Peugeot 406 — Wikipédia

Peugeot 406
Peugeot 406
Peugeot 406 phase 2 berline

Marque Peugeot
Années de production 1995 - 2008
Europe : 19952004 :
Phase 1 : 19951999
Phase 2 : 19992004
Production 1 667 364 exemplaire(s)
Classe Familiale
Usine(s) d’assemblage Drapeau de la France Sochaux
Drapeau de l'Italie Val di Sangro
Drapeau du Royaume-Uni Ryton
Drapeau de l'Égypte Le Caire
Drapeau du Chili Los Andes
Drapeau du Nigeria Kaduna
Drapeau de la Thaïlande Bangkok
Drapeau de l'Indonésie Jakarta
Moteur et transmission
Énergie Essence / Diesel
Moteur(s) Essence :
moteur XU:
1 580 cm3
1 761 cm3
1 998 cm3
moteur EW:
1 749 cm3
1 997 cm3
2 231 cm3
moteur V6 ESL:
2 946 cm3
Essence turbo
moteur XU:
1 998 cm3

Diesel :
moteur XUD:
1 905 cm3
Diesel turbo
moteur XUD:
1 905 cm3
2 088 cm3
moteur DW:
1 997 cm3
2 179 cm3
Position du moteur Transversale avant
Cylindrée 1 580 à 2 946 cm3
Puissance maximale 75 à 210 ch
Couple maximal 130 à 317 N m
Transmission Traction
Boîte de vitesses Manuelle 5 rapports
Automatique 4 rapports
Masse et performances
Masse à vide 1 215 à 1 505 kg
Vitesse maximale 164 à 232 km/h
Accélération 0 à 100 km/h en 7,7 à 17,9 s
Consommation mixte 5,5 à 10,9 L/100 km
Émission de CO2 146 à 276 g/km
Châssis - Carrosserie
Carrosserie(s) Berline tricorps 4 portes, 5 places
Coupé 2 portes, 5 places
Break 5 portes, 5/7 places
Châssis Citroën Xantia
Coefficient de traînée 0,30 (1,6 et 1,8 L)
0,32 (2,0 L)
Suspensions Avant pseudo MacPherson
Arrière multibras
Dimensions
Longueur Berline : 4 555 mm
Break : 4 725 mm
Coupé : 4 615 mm
Largeur Berline : 1 765 mm
Coupé : 1 780 mm
Hauteur Berline : 1 396 mm
Break : 1 456 mm
Coupé : 1 354 mm
Empattement 2 700 mm
Volume du coffre 430 dm3
Sécurité
Note Euro NCAP 2/5 étoiles
Chronologie des modèles

La Peugeot 406 est une berline conçue par le constructeur automobile français Peugeot, produite de 1995 à 2004. Elle est fabriquée sur le site historique de la marque, l'usine de Sochaux.

La 406 succède à la Peugeot 405, et sa commercialisation débute le . Elle existe avec trois types de carrosserie : berline, break (à partir d') et coupé (Peugeot 406 Coupé, à partir de )[1].

La 406 V6 possède un nouveau moteur V6 24 soupapes PSA-Renault à 60 degrés (ES 9) remplaçant au sein du groupe PSA l'antique PRV à 90 degrés[2]. Toutes les 406 adoptent un train arrière multibras[3].

Les prestations routières ainsi que la ligne classique et élégante ont largement contribué au succès de cette familiale. Peugeot a annoncé avoir vendu plus de 1,6 million de voitures du modèle 406 berline[4], et la 406 a reçu le prix de la plus belle voiture de l'année en 1995.

Elle a été remplacée en 2004 par la Peugeot 407. Elle reste néanmoins produite en CKD par Peugeot Automobiles Nigeria, au Nigeria[5] et en Égypte par Peugeot Automobile Égypte, jusqu'en 2008[6].

Historique[modifier | modifier le code]

Développement et conception[modifier | modifier le code]

La Peugeot 405, prédécesseure de la 406.

