Salle de cinéma — Wikipédia

Cinéma à Paris
Cinéma en plein-air
Le cinéma des familles, île de Groix, France.
Un multiplexe (AMC Promenade 16 à Woodland Hills, Los Angeles, É.-U.)
L'historique Gateway Theatre, quartier de Jefferson Park à Chicago, réplique du Palais royal de Varsovie.

Une salle de cinéma, ou un cinéma, est l'un des modes de diffusion des films avec les plateformes numériques[1] (Netflix, Amazon Prime Video, Groupe Canal+, OCS Go) et le cinéma à domicile. Le terme « cinéma » peut désigner aussi le regroupement dans un même endroit de plusieurs salles, qui projettent généralement des films différents à plusieurs horaires (dans ce cas le terme de « multiplexe » peut être également employé).

Présentation[modifier | modifier le code]

Salle du cinéma Corso, à Fribourg (Suisse)
Ticket de cinéma

En paiement de sa place par un ticket d'entrée, le spectateur peut s'installer dans un fauteuil orienté vers un grand écran où est projeté le film. Celui-ci est souvent précédé par des publicités et des bandes-annonces ou, de plus en plus rarement, par un court métrage. Des friandises (pop-corn, glaces, bonbons, chocolats…) sont parfois vendues à l'entrée de la salle pour agrémenter la séance (et parfois encore dans la salle elle-même, par les ouvreurs et les ouvreuses au moment de l'entracte).

La taille d'une salle de cinéma est très variable et peut aller de quelques dizaines de places à un millier (les écrans : de 4 à 27 mètres de base en France). Durant les années 1950 et 1960, il exista une vogue qui consistait à assister à des séances en plein air, depuis une automobile, c'est ce qu'on appelle les ciné-parcs ou drive-in.

Ces salles peuvent être administrées par des grandes entreprises (réseau de salles), par des exploitants indépendants (délégations de services publics ou non) ou même, par des associations.

L’Association française des cinémas d'art et d'essai (AFCAE), officiellement reconnue par le ministère de la Culture depuis 1959, regroupe 1 130 établissements en 2019, soit 2 400 écrans.

Avec plus de 6 120 écrans, la France dispose du quatrième parc mondial derrière la Chine (70 000 écrans), les États-Unis (41 200 écrans) et l'Inde (9 500 écrans). Les exploitants de salles sont quasiment tous regroupés au sein de la Fédération nationale des cinémas français (FNCF).

Architecture[modifier | modifier le code]

Kino Juha à Nurmijärvi, Finlande
Cinema Odeon à Florence
L'intérieur des salles Hoyts Southbank en Australie, avec des rideaux acoustiques

Le terme « cinéma » désigne aussi traditionnellement un bâtiment composé d'une ou plusieurs salles de projection, d'un espace d'accueil dans lequel il est possible d'acheter les billets d'entrée (et parfois, des confiseries et boissons) et des toilettes publiques. Certaines salles de spectacle peuvent être aménagées, de manière permanente ou temporaire, en salles de cinéma en accueillant un écran et un projecteur.

Le local de projection est donc situé derrière le mur opposé à l'écran. Cette paroi est percée de petites ouvertures destinées à laisser passer le faisceau lumineux émanant du projecteur.

De nombreuses salles historiques possèdent des mezzanines et balcons, demi-étages surplombant les sièges du parterre de la salle. Les sièges des « loges », à l'arrière de celle-ci, étaient parfois plus larges, plus confortables et plus espacés que les autres. Ces places étaient par conséquent vendues à un prix plus élevé.

Dans une configuration courante, les rangées de sièges sont disposées par paliers, selon un plan incliné, le regard de chaque spectateur passant systématiquement au-dessus de la tête de ceux du rang précédent, ceux-ci ont ainsi une vue optimale vers l'écran. De plus, il arrive également qu'une rangée de sièges sur deux soit latéralement décalée, de façon que chaque spectateur ne soit pas gêné par la tête de celui qui est placé immédiatement devant lui.

Sobriété énergétique[modifier | modifier le code]

Les salles de cinéma participent à l'effort de sobriété énergétique en réduisant la température à 19°[2].

