Orchidaceae — Wikipédia

Anacamptis morio

Les Orchidées ou Orchidacées (Orchidaceae), forment une grande famille de plantes monocotylédones. C'est une des familles les plus diversifiées, comptant plus de 25 000 espèces, réparties en 850 genres.

Ce sont des plantes herbacées, de type divers, autotrophes ou mycohétérotrophes, à feuilles réduites, à écailles, ou développées, terrestres ou épiphytes, pérennes, rhizomateuses ou tubéreuses, des régions tempérées à tropicales. La symbiose, qu'elle soit de type autotrophique, saprophytique, voire parasitique, se fait avec un champignon microscopique qui permet à la plante de pallier l'absence de toute réserve dans ses graines ainsi que l'absence de radicelles au niveau de ses racines. C'est une famille largement répandue ; la majorité des espèces se rencontrent dans les régions tropicales.

La classification phylogénétique situe aujourd'hui cette famille dans l'ordre des Asparagales.

Étymologie[modifier | modifier le code]

Différentes orchidées.

Le nom vient du genre Orchis, mot latin dérivé du grec ancien ὄρχις / órkhis, « testicule », en référence à la forme des tubercules souterrains de certaines orchidées terrestres des régions tempérées, lorsque ces tubercules sont jumelés. C'est à Théophraste que l'on attribue cette dénomination.

Le nom français « orchidée » peut être pris au sens large ou au sens restreint, désignant soit la famille en intégralité, soit les membres de la tribu des Orchideae comptant de nombreuses orchidées terrestres européennes.

Description générale[modifier | modifier le code]

Les données scientifiques obtenues grâce au pollen d'une orchidée éteinte retrouvé dans de l'ambre nous indiquent que cette famille serait âgée de 75 à 86 millions d'années. Les orchidées font partie des monocotylédones et la famille y étant la plus apparentée est celle des liliacées. Les orchidées ont notamment développé des caractéristiques rendant cette famille de plantes très économe en ressources : réduction du nombre d'étamines, symbiose avec un champignon, métabolisme de type CAM, etc. Leurs graines sont souvent minuscules. Leur taille et poids varie beaucoup selon l'espèce, les plus petites ne mesurant que de 1 à 5 millimètres (Bulbophyllum minutissimum en Australie, qui ne pèse probablement pas plus d'un gramme ou deux) alors que la plus grosse orchidée connue (Grammatophyllum speciosum) est une épiphyte qui peut peser plus d'une tonne et développer des tiges d'environ 3 mètres de long[1]. Selon les auteurs, le nombre d'espèces botaniques dans cette famille varie de 25 000 à 30 000. Ces chiffres en font l'une des plus importantes familles de plantes à fleurs, qui a pratiquement colonisé tous les milieux, à l'exception des déserts et des cours d'eau.

De nombreuses orchidées (dont 21 espèces dans le genre Ophrys)[2] attirent chacune un insecte spécifique (généralement des abeilles, des guêpes ou des mouches) par l'odeur ou par leur labelle mimant la morphologie du pollinisateur. Les mâles, lors de la visite des fleurs, adoptent face à ce leurre sexuel (leurre visuel et olfactif) un comportement d’accouplement, la pseudocopulation qui conduit à un dépôt de pollen sur leur corps.

Beaucoup de fleurs qui présentent une symétrie par rapport à un plan sont dites irrégulières ou zygomorphes. Chez les fleurs irrégulières, d'autre pièces florales peuvent également perdre leur forme régulière, mais ce sont les pétales qui montrent les plus grandes modifications par rapport à la symétrie radiale. Des exemples de fleurs zygomorphes peuvent être trouvés parmi les orchidées.

Biologie[modifier | modifier le code]

Disposition des pièces florales chez les orchidées. Pétales (P), sépales (S) et labelle (L).

La croissance des orchidées est sympodiale, le rhizome émettant des pousses dans plusieurs directions, ou monopodiale, avec une seule pousse.