Au début des années 1990, Peugeot investit dans le « projet D8 », afin de remplacer la Peugeot 405. Le but du projet de base est de conserver les traits esthétiques qui ont fait la renommée de sa devancière, mais dans un style densifié. L'équipe de Gérard Welter, président du design chez Peugeot à cette époque, cherche au début à concevoir une berline tricorps tout en apportant une attention particulière aux proportions et à l'équilibre général des formes. À la demande d'ajouter davantage d'habitabilité, des modifications sont apportées, altérant cet équilibre des proportions initiales. À contre-courant du cahier des charges, une maquette plus basse, sportive et racée est élaborée, rappelant l'esthétique dynamique des productions de BMW, selon Gérard Welter. Cette démarche captive alors l'attention de Roland Peugeot, président du conseil du Groupe PSA, qui approuve cette approche alternative[7]. Au total, le développement de la future berline représente investissement de 5,7 milliards de francs pour Peugeot[8].

Parallèlement, Peugeot confie au carrossier Pininfarina le développement de la Peugeot 406 Coupé, depuis 1992[9]. Même si le coupé est conçu comme un modèle totalement à part, les deux partagent le même empattement, le même châssis, les mêmes motorisations et la plupart des composants mécaniques. Les équipes de Peugeot et de Pininfarina doivent donc communiquer tout au long du processus de conception de la berline[10].

Phase 1 (/)[modifier | modifier le code]

À partir de , la 406 inaugure pour certaines motorisations (2 litres) la nouvelle boîte de vitesses automatique AL4 à quatre rapports, à gestion électronique, en remplacement du modèle 4 HP 20 de ZF[11]. Elle a été la première étudiée par Renault et PSA pour se créer une indépendance économique par rapport à ZF qui fournit cependant la boîte automatique de la motorisation V6. La boîte AL4 est auto-adaptative, c'est-à-dire qu'elle réagit et s'adapte au comportement du conducteur grâce à un calculateur fonctionnant en logique floue. L'essuie-glace arrière était proposé en option.

Peugeot 406 phase I berline

Phase 2 ( / , pour le coupé)[modifier | modifier le code]

Peugeot 406 phase II break

En , la 406 est restylée. Les modifications apportent une touche d'élégance à la berline : la face avant affinée, se voit dotée de phares plus étirés, lisses et translucide avec ampoules réflecteurs en remplacement des phares striés et semi-opaques de la version précédente, ainsi qu'une calandre nid d'abeille[12], les feux arrière adoptent des inserts couleur carrosserie et le couvercle de la malle n'est plus concave mais devient convexe. La console centrale de la planche de bord est légèrement modifiée. Dans le même temps, elle reçoit deux nouveaux moteurs : un 2 litres 16 soupapes à essence en aluminium (EW 10) et l'évolution 90 ch du 2 litres Diesel HDi (DW 10). l'option essuie-glace arrière a été supprimée.

En , le multiplexage permet de nouvelles fonctions électriques comme l'allumage automatique des feux de croisement.

Peugeot 406 phase II berline
Peugeot 406 phase II berline
Peugeot 406 phase II

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Motorisations[modifier | modifier le code]

Essence
Modèle et boîte Moteur Cylindrée Performance Couple 0 à 100 km/h Vitesse maximale   Consommation et émissions de CO2
Peugeot 406 1.6 90
(boîte méca. 5)
4 cylindres en ligne
XU5 M3/Z
1 587 cm3
(1,6 L)
66 kW (90 ch) à 6 000 tr/min 130 N m à 2 600 tr/min 15,3 s 175 km/h 8,5 L/100 km
Peugeot 406 1.8 90
(boîte méca. 5)
4 cylindres en ligne
XU7 JB
1 761 cm3
(1,8 L)
66 kW (90 ch) à 5 000 tr/min 148 N m à 2 600 tr/min 14,6 s 181 km/h 8,4 L/100 km
Peugeot 406 1.8 112
(boîte méca. 5 ou auto. 4)
4 cylindres en ligne
XU7 JP4
1 761 cm3
(1,8 L)
82 kW (112 ch) à 5 500 tr/min 155 N m à 4 250 tr/min 12,5 s 190 km/h 8,4 L/100 km
207 g/km
Peugeot 406 1.8 117
(boîte méca. 5 ou auto. 4)
4 cylindres en ligne
EW7 J4
1 749 cm3
(1,8 L)
86 kW (117 ch) à 5 500 tr/min 160 N m à 4 000 tr/min Méca. : 11,3 s
Auto. : 14,6 s
193 km/h L/100 km
182 g/km
Peugeot 406 Coupé 2.0 135

(boîte méca. 5 ou auto. 4)

