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DeutschRue Lamennais — Wikipédia
 8e arrt Rue Lamennais     | |||
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| Situation | |||
|---|---|---|---|
| Arrondissement | 8e | ||
| Quartier | Faubourg-du-Roule | ||
| Début | 29, rue Washington | ||
| Fin | 21, avenue de Friedland | ||
| Morphologie | |||
| Longueur | 123 m | ||
| Largeur | 13 m | ||
| Historique | |||
| Création | 1842 | ||
| Dénomination | 1881 | ||
| Ancien nom | Rue du Centre | ||
| Géocodification | |||
| Ville de Paris | 5222 | ||
| DGI | 5300 | ||
| Géolocalisation sur la carte : Paris
Géolocalisation sur la carte : 8e arrondissement de Paris
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 Images sur Wikimedia Commons | |||
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La rue Lamennais est une voie du 8e arrondissement de Paris.
Situation et accès[modifier | modifier le code]
La rue Lamennais commence au 21, avenue de Friedland et se termine au 29, rue Washington.
Le quartier est desservi par la ligne 1 du métro à la station George V.
Origine du nom[modifier | modifier le code]
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Elle porte le nom de l'écrivain français l'abbé Lamennais (1782-1854).
Historique[modifier | modifier le code]
Cette voie est ouverte en 1842 sur les terrains de l'ancienne chartreuse Beaujon sous le nom de « rue du Centre », parce qu'elle avait été percée au centre de la chartreuse. Elle prend sa dénomination actuelle par un arrêté du [1].
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]
- A vécu à un numéro inconnu l'homme d'affaires Henry Hermand jusqu'à sa mort en 2016[2].
- No 1 : à cette adresse, en 1975, vivait Anne Jules, comte de Noailles (1900-1979), fils d'Anna de Noailles.
- No 4 : immeuble en construction en 1905, à la commande du comte Tyszkiewicz, un Polonais millionnaire[3].
- No 5 : en 1905, le comte Tyszkiewicz y possède un atelier[3].
- No 7 : le , une bombe explose devant l’entrée de l’immeuble, faisant un blessé : le poseur de la bombe étant un anarchiste espagnol[3].
- Nos 13-15 : hôtel construit en 1852 par le duc de Morny.
- Chancellerie de la légation du Mexique en 1907[4].
- Légation du Paraguay en 1910[5].
- Une plaque commémorative rend hommage au résistant Patrice de Bellaigue (1911-1944), qui y vivait. Il est mort pour la France[6].
- No 15 : le restaurant Taillevent depuis 1950.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Rue Lamennais », Recherche des rues de Paris.
- Jérémy Marot et Pauline Thiévenaud, Les Apprentis de l'Élysée, Paris, Plon, , 351 p. (ISBN 978-2-259-27724-2 et 2-259-27724-1, OCLC 1102410234, présentation en ligne).
- « Un attentat anarchiste à Paris », Le Petit Journal, , sur retronews.fr.
- Annuaire diplomatique et consulaire de la République française, Berger-Levrault, 1907, p. 471.
- Rochegude, p. 96.
- « Plaque en hommage de Patrice de Bellaigue », sur museedelaresistanceenligne.org (consulté le ).
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Félix de Rochegude, Promenades dans toutes les rues de Paris. VIIIe arrondissement, Paris, Hachette, , p. 96.
