Nicolae Iorga — Wikipédia

Nicolae Iorga
Illustration.
Fonctions
Président du Sénat roumain

(4 jours)
Prédécesseur Alexandru I. Lapedatu
Successeur Constantin Argetoianu
Président du Conseil des ministres de Roumanie

(1 an, 1 mois et 18 jours)
Monarque Carol II
Prédécesseur Gheorghe Mironescu
Successeur Alexandru Vaida-Voevod
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Botoșani (Principautés unies de Moldavie et de Valachie)
Date de décès (à 69 ans)
Lieu de décès Strejnicu (Royaume de Roumanie)
Nationalité Roumaine
Parti politique Parti national-démocrate
Diplômé de Université Alexandru Ioan Cuza de Iași
Université de Paris
Université Humboldt de Berlin
Université de Leipzig
Profession Historien
Religion Orthodoxe

Nicolae Iorga
Président du Conseil des ministres de Roumanie

Nicolae Iorga (ou Nicolas Jorga) est un historien et homme politique roumain né le à Botoșani et mort le à Strejnicu (județ de Prahova).

Sa grande œuvre est Byzance après Byzance.

Biographie[modifier | modifier le code]

Portrait de Nicolae Iorga sur le billet de banque de 1 leu.

Nicolas Iorga est sans doute le plus connu des historiens roumains, par le retentissement qu'eurent ses idées autant que par les qualités scientifiques de ses œuvres[réf. nécessaire].

Après des études en Roumanie, Iorga compléte sa formation d'historien dans les années 1890 en effectuant deux séjours à l'étranger, à Paris (thèse sur Philippe de Mézières) et à Leipzig. Iorga peut ainsi comparer deux écoles historiographiques qui s'opposaient dans le contexte plus global de la rivalité franco-allemande de l'époque. Après ses études, Iorga commence à enseigner à l'université Alexandru Ioan Cuza de Iași et à celle de Bucarest puis à publier ses premiers ouvrages.

La Roumanie vient alors d'accéder à l'indépendance (1881) et revendique encore les provinces à majorité roumaine de Transylvanie et de Bessarabie occupées respectivement par l'Autriche-Hongrie et la Russie. Iorga s'engage activement pour l'unité roumaine et prend part aux violentes controverses historiques où il s'efforce de prouver l'antériorité du peuplement roumain, dont la langue est latine, sur le peuplement slave en Bessarabie ou magyar en Transylvanie, tandis que les historiens Austro-Hongrois et Russes, pour leur part, tentent de nier cette antériorité en affirmant que les ancêtres des Roumains sont venus tardivement en provenance des Balkans, au sud du Danube, où résident aujourd'hui les Aroumains.

Istoria românilor (Histoire des Roumains)

Nicolae Iorga œuvre pour la diffusion de sa conception dans la nation roumaine au rythme de l'alphabétisation, en apprenant aux Roumains leur romanité et en publiant des ouvrages destinés au grand public. Il organise à partir de 1908 des universités populaires dans sa résidence de Vălenii de Munte. Son rôle dans la formation de la conscience nationale roumaine peut objectivement être comparé au rôle tenu par Jules Michelet dans la diffusion en France des idées républicaines : à ce titre, il a non seulement écrit, mais aussi « fait » l'histoire. Il est aussi un promoteur de l'« ascenseur social de la nation roumaine » pour les classes populaires jusque-là peu instruites (alors qu'Allemands, Hongrois, Juifs et Russes avaient, eux, un niveau d'instruction convenable pour la plupart d'entre eux), et, même s'il n'a jamais promu l'idée d'un numerus clausus dans les Universités en faveur des « Roumains de souche » (réclamé par les partis les plus nationalistes), il a néanmoins été considéré comme « nationaliste » par les représentants des minorités[réf. nécessaire].

En 1909, il fonde avec Alexandre C. Cuza le Parti national-démocrate[1].

Il organise en 1920, avec l'archéologue Vasile Pârvan, l'Académie roumaine à Rome (en roumain : Școala română din Roma ; en italien : Accademia di Romania in Roma), une institution pour la spécialisation de jeunes archéologues et historiens[2].