4 cylindres en ligne
XU10J4R RFV
1 998 cm3
(2,0 L)
99 kW (135 ch) à 5 500 tr/min 180 N m à 4 200 tr/min Méca. : 11,9 s
Auto. :12,3 s
203 km/h 8,3 à 8,6 L/100 km
233 et 259 g/km
Peugeot 406 2.0 140
(boîte méca. 5)
4 cylindres en ligne
EW10 A
1 997 cm3
(2,0 L)
103 kW (140 ch) à 6 000 tr/min 192 N m à 4 000 tr/min 9,9 s 210 km/h 7,5 L/100 km
177 g/km
Peugeot 406 2.0 150
(boîte méca. 5)
4 cylindres en ligne
XU10 J2TE
1 997 cm3
(2,0 L)
110 kW (150 ch) à 5 300 tr/min 235 N m à 2 500 tr/min 10,3 s 210 km/h 9,8 L/100 km
233 g/km
Peugeot 406 2.2
(boîte méca. 5)
4 cylindres en ligne
EW12J4 3FZ
2 230 cm3
(2,2 L)
116 kW (158 ch) à 5 650 tr/min 217 N m à 3 900 tr/min 9,7 s 218 km/h 8,8 L/100 km
210 g/km
Peugeot 406 3.0 194
(boîte méca. 5 ou auto. 4)
6 cylindres en V
ESL9J4 XFZ
2 946 cm3
(3,0 L)
143 kW (194 ch) à 5 500 tr/min 267 N m à 4 000 tr/min Méca. : 7,9 s
Auto. : 9,6 s
Méca. : 235 km/h
Auto. : 230 km/h
10,9 à 11 L/100 km
260 et 264 g/km
Peugeot 406 3.0 210
(boîte méca. 5 ou auto. 4)
6 cylindres en V
ESL9J4S XFX
2 946 cm3
(3,0 L)
154 kW (210 ch) à 6 000 tr/min 285 N m à 3 700 tr/min Méca. : 7,8 s
Auto. : 9,5 s
Méca. : 240 km/h
Auto. : 232 km/h
10 à 10,4 L/100 km
238 et 248 g/km
Diesel
Modèle et boîte Moteur Cylindrée Performance Couple 0 à 100 km/h Vitesse maximale Consommation et émissions de CO2
Peugeot 406 1.9 TD 75
(boîte méca. 5)
4 cylindres en ligne
XUD9 SD
1 905 cm3
(1,9 L)
55 kW (75 ch) à 4 600 tr/min 125 N m à 2 500 tr/min 17,9 s 164 km/h L/100 km
186 g/km
Peugeot 406 1.9 TD 90
(boîte méca. 5)
4 cylindres en ligne
XUD9 TE/Y
1 905 cm3
(1,9 L)
66 kW (90 ch) à 4 000 tr/min 196 N m à 2 250 tr/min 14,5 s 177 km/h 6,9 L/100 km
183 g/km
Peugeot 406 2.0 HDi 90
(boîte méca. 5)
4 cylindres en ligne
DW10 TD
1 997 cm3
(2,0 L)
66 kW (90 ch) à 4 000 tr/min 205 N m à 1 900 tr/min 13 s 180 km/h 5,7 L/100 km
150 g/km
Peugeot 406 2.0 HDi FAP 110
(boîte méca. 5 ou auto. 4)
4 cylindres en ligne
DW10 ATED
1 997 cm3
(2,0 L)
80 kW (109 ch) à 4 000 tr/min 250 N m à 1 750 tr/min 11,7 s 191 km/h 5,5 L/100 km

150 g/km

Peugeot 406 2.1 TD 110
(boîte méca. 5)
4 cylindres en ligne
XUD11 BTE
2 088 cm3
(2,1 L)
80 kW (109 ch) à 4 000 tr/min 250 N m à 2 000 tr/min 12,5 s 190 km/h 7,1 L/100 km
169 g/km
Peugeot 406 2.2 HDi FAP 136
(boîte méca. 5)
4 cylindres en ligne
DW12TED4
2 179 cm3
(2,2 L)
98 kW (133 ch) à 4 000 tr/min 314 N m à 2 000 tr/min 10,2 s 205 km/h 6,4 L/100 km
168 g/km

Évolutions mécaniques[modifier | modifier le code]

Apparition en de la ST Pack Sport, avec moteur 2,2 16S (essence 160 ch et Diesel 136 ch) et présentation sportive (jantes alliage 16", sièges mi-cuir...) avec pour la première fois sur le Diesel, un filtre à particule (F.A.P.) inventé par Peugeot, puis en 2002 de la version « Navtech OnBoard » avec GPS de série.