Histoire[modifier | modifier le code]

États-Unis[modifier | modifier le code]

  • La première projection publique aux États-Unis se déroule au Koster and Bial's Music Hall sur la 34e Rue à New York le 23 avril 1896. La première salle accueillant des séances permanentes prend place au Vitascope Hall à La Nouvelle-Orléans, le 26 juin 1896.
  • Les premières projections cinéma numérique publiques aux États-Unis se déroulent à New York et Los Angeles le 18 juin 1999[3],[4].

France[modifier | modifier le code]

Équipements des salles[modifier | modifier le code]

Types de salles[modifier | modifier le code]

  1. Par taille[15] :
    1. Salles de projections privées,
    2. de 2 à 7 salles : complexe,
    3. de 8 à 15 salles : multiplexe,
    4. de 16 à 60 salles : mégaplexe ;
  2. Cinéma de quartier ;
  3. Cinéma d'Art et d'Essai ;
  4. Ciné-théâtre ;
  5. Cinéma en plein air ;
  6. Ciné-parc (ou drive-in) ;
  7. Cinémobile.

Salles célèbres[modifier | modifier le code]

Grauman's Chinese Theatre (Los Angeles).
Biograph Theater (Chicago).

États-Unis[modifier | modifier le code]

France[modifier | modifier le code]

À Paris[modifier | modifier le code]

  • la Géode à la Villette (19e) inaugurant la première salle IMAX (OMNIMAX) de Paris avec un écran géant de 1000 m² en mai 1985 a fermé ses portes le vendredi 30 novembre 2018 pour travaux[16]. Elle rouvrira ses portes au printemps 2024 et proposera de nouveaux écrans IMAX[17]. Elle fait partie depuis le 14 décembre 2016 du complexe Pathé La Vilette avec 16 salles avec une capacité de 2850 fauteuils faisant partie du centre commercial Vill'up[18].
  • le Forum Horizon (1er) au Forum des Halles, devenu l'UGC Ciné Cité Les Halles.
  • le Max Linder Panorama sur les Boulevards parisiens (2e/10e) à Paris, une salle composée de deux balcons et 557 fauteuils de velours.
  • La Pagode, salle du 7e arrondissement, d'architecture typiquement asiatique, agrémentée d'un jardin. Le jardin a été classé monument historique en 1983, la façade, les toitures et la grande salle l'ont été en 1990.
  • Le Louxor (10e, près de Barbès) ancienne salle de projection de films et ancien théâtre, architecture néo-égyptienne (la façade et les toitures sont classés aux monuments historiques), devenue une grande discothèque (le MégaTown) puis laissé à l'abandon par le groupe Tati. Racheté par la Ville de Paris, le cinéma a été restauré en respectant la décoration originale et deux salles ont été ajoutées en sous-sol. Il a rouvert ses portes le 17 avril 2013.
  • Le Grand Rex : salle parisienne de 2 800 places composée de deux balcons inaugurée en 1932 et depuis classée en 1982 au titre des monuments historiques.

Anciennes salles :

  • Le Grand Écran Italie : complexe cinématographique polyvalent situé dans le 13e arrondissement, comportant une grande salle d'environ 650 places avec écran panoramique géant (plus grand écran de Paris, et l'un des plus grands d'Europe), et deux petites salles de 100 places. Conçu par Jean-Louis Renoux, le Grand Écran Italie, inauguré en 1992, fut un temps considéré comme le navire amiral du Groupe Gaumont. Fermé par Europalaces (GIE regroupent Gaumont et Pathé) depuis janvier 2006[19], il est l'objet d'un litige administratif depuis lors, l'empêchant d'être reconverti principalement en commerces.
  • Gaumont-Palace, initialement un hippodrome construit pour l'exposition universelle de 1900, transformée en cinéma de 4 670 places en 1911, démoli en 1973.
  • Le Kinopanorama, devenu Gaumont Grand Écran Grenelle : ancienne salle de Paris spécialisée dans la projection du format 70 mm sur écran géant de 20 x 7,7 mètres incluant une courbe d'une ouverture de 109°. Fermée le 9 juillet 2002 pour un établissement de fast-food[20].

