Sainte-Rose (Guadeloupe) — Wikipédia

Sainte-Rose
Sainte-Rose (Guadeloupe)
Mairie de Sainte-Rose, œuvre d'Ali Tur.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Guadeloupe
Département Guadeloupe
Arrondissement Basse-Terre
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Nord Basse-Terre
Maire
Mandat
Adrien Baron
2022-2026
Code postal 97115
Code commune 97129
Démographie
Gentilé Sainte-Rosien(ne)s
Population
municipale
17 630 hab. (2021 en diminution de 11,4 % par rapport à 2015)
Densité 149 hab./km2
Géographie
Coordonnées 16° 20′ 00″ nord, 61° 42′ 00″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 758 m
Superficie 118,6 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Sainte-Rose
(ville isolée)
Aire d'attraction Les Abymes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Sainte-Rose-1
Sainte-Rose-2
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Guadeloupe
Voir sur la carte topographique de Guadeloupe
Sainte-Rose
Géolocalisation sur la carte : Guadeloupe
Voir sur la carte administrative de Guadeloupe
Sainte-Rose

Sainte-Rose (en créole guadeloupéen : Sentwòz) est une commune française, située dans le département de la Guadeloupe. Ses habitants sont appelés les Sainte-Rosien(ne)s.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

En rouge le territoire communal de Sainte-Rose.

S'étendant sur 118,6 km2 de superficie totale[1], la commune de Sainte-Rose est la seconde commune de Guadeloupe la plus étendue après Petit-Bourg. Elle se trouve sur une bonne partie du nord de la Basse-Terre (entre Lamentin et Deshaies).

Le Morne Jeanneton constitue le tripoint des communes de Sainte-Rose, Lamentin et Pointe-Noire. Plus élevée de 12 m, La Couronne est à la limite de la commune et de Pointe-Noire.

Communes limitrophes de Sainte-Rose
Mer des Caraïbes
Deshaies Sainte-Rose
Pointe-Noire Lamentin

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est notamment traversée par la Grande Rivière à Goyaves qui la sépare de celle de Lamentin, la rivière de Nogent, la rivière Moustique, la rivière de la Ramée, la rivière Salée et la rivière du Vieux-Fort qui sépare son territoire de celui de la commune de Deshaies.

Îles[modifier | modifier le code]

Sont administrativement rattachés à la commune : Tête à l'Anglais, l'îlet Caret, les îlets de Carénage (dont l'îlet Blanc, Petit Îlet, Grand Îlet, la Biche, Petite Biche), l'îlet aux Fous, l'îlet Le Boyer, les petits pompons, les îlets de Haie Bébel, l'îlet Crabière, et l'îlet Mangue à Laurette.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sainte-Rose est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sainte-Rose, une agglomération intra-départementale regroupant 1 commune[5] et 17 630 habitants en 2021, dont elle une ville isolée[6],[7].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction des Abymes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8],[9].

La commune, bordée par la Mer des Caraïbes au nord-est, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[10]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[11],[12].

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Port de Morne-Rouge.

La commune comprend de nombreuses sections en plus du bourg lui-même : Bebel, Bellevue, Béron, Bis, Bône, la Boucan, Bis, Cacao, Cadet, Caféière, Choisy, Cluny, Comté de Lohéac, Conodor, Desbonnes, Duportail, Durieu, Duzer, Goyavier, Lachaise, Madame, Monplaisir, Morne-Rouge, Moustique, Nolivier, Pont-Canal, Plessis-Nogent, la Ramée, Sainval, Sainte-Marie, Sofaïa, Viard, Vinty.

La section de Sofaïa, par exemple, est située sur le versant nord du parc national de la Guadeloupe. Bâtie sur des terres ayant originellement appartenu à la famille Boisneuf, une importante famille de politiciens locaux, la section compte entre autres une chapelle votive dédiée à Rose de Lima alias « Santa Rosa » et un site géologique insolite, des bains d'eau sulfureuse très appréciés des Antillais et des touristes.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Les premiers colons, 400 Français commandés par Jean du Plessis d'Ossonville et Charles Liénard de l'Olive avec quatre religieux de l'ordre de Saint Dominique dont Pierre Pélican et Raymond Breton, débarquent à la Pointe Allègre à Sainte-Rose le [13]. L'historien guadeloupéen, Jules Ballet (1825-1904) indique la construction de deux forts : le fort Saint-Pierre sur les bords d'une rivière dénommée rivière du Vieux-Fort, Liénard de l'Olive installe sa demeure sur ses berges. Du Plessis installe son habitation, à l'est de la Pointe, sur les bords de la rivière Petit-Fort, car une fortification y était installée à son embouchure. Le père Raymond Breton et deux autres ecclésiastiques s’installèrent dans une plantation et firent construire une chapelle avec un cimetière. Une carte de Jean-Baptiste Du Tertre montre l'emplacement de ces deux forts. La distance entre les forts était de 900 mètres selon Du Tertre. Il ne subsiste pas de vestiges apparents de ces premières implantations[14].

