Quincié-en-Beaujolais — Wikipédia

Quincié-en-Beaujolais
Quincié-en-Beaujolais
Place Quincius Vinum et église de Quincié, en 2019.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Rhône
Arrondissement Villefranche-sur-Saône
Intercommunalité Communauté de communes Saône Beaujolais
Maire
Mandat
Daniel Michaud
2020-2026
Code postal 69430
Code commune 69162
Démographie
Gentilé Quinciatons et Quinciatonnes
Population
municipale
1 355 hab. (2021 en augmentation de 2,81 % par rapport à 2015)
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 07′ 11″ nord, 4° 37′ 02″ est
Altitude Min. 236 m
Max. 729 m
Superficie 22,05 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Belleville-en-Beaujolais
Localisation
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Quincié-en-Beaujolais
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Liens
Site web https://quincie-en-beaujolais.fr/

Quincié-en-Beaujolais est une commune française, située dans le département du Rhône en région Auvergne-Rhône-Alpes. L'activité principale de la commune est la viticulture avec quatre AOC : Beaujolais, Beaujolais-Villages, Brouilly et Côte-de-Brouilly.

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 788 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Didier-Beaujeu », sur la commune de Saint-Didier-sur-Beaujeu à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 934,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Quincié-en-Beaujolais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (49,6 %), forêts (38,5 %), prairies (9,9 %), zones urbanisées (1,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

Jean de Chandieu reconnait posséder « un château démoli appelé la Roche à Quincié près Beaujeu » le 3 mars 1539, près du château de La Palud, dont l'époque de sa fondation et le fondateur sont inconnus[13]. Le château de La Palud est cité pour la première fois dans le testament de Louis, sire de Beaujeu, en mai 1295.

Le village de Quincié-en-Beaujolais a été déplacé pendant les guerres de religion au Moyen Âge. Avant ça, celui-ci se trouvait quelques kilomètres plus bas, sur le hameau de Saint-Nizier-le-Brûlé, qui a totalement été brûlé comme son nom l'indique. Le village a été reconstruit à son emplacement actuel.

Bien des siècles plus tard, pendant la Seconde Guerre mondiale, des résistants ont été exécutés au lieu-dit le Pont-des-Samsons, où une stèle a été érigée en leur mémoire.

La famille Barjot[modifier | modifier le code]

Armoiries françaises de la famille Barjot (Quincié-en-Beaujolais)
Blason de la famille Barjot.

En 1482, Louis XI vient à Beaujeu, où il est reçu par Guillaume Barjot, seigneur de La Palud. Philippe de Commines, historien du roi, raconte qu'il trouve le roi très malade et changé. Il aurait donc résidé plusieurs semaines dans la maison de la Tour à Beaujeu.

Lors de la Réforme, la famille Barjot se fait huguenote. En punition, le duc de Mayenne les prive de leurs biens et les donne à Jean de Nagu. Cependant, les Barjot redeviennent catholiques et leurs biens leur sont restitués.

En 1660, à la mort de Guillaume Barjot, les terres sont séparées entre ses enfants et vendues.

En 1648, son propriétaire est Louis de la Chabaudière, puis Joseph Alexandre de Nagu, qui en fait don aux dames de Chazeaux. À la Révolution, les moniales sont chassées et le château pillé, les armoiries de la porte d'entrée mutilées et le domaine vendu en morcellement.

Le château de La Palud est actuellement inhabité, et fait partie de l'exploitation agricole de Monsieur Guillermin[13].

La famille de Nagu-Varennes[modifier | modifier le code]

Blason de la famille de Nagu-Varennes.

Un premier chateau de Varenne à été détruit au XVIe siècle lors des guerres de religions. Il a été rebâti plus majestueux dans un style Renaissance. Néanmoins, la "Tour carrée" serait le dernier vestige de l'ancien chateau et daterait du XIe siècle.[1]

La seigneurie de Varennes correspond à l'actuel territoire de la commune de Marchampt, auquel il faut ajouter la vallée de Romarand, qui se trouve aujourd'hui rattaché à la commune de Quincié-en-Beaujolais. Les membres de la famille de Nagu, seigneurs de Varennes, se faisaient inhumer à Marchampt et le bénitier de l'église porte encore leurs armoiries.