En Île-de-France[modifier | modifier le code]

  • Gaumont Disney-Village - Salle IMAX : située à Marne-la-Vallée (Seine-et-Marne) à 30 kilomètres à l'Est de Paris, elle est ouverte depuis 2005. Elle est connue des cinéphiles, car elle dispose du plus grand écran plat Imax dans un multiplexe en France soit 26 mètres de base (système sonore de 12 000 watts, films projetés en 100 % Imax numérique).
  • Romainville (Seine-Saint-Denis) : le Trianon a été construit en 1953 et a servi souvent de décor pour des émissions sur le cinéma d'après-guerre. Il a été notamment le décor de l'émission La Dernière Séance présentée par Eddy Mitchell.

Autres régions[modifier | modifier le code]

La salle de l’Odyssée à Strasbourg, classée monument historique.
  • Lomme (Lille) : le Kinépolis surnommé « Le Château du cinéma » est le plus grand multiplexe de France. Les 23 salles climatisées équipées du dernier cri technologique peuvent accueillir 7 286 spectateurs.
  • Strasbourg : L’Odyssée est construit en 1913 sous le nom d’Union Theater, sur le modèle du cinéma du même nom, ouvert sur l'Alexander Platz à Berlin. Le cinéma devient ABC en 1952, avant de fermer en 1986 et de renaître sous son nom actuel en 1992 grâce à l’impulsion de la ville de Strasbourg, propriétaire des murs, qui en a fait un cinéma associatif, confié à l'association Rencontres cinématographiques d'Alsace.
  • Lyon : La salle de l'Institut Lumière, rénovée en octobre 1998, remplace le hangar appartenant aux frères Lumière, devant lequel a été tourné La Sortie de l'usine Lumière à Lyon.

Salles de projection privées[modifier | modifier le code]

Inde[modifier | modifier le code]

Les plus anciennes salles de cinéma[modifier | modifier le code]

Salles en activité[modifier | modifier le code]

En France[modifier | modifier le code]

L’Hôtel des Verriers d’Aniche, Idéal Cinéma vers 1930. Démoli en 1993, le Centre culturel Claude Berri est construit en 1995 incluant la salle de cinéma Idéal Cinéma-Jacques Tati.
Strasbourg, la salle du Cinéma Odyssée.

Les plus anciennes salles de cinéma s'entendent par des salles fixes et ayant une première séance avant 1910.

  • L'Eden Théâtre, à La Ciotat, inauguré en 1889, est, depuis sa réouverture le 9 octobre 2013, la plus ancienne salle de cinéma au monde encore en activité.
  • le Gaumont-Palace de Toulouse démarre ses activités de cinéma en 1909.
  • le Cinéma Le Capitole (Uzès) a ouvert ses portes en 1911.
  • le Trianon (Romainville) a été ouvert officiellement en 1929 mais projetait déjà des films en 1910[22].
  • le Hangar du premier film à Lyon dont la charpente peut être vue dans le film La Sortie de l'usine Lumière à Lyon réalisé le par Louis Lumière. En 1998, le bâtiment est restauré et devient une des salles de cinéma de l'Institut Lumière aménagée par l'architecte Pierre Colboc
  • le Cinéma du Panthéon à Paris est l'un des plus anciens encore en activité à Paris puisqu'il a été inauguré en après la rénovation d'un ancien gymnase des étudiants de la Sorbonne[23],[24].
  • L'Escurial (cinéma) à Paris initialement intitulée « Le Royal », cette salle a ouvert en 1911 et offrait à cette époque quelque 500 places d'orchestre et 100 places au balcon[25].
  • L'Espace Saint-Michel à Paris est ouvert le 22 décembre 1911 par Victor Gandon, restaurateur du Bouillon Gandon, qui reconvertit une partie de son établissement en cinéma.
  • le MK2 Nation à Paris est ouvert en 1912[26], est tout d'abord intitulée Le Brunin, puis Le Brunin-Variétés, avant d'être rachetée et divisée en trois salles pour devenir Le Trois Nation. Elle est reprise enfin par le groupe de Marin Karmitz en 1986 qui la renomme 14 juillet Nation, puis MK2 Nation le [27].
  • le Max Linder Panorama à Paris été acheté en 1914 par l'acteur burlesque Max Linder. Le Kosmorama devient alors le Ciné Max Linder. Le cinéma est repris par Pathé en 1932, puis rénové en 1957, mais la société Parafrance qui l'exploite fait faillite en 1984. Désormais il appartient à Claudine Cornillat, Simon Simsi et Martin Bidou.
  • l’Odyssée à Strasbourg, inaugurée en 1913 et classée Monument historique.
  • le Cinéma Castillet à Perpignan, inauguré le 7 novembre 1911.[Quand ?]