Beaucoup d'orchidées tropicales sont épiphytes, et adaptées à l'ombre régnant dans la forêt tropicale. Elles présentent des tiges épaissies à leur base en pseudobulbes, avec des racines souvent pourvues d'un velamen, voile de radicelles devant capter l'humidité atmosphérique.

Épiphytes ou terrestres, les orchidées sont adaptées à des milieux difficiles, que bien souvent la symbiose avec des champignons permet d'exploiter. Cette spécificité leur permet de coloniser des milieux relativement peu occupés par d'autres espèces. Plantes se reproduisant par pollinisation entomophile, une grande partie d'entre elles montrent des relations de dépendance étroite avec des insectes pollinisateurs spécifiques, allant jusqu'à des stratégies de leurres visuels, olfactifs et sexuels.

Ces relations spécialisées en font des espèces particulièrement menacées en cas de perturbations brutales de leurs conditions environnementales.

Graine et testa de l'Épipactis pourpre noirâtre (Epipactis atrorubens).

Les semences des orchidées sont de très petite taille et sont produites en très grand nombre : elles sont aussi appelées semences poussières. De cette façon, ces graines peuvent être facilement transportées par les vents. En fait, leurs semences sont si petites qu'elles ne possèdent pas les réserves nutritives suffisantes pour engendrer la germination. Des sucres fournis par un champignon symbiotique permettent au germe de se développer en protocorme puis en plantule. Il s'agit de mycohétérotrophie. Un exemple de genre de champignon est Rhizoctonia, dont les espèces, bien que pathogènes pour certaines plantes, sont aussi associées aux orchidées par les mycorhizes. D'autres espèces associées peuvent appartenir aux ordres des Sebacinales ou Trechisporales.

Hybride horticole de Vanda.
Limodorum abortivum (Espagne, île de Majorque).

État des populations, pressions, menaces, et actions de conservation[modifier | modifier le code]

De nombreuses espèces d'orchidées, majoritairement situées en zone tropicale ont disparu ou sont menacées. Ceci est principalement causé en premier lieu par la destruction de leur habitat: (déforestation, artificialisation des lisières forestières, fragmentation des forêts, drainage des zones humides pour la culture ou l'assainissement, etc.), de même que par la demande de certains collectionneurs (pression qui semble moins importante de nos jours alors que les techniques de reproductions des orchidées se spécialisent). La chasse aux orchidées s'est développée à la fin du XVIIIème siècle et a atteint son apogée au XIXème siècle, lorsque des botanistes étaient envoyés au bout du monde pour rapporter des espèces rares à des collectionneurs fortunés. L'engouement pour ces fleurs prit une telle ampleur qu'elles se vendaient à prix d'or, en particulier à l'époque victorienne., mais leur succès a été à l'origine d'un pillage et d'un saccage des milieux[3].
La régression et la disparition de pollinisateur (insecte, oiseau, chauve-souris) dont l'orchidée est souvent dépendante peut également être un facteur amenant une espèce sur la voie de la disparition.

À titre d'exemple, 226 espèces d'orchidées indigènes ont été découvertes et décrites à Singapour depuis trois siècles. Aujourd'hui, 178 de ces espèces sont considérées comme éteintes dans le pays, et seulement cinq sont encore communes[4].
Des programmes de conservation et plans de restauration des orchidées se mettent en place, ainsi que des programmes de monitoring visant à surveiller et évaluer l'état de conservation d'espèces existantes, leur diversité génétique. On cherche à augmenter leur nombre dans la nature ou en milieux semi-naturels, et urbains parfois par la culture des semis ex-situ à fin de leur réintroduction dans des habitats appropriés, y compris pour les épiphytes dans des arbres de bord de route, de parcs ou d'espaces naturels. Le caractère symbiotique de certaines orchidées, la régression de leurs pollinisateurs rend leur réintroduction parfois difficile.

