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DeutschRaymond Derancy — Wikipédia
| Raymond Derancy | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Député français | |
| – (7 ans, 10 mois et 17 jours) | |
| Élection | 30 novembre 1958 |
| Réélection | 25 novembre 1962 |
| Circonscription | 10e du Pas-de-Calais |
| Législature | IIe et IIIe (Cinquième République) |
| Groupe politique | SOC |
| Prédécesseur | Télesphore Caudron |
| Successeur | Maurice Andrieux |
| Maire de Barlin | |
| – (29 ans) | |
| Prédécesseur | Alfred Monsauret |
| Successeur | Joseph Brabant |
| Conseiller général du Pas-de-Calais | |
| – (6 ans) | |
| Circonscription | Canton de Bruay-en-Artois |
| Prédécesseur | André Mancey |
| Successeur | Louis Josien |
| Biographie | |
| Nom de naissance | Raymond Joseph Derancy |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Hersin-Coupigny |
| Date de décès | (à 77 ans) |
| Lieu de décès | Barlin |
| Nationalité | Française |
| Profession | Inspecteur de service commercial |
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Raymond Derancy, né le à Hersin-Coupigny et mort le à Barlin, est un homme politique français.
Biographie[modifier | modifier le code]
Ouvrier chaudronnier après son certificat d'études, Raymond Derancy gravit les échelons de la promotion interne jusqu'à devenir inspecteur aux Houillères nationales.
Entrée en politique après la deuxième guerre mondiale, il est élu conseiller municipal, puis maire de Barlin à partir de 1947.
Suppléant de Thélesphore Caudron, élu député en , il lui succède après le décès de ce dernier en .
Il se fait alors, à l'Assemblée nationale, le porte-parole des mineurs, et plus particulièrement de la lutte contre les effets sociaux de la silicose, qui avait tué trois de ses neveux, mineurs de fond.
Réélu en 1962 contre l'ancien député communiste André Mancey grâce à un report de voix du centre et de la droite, il est élu conseiller général du Pas-de-Calais deux ans plus tard.
Dans une configuration identique, en 1967, il fait les frais de ses positions plus franchement hostile à la politique gouvernementale pendant son second mandat et ne bénéficie que très partiellement des reports de la droite : il est battu au second tour par le communiste Maurice Andrieu.
L'année suivante, de nouveau candidat, il se désiste cette fois-ci pour Andrieu, qui est réélu.
Il se consacre alors entièrement à ses mandats locaux, et plus particulièrement, après son départ du conseil général, en 1970, à la mairie de Barlin, jusqu'à sa démission en 1976.
Références[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
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