À la Révolution, le Château et l'ancienne seigneurie furent confisqués, déclarés propriété nationale et mis en vente en 16 lots au plus offrant à la bougie éteinte. Les frères Allemand achetèrent Varennes.[2]

Lors de la création des communes, le château de Varennes fut rattaché à celle de Quincié-en-Beaujolais, bien qu'une partie de la propriété se trouve toujours sur la commune de Marchampt, territoire historique de la seigneurie.

Le 12 décembre 1809, François et Hector Allemand vendirent le Château de Varennes à Antoine-Marie Belliard et à son gendre Jean Mathieu, demeurant à Saint-Lager, ancêtres de la famille Charvériat, originaire de l’Ain (Montceaux et Chaveyriat), qui en est propriétaire depuis plus de deux siècles[13].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Listes des maires[modifier | modifier le code]

Mairie de Quincié-en-Beaujolais.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1953 Jules Roche (natif de Marchampt) PCF  
1953 1983 Georges Lavarenne    
1983 1995 Louis Vacheron (natif de Marchampt)    
1995 2008 Bernard Lavarenne    
2008 En cours Daniel Michaud    
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Jumelage[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[15].

En 2021, la commune comptait 1 355 habitants[Note 2], en augmentation de 2,81 % par rapport à 2015 (Rhône : +3,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1451 1721 1751 2411 3691 4381 4971 6451 618
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5291 5681 6251 6321 7321 6221 7091 5691 601
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6351 6571 5271 2231 1701 1441 1731 1101 139
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0471 0561 0221 0181 0591 1211 1641 1761 270
2018 2021 - - - - - - -
1 3291 355-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[17].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Beaujolais Basket dont Quincié-en-Beaujolais fait partie, évolue actuellement en Nationale 2. Ce club est né novembre 2007 de la fusion de trois clubs : Brouilly Sport (Cercié), Basket Club Quincié-en-Beaujolais et l'Etoile Sportive Régnié-Durette[18]. Le club du Beaujolais évolue en Nationale 2 depuis 2013[18]. En 2014-2015, le club finit 5e place (Poule A) avec 15 victoires pour 9 défaites. Lors de la saison 2016-2017, Beaujolais basket finit à la 8e place (Poule D) avec 12 victoires pour 14 défaites[19].

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Le mont Brouilly.

Viticulture[modifier | modifier le code]

Quincié-en-Beaujolais est dans la région viticole du Beaujolais et produit les appellations :

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

  • Revenu moyen par habitant est de 16 088  par an.

Emplois[modifier | modifier le code]

En 2011, selon l'Insee, la population active s'élève à 526, le nombre de chômeurs à 43 pour un taux de chômage à 6,9 %[20].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Monuments détruits[modifier | modifier le code]

Vers 879, le prieuré de Saint-Nizier, dit de Saint-Nizier-Strata, Saint-Nizier-Lestra ou L’Estrat, Saint-Nizier le Brûlé, fut donné par le roi Boson. Il décline à partir de 1428 et est brûlé par les guerres de religion. C'est en 1754 que fut reconstruite une petite chapelle sur les ruines du prieuré.

L’église de style roman, dédiée à St Pierre, fut érigée puis démolie vers 1856.

C'est à partir de 1864 qu'est construite l'église actuelle.

Lieux et monuments actuels[modifier | modifier le code]

Château de La Palud

Plusieurs monuments sont à voir à Quincié-en-Beaujolais, à commencer par son église de style baroque.

Trois châteaux ont été construits sur la commune :

Chateau de La Palud[modifier | modifier le code]

Le plus ancien est le château de La Palud, qui a été construit pendant le Moyen Âge et remanié au XVIe siècle ou XVIIe siècle.