À Singapour par exemple, cinq espèces d'orchidées indigènes (Grammatophyllum speciosum , la plus grande orchidée du monde, Bulbophyllum vaginatum, Bulbophyllum membranaceum, Cymbidium finlaysonianum et Cymbidium finlaysonianum bicolor) ont fait l'objet de mise en culture et expérimentation de réintroduction[4]. Le pourcentage de survie 8 ans après réintroduction varie de 10 % à 95 % pour G.speciosum, l'espèce-cible des premières expériences de réintroduction. La taille des plants réintroduits, le choix des arbres-hôtes, et la qualité du contexte thermo-hygrométrique semble jouer un rôle important dans le succès ou non des réintroductions[4].

La fièvre orchidophile est telle que des chasseurs d'orchidées n'hésitent pas à prélever illégalement des orchidées de leur site, telle Phragmipedium kovachii en 2002.

Toutes les espèces d'orchidées sont inscrites aux annexes de la CITES : celles qui sont inscrites à l'annexe II peuvent être commercialisées, qu'elles soient d'origine sauvage ou artificielle, après l'obtention d'un permis ; d'autres sont protégées par la CITES comme les Paphiopedilum et leur commerce est interdit[5] comme le montre par exemple l'arrestation puis la condamnation à quatre mois de prison pour trafic de plantes du docteur Sian Lim en 2006[6].

Horticulture[modifier | modifier le code]

Kokedama avec l'orchidée Habenaria radiata
Kokedama avec l'orchidée Habenaria radiata sur un lit de gravier.
Keiki en fleur, sur un Phalaenopsis.

L'étude de la morphologie particulière des fleurs d'orchidées, des relations que ces plantes entretiennent avec les insectes, a d'ailleurs nourri au XIXe siècle les réflexions de Charles Darwin et lui a, en partie, permis d'établir son modèle théorique de l'évolution.

Majoritairement d'origine tropicale, ces plantes ont fait l'objet, de la part de riches amateurs, à l'époque de l'expansion des empires coloniaux européens, d'un engouement particulier[7].

Depuis, une meilleure connaissance de leur écologie, de la symbiose qui les unit à certains champignons spécifiques (du genre Rhizoctonia notamment) au cours du développement des embryons, la mise au point de milieux de cultures adaptés, stériles, ainsi que la création d'hybrides horticoles moins fragiles, ont démocratisé leur culture. La très grande variabilité génétique des orchidées, source de la richesse naturelle en espèces de ce taxon, la prête d'ailleurs à une hybridation artificielle: plus de cent mille hybrides horticoles ont été créés depuis la mise au point des méthodes de culture.

Les phalaenopsis comptent parmi les orchidées les plus cultivées du monde et certainement les plus communes en Europe comme plantes d'appartement.

Le genre x Oncostele est un genre hybride artificiel.

Collections d'orchidées[modifier | modifier le code]

Vue d'une collection d'orchidée dans une pépinière au Brésil.

Les amateurs d'orchidées, appelés orchidophiles, peuvent vouloir détenir une collection pour assouvir leur passion.

Alimentation humaine[modifier | modifier le code]

Peu d'orchidées sont utilisées dans l'alimentation. On relève toutefois le genre Vanilla, dont la gousse est la vanille. La vanille est cultivée dans les régions tropicales, et son besoin en ombre rend possible son exploitation en agroforesterie.

Le Faham (Jumellea fragrans) entre dans la confection du rhum arrangé, lui procurant son goût caramélisé. La cueillette se déroule dans la nature, sur les sites de production, et engendre une raréfaction progressive de la plante.

Les orchidées des régions tempérées et méditerranéennes, aux tubercules très suggestifs, ont inspiré aux adeptes de la théorie des signatures un éventuel aphrodisiaque: on sait aujourd'hui qu'il n'en est rien. Mais dans les régions du Maghreb, ces orchidées sont encore déterrées pour préparer le très populaire salep. En Turquie notamment, 36 espèces parmi 10 genres sont en conséquence menacées d'extinction, et on estime à 42 le nombre d'espèces ayant déjà disparu au cours de la dernière décennie.

Systématique[modifier | modifier le code]

D'un point de vue systématique, les auteurs ont considéré que les Orchidacées comportaient plusieurs lignées évolutives nettement différenciées, actuellement, au nombre de six. Celles-ci ont parfois été désignées comme cinq familles différentes. Certains auteurs ne les reconnaissaient pas toutes.

