Prix Juliette-de-Wils — Wikipédia

Le prix Juliette-de-Wils, de la fondation Juliette Descours, est un ancien prix annuel de poésie classique créé en 1938 par l'Académie française[1].

Le prix est fondé, à titre posthume, à l'initiative de la dramaturge et poétesse Juliette de Wils[2].

Lauréats[modifier | modifier le code]

  • 1938 :
    • Madeleine de Lanartic pour Pour nous deux
    • Mlle Claude Maubernard pour Farandoles de poèmes
  • 1939 : Jeanne Bernard-Arnoux pour Sous le regard de Dieu
  • 1940 : Paul Lacour (1861-1953) pour Cent Fables
  • 1942 : Jules Trohel pour Les Oraisons
  • 1943 : Mme Le Garrec-Even pour Au bord des eaux
  • 1944 : Jean Lebrau pour Sous le signe d'octobre
  • 1945 : René Fernandat
  • 1947 :
    • Jules Chaix-Ruy (1896-1986) pour Reflets sur l'eau
    • Suzanne Lainé pour Seigneur, j'ai crié vers vous
  • 1948 : Alice Cluchier (1899-1987) pour Au rouet de l'amour
  • 1949 : Paul Rispal pour À l'approche du soir
  • 1950 : Lucie Rondeau-Luzeau pour Témoignage
  • 1951 :
    • Abbé J. Deschamps pour Rêveries, paysages, élévations...
    • Madeleine Mordacq pour Aux jardins de la Loire
  • 1952 : Hélène Seguin pour Au clavier de mon cœur
  • 1953 : Lucie Rondeau-Luzeau pour Le vent du soir
  • 1954 :
    • Léon Kochnitzky (1892-1965) pour Élégies congolaises
    • Martial Marthon pour À l’ombre des châtaigniers
    • Marie-Louise Vidal de Fonseca pour Symphonie fantasque
    • Paul Zenner (1914-1980) pour Musique légère
  • 1955 :
    • Louise Chassagne pour Vespérales
    • Diane de Cuttoli pour L’horizon intérieur
    • Claude Mirbel pour L’ombre d’une fumée
  • 1956 :
    • Alice Cluchier (1899-1987) pour La folle ivraie
    • Paul Gasc pour Anthologie
    • Jules Tordjman pour Mémoire vive
  • 1959 : Charles Tricou pour Allegro ma non troppo
  • 1960 :
    • Georges Belloni pour Les chemins de gloire
    • Claire Domal (1892-1972) pour L’arbre en feu
  • 1961 : Jean-Marie Fleury pour L’Amphore aux Étoiles
  • 1962 : Paul Cardeilhac pour Rêveries premières et Nouvelles rêveries
  • 1963 : Marguerite Grépon pour Les Insomniques
  • 1964 : Marceau Prudhomme pour l'ensemble de son œuvre
  • 1965 :
  • 1966 : Maurice Courant pour Quand l’heure sonne, O Déraison !
  • 1967 : Georges Labro pour L’art informel

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Prix Juliette-de-Wils de l'Académie française », sur Académie française (consulté le )
  2. Juliette Marguerite Descours dite « Juliette de Wils », fondatrice du prix Juliette-de-Wils, décédée le 21 janvier 1932 à Champigny-sur-Marne — Recueil des actes administratifs de la Préfecture du département de la Seine, mars 1933, pp. 276-277, sur Gallica.

Liens externes[modifier | modifier le code]