Jean du Plessis décède en , laissant le commandement et le gouvernorat de l'île à Charles Liénard de l'Olive. Ce dernier s'attaque aux Indiens caraïbes pour prendre leurs femmes et voler leurs terres[15],[16].

Le site est initialement nommé Grand-Cul-de-Sac, puis Saint-Pierre, et enfin Sainte-Rose en 1790 (après la construction vers 1745 de l'église dédiée à Sainte-Rose de Lima[16]).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune appartient à l'arrondissement de Basse-Terre et est le bureau centralisateur des cantons de Sainte-Rose-1 et Sainte-Rose-2 depuis le redécoupage cantonal de 2014.

Pour l'élection des députés, Sainte-Rose fait partie depuis 1988 de la troisième circonscription de la Guadeloupe.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune de Sainte-Rose fait partie de la communauté d'agglomération du Nord Basse-Terre, dont elle est le siège depuis sa création en 2010, et dans laquelle elle est représentée par onze conseillers.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Plaque répertoriant les différents maires de la commune apposée dans la mairie de Sainte-Rose.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Virgile Chathuant SFIO Restaurateur
Conseiller général (1945-1958)
Charles Gabriel SFIOFGPSUDF Conseiller général du canton de Sainte-Rose-1 (1958 → 1987)
Daniel Jean FGPSGUSR Directeur d'école
Conseiller général du canton de Sainte-Rose-1 (1987 → 2001)
Vice-président du conseil général de la Guadeloupe (1994 → 2001)
Clodomir Bajazet OG-RPR Professeur des écoles
Conseiller régional de la Guadeloupe (1998 → 2003)
[17] Richard Yacou OG-UMP Proviseur de lycée
Conseiller général du canton de Sainte-Rose-1 (2002 → 2008)
Réélu lors des élections municipales partielles de février 2003[18],[19]
[20] 30 décembre 2021 Claudine Bajazet app. FGPS Enseignante
Conseillère régionale de la Guadeloupe (2010 → 2015)
Conseillère départementale du canton de Sainte-Rose-2 (2015 →2021 )
15 janvier 2022 En cours Adrien Baron FGPS
puis LREM
Cadre de la fonction publique
Conseiller départemental du canton de Sainte-Rose-2 (2021 → )
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1961, premier recensement postérieur à la départementalisation de 1946. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[21],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 17 630 habitants[Note 4], en diminution de 11,4 % par rapport à 2015 (Guadeloupe : −3,44 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1961 1967 1974 1982 1990 1999 2006 2011 2016
10 29011 62412 05012 29913 99517 57419 98920 24119 468
2021 - - - - - - - -
17 630--------
De 1961 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Insee de 1968 à 2006[22] puis à partir de 2006[23])
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Lycée Sonny-Rupaire

Comme toutes les communes de l'archipel de la Guadeloupe, Sainte-Rose est rattachée à l'Académie de la Guadeloupe. La ville possède sur son territoire sept écoles maternelles (Archelon, Beauperthuy, Bourg 1, Bourg 2, La Boucan, Madame et Viard) et dix écoles primaires (Bourg 1, Bourg 2, Cadet, Duzer, Joseph-Reimonenq, La Boucan, Madame, Morne-Rouge, Morne-Zizi et La Persévérance (privée)).

En ce qui concerne l'enseignement secondaire, la ville accueille les collèges Bebel et Bois-Rada ainsi que le lycée d'enseignement général et technologique Sonny-Rupaire (anciennement lycée Nord-Basse-Terre).

Santé[modifier | modifier le code]

Eau[modifier | modifier le code]

La commune accueille sur son territoire l'usine de production et de traitement d'eau potable de Sofaïa dont la capacité de production et d'alimentation du réseau d'eau public dans le nord Basse-Terre a doublé après d'importants travaux entrepris en 2019 (notamment avec l'automatisation des processus) afin de pallier, localement, aux problèmes récurrents des tours d'eau et des coupures fréquentes du réseau guadeloupéen[24].

Sports[modifier | modifier le code]

Sports nautiques sur les zones côtières.