Les données actuelles montrent que la famille des Orchidaceae est monophylétique, avec cinq sous-familles :

  • les Apostasioideae (2 genres / 17 espèces), les plus « primitives », avec des fleurs à 6 tépales (3 externes et 3 internes) et 3 étamines), sans gynostème,
  • les Vanilloideae (15 g / 248 e),
  • les Cypripedioideae (5 g / 158 e),
  • les Orchidoideae (211 g / 4914 e)
  • et enfin les plus récentes Epidendroideae (578 g / 21268 e)

En 2015, une étude phylogénétique[8] a montré un fort soutien statistique pour la topologie suivante des orchidées, en utilisant 9 kb d'ADN plastidial et nucléaire de 7 gènes, une topologie qui a été confirmée par une étude phylogénomique la même année[9].



Apostasioideae




Vanilloideae




Cypripedioideae




Epidendroideae



Orchidoideae






La classification phylogénétique APG III (2009)[10], le standard actuel, reconnaît une seule famille, celle des Orchideaceae, et considère les six lignées comme six sous-familles :

Phalaenopsis pulcherrima
Phalaenopsis Hybride tigrée

Liste complète des genres[modifier | modifier le code]

Voir la liste des genres d'Orchidaceae

Hybrides horticoles[modifier | modifier le code]

Outre les espèces botaniques et les hybrides naturels, le monde des orchidées comporte aussi d'innombrables variétés commerciales, le plus souvent hybrides. Beaucoup sont nommées d'après les définitions de la taxonomie (cymbidium, phalaenopsis, etc.), et il existe aussi des dénominations propres aux horticulteurs pour désigner les hybrides intergénériques (croisement entre deux genres proches afin d'obtenir un genre artificiel). Par exemple : Brassidium, Cambria, Laeliocattleya, etc. Les orchidées ont une facilité, unique dans le monde végétal, à produire facilement des hybrides entre espèces de genres différents. De plus, ces hybrides sont souvent fertiles.

Orchidée Anacamptis coriophora
(Espagne, île de Majorque)

Espèces significatives[modifier | modifier le code]

Espèces rencontrées en France métropolitaine[modifier | modifier le code]

Orchis papilionacea
(France, Corse)
Serapias parviflora
(Espagne, île de Majorque)
biotopes

De nombreuses orchidées présentes en France, ont des tubercules et sont des géophytes. Certaines espèces, comme l'Orchis pourpre (Orchis purpurea), l'Ophrys bourdon (Ophrys fuciflora) ou l'Épipactis à petites feuilles (Epipactis microphylla), sont calcicoles. De nombreuses réserves naturelles sont centrées sur leurs pelouses à orchidées, ayant ces caractéristique de sols calcaires. On peut citer, par exemple, la pelouse calcaire du plateau de Beauregard, qui se trouve sur la commune de Maxey-sur-Meuse, dans le département des Vosges en région Grand Est.

Espèces rencontrées dans les départements, territoires et pays d'outre-mer[modifier | modifier le code]

Eriaxis rigida, orchidée endémique de la Nouvelle-Calédonie.

Orchidées de Guyane [modifier | modifier le code]

Espèces rencontrées au Cameroun[modifier | modifier le code]

Dans la culture[modifier | modifier le code]

Symbolique[modifier | modifier le code]

Les noces d'orchidée symbolisent les 55 ans de mariage[réf. nécessaire].

Langage des fleurs[modifier | modifier le code]

Dans le langage des fleurs, l'orchidée symbolise la ferveur[12].

Lors de sa tournée Olympia 1971, la chanteuse Dalida fut surnommée « l'orchidée blanche », entrant en scène vêtue d'une longue robe blanche signée Balmain.

Le cocktail Mai Tai est souvent servi avec une orchidée, une tranche d'ananas et une cerise cocktail.