Dans le reste de l'Europe[modifier | modifier le code]

Le Kino Pionner 1909 (pl) à Szczecin en Pologne ouvert en 1909

Salles historiques disparues[modifier | modifier le code]

En France[modifier | modifier le code]

  • Le Gaumont-Palace est un cinéma parisien aujourd'hui disparu, qui se trouvait 1, rue Caulaincourt (18e arrondissement). Construit en 1899, il prend en 1911 le nom de Gaumont-Palace, est entièrement rénové en 1931, et est détruit en 1973, à la suite de sa fermeture. Son immense salle pouvait accueillir à son maximum 6 000 spectateurs, ce qui en fit un temps, selon ses promoteurs « le plus grand cinéma du monde »[30].
  • le CNP Odéon de Lyon dont l'existence du lieu est attesté depuis 1907[31] ferme en 2009.
  • le Pathé Cordeliers à Lyon est à l'origine, depuis 1879, un cabaret-théâtre, le Scala-Bouffes[32]. L'établissement commence ses activités cinématographiques en 1906[32].

Dans le monde[modifier | modifier le code]

Records[modifier | modifier le code]

  • Le plus grand multiplexe du monde est le Kinépolis de Madrid avec sa capacité d’accueil total de 9 200 places réparties sur 25 salles[34].
  • La doyenne des salles de cinéma se trouve en France : il s'agit du sous-sol du Musée Grévin, le Cabinet fantastique, où le public payant assemblé assistait, plongé dans l'obscurité totale, aux premières projections animées sur grand écran, dès le 28 octobre 1892. « Avec Reynaud, l'art des projections lumineuses aura atteint un sommet d'audace technique et de poésie[35] ». Certains historiens (et pas des moindres : Jacques Rittaud-Hutinet, Jean Mitry, Charles Musser, Bardèche et Brasillac) ont prétendu que les pantomimes lumineuses d'Émile Reynaud faisaient partie du précinéma dans la mesure où la pellicule utilisée n'était pas le format standard de 35 mm et le mécanisme différent des appareils qui succéderont au Théâtre optique, de même que les bandes d'Edison qui étaient visionnées par chaque spectateur individuellement mais constituaient ce qui est au cœur du cinéma : les films. Classifications abusives qui, appliquées aux vues photographiques animées Lumière, dont le format spécifique (une perforation ronde de chaque côté des images) était différent du format standard Edison, feraient aussi de ces projections Lumière de simples épisodes du précinéma[36].
  • L'Idéal Cinéma-Jacques Tati à Aniche (Nord) est une salle fixe où a lieu une première séance publique le 23 novembre 1905. Cette salle fut créée dans l'hôtel du syndicat des verriers inauguré en 1902. Fermée en 1977, elle est malheureusement détruite pour construire un centre culturel incluant l' Idéal cinéma Jacques Tati inauguré en 1995. Le 31 octobre 2012 elle est de nouveau inaugurée pour sa rénovation avec passage au numérique.
  • À Paris, le Cinéma du Panthéon, ouvert en , est la seule des anciennes salles parisiennes en activité sans interruption depuis son ouverture[37].
  • Le record de la plus petite cabine de projection au monde est détenu par le Cinéma du Port à l'Île-Tudy (Finistère) depuis 1993.
  • Certainement la plus grande salle de cinéma au monde (en termes de capacité d’accueil de spectateurs), le Gaumont-Palace, avec son unique salle, pouvait accueillir plus de 6 000 spectateurs. Ce monument du cinéma (1899) n'existe plus depuis 1973 et a cédé sa place à un magasin Castorama et un hôtel Mercure, Place de Clichy, à Paris.
  • À l'opposé la plus petite salle de cinéma du monde est constituée, avec moins de 2 mètres pour le public, par le ventre de L'éléphant de la Mémoire. Elle detient aussi le record de la salle la plus chère au mètre carré avec un coût de 7 millon de Francs (1 M€) en 1989.
  • Kinépolis Lomme avec 23 salles et 7 280 places est le plus grand multiplexe de France en nombre de places.
  • UGC Ciné Cité Les Halles avec 27 salles (3 913 places) a le plus grand nombre de salles, et la plus grande fréquentation d'Europe.
  • Le Grand Rex (en France) dispose de la salle avec le plus de places dans une seule salle (2 702 places)[38]

