Parti catholique — Wikipédia

Parti catholique
Katholieke Partij (nl)
Présentation
Fondation
Disparition
Organisation de jeunesse Front catholique des jeunes
Association catholique de la jeunesse belge
Organisation de travailleurs Ligue nationale des travailleurs chrétiens
Organisation de classes moyennes Fédération nationale chrétienne des Classes Moyennes
Organisation d’agriculteurs Boerenbond
Alliance agricole belge
Organisation bourgeoise Fédération des cercles catholiques
Religion Catholicisme
Positionnement Droite
Idéologie Cléricalisme

Monarchisme

Factions:
Conservatisme
Catholicisme social
Démocratie chrétienne
Réaction
Catholicisme libéral
Ultramontanisme

Couleurs

Le Parti catholique (Katholieke Partij en néerlandais) est un parti politique belge unitaire et conservateur. Il est, aux côtés du Parti libéral et du Parti ouvrier belge, l’un des trois partis politiques belges que l’on comprend sous la dénomination de « partis traditionnels ». Fondé en 1884, c’est le deuxième parti à proprement parler qu’a vu naître l’histoire politique belge. Il disposera de la majorité des sièges dans les deux Chambres de 1884 à 1914, ce qui permettra aux catholiques de gouverner seuls de manière continue pendant trente ans[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Naissance[modifier | modifier le code]

Lors de l’indépendance de la Belgique en 1830, les partis politiques n’existaient pas encore. En effet, même si l’on parle déjà d’inspirations « catholiques » et « libérales », ces groupes ne restent que des tendances différentes assez peu structurées[2].

Le baron Félix van den Branden écrira en 1841, « la Belgique, étant un pays catholique, presque tous les libéraux sont catholiques, et, d’un autre côté, la Belgique étant un pays libre, un État constitutionnel, tous les catholiques sont également libéraux »[3].

De 1831 à 1847, les gouvernements unis se succèdent donc, entraînant la collaboration des libéraux et catholiques. Ceux-ci s’uniront entre autres pour l’obligation d’une éducation morale et religieuse dans les écoles de chaque commune[3].

C’est vers la fin de l’année 1846 que le parti libéral se crée. Du côté catholique, il était nécessaire que le pape Pie IX soit disposé à confier à un parti politique la responsabilité de le défendre auprès du gouvernement belge. Or, selon Mgr Fornari, la cour de Rome « ne veut pas que les évêques interviennent dans ce qui est du domaine du gouvernement temporel[4] ». Il n’y a donc à ce moment-là ni parti unioniste, ni parti catholique.

La première de ces prémices d'organisation politique est une association constitutionnelle et conservatrice qui fut créée en 1858 par Malou et Deschamps, afin de se défendre contre les libéraux, leurs adversaires politiques.

Ensuite, sont mis en place à Malines, par les catholiques, trois congrès, se déroulant respectivement aux années 1863, 1864 et 1867, qui avaient pour objectif la coordination des œuvres catholiques, et non la formation d’un parti[5]. Dès les premières réunions de ces Congrès, les hommes politiques y participant firent des efforts pour favoriser le développement des Cercles catholiques, qui, des sociétés d’agréments qu’ils étaient alors, devinrent finalement des associations électorales[6]

Parallèlement à cela, l’Union catholique de Belgique est constituée le 9 novembre 1864 afin d’assurer une protection aux intérêts et aux libertés catholiques. Cette Union se refuse d’interférer dans la sphère politique proprement dite[7].

Dans le prolongement de ces Congrès est fondé, le 22 octobre 1868, la « Fédération des cercles catholiques ». Elle deviendra par la suite la « Fédération des associations et des cercles catholiques et des associations ouvrières » et gardera un poids important dans le monde catholique, jusqu’au sortir de la Première Guerre mondiale. Bien qu’il ne soit sorti des Congrès de Malines un véritable parti catholique, une dynamique y a été créée. Il en ressort un véritable esprit d’association, grâce auquel il a été possible de recréer un réseau de liens et de contacts entre les catholiques[8].