Philatélie[modifier | modifier le code]

L'espèce Dactylorhiza insularis, l'Orchis de Corse, est représentée sur des timbres préoblitérés de France émis en 2002, 2004 et 2007 sous le nom de Orchis insularis.

Filmographie[modifier | modifier le code]

Personnalités liées aux orchidées[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

  • Lan et Thanh Lan, prénoms vietnamiens signifiant respectivement orchidée et jolie orchidée.
  • Arbre orchidée (Bauhinia monandra) et Bauhinia blakeana, des arbres dont les fleurs, ressemblant à des orchidées, sont choisies comme emblème végétal officiel de Hong Kong depuis 1977.
  • Hymenopus coronatus, plus communément appelée mante orchidée, de par son mimétisme avec des fleurs d'orchidées

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Joseph Arditti (Univ de californie); Aspects of the Physiology of Orchids, in "Advances in Botanical Research", Volume 7, New-York, 1979, Par Harold Woolhouse (Accessible via google books), consulté 2011/02/12
  2. Jean-Marie Pelt, Les plantes : amours et civilisations végétales, Fayard, , p. 121.
  3. Katia Astafieff, Les plantes font leur cinéma : de "La petite boutique des horreurs" à "Avatar", Malakoff, Dunod, , 224 p. (ISBN 978-2-10-084685-6), p. 177
  4. a b et c Tim W. Yam, Jenny Chua, Felicia Tay & Peter Ang ; Conservation of the Native Orchids Through Seedling Culture and Reintroduction—A Singapore Experience ; The Botanical Review Volume 76, Number 2, 263-274, on line 2010/03/25 ; DOI: 10.1007/s12229-010-9050-z (Résumé)
  5. Fondation Goodplanet (trad. Valérie Denot), Sauvages, précieux, menacés, Éditions de La Martinière, , 192 p. (ISBN 978-2-7324-5444-3), Le commerce illégal des orchidées page 138, Les plantes menacées page 144 et Si ce n'est toi, c'est donc ton frère page 146
  6. (en) Michael McCarthy, « Scientist jailed for smuggling Malaysia's rarest orchids », sur independent.co.uk, The independent,
  7. L'orchidelirium (en) qui n'est pas sans rappeler la tulipomanie aux Provinces-Unies au XVIIe siècle.
  8. Guillaume Chomicki, Luc P.R. Bidel, Feng Ming, Mario Coiro, Xuan Zhang, Yaofeng Wang, Yves Baissac, Christian Jay-Allemand et Susanne S. Renner, « The velamen protects photosynthetic orchid roots against UV‐B damage, and a large dated phylogeny implies multiple gains and losses of this function during the Cenozoic », New Phytologist, vol. 205, no 3,‎ , p. 1330–1341 (PMID 25345817, DOI 10.1111/nph.13106 Accès libre)
  9. Thomas J. Givnish, Daniel Spalink, Mercedes Ames, Stephanie P. Lyon, Steven J. Hunter, Alejandro Zuluaga, William J.D. Iles, Mark A. Clements, Mary T.K. Arroyo, James Leebens-Mack, Lorena Endara, Ricardo Kriebel, Kurt M. Neubig, W. Mark Whitten, Norris H. Williams et Kenneth M. Cameron, « Orchid phylogenomics and multiple drivers of their extraordinary diversification », Proceedings of the Royal Society B: Biological Sciences, vol. 282, no 1814,‎ , p. 20151553 (PMID 26311671, PMCID 4571710, DOI 10.1098/rspb.2015.1553 Accès libre)
  10. (en) Angiosperm Phylogeny Group, « An update of the Angiosperm Phylogeny Group classification for the orders and families of flowering plants: APG III », Botanical Journal of the Linnean Society, Wiley-Blackwell, Linnean Society of London et OUP, vol. 161, no 2,‎ , p. 105–121 (ISSN 0024-4074 et 1095-8339, DOI 10.1111/J.1095-8339.2009.00996.X)Voir et modifier les données sur Wikidata
  11. (en) Angiosperm Phylogeny Group, « An update of the Angiosperm Phylogeny Group classification for the orders and families of flowering plants: APG II », Botanical Journal of the Linnean Society, Wiley-Blackwell, Linnean Society of London et OUP, vol. 141, no 4,‎ , p. 399–436 (ISSN 0024-4074 et 1095-8339, DOI 10.1046/J.1095-8339.2003.T01-1-00158.X)Voir et modifier les données sur Wikidata
  12. Anne Dumas, Les plantes et leurs symboles, Éditions du Chêne, coll. « Les carnets du jardin », , 128 p. (ISBN 2-84277-174-5, BNF 37189295).
  13. Katia Astafieff, Les plantes font leur cinéma : de "La petite boutique des horreurs" à "Avatar", Malakoff, Dunod, , 224 p. (ISBN 978-2-10-084685-6), p. 170-179