Controverse[modifier | modifier le code]

Il a suscité la controverse en raison de sa rhétorique antisémite[3]. Certains historiens considèrent ainsi Nicolae Iorga comme un historien idéologue nationaliste antisémite, en particulier source d'inspiration pour Corneliu Codreanu.

Ainsi, selon l'historien Traian Sandu, chercheur à l'université Sorbonne-Nouvelle, Nicolas Iorga serait une référence au socialisme national-chrétien de 1919. Dans un article de Sandu: De l’antisémitisme au fascisme en Roumanie[4], il souligne que Codreanu avait avoué l'influence que Nicolae Iorga aurait eu sur lui en évoquant sa formation secondaire :
« Comme bagage intellectuel, j'avais les connaissances qu'on m'avait enseignées au lycée. ... Mais, en plus des ouvrages classiques roumains, j'avais lu tous les articles du Semănătorul (Le Semeur) et du Neamul Românesc (La Nation roumaine), les journaux de N. Iorga et de Alexandru C. Cuza. ... Sous une forme élevée, ces articles affirmaient les trois impératifs de vie du peuple roumain : 1. L'union de tous les Roumains. - 2. Le relèvement de la classe paysanne par l'accession à la propriété et aux droits politiques. - 3. La solution du problème juif. Deux maximes figuraient en manchette sur toutes les publications nationalistes de ce temps-là. L'une de N. Iorga: „La Roumanie aux Roumains, rien qu'aux Roumains, et à tous les Roumains. »

Toutefois il n'est pas le seul, Sandu écrit aussi qu'Alexandre C. Cuza, politicien roumain notoirement antisémite, aurait aussi eu une influence sur le « le Capitaine », ainsi nommé par ses camarades de lutte : « La nationalité est la force créatrice de la civilisation humaine, la civilisation est la force créatrice de la nationalité. » Enfin, les Liens entre Iorga et Codreanu semblent improbables et cette thèse plus le moins audacieuse, car les deux se haïssaient l'un l'autre, Iorga s'opposant avec force à son mouvement[5]. Les légionnaires ont d'ailleurs fini par l'assassiner en 1940.

Carrière politique[modifier | modifier le code]

Nicolae Iorga fut également un homme politique et un parlementaire, ministre et brièvement premier ministre (1931-1932). Profondément patriote il s'opposa dès 1933 à Adolf Hitler, à la Garde de fer (mouvement xénophobe et antisémite), à l'abandon de la Tchécoslovaquie en 1938 ainsi qu'à l'acceptation de l'ultimatum de Moscou (été 1940) pour la cession de la Bessarabie et de la Bucovine du Nord à l'Union soviétique. Iorga fut assassiné le par un groupe de commandos de la Garde de fer qui le considérait comme coresponsable de la condamnation et de l'exécution en 1938 de leur leader Corneliu Codreanu.

Écrivain et dramaturge[modifier | modifier le code]

Nicolas Iorga fut également écrivain et dramaturge. Ses œuvres littéraires n'ont pas laissé un souvenir impérissable aux historiens de la littérature, elles reprennent souvent des grands thèmes de l'histoire roumaine.

Apports de l’œuvre de Iorga[modifier | modifier le code]

Nicolae Iorga - Essai de synthèse de l’histoire de l’humanité. Volume 1 - Histoire ancienne

On ne doit pas conclure de ce qui précède que Nicolae Iorga ne fut qu'un banal propagandiste de l'idée nationale de son pays. Ce fut un historien de grande valeur, qui compta parmi les grands intellectuels européens de son temps. Grand voyageur et polyglotte, il fut nommé docteur honoris causa des plus grandes universités européennes.

Son principal apport à la science historique est sans doute son histoire de l'Empire ottoman parue en allemand en 1905. Pour la première fois, dans celle-ci, un historien balkanique ne considère pas l'occupation ottomane sous son aspect purement négatif et souligne ses effets positifs. Il ouvre ainsi la voie à la critique historique en Roumanie et dans les Balkans.

Il es également considéré comme important en Albanie, en tant que découvreur en 1915 du premier document écrit en langue albanaise, la formule du baptême de l'archevêque de Durrës Pal Engjëlli.