En 1884, les catholiques remportent une importante victoire électorale. Cela facilite l’établissement d’un véritable « Parti catholique »[9]. La religion catholique en est le facteur primordial, il en dépend étroitement et, bien qu’il ne soit pas dirigé directement par des ecclésiastiques, l’Église y est toujours présente. Ainsi, contrairement à l’avis des catholiques, l’on peut le considérer comme un parti « confessionnel »[10] 

Essor du parti[modifier | modifier le code]

Plusieurs éléments ont favorisé la victoire des catholiques aux élections de 1884, ainsi que leur maintien au pouvoir jusqu’en 1914.

On retrouve parmi ces éléments un malaise social grandissant, lié aux conditions économiques des ouvriers et des agriculteurs et ouvriers agricoles. Il s’agit pour les catholiques d’apporter une aide à ces classes de la population via l’aide apportée aux groupements sociaux ou bien aux œuvres sociales qu’ils mettent en place. Ils estiment, ou du moins espèrent, que les populations ainsi aidées seront reconnaissantes et s’attacheront davantage à la religion catholique, et ainsi à son parti[11].

Le parti catholique tentera de résoudre les divers problèmes sociaux et économiques en basant son interventionnisme sur le renoncement et la charité chrétienne[12].

Un autre élément ayant conduit au maintien au pouvoir de ce parti est l’effort de propagande mis en place par ce-dernier. Cette propagande est fondamentale car elle permet au parti de faire connaitre son existence et ses buts[13]. Elle s’exerçait notamment sur l’individu dès son plus jeune âge, principalement dans les écoles catholiques. Former de nouveaux catholiques leur permettait alors de former un futur soutien au parti catholique. La loi du 15 septembre 1895 a décrété que le cours de religion était obligatoire, sauf pour les enfants dont les parents en demanderaient la dispense[14].

Se rendant compte de l’influence précieuse que la femme pouvait avoir, les catholiques ont imaginé des œuvres féminines partout où la collaboration de la femme a semblé représenter une certaine utilité. Les catholiques militants ont ainsi fait appel au concours de la femme pour défendre à peu près tous les intérêts sociaux et économiques qui se présentaient à eux[15].

En parallèle à tous ces moyens de propagande, sont propagées de nombreuses publications qui poursuivent le même but. De nombreux tracts, revues, almanachs ou brochures, qui font preuve d’un pouvoir de pénétration indéniable sur l’opinion publique, sont ainsi distribués[16].

Dix années de Beernaert[modifier | modifier le code]

Auguste Beernaert

Auguste Beernaert est né à Ostende le 26 juillet 1829. Vers l’âge de trente ans déjà, Beernaert est nommé avocat à la Cour de cassation. C’est en 1873 que Malou, ayant déjà reconnu la valeur exceptionnelle de cet homme, le nommera Ministre des travaux publics. En 1884, après les élections et la victoire du parti catholique, c’est le ministère Malou qui reprend le pouvoir[17]. C’est grâce à la direction de Beernaert que le parti s’imposera, prônant des valeurs d’unité[18].

La même année, c’est tout naturellement qu'Auguste Beernaert devient ministre des finances et chef du gouvernement, remplaçant M. Malou qui prend sa retraite.

De 1884 à 1894, Beernaert parvient donc à assurer une certaine stabilité au sein du parti politique des catholiques. Pendant ces dix années, il organise des réformes sociales, réduit le déficit, et remonte le moral du peuple belge[19]. À cette époque, c’est-à-dire vers 1884, l’Etat reconnu la nécessité d’agrandir le réseau ferroviaire en Belgique. La longueur totale des lignes étaient en 1884 de 4 365 km, passant en 10 ans à 4 602 km[20].

Le successeur de Malou jouera également un grand rôle dans la colonisation du Congo ainsi que dans la révision constitutionnelle. Malgré sa démission du ministère en 1894, Beernaert garde un rôle important en devenant président de la chambre. Il gagnera le prix Nobel de la paix en 1909, avant de s’éteindre le 6 octobre 1912.