La commune possède de nombreux équipements sportifs dont le Stade municipal de Sainte-Rose, des courts de tennis, la halle des Sports, le centre équestre du Domaine de Belle Plaine (le seul centre labellisé par la Fédération française d'équitation en Guadeloupe) et le site d'activités nautiques.

De fait, Sainte-Rose héberge de très nombreux clubs sportifs :

  • USR (Unité sainte rosienne), pour le football, le basket, et le handball ;
  • Juvénis, pour le football ;
  • Étoile filante, pour le football ;
  • ASR (Avenir sainte-rosien), pour le football ;
  • USR-Vélo STPA, pour le cyclisme ;
  • Sainte-Rose tennis club ;
  • Foulées du nord, pour l'athlétisme, l'initiation à l'athlé et l'athlé-santé ;
  • Kayak de mer pour le kayak.

Les habitants de la commune peuvent s'adonner aux sports nautiques tels que la navigation, la plongée sous-marine, la planche à voile, le kite-surf...

Économie[modifier | modifier le code]

L'activité économique principale de la commune est liée à la culture de la canne à sucre et à la production de rhums de la Guadeloupe avec la présence sur territoire de deux importantes distilleries : la distillerie du domaine de Séverin produisant le rhum Séverin et la distillerie Reimonenq produisant le rhum cœur de chauffe. La pêche et la ZAC de Nolivier participent également à l'activité économique de Sainte-Rose.

Le plus grand parc éolien des Antilles françaises a été construit sur les sites de L'Espérance et de Bellevue, avec huit éoliennes[25] totalisant une capacité de 16 MW. Inauguré le par la société Valorem avec le concours de la société Sotradom[26] de Jacques Gaddarkhan, il est à cette date le plus puissant parc de France équipé de batteries pour stocker l'énergie électrique avec une capacité de 5 MW injectables dans le réseau pour son soutien en cas de faible production éolienne[27].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Outre le port qui offre de nombreuses activités, Sainte-Rose est connue pour ses nombreuses plages qui sont, à partir de Sainte-Rose et en allant vers Deshaies : la plage Manbia, la plage des Amandiers, Anse Vinty, Anse des Îles, la plage de Clugny, la plage du Vieux-Fort, la plage naturiste de Sainte-Rose et la plage de Tillet.

Il n'y a pas de plages dans la direction Sainte-Rose-Lamentin mais le secteur offre de nombreuses excursions dans la mangrove.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Plage de Clugny, à Sainte-Rose.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Chiffres clés de la commune de Saint-Rose (97129), INSEE, 21 avril 2021.
  2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Unité urbaine 2020 de Pointe-Noire », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Commune hors attraction des villes », sur insee.fr (consulté le ).
  9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  11. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. Alban Dignat. 28 juin 1635 : La Guadeloupe devient française Hérodote,
  14. [PDF] Fortuné Chalumeau, Arrivée des Premiers Habitants à la Guadeloupe en juin 1635 : les écrits des chroniqueurs et les réalités insulaires, Généalogie et Histoire de la Caraïbe no 214, mai 2008.
  15. L'Histoire de la Guadeloupe, L'Or des Îles / Centre régional de documentation pédagogique de l’académie de la Martinique / Assemblée Nationale ANOM Sénat La Guadeloupe dans l’histoire: La Guadeloupe physique, économique, agricole, commerciale, financière, politique et sociale, 1492-1900 – Oruno Lara Histoire de la Guadeloupe, Volume 1 – Auguste Lacour Histoire de l’esclavage dans les colonies françaises…
  16. a et b « Sainte-Rose de Guadeloupe », Maeva Raspail, Guadeloupe La Première, 6 août 2019.
  17. « Un nouveau maire pour Sainte-Rose », sur MAXImini.com,
  18. « Sainte-Rose : Yacou accroché au fauteuil », sur MAXImini.com,
  19. « Le Conseil d’État confirme l’élection de Richard Yacou », sur MAXImini.com,
  20. « Sainte-Rose. Claudine Bajazet élue maire », France-Antilles,‎ (lire en ligne)
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
  23. pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021
  24. « Pré-visite de l'usine de Sofaïa avant son inauguration », France-Antilles, 22 juillet 2019.
  25. « Pourquoi le futur parc éolien de Sainte-Rose est exceptionnel », sur France-Antilles, .
  26. « La réalisation des fondations », sur http://www.parc-eolien-de-sainte-rose.fr/,
  27. Michel Revol, « Les Antilles misent (enfin) sur l'éolien », Le Point,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. Michèle Robin-Clerc, Note descriptive de l’œuvre d’Ali Tur, Basse-Terre, Conseil régional de Guadeloupe, (lire en ligne), p. 7-8.

Annexes[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]