Le corps du bâtiment principal est à comble aigu, percé de lucarnes. La façade principale est flanquée de deux tours massives rondes à flèche élancée, éclairées par de rares ouvertures. À gauche de ce qui fut le pont-levis, deux étroites baies jumelles surmontent la porte. Elles ont une réplique au-dessus, sous les combles. À gauche, à l'étage, une double fenêtre à meneaux et à droite une simple fenêtre. Trois lucarnes ajourent la toiture[21].

Château de Varennes[modifier | modifier le code]

Château de Varennes

Le second est le château de Varennes, il a été construit au XIe siècle puis augmenté à la Renaissance. La façade principale est ornée de deux pavillons carrés flanquée de hautes tours circulaires à la flèche élancée, dominant la cour d'honneur. Au fond de la cour, un corps de logis, de construction relativement récente, est composée de deux étages de galeries en arcs surbaissés. Au rez-de-chaussée se trouve l'immense cheminée de pierre de la cuisine dont l'écusson a été martelé par les calvinistes ou les révolutionnaires. Elle est ornée d'une Bretagne armoriée.

Aujourd'hui, il est possible de venir fêter son mariage dans une des salles du château, qui ont toujours été entretenues.

Château du Souzy[modifier | modifier le code]

Enfin le château du Souzy est le dernier château à avoir été construit sur la commune au cours du XVIIIe siècle.

Espaces verts et fleurissement[modifier | modifier le code]

En 2014, la commune obtient le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris[22].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Pierre Dulac (1761-1823), homme politique, député du Rhône en 1815, pendant les Cent-Jours.
  • Émile Charvériat, né le à Lyon et mort le , dans son château de Varennes, à Quincié, est un historien français.
  • Bernard Pivot, qui alla à l'école élémentaire à Quincié et dont les parents du côté maternel sont originaires de la ville, possède une résidence à Quincié-en-Beaujolais et la bibliothèque municipale porte son nom. De nombreux ouvrages comportent des annotations manuscrites de sa main. Il fut également conseiller municipal[23].
  • Cette commune accueille aussi le député du Rhône, maire de Villefranche-sur-Saône, Bernard Perrut, qui aime à se retrouver en famille dans sa résidence secondaire.
  • Le roi Louis XI est venu plusieurs fois dans le Beaujolais. Il aimait venir se restaurer et se reposer au château de La Palud.
  • Lucien Degoutte, député du Rhône, conseiller municipal de Quincié-en-Beaujolais, à partir d'octobre 1947.

Transport[modifier | modifier le code]

De 1869 à 1987, il y avait un chemin de fer entre Belleville et Beaujeu. En 2004, la partie de la voie ferrée située entre Beaujeu et Saint-Jean-d'Ardières a été transformée en voie verte.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Quincié-en-Beaujolais et Saint-Didier-sur-Beaujeu », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Didier-Beaujeu », sur la commune de Saint-Didier-sur-Beaujeu - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Saint-Didier-Beaujeu », sur la commune de Saint-Didier-sur-Beaujeu - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  13. a b et c Pelletier, André, 1937- ..., Grande encyclopédie de Lyon et des communes du Rhône., Horvath, (ISBN 2-7171-0273-6 et 978-2-7171-0273-4, OCLC 461782748, lire en ligne)
  14. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  15. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  18. a et b « Historique du club », sur beaujolais-basket.fr (consulté le ).
  19. Le Journal de Saône-et-Loire, 14 mai 2017, Cahier sports, p.  6
  20. « Commune de Quincié-en-Beaujolais (69162) - Dossier complet », sur insee.fr (consulté le ).
  21. Salomon, Émile., Les Châteaux historiques du Forez, Laffitte, (OCLC 461842605, lire en ligne)
  22. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  23. Émission Empreintes - Bernard Pivot sur France 5 octobre 2010.

Liens externes[modifier | modifier le code]

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