Évolution du parti[modifier | modifier le code]

Pendant l’entre-deux-guerres, deux périodes sont à différencier concernant le Parti catholique. Tout d’abord, en 1921, le Parti catholique va être renommé l’Union Catholique Belge. Cette Union va être composée de 4 standen (la Ligue nationale des travailleurs chrétiens (LNTC) –Algemene Christelijke werkersverbond (ACW), le Boerenbond, la Fédération nationale des Classes Moyennes ainsi que la Fédération des Associations et Cercles Catholiques). L’Union est néanmoins traversée par de nombreux conflits qui rendent la composition d’un programme  commun impossible. Indépendamment de cette structure hétérogène du Parti, l’Union Catholique subit aussi un clivage linguistique entre le Nord et le Sud du pays.

Ensuite, après une importante défaite électorale en 1936, l’Union nécessite une nouvelle réorganisation. Le Parti devient donc le Bloc Catholique Belge en 1936. Il compte alors une section flamande (le Katholieke Vlaamse Volkspartij (KVV)) et une section francophone (le Parti Catholique Social (PCS)). Dès lors, en introduisant le principe du personnalisme, le Parti va aller au-delà de l’intérêt des standen afin de composer un programme de l’intérêt général.

En 1945, le Parti se modifie à nouveau et devient le Parti social chrétien ou "Christelijke Volkspartij", en néerlandais. Les standsorganisaties sont désormais abolies et le Parti doit s’assurer d’une cohésion et homogénéité nécessaires[21], avant de se scinder, en 1972, en deux partis : le Parti social chrétien (PSC), qui deviendra le Centre démocrate humaniste, côté francophone, et le Christelijke Volkspartij, qui deviendra le Christen-Democratisch en Vlaams (CD&V) en 2001, côté néerlandophone.

Grandes réformes du Parti catholique[modifier | modifier le code]

De nombreuses réformes sont prises durant cette période de trente années d’hégémonie catholique. L’on notera tout d’abord d’importantes prises de décisions sur le plan social. De fait, une partie importante des réformes est constituée par l’ensemble des dispositions visant la réglementation du travail. Ces lois portent tant sur les rémunérations que sur l’amélioration des conditions de travail[22].

Une autre réforme importante que connut cette période concerne l’extension droit de suffrage. Le 18 avril 1893 est adopté par la Commission spéciale de la Chambre et par la Chambre le suffrage universel tempéré par le vote plural. Le sénat se prononce également favorablement, le 29 avril. L’article 47 révisé de la Constitution accorda alors le droit de vote aux hommes de nationalité belge, domiciliés depuis au moins un an dans une même commune et âgés de 25 ans minimum. Un vote supplémentaire est accordé aux pères de famille d’au moins 35 ans qui occupaient une habitation représentant cinq francs d’impôt personnel au moins, ainsi qu’aux propriétaires d’une immeuble d’une valeur de 2 000 francs ou d’une rente de 1 000 francs. Deux votes supplémentaires sont accordés aux porteurs d’un diplôme d’enseignement supérieur ou de fin d’humanités. Est néanmoins instaurée la restriction qu’un même électeur ne peut se voir attribuer plus de trois votes[23].

Il faut savoir que ce n’est pas seulement au niveau de l’électorat que le parti catholique amena des changements. En effet, le Parti catholique joua également un rôle primordial, à la fin de la première guerre scolaire en 1884 (année de leur arrivée au gouvernement) dans l’évolution de l’enseignement en abrogeant la dite « loi de malheur », adoptant à la place une nouvelle loi scolaire, connue sous le nom de « loi Jacobs ». Cette loi dépouilla l’État de son monopole scolaire et instaura plusieurs changements : les communes furent autorisées à remplacer l’école neutre par une école libre sur la demande de minimum vingt père de famille ; le cours de religion figurait au programme des écoles mais pas de manière obligatoire ; l’enseignement normal devenait libre… En 1895, la « Loi Schollaert » apporta d’autres modifications : toutes les écoles libres respectant quelques conditions légales recevaient, tout comme les écoles officielles et adoptées, des subsides gouvernementaux ; l’enseignement de la religion devint non plus facultatif mais obligatoire.