Œuvres[modifier | modifier le code]

Nicolae Iorga est l'auteur de 1 003 livres, 12 755 articles et 4 963 études.

Histoire[modifier | modifier le code]

  • Essai de synthèse de l'histoire de l'humanité, Paris, Gambiez, 4 volumes, 1928.
  • Histoire des Roumains et de la Romanité orientale, Bucarest, 10 volumes en 11 tomes, 1937-1945.
  • Studii şi documente cu privire la istoria românilor, 25 volume (1901 - 1913)
  • Istoria Imperiului Otoman, 5 volumes (parue en allemand - Geschichte des osmanischen Reiches, 1908 - 1913)
  • Școala nouă de istorie : O lămurire definitivă, Editura Datina Românească, Vălenii de Munte, 1936, 20 p.
  • Guide historique de la Roumanie, deuxième édition, Bucarest, 1936, 176 p.
  • Istoria românilor, Ediția I, 1936-1939 (trad. fr. Histoire des Roumains)
Vol. 1, București, 1936. Partea I: Stămoșii înainte de romani, 272 p. Partea II: Sigiliul Romei, 346 p. ;
Vol. 2, Oameni ai pământului (până la anul 1000), București, 1936, 352 p. ;
Vol. 3, Ctitorii, București, 1937, 358 p. ;
Vol. 4, Cavalerii, București, 1937, 446 p. ;
Vol. 5, Vitejii, București, 1937, 428 p. ;
Vol. 6, Monarhii, București, 1938, 518 p. ;
Vol. 7, Reformatorii, București, 1938, 352 p. ;
Vol. 8, Revoluționarii, București, 1938, 400 p. ;
Vol. 9, Unificatorii, Bucurerști, 1938, 402 p. ;
Vol. 10, Întregitorii, București, 1939, 500 p.
  • Cultura naţională şi politica naţională, 1908
  • Dezvoltarea ideii unităţii politice a românilor, 1915
  • Războiul nostru în note zilnice, 1914 - 1918, 1921 - 1923
  • Politica externă a regelui Carol I al României, 1923
  • Războiul pentru independenţa României. Activităţi diplomatice şi stări de spirit, 1927
  • Studii istorice asupra Chiliei și Cetății-Albe, Institutul de Arte Grafice Carol Göbl, Bucarest, 1900
  • Operele lui Constantin Cantacuzino, Institutul de Arte Grafice și Editură Minerva, Bucarest, 1901
  • Despre Cantacuzini, Institutul de Arte Grafice și Editură Minerva, Bucarest, 1902
  • Istoriile domnilor Țării-Românești cuprinzând istoria munteană de la început până la 1888, I. V. Socecu, Bucarest, 1902
  • Drumuri și orașe din România, Editura Minerva, Bucarest, 1904
  • Istoria lui Ștefan cel Mare: Povestea neamului românesc, Editura Minerva, Bucarest, 1904
  • Pomenirea lui Ștefan-cel-Mare, Institutul Grafic Minerva, Bucarest, 1905
  • Mărturii istorice privitoare la viața și domnia lui Știrbei-Vodă, Institutul de Arte Grafice și Editură Minerva, Bucarest, 1905
  • Sate și mânăstiri din România, Editura Minerva, Bucarest, 1905, 370 p.
  • Negoțul și meșteșugurile în trecutul românesc, Institutul Grafic Minerva, Bucarest, 1906
  • Istoria Bisericii românești și a vieții religioase a românilor, Vol. I, Tipografia Neamul Românesc, Vălenii-de-Munte, 1908, 432 p.
  • Plângerea lui Ioan Sandu Sturza Vodă împotriva sudiților străini în Moldova, Librăriile Socec & Comp., Bucarest, 1912, 11 p. + 1 facs.
  • Pagini despre Basarabia de astăzi, 1912
  • Două tradiții istorice în Balcani: a Italiei și a românilor, Librăriile Socec & Comp., Bucarest, 1913, 16 p.
  • Legăturile românilor cu rușii apuseni și cu teritoriul zis Ucrainian, Editura Pavel Suru și Librăriile Socec & Comp., Bucarest, 1916.
  • Sate și mânăstiri din România, Ediția a II-a, Editura Librăriei Pavel Suru, Bucarest, 1916, 296 p.
  • Continuitatea spiritului românesc în Basarabia, Tipografia Neamul Românesc, Vălenii-de-Munte, 1918
  • Istoria românilor în chipuri și icoane, Ediția I, Editura Ramuri, Craiova, 1921, 336 p.
  • Mihail Kogălniceanu: Scriitorul, omul politic și românul, Editura Fundațiunei A. I. V. Socec, Bucarest, 212 p.
  • Istoria artei medievale și moderne în legătură cu desvoltarea societății, Editura Librăriei Pavel Suru, Bucarest, 1923, 298 p.
  • Istoria comerțului românesc - Epoca mai nouă, Tiparul Românesc, Bucarest, 1925, 210 p.
  • Războiul pentru independența României – Acțiuni diplomatice și stări de spirit, Editura Națională, Bucarest, 1927, 243 p.
  • Istoria românilor - prin călători, Ediția a II-a, Vol. 1-2, Editura Casei Școalelor, Bucarest, 1928-1929
  • Adevărul asupra trecutului și prezentului Basarabiei, Bucarest, 1940
  • Istoria unei legende: Iuliu Maniu, 1934
  • Oameni care au fost, vol. I-III, 1934 - 1936