Le moteur 2L2 essence EW12J4 bénéficie du calage variable de l'admission qui lui permet d'avoir 85 % de son couple maxi (217 N m) entre 2 600 et 5 500 tr/min. Ainsi, le moteur est disponible d'un bout à l'autre de la course de l'accélérateur, permettant soit une conduite douce, souple, soit un comportement vif, suivant ce qu'on souhaite. Une réussite, qui maîtrise en plus sa consommation.

Cas concret de consommation sur le 1,8 16 V 112 ch (pneumatique : Michelin Energy Saver):

  • Condition des essais : vitesse stabilisée, pente nulle, vent négligeable, T ext : 30 °C, climatisation automatique activée pour 23 °C ; trois personnes (250 kg) + bagages (50 kg)
  • Consommation réelle à 130 km/h : 7,8 - 8,1 L (SP 95 ; en 5e à 3 700 tr/min)
  • Consommation réelle à 110 km/h : 6,1 - 6,5 L (SP 95 ; en 5e à 3 200 tr/min)
  • Consommation en montagne (tronçon barrage de Serre-Ponçon - col du Lautaret 60 km) : 12,3 L (SP95 ; en 3e - 4e, vitesse moyenne : 70 km/h)

À noter que toutes les 406 bénéficient d'un train avant de type pseudo-Mac Pherson inversé, précis, et d'un train arrière de type autodirectionnel, roue par roue. Amortisseurs à clapets fabriqués par Peugeot. La précision de conduite est très bonne, la tenue de route excellente, avec peu de roulis, et un train arrière qui participe activement dans les virages. Très bon compromis confort/tenue de route.

Une conduite vive, joueuse mais sûre, qui fait nettement mieux que la concurrence à l'époque. Le plaisir de conduite et le fameux "toucher de route" sont bien là.

Les versions 2L2 (essence ou Diesel) bénéficient de l'assistance de direction variable, dépendant de la vitesse de rotation du moteur. Les versions V6 bénéficient de l'assistance de direction variable dépendant de la vitesse du véhicule, cependant pas vraiment plus agréable que celle des 2L2.

Enfin, les V6 reçoivent en option un amortissement piloté.

En , refonte complète de la gamme, scindée en 2 pôles : « Sport » (Sport, Sport Pack) et « Confort » (Confort, Confort Pack). Compteurs à fond blanc, équipement très complet sur les versions Pack.

Coupé[modifier | modifier le code]

Peugeot Coupé 406

La Peugeot 406 est déclinée en Peugeot Coupé 406 dessinée par le carrossier Pininfarina.

Peugeot 406 Concept Toscana - 1996[modifier | modifier le code]

Compétition[modifier | modifier le code]

Peugeot 406
Image illustrative de l’article Peugeot 406
Une 406 à Oulton Park en 2014.

Années de production 1996 - 1999
Moteur et transmission
Moteur(s) 4 cylindres 16 soupapes
Cylindrée 1 998 cm3
Puissance maximale 1996: 300 ch
1997: 310 ch
1998: 315 ch
Couple maximal 1 996: 260 N m
1 997: 275 N m
Transmission Aux roues avant
Boîte de vitesses Séquentielle 6 rapports
Masse et performances
Masse à vide 975 kg
Châssis - Carrosserie
Châssis Coque autoporteuse - Acier renforcé / arceau multitubulaire
Suspensions Av: Pseudo McPherson triangulée
Ar: Essieu multi-bras
Dimensions
Longueur 4 555 mm
Largeur 1 765 mm
Hauteur 1 320 mm
Empattement 2 700 mm
Voies AV/AR 1 550 mm  / 1 550 mm

Titre obtenu : Champion de France de Supertourisme, en 1999 et 2000 avec William David[13].

La Peugeot Coupé 406 a été utilisée dans différents championnats d'Europe de Supertourisme tel que le STW en Allemagne, le BTCC au Royaume-Uni et le Belgian Procar en Belgique.

Le pilote Français Laurent Aiello remporta le titre Pilote dans le championnat Allemand de Tourisme en 1997 et termina vice-champion en 1998 au volant d'une 406 Supertourisme. Malheureusement, contré par les BMW, Peugeot ne remportera pas le titre constructeur[14].

Peugeot se retira officiellement du championnat fin 98 pour se consacrer au Rallye. Les 406 furent gérées par Gemo Sport en 99 et 2000[15].