Au niveau de la question sociale, les catholiques vont également jouer un rôle très important et énormément se préoccuper du développement du monde ouvrier (on voit évidemment là un avantage à ce que toute cette population d’ouvrier ne glisse par vers le parti ouvrier, c’est un combat contre le socialisme). Les catholiques vont énormément prendre en charge cette partie de la population en créant des associations coopératives, des sociétés de secours, en arrangeant des accords avec les agriculteurs. Un syndicat chrétien des ouvriers est créé en 1912.

Idéologie[modifier | modifier le code]

Avant la création du parti catholique en 1884, le mouvement catholique est marqué par des tendances ultramontaines ainsi que par des tendances libérales (permettant la mise en œuvre des libertés). L’évolution de ces deux courants (fondés sur la doctrine de Lamennais entre autres) a évolué vers une démocratie englobant le religieux et les libertés, le social et le politique.

L’action politique du parti catholique est fondée sur l’enseignement de l'Église. Une morale découle de cet enseignement et, selon la doctrine catholique, cette morale doit être suivie si l’on veut sauver son âme. Ainsi, de nombreux aspects de l’action politique catholique trouvent directement leur origine dans la doctrine pontificale. De cette morale ressort notamment le fait que l'Église prime en cas de désaccord entre l'Église et l'État. La morale chrétienne doit donc prévaloir sur les lois de l’Etat[24].

Cette morale tend à prendre en charge tant la vie publique que la vie privée de l’individu. Ainsi, et en guise d’exemple, un élément important de cette doctrine est sa conception de la famille. Elle occupe un rôle fondamental dans la société civile[25]. Le mariage, qui fonde la famille, est jugé d’origine divine et ses règles ne dépendent pas de la volonté humaine mais bien de la volonté de Dieu. Sur cette base, le mariage civil ne constitue rien d’autre qu’un acte purement civil par lequel les individus montrent qu’ils obéissent à la puissance publique, mais il ne constitue pas un acte de légitime mariage au sens de l’idéologie catholique. Il découle de la caractéristique sacrée du mariage que le divorce est formellement interdit par la religion catholique[26].

Leur doctrine est opposée sur de nombreux point à celle des libéraux, qu’ils considéraient comme leur ennemi politique. Ceux-ci prônent notamment l’affranchissement complet de l’individu à l'égard de l'État mais également à l'égard de l'Église[27].

Ministres[modifier | modifier le code]

Gouvernements catholiques homogènes à partir de 1884 :

Gouvernement Date de nomination Date de démission
Malou-Jacobs-Woeste 16 juin 1884 26 octobre 1884
Beernaert 26 octobre 1884 17 mars 1894
de Burlet 26 mars 1894 25 février 1896
de Smet de Nayer I 25 février 1896 24 janvier 1899
Vandenpeereboom 24 janvier 1899 31 juillet 1899
de Smet de Nayer II 5 aout 1899 12 avril 1907
De Trooz 1er mars 1907 31 décembre 1907
Schollaert 9 janvier 1908 8 juin 1911
de Broqueville 18 juin 1911 1er juin 1918

Ministres durant la période 1869-1918: Jules d'Anethan, Joseph Kervyn de Lettenhove, Prosper Cornesse, Pierre Tack, Victor Jacobs, Jules Malou, Armand Wasseige, Guillaume d'Aspremont Lynden, Charles Delcour, Théophile de Lantsheere, François Moncheur, Barthélemy de Theux de Meylandt, Auguste Beernaert, Alphonse de Moreau, Charles Woeste, Jules Vandenpeereboom, Joseph de Riquet de Caraman-Chimay, Jean-Joseph Thonissen, Joseph Devolder, Jules Le Jeune, Léon de Bruyn, Ernest Mélot, Jules de Burlet, Henri de Merode-Westerloo, Victor Begerem, Paul de Smet de Naeyer, François Schollaert, Albert Nyssens, Paul de Favereau, Julien Liebaert, Gérard Cooreman, Jules de Trooz, Jules Van den Heuvel, Louis van der Bruggen, Arthur Surmont de Volsberghe, Gustave Francotte, Édouard Descamps, Joris Helleputte, Auguste Delbeke, Armand Hubert, Julien Davignon, Léon de Lantsheere, Paul Berryer, Charles de Broqueville, Jules Renkin, Aloys Van de Vyvere, Michel Levie, Eugène Beyens en Paul Segers.