Critique littéraire[modifier | modifier le code]

  • Istoria literaturii românești contemporane, Vol. 1-2, Editura Adevărul, București, 1934
Vol. 1: Crearea formei, 372 p.
Vol. 2: În căutarea fondului, 322 p.
  • Istoria literaturii române în secolul al XVIIIlea, I—II, 1901
  • Contribuţii la istoria literaturii române în veacul al XVIIIlea şi al XDClea, I—III, 1906
  • Istoria literaturii româneşti în veacul al XlXlea de la 1821 înainte. In legătură cu dezvoltarea culturală a neamului, I—III, 1907— 1909
  • Istoria literaturii române. Introducere sintetică, 1929
  • Istoria literaturilor romanice în dezvoltarea şi legăturile lor, I-III, 1920
  • Carti reprezentative in istoria omenirii, I-IV, Bucarest, 1916-1931
  • Balada populara romaneasca, Valenii de Munte, 1910
  • Poetii romani de supt stapanirea ruseasca, Valenii de Munte, 1910
  • Anthologie de la littérature roumaine. Introduction historique et notices. Paris, 1920 (in colab. cu S. Gor-ceix)
  • Idées et formes littéraires françaises dans le Sud-Est de l'Europe, Paris, 1924
  • Les écrivains réalistes en Roumanie comme témoins du changement de milieu au XIXe siècle, Paris, 1925
  • La société roumaine au XIXe siècle dans le théâtre roumain, Paris, 1926
  • Medaillons d'histoire litteraire bysantine, Paris, 1927
  • Livres populaires dans le Sud-Est de l'Europe, Bucarest, 1928
  • Art et Littérature des roumains, Paris, 1929

Littérature[modifier | modifier le code]

