Rancon — Wikipédia

Rancon
Rancon
Blason de Rancon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Bellac
Intercommunalité Communauté de communes Gartempe Saint-Pardoux
Maire
Mandat
Michel Creyssac
2020-2026
Code postal 87290
Code commune 87121
Démographie
Gentilé Ranconniers
Population
municipale
479 hab. (2021 en diminution de 3,82 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 07′ 53″ nord, 1° 10′ 54″ est
Altitude Min. 185 m
Max. 337 m
Superficie 32,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bellac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châteauponsac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Rancon

Rancon (Rancom en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants s'appellent les Ranconniers et Ranconnières[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation de la commune de Rancon en Haute-Vienne.

Situation[modifier | modifier le code]

La commune est située à environ 6 km à l'ouest de Châteauponsac.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est arrosé par la rivière Gartempe.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Poitou-Charentes » et « Ouest et nord-ouest du Massif Central »0[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 956 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Magnac-Laval à 9,46 km à vol d'oiseau[5], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 880,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Rancon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bellac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,2 %), forêts (29,5 %), zones agricoles hétérogènes (13,3 %), terres arables (6,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,5 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Rancon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Rancon.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[17]. 14 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[18].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du barrage de Saint-Pardoux, un ouvrage de classe A[Note 4] présentant une hauteur d’eau maximale de 56,7 m et une capacité totale de retenue de 57,8 millions de m3. Le PPI a été approuvé le . À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[20].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Rancon est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

À l'époque gauloise, le site de Rancon était peuplé par une tribu celte : les Andecamulenses. Il semblerait que cette tribu ait fourni un grand nombre de soldats à Vercingétorix.

Le premier nom de la localité était Roncomagus ; on retrouve dans ce nom deux mots d'origine gauloise - RONC, le rocher - MAGOS, le marché. En effet, le village de Rancon a toujours été un lieu d'échange et de passage très fréquenté. On peut d'ailleurs toujours voir de nos jours le vieux pont sur la Gartempe dont les piles datent de l'époque gallo-romaine et ainsi qu'une borne milliaire à proximité de ce même pont.

Au début du deuxième millénaire, Rancon devient le siège d'un archiprêtré, le plus étendu du diocèse avec ses 75 paroisses. Mais surtout, au Xe siècle, Rancon fut le berceau d'une grande famille de l'Histoire de France : les seigneurs de Rancon. Bien que leur épopée se soit en majorité déroulée en Poitou (Gençay) et en Saintonge (Taillebourg), cette illustre famille était originaire de Rancon. Parmi les plus célèbres représentants de cette famille, on peut citer Geoffroy III qui accompagna le roi Louis VII et son épouse Aliénor d'Aquitaine lors de la seconde croisade en Palestine. Le nom des seigneurs de Rancon finit par se perdre dans la seconde moitié du XIIIe siècle.

Parmi les plus célèbres monuments de Rancon, on peut citer :

  • l'église fortifiée du bourg, témoin des assauts perpétrés par les troupes du Prince Noir lors de la guerre de Cent Ans ;
  • la lanterne des morts datant du XIIe siècle et qui se trouvait autrefois au cœur d'un cimetière qui fut désaffecté pour des raisons d'hygiène en 1872. Ces curieux édifices ont fait couler beaucoup d'encre quant à leurs origines, leur but, leur utilisation... mais personne n'a encore réussi à percer leur secret ;
  • le vieux pont sur la Gartempe qui se trouvait sur une voie d'origine gallo-romaine très fréquentée. Son tablier est médiéval mais ses piles sont celles d'un pont du IIe siècle ;
  • la borne milliaire située près du vieux pont sur la Gartempe ;
  • la chapelle Saint-Sébastien de style roman qui abrite un autel gallo-romain en granit gravé dédié à Hercule. Cette chapelle est ouverte uniquement les après-midis durant l'été pendant l'exposition des « Artistes de la Gartempe » ;
  • la chapelle Saint-Sulpice construite sur et à côté d'une source bienfaisante. Le charme de ces lieux rappelle les traditions populaires et le culte des bonnes fontaines.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1995 1995 Jean Dumet    
1995 2001 Pierre Hedde    
2001 2008 Christian Gouygou    
2008 2014 Renée Pénichou[22]    
2014 En cours Michel Creyssac    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

En 2021, la commune comptait 479 habitants[Note 5], en diminution de 3,82 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 0102 0451 9812 0152 1372 1122 0252 0862 091
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 0611 9721 8591 8691 8171 9131 9101 9071 882
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8611 8491 8431 5671 3771 2141 1281 1241 045
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
911860733652544519542540528
2015 2020 2021 - - - - - -
498482479------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église de Rancon et son clocher à bulbe.
Lanterne des morts.
Le viaduc de Rancon, peu après son achèvement.

Monuments historiques[modifier | modifier le code]

  • Lanterne des morts[27] (XIIe siècle), inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques par arrêté du avec un socle de deux marches, la table a disparu. Elle se situe dans l'ancien cimetière, désaffecté vers 1872, transformé en jardin public.
  • Église Saint-Pierre-ès-Liens[28] (XVIIe siècle). L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1925[28].
  • Pont sur la Gartempe[29] (XIIIe siècle).
  • Cavée routière gallo-romaine.
  • La « Pierre du Passeur », borne routière gallo-romaine.

Sites naturels[modifier | modifier le code]

Viaduc de Rancon[modifier | modifier le code]

Le viaduc de Rancon[30], entre Limoges et Châteauponsac, est l'un des ouvrages d'art majeurs qui demeurent de l'époque du tramway départemental. Sa construction remonte à 1912. Le viaduc permettait le passage des trams (voie métrique) de la ligne Limoges - Saint-Sulpice-les-Feuilles (ligne N° 2), au-dessus de la vallée encaissée de la Gartempe. D'une longueur de 138 mètres et d'une hauteur maximale de 27 mètres, il compte 11 arches de 9 mètres d'ouverture et une rampe continue de 5,5 %. La ligne a été exploitée de 1912 à 1949 par la compagnie des Chemins de fer départementaux de la Haute-Vienne.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Rancon Blason
Losangé d'or et d'azur au pal de gueules brochant sur le tout.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Louis Timbal, Contribution à l’étude de la géographie historique de la région limousine, Limoges, Charles-Lavauzelle, , 119 p.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[19].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Nom des habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Rancon et Magnac-Laval », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Magnac-Laval » (commune de Magnac-Laval) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Magnac-Laval » (commune de Magnac-Laval) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bellac », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Rancon », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  19. Article R214-112 du code de l’environnement
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  21. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  22. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Jardin public dit square de la lanterne », notice no PA00100419, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. a et b Notice no PA00100420, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « Pont du XIIIe siècle sur la Gartempe », notice no PA00100421, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. Viaduc de Rancon, Tourisme Hte-Vienne