Résultats électoraux[modifier | modifier le code]

Parlement national[modifier | modifier le code]

Chambre des Représentants[modifier | modifier le code]

Année Voix % Sièges Gouvernement
1884 33 428 61
86  /  138
Malou II, Beernaert
1886 17 979 48,7
98  /  138
Beernaert
1888 31 273 58,4
98  /  138
Beernaert
1890 17 253 45,2
94  /  138
Beernaert
1892 56 199 53,7
92  /  152
Beernaert, de Burlet
Introduction du suffrage universel masculin par vote plural
1894 926 987 56,38
102  /  152
de Burlet, de Smet de Naeyer I
1896 492 541 49,68
108  /  152
de Smet de Naeyer I
1898 377 275 38,49
108  /  152
Vandenpeereboom et de Smet de Naeyer II
1900 993 945 48,46
86  /  152
de Smet de Naeyer II
1902 596 382 56
93  /  162
de Smet de Naeyer II
1904 486 643 43,53
92  /  166
de Smet de Naeyer II
1906 526 856 44,92
79  /  164
de Smet de Naeyer II, de Trooz et Schollaert
1908 517 679 43,11
78  /  164
Schollaert
1910 676 849 53,11
86  /  168
Schollaert et Broqueville I
1912 1 337 315 51,01
101  /  186
Broqueville I
1914 570 806 42,77
99  /  186
Broqueville I et II, Cooreman et Delacroix I
Introduction du suffrage universel masculin
1919 619 911 35,19
70  /  186
Delacroix II et Carton de Wiart
1921 768 080 39,76
70  /  186
Theunis I
1925 778 366 37,42
78  /  187
Vande Vyvere, Poullet et Jaspar I
1929 788 914 35,38
71  /  187
Jaspar II et Renkin
1932 856 027 38,42
79  /  187
de Broqueville III, Theunis II et Van Zeeland I
1936 653 717 27,67
61  /  202
Van Zeeland II, Janson, Spaak I et Pierlot I
1939 594 133 30,38
67  /  202
Pierlot II, III, IV, V et VI, Van Acker I puis opposition
Evolution des résultats électoraux du Parti Catholique à la Chambre des Représentants.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. X. Mabille, Nouvelle histoire politique de la Belgique, Bruxelles, CRiSP, , p.164
  2. X.MABILLE, Histoire politique de la Belgique, Bruxelles, Crisp,
  3. a et b G. GUYOT DE MISHAEGEN, Le parti catholique belge de 1830 à 1884, Bruxelles, Larcier, , p. 65
  4. A. MELOT, Le parti catholique en Belgique, Louvain, Éditions Rex, , p. 69
  5. X. Mabille, Nouvelle histoire politique de la Belgique, Bruxelles, CRiSP, , pp. 142 et 143
  6. J. BEAUFAYS, Les partis catholiques en Belgique et aux Pays-Bas, 1918-1958, Bruxelles, , p. 58
  7. X. MABILLE, Nouvelle histoire politique de la Belgique, Bruxelles, CRiSP, , p. 143
  8. P. DEWIT, La vie politique en Belgique de 1830 à nos jours, 3ème éd., Bruxelles, , p. 38
  9. P. DEWIT, La vie politique en Belgique de 1830 à nos jours, 3ème éd. , Bruxelles, , p; 38
  10. J. BEAUFAYS, Les partis catholiques en Belgique et aux Pays-Bas, 1918-1958, Bruxelles, , p. 60
  11. G. BARNICH, Le régime cléricale en Belgique, l'organisation du parti catholique, Bruxelles, Em. Rossel, p. 87
  12. G. BARNICH, Le régime clérical en Belgique, l'organisation du parti catholique, Bruxelles, Em. Rossel, p. 105
  13. J. BEAUFAYS, Les partis catholiques en Belgique et aux Pays-Bas, 1918-1958, Bruxelles, , p. 278
  14. G. BARNICH, Le régime clérical en Belgique, l'organisation du parti catholique, Bruxelles, Em. Rossel, pp. 157, 158 et 159
  15. G. BARNICH, Le régime clérical en Belgique, l'organisation du parti catholique, Bruxelles, Em. Rossel, pp. 275 et 276
  16. G. BARNICH, Le régime clérical en Belgique, l'organisation du parti catholique, Bruxelles, Em. Rossel, p. 301
  17. A. MELOT, le Parti catholique en Belgique, Louvain, Editions Rex, , p. 69
  18. A. SIMON, Le parti catholique belge, Bruxelles, La renaissance du livre, , p. 84
  19. F. PASSELECQ, Auguste Beernaert : sa carrière et son œuvre politique, Bruxelles, Dewit, , p. 22
  20. C. HUBERT et al., Vingt-cinq années de gouvernement, Bruxelles, Dewit, , p. 22
  21. J. Smith, Les scandent dans les partis sociaux-chrétiens, Bruxelles, CRISP, , p. 84
  22. X. MABILLE, Nouvelle histoire politique de la Belgique, Bruxelles, CRiSP, , p. 166
  23. X. MABILLE, Nouvelle histoire politique de la Belgique, Bruxelles, CRiSP, , p. 169
  24. J. BEAUFAYS, Les partis catholiques en Belgique et aux Pays-Bas, 1918-1958, Bruxelles, , p. 11
  25. J. BEAUFAYS, Les partis catholiques en Belgique et aux Pays-Bas, 1918-1958, Bruxelles, , p. 12
  26. J.BEAUFAYS, Les partis catholiques en Belgique et aux Pays-Bas, 1918-1958, Bruxelles, , p. 23
  27. Henri Pirenne, Histoire de Belgique, VII, De la révolution de 1830 à la guerre de 1914, Bruxelles, , p. 110