  • Priveliști din țară, 1905-1916
  • Doctrina naţionalistă, 1922
  • Din opera poetică a lui N. Iorga, Editura Ramuri, Craiova, 1921, 431 p.
  • Casandra (poème dramatique en 5 actes); Ovidiu (poème dramatique en 5 actes), Editura Librăriei Socec & Comp., Bucarest, 162 p.
  • Sângele lui Minos, drame en cinq actes, Editura Datina Românească, Vălenii de Munte, 1935, 71 p.
  • Amintiri din Italia, Gio-sue Carducci, Bucarest, 1895
  • Cronicile muntene, Bucarest, 1899
  • Opinions sinceres, Bucarest, 1899
  • Opinions pernicieuses d un mauvais patriote, Bucarest, 1900
  • Pasarea maiastra, Valenii de Munte, 1909
  • Pilde filosoficesti, Valenii de Munte, 1909
  • Doamna lui Ieremia Voda, drame, Bucarest, 1910
  • Cugetari, Valenii de Munte, 1911 (ed. noua ingrijita de B. Theodorescu, 1968, 1972)
  • Trei drame (Doamna lui Ieremia, Gheorghe Lazar, Contra Patriei), Valenii de Munte, 1912
  • Note de drum. Prin Germania, Valenii de Munte, 1913
  • Constantin Brancoveanu, drame en cinq actes, Valenii de Munte, 1914
  • Cinci conferinte despre Venetia, Bucarest, 1914
  • O lupta literara, I-II, Valenii de Munte, 1914-1916
  • Pagini despre Serbia de azi, Bucarest, 1914
  • Spiritul public si literatura in epoca Unirii, Bucarest, 1915
  • Cantemir Batranul, drame en cinq actes, Bucarest, 1920
  • Un domn pribeag, drame en cinq actes, Bucarest, 1920
  • Mihai Viteazul, drame en cinq actes, Bucarest, 1920
  • In Franta. Drumuri ale unui istoric, Bucarest, 1921
  • Tudor Vladimirescu, drame en cinq actes, Craiova, 1921
  • Omul care ni trebuie, pièce en trois actes, Craiova, 1922
  • Zidirea manastirii Arges, un acte, Craiova, 1922
  • Contes roumains, Paris, 1923
  • Sarmala, amicul poporului, pièce en trois actes, Craiova, 1923
  • Note polone, Bucarest, 1924
  • La Roumanie pittoresque, Paris, 1924
  • Isus, drame en cinq actes, Craiova, 1925
  • Cateva zile prin Spania, Bucarest, 1927
  • Fata babei si fata mosneagului, légende dramatique en cinq actes, Valenii de Munte, 1927
  • Cleopatra, pièce en cinq actes, Bucuresti, 1928
  • Tara latina cea mai departata in Europa: Portugalia, Note de drum si conferinte, Bucarest, 1928
  • Fratele pagan, drame en cinq actes, Valenii de Munte, 1929
  • Tari scandinave: Suedia si Norvegia. Note de drum si conferinte, Bucarest, 1929
  • Privelisti elvetiene, Bucarest, 1930
  • America si romanii din America. Note de drum si conferinte, Valenii de Munte, 1930
  • Fiul cel pierdut, drame en trois actes, Ploiesti, 1930
  • Sfantul Francisc, drame en cinq actes, Valenii de Munte, 1930
  • Casandra, pièce en cinq actes, Valenii de Munte, 1931
  • Ovidiu, poème dramatique en cinq actes, Valenii de Munte, 1931
  • Vederi din Grecia de azi, Bucarest, 1931
  • O ultima raza, pièce en cinq actes, Valenii de Munte, 1932
  • Catapeteasma rupta-n doua, drame en cinq actes, Valenii de Munte, 1934
  • Moartea lui Asur, drame en cinq actes, Bucarest, 1934
  • Un biet mosneag si un doge, drame en cinq actes, Valenii de Munte, 1936
  • Primele mele drumuri italiene, Bucarest, 1936
  • Sfaturi pe intunerec, I-II, Bucarest, 1936-1940
  • Zbor si cuib, comédie en trois actes, Valenii de Munte, 1936
  • Instantanee venetiene, Bucarest, 1938
  • Razbunarea pamantului, tragédie antique en trois actes, Valenii de Munte, 1938
  • Regele Cristina, drame en cinq actes, Bucarest, 1939
  • Moartea lui Alexandru, drame en cinq actes, Bucarest, 1939
  • Toate poeziile lui N. lorga, I-II, Valenii de Munte, 1939-1940
  • Vagabondul, drame en trois actes, Bucarest1940

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Lilly Marcou, Une enfance stalinienne, (lire en ligne).
  2. « Accademia di Romania in Roma — chi siamo? », Accademia di Romania in Roma (consulté le ).
  3. * (en) William O. Oldson, A Providential Anti-Semitism. Nationalism and Polity in Nineteenth-Century Romania, American Philosophical Society, Philadelphia, 1991 (ISBN 0-87169-193-0)
  4. https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00550328/document consulté le 6 avril 2022.
  5. Nicolae Iorga qualifiait le mouvement légionnaire de: « honte de la Roumanie moderne, une meute de brutes assoiffées de haine et de violence », lire Corneliu_Codreanu#Procès_et_assassinat_sur_ordre_du_régime_carliste

Liens externes[modifier | modifier le code]

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