La voiture était motorisée par un 4 cylindres 16 soupapes de 1 998 cm3 préparé chez Pipo Moteurs et développant 300 ch en 1996 et jusqu'à 315 ch en 1998[16].

Au total la 406 remporta quatre titres en Championnat de France de Supertourisme: 1999 et 2000 avec William David, puis 2002 et 2004 avec Soheil Ayari en version silhouette[17].

Le préparateur Belge Kronos aligna une 406 dans le championnat Belgian Procar en 1996 et 1997 et termina cette année-là à la 3e place avec Vincent Radermacker[18].

Dans la culture populaire[modifier | modifier le code]

Cinéma[modifier | modifier le code]

La 406 de Taxi 2, au Musée de l'Aventure Peugeot de Sochaux.

La 406 phase I est l'héroïne du film Taxi (1998), avec Samy Naceri et Frédéric Diefenthal. Ses suites, Taxi 2 (2000) et Taxi 3 (2003), utilisent la phase II. La 407 leur succède pour Taxi 4 (2007) ainsi que dans Taxi 5 (2018).

Une 406 apparaît également dans une course-poursuite du film Ronin (1998) de John Frankenheimer. C'est aussi le véhicule du personnage joué par Sergi López dans Une liaison pornographique (1999). Une 406 phase 2 peut être vue dans Mon meilleur ami (2006), avec Daniel Auteuil et Dany Boon.

On peut enfin découvrir une 406 coupé dans le film Le Boulet (2002), avec Benoît Poelvoorde et Gérard Lanvin. Elle permet à ce dernier d'échapper à la police durant une poursuite dans Paris.

Télévision[modifier | modifier le code]

La 406 est utilisée dans la série policière Julie Lescaut, en berline pour le commissaire Lescaut (Véronique Genest), et en break pour son collègue l'inspecteur N'Guma (Mouss Diouf). La version coupé apparaît quant à elle dans la saga de l'été (2002) L'Été rouge, avec Georges Corraface, Guy Marchand et Charlotte Kady.

Un break phase II gris métallisé peut enfin être vu dans la série Sœur Thérèse.com, où il est conduit par le comédien Martin Lamotte.

Jeux vidéo[modifier | modifier le code]

La 406 est aussi présente dans des jeux vidéo :

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Présentation de la Peugeot 406 », sur lapeugeot406.e-monsite.com (consulté le )
  2. « Décembre 2002 : Le guide des moteurs Peugeot-Citroën - Le moteur ES », sur autoweb-france.com (consulté le )
  3. « e-RTA Peugeot 406 3,0i V6 », sur revue-technique-auto.fr (consulté le )
  4. « Sacrée routière », sur linternaute.com (consulté le )
  5. « Les 406 encore produites », sur lapeugeot406.e-monsite.com (consulté le )
  6. Alain Frerejean, Les Peugeot : Deux siècles d'aventure, Flammarion, , 424 p. (ISBN 978-2-08-068804-0, lire en ligne).
  7. Nicolas Fourny, « Peugeot 406 : une BMW à la française », sur CarJager, (consulté le )
  8. « Peugeot 406 (1995-2005) », sur Auto Encyclopédie (consulté le )
  9. Paul Sernine, « Davide Arcangeli : deux œuvres majeures en héritage », sur Station Haxo, (consulté le )
  10. Bernard Jouvin, « Peugeot 406 Coupé : le chef d’œuvre de Pininfarina », sur Le Dauphiné libéré, (consulté le )
  11. Peugeot 406 essence, RTA (version numérique), coll. « Édition numérique Revue Technique Automobile » (lire en ligne), « Transmission automatique »
  12. « Essai Peugeot 406 1995 - 2004 », sur Fiches-auto.fr (consulté le ).
  13. « Driving your success by William David », sur Drivingyoursuccess.net (consulté le ).
  14. « Laurent Aiello Site non officiel », sur Aiellolaurent.free.fr (consulté le ).
  15. « Sébastien Bourdais dans la lignée », sur Ladepeche.fr, (consulté le ).
  16. « 406 dtm », sur Peugeotsportlegend.skyrock.com (consulté le ).
  17. « Peugeot 406 Coupé : une Silhouette affûtée », sur Caradisiac.com (consulté le ).
  18. « Kronos Racing, déjà 20 ans d’existence ! », sur Actu-moteurs.com, (consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]

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