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • A. Simon, Catholicisme et Politique Documents inédits (1832-1909), Wetteren, Scaldis,
  • A. Melot, Le parti catholique en Belgique, Louvain, Rex,
  • A. Simon, Le parti catholique belge 1830-1945, Bruxelles, La renaissance du livre,
  • C. Hubert, Vingt-cinq années de gouvernement, Bruxelles, Dewit,
  • C. Greindl, Introduction à l’histoire du Parti catholique belge (1884-1940), Louvain, UCL,
  • F. Passelecq, Auguste Beernaert : Sa carrière et son œuvre politique, Bruxelles, Dewit,
  • G. Barnich, Le régime clérical en Belgique, l'organisation du parti catholique, Bruxelles, Em. Rossel.
  • G. Guyot de Mishaegen (préf. Comte Carton de Wiart), Le Parti Catholique Belge de 1830 à 1884, Bruxelles, Ferdinand Larcier,
  • Henri Pirenne, Histoire de Belgique, VII, De la révolution de 1830 à la guerre de 1914, Bruxelles,
  • J. Beaufays, Les partis catholiques en Belgique et aux Pays-Bas, 1918-1958, Bruxelles,
  • J. SMITS, « Les standen dans les partis sociaux-chrétiens », Courrier hebdomadaire du CRISP), Bruxelles,‎
  • J-L. Soete, Structure et organisation du parti catholique en Belgique (1863-1884), Université catholique de Louvain,
  • M. Damoiseaux, La Belgique contemporaine : essais d’histoire politique, Louvain, Éditions de la société d’études morales, sociales et juridiques,
  • P. Dewit, La vie politique en Belgique de 1830 à nos jours, Bruxelles, , 3e ed. éd.
  • X. Mabille, Histoire politique de la Belgique, Bruxelles, Crisp,

Liens externes[modifier | modifier le code]

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