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • François Dusak & Daniel Prat (coordinateurs), Atlas des orchidées de France ; 2010, Éditions Biotope, collection Parthénope, Publications scientifiques du Muséum, 400 pages, (ISBN 978-2-914817-62-2) (Communiqué de presse).
  • Jean-Jules Linden, Lindenia. Iconographie des orchidées, Gand et Bruxelles, 1885-1906, 17 volumes (réédition Naturalia Publications, 1993, 5 volumes reliés, 814 planches plein page dans le texte, 1 500 pages de textes, (ISBN 2-909717-00-3) [t. 1], (ISBN 2-909717-01-1) [t. 2], (ISBN 2-909717-02-X) [t. 3], (ISBN 2-909717-03-8) [t. 4], (ISBN 2-909717-04-6) [t. 5]).
  • Alfred Cogniaux et Alphonse Goossens, Dictionnaire iconographique des orchidées, Bruxelles, 1896-1907, Volume 1 : XV pages + 826 pages de planches hors-texte, toutes en couleurs. Volume 2 : textes. 315 pages. (Réédition, 1990, Institut des Jardins, Perthes-en-Gâtinais, 2 volumes in-4, reliure toile).
  • Aloys Duperrex et Roger Dougoud, Orchidées d'Europe, Coll. Les beautés de la nature, Neuchâtel, Delachaux & Niestlé, 1955, 239 p., reliure toile.
  • Henri Stehlé, Les Orchidales : orchidées et burmaniacées, Imprimerie Officielle de la Martinique, 1980, 305 p.
  • Collectif (sous l'égide de la SFO, dir. scientifique : Marcel Bournérias), Les Orchidées de France, Belgique et Luxembourg, Collection Parthénope.
  • Pierre Delforge, Guide des orchidées d'Europe, d'Afrique du Nord et du Proche-Orient, Delachaux et Niestlé, 3e éd., 2005, 640 p.
  • Rémy Souche, Les orchidées sauvages de France, éd. Pélican, 2004.
  • Zimmermann, A. & Dougoud, R., Orchidées exotiques, Coll. Les beautés de la Nature, Neuchâtel, Delachaux & Niestlé, 1959, 325p.
  • Pierre Bertaux et Pascal Sauvêtre, Cent cinquante ans d'Orchidées au jardin du Luxembourg. Un patrimoine du Sénat, Naturalia Publications, 2011, 204 p. (ISBN 978-2-909717-68-5).
  • Trudel, Claude, Orchidées en fleurs, un album photo présentant une sélection de photos prises dans la serre des orchidées du Jardin botanique de Montréal ; 2020, Le monde en images (CCDMD).
  • Vincent Gillet, Les Orchidées en Lot-&-Garonne, 2015, Éditions du Bord du Lot, 120 pages, (ISBN 978-2-35208-209-5)
  • Philipp Cribb, Inoubliables orchidées, Alexandre Brun (the Forgotten Orchids of Alexandre Brun), éditions Solar, 1992 (ISBN 0802115004)
  • Les orchidées de France de Belgique et Luxembourg, Biotope Éditions, Collectif SFO coordonné par Marcel Bournérias, 2e édition, 2e ed. 206, 504 p. (ISBN 9782914817110)

Références taxinomiques[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :