
  • -  : Conseiller général du canton de Saint-Étienne-Nord-Est

Conseiller municipal / Maire[modifier | modifier le code]

Ouvrages[modifier | modifier le code]

  • Les Finances communales, Saint-Étienne, Centre départemental de documentation pédagogique, 1968.
  • Saint-Étienne, métropole d'équilibre, un gigantesque atelier au centre de la France, Saint-Étienne, Centre départemental de documentation pédagogique, 1970.

Romans[modifier | modifier le code]

  • Japy et le Chien-Fou, Paris, Dumas, 1948.
  • Bettina, Paris, Éditions du Carrousel, 1950.
  • Jus de citron, Paris, Éditions Segep, 1951.
  • Notre rêve qui êtes aux cieux, Paris, Éditions du Carrousel, 1952.
  • Avec Yves Denaux, Des fourmis sur la terre, Givors, A. Martel, 1952.
  • Le Juif du ciel, Paris, Éditions Le Jour se Lève, 1955.
  • Les Moutons du ciel, Paris, Fayard, 1973.
  • Ma baïonnette de Mirabeau, Paris, Jean-Claude Lattès, 1987.
  • Avec Jacqueline Dauxois, La Métisse, Paris, Albin Michel, 1996.
  • Marais salaces, Paris, Salvy, coll. « Noire », 2001.
  • Avec Christian Soleil, Ciel cocasse, Éditions Édilivre-Aparis, 2010.
  • Christian Soleil (sur une idée de Michel Durafour), L'Interview de Néron, Éditions Édilivre-Aparis, 2013.

Romans signés Pierre Jardin[modifier | modifier le code]

  • Pascaline mène l'enquête, Paris, Éditions La Vague, coll. « Les Grands Romans policiers » no 3, 1960.
  • Dites-le… avec des pastèques, Paris, Librairie des Champs-Élysées, coll. « Espionnage », 2e série no 2, 1961 ; réédition, Paris, Librairie des Champs-Élysées, Le Club des Masques no 195, 1973.
  • Pascaline contre Pascal, Paris, Éditions La Vague, coll. « Les Grands Romans policiers », no 7, 1961.
  • Bagarres et Franfreluches, Paris, Librairie des Champs-Élysées, coll. « Espionnage », 2e série no 14, 1962.
  • Agnès et les Vilains Messieurs, Paris, Librairie des Champs-Élysées, coll. « Espionnage/Charles Exbrayat », no 3, 1963.
  • Une chinoise dans la mêlée, Paris, Librairie des Champs-Élysées, coll. « Service secret », 2e série, no 3, 1964.
  • Excusez-moi, Dorothy…, Paris, Librairie des Champs-Élysées, coll. « Espionnage/Charles Exbrayat », 1964.

Romans signés Rémi Sibel[modifier | modifier le code]

  • Un cadavre dans le coffre-fort, Paris, Éditions La Vague, coll. « Les Grands Romans policiers », no 2, 1960.
  • La Mort au 421, Paris, Éditions La Vague, coll. « Les Grands Romans policiers », no 6, 1961.

Romans signés Cécil Viborg[modifier | modifier le code]

  • Lieux de pêche, Paris, Éditions La Vague, coll. « Les Grands Romans policiers », no 1, 1960.
  • Un pendu dans le vent, Paris, Éditions La Vague, coll. « Les Grands Romans policiers », no 5, 1961.

Autres publications[modifier | modifier le code]

  • Il neige sur la mer, Paris, Les Cahiers de la Table ronde, 1945.

Prix[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. À partir du 22 février 1989
  2. Assure l'intérim jusqu'au .

Références[modifier | modifier le code]

  1. « État Civil - déclarations du 12 avril 1920 » (consulté le ).
  2. a et b Le Monde avec l'AFP, « Michel Durafour, ancien ministre et maire de Saint-Étienne, est mort », sur Le Monde, 27 juillet 2017.
  3. Assemblée Nationale, « Michel Durafour - Base de données des députés français depuis 1789 - Assemblée nationale », sur www2.assemblee-nationale.fr (consulté le )
  4. Source BnF
  5. « Gilbert-Antoine Peycelon : l'éminence grise », sur forez-info.com (consulté le ).
  6. « Anciens sénateurs Ve République : DURAFOUR Michel », sur www.senat.fr (consulté le )
  7. a b et c « Michel DURAFOUR », Centre des archives économiques et financières,‎ (lire en ligne, consulté le )
  8. Alumni Sciences Po, « l'Association des Sciences-Po - Fiche profil », sur www.sciences-po.asso.fr (consulté le ).
  9. « Michel Durafour », sur noms.rues.st.etienne.free.fr (consulté le )
  10. Léo Tescher et Martin Cotta, « Glasgow 1976 - Maryse Durafour : une fan de foot avant d'être la femme du maire », France Bleu Saint-Étienne Loire,‎ (lire en ligne, consulté le )
  11. Henri Haget, « Le coup d'éclat de Dubanchet », L'Express, 28 avril 1994.
  12. a et b Arnaud, webmaster du forum socialiste, « La vérité sur le Front National ! », L'Humanité, 6 mars 2012.
  13. « Oui, Jean-Marie Le Pen a bien tenu des propos antisémites », sur tempsreel.nouvelobs.com, L'Obs, (consulté le ).
  14. « Le Pen relaxé pour son « Durafour crématoire », Le Soir, 3 juillet 1991.
  15. Philippe Cohen et Pierre Péan, Le Pen – Une histoire française, Paris, Robert Laffont, , 548 p. (ISBN 978-2-221-12383-6).
  16. « Devant la cour d'appel de Paris Jean-Marie Le Pen est de nouveau condamné pour son calembour “Durafour-crématoire” », Le Monde, 5 juin 1993.
  17. Michel Wieviorka, La Tentation antisémite, Robert Laffont, 2012, 521 p. (ISBN 9782221136140).
  18. David Valverde, « Loire : la longue amitié entre Simone Veil et le couple Durafour », France Bleu Saint-Étienne Loire,‎ (lire en ligne, consulté le )
  19. « Michel Durafour, ancien ministre et maire de Saint-Etienne, est mort », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  20. « Décès de Michel Durafour, ancien ministre et maire de Saint-Étienne », Le Point,‎ (lire en ligne, consulté le )
  21. Jean-Baptiste Garat, « L'ancien ministre centriste Michel Durafour est décédé », Le Figaro,‎ (ISSN 0182-5852, lire en ligne, consulté le )
  22. « Mort de Michel Durafour: l'ancien ministre de Michel Rocard est décédé à l'âge de 97 ans », sur Le HuffPost, (consulté le )
  23. « L’ancien ministre et maire de Saint-Étienne Michel Durafour est décédé », Le Progrès,‎ (lire en ligne, consulté le )
  24. « Michel Durafour est mort », Zoomdici,‎ (lire en ligne, consulté le )
  25. Philippe Bette, « St Etienne rend un dernier hommage à Michel Durafour, son ancien maire - France 3 Auvergne-Rhône-Alpes », France 3 Auvergne-Rhône-Alpes,‎ (lire en ligne, consulté le )
  26. Marie Dufour, « Retour sur les obsèques de Michel Durafour ce mardi matin | ACTIV Radio », sur Activ Radio (consulté le )
  27. « 500 personnes aux obsèques de Michel Durafour », Le Progrès,‎ (lire en ligne, consulté le )
  28. a et b « Les Stéphanois rendent un dernier hommage à l'ancien maire Michel Durafour », France Bleu Saint-Étienne Loire,‎ (lire en ligne, consulté le )
  29. « Football - Ligue 1 Saint-Étienne/Nice en direct - Orange Sport », sur sports.orange.fr (consulté le )
  30. « Revivez ASSE 1 - OGC Nice 0 : Le renouveau stéphanois », sur www.leprogres.fr (consulté le )
  31. « Saint-Étienne: Simone Veil, Michel Durafour ou Arnaud Beltrame auront leur plaque de rue », Le Progrès, (consulté le )

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Christian Soleil, Michel Durafour : Le feu sous la cendre, tome 1, Actes graphiques, 1997.
  • Christian Soleil, Michel Durafour : Le Vent du large, tome 2, Actes graphiques, 1998.
  • Christian Soleil, La Trace de l'aigle dans les cieux : les quatre vérités de Michel Durafour, Éditions Édilivre, 2010.

Liens externes[modifier | modifier le code]