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DeutschRivière Lostau — Wikipédia
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| Rivière Lostau | |
 La rivière Lostau à son embouchure à Galets (Bouillante) | |
| Caractéristiques | |
|---|---|
| Longueur | 8,1 km [1] |
| Cours | |
| Source | Morne Saint-Jean |
| · Localisation | Bouillante |
| · Coordonnées | 16° 09′ 32″ N, 61° 44′ 18″ O |
| Embouchure | Mer des Caraïbes |
| · Localisation | Bouillante |
| · Altitude | 0 m |
| · Coordonnées | 16° 09′ 41″ N, 61° 46′ 36″ O |
| Géographie | |
| Pays traversés |  France |
| Arrondissement | Basse-Terre |
| Régions traversées | Guadeloupe |
| Sources : SANDRE : 12270040, Géoportail | |
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La rivière Lostau est un cours d'eau de Basse-Terre en Guadeloupe se jetant dans la mer des Caraïbes.
Géographie[modifier | modifier le code]
Longue de 8,1 km[1], la rivière Lostau prend sa source sur les pentes septentrionales du Morne Saint-Jean sur le territoire de la commune de Bouillante. Elle est alimentée sur son parcours par la ravine Rouge, la rivière Habituée Négresse, la rivière Bois-Malaise, la rivière Espérance et enfin la rivière Bois-Malher. L'intégralité de son cours s'écoule sur le territoire de Bouillante pour se jeter dans la mer des Caraïbes dans l'Anse à Galets entre les lieux-dits de La Lise et des Galets.
Histoire[modifier | modifier le code]
Le cours d'eau, qui a d'abord porté le nom de rivière Frère Pierre, doit son nom à celui d'une famille de propriétaires terriens de la fin XVIIe siècle, Jean Lostau et ses fils – qui furent capitaines de la milice et maires de Bouillante au XVIIIe siècle – qui possédaient leur propriété près de la rivière[2].
Au lieu-dit Birloton a existé sur la rivière une roche comportant des dessins gravés mais elle a été détruite lors de l'agrandissement de la voirie[3].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Rivière Lostau (12270040) »
- Gérard Lafleur, Bouillante. Cœur de la côte sous le vent, coll. « Hommes et sociétés », éditions Karthala, 2004 (ISBN 9782811138202), pp. 58, 63 et 185.
- Gérard Lafleur, Bouillante. Cœur de la Côte sous le vent, Karthala, 2004, p. 14.