Les plus grands écrans[modifier | modifier le code]

Australie[modifier | modifier le code]

En 2014, l'écran le plus grand du monde serait celui du cinéma Darling Harbour IMAX de Sydney : 35,73 m x 29,42 m (1 051,18 m2)[39]. Aujourd'hui, celui-ci a été démoli pour laisser place à un nouveau programme immobilier.

États-Unis[modifier | modifier le code]

Le plus grand écran numérique a été inauguré à New York, sur Times Square, le 18 novembre 2014 : 100 m x 23,74 m (2 374 m2)[40].

France[modifier | modifier le code]

Salles disparues en 2014[modifier | modifier le code]

Le cinéma Gaumont-Palace de Paris, démoli en 1973, possédait de 1962 à 1967 pour le Cinérama un écran courbe d'une base de 38,60 mètres sur une hauteur de 15 mètres (surface : 579 m2)[41].
Le cinéma du Palais des Congrès de Lyon, disparu en 1996, possédait un écran géant équipé en 70 mm (Todd-Ao puis Cinérama), d'une surface de 207 m2 (23 m x 9 m)[42].

Salles en exploitation / Écrans IMAX[modifier | modifier le code]
Salles en exploitation / Écrans non IMAX[modifier | modifier le code]
  • À Paris, depuis 1988 et jusqu'en 2016, le Grand Rex possède le plus grand écran d'Europe / taille de l'écran : 11,35 x 24,90 m, soit 282 m2[50],[51].
  • En 2016 l'écran numérique 4K du Kinémax au Futuroscope (France) rénové par l'architecte David Joulin devient le plus grand d'Europe / taille de l'écran : 27,2 × 21,4 m pour une surface de près de 600 m2, grand comme deux courts de tennis et haut comme un immeuble de 7 étages[52].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Cf. Roma, Lion d'or à la Mostra de Venise en 2018 sorti sur Netflix
  2. Sobriété énergétique.
  3. Charles S. Swartz (editor), Understanding digital cinema, 2005, p. 159.
  4. Philippe Loranchet, Le cinéma numérique : la technique derrière la magie, Éditions Dujarric, Paris, 2000, p. 215.
  5. Georges Sadoul, Histoire du cinéma mondial, des origines à nos jours, Paris, Flammarion, , 719 p., p. 10
  6. Laurent Mannoni, La Machine cinéma, Paris, Lienart & La Cinémathèque française, , 307 p. (ISBN 978-2-35906-176-5), p. 36
  7. Pierre-André Hélène, Une légende au cœur de Paris, Hôtel Scribe Paris, p. 33-45.
  8. Georges Sadoul, « Histoire du cinéma mondial, des origines à nos jours », page 19, Flammarion, Paris, 1968, 719 pages
  9. Institut Lumière.
  10. Voir Philippe Binant, " Au cœur de la projection numérique ", Actions, 29, 12-13, Kodak, Paris, 2007.
  11. Cahiers du cinéma, n° hors-série, avril 2000, p. 32.
  12. Claude Forest, « De la pellicule aux pixels : l'anomie des exploitants de salles de cinéma », in Laurent Creton, Kira Kitsopanidou (sous la direction de), Les salles de cinéma : enjeux, défis et perspectives, Armand Colin, Paris, 2013.
  13. Déploiement du cinéma numérique
  14. Eden Théâtre.
  15. « CNC Info n°294 – Bilan 2004 : Panorama mondial », CNC,
  16. https://parisjetaime.com/culture/la-geode-p3527
  17. https://www.sortiraparis.com/loisirs/cinema/articles/305637-la-geode-rouvre-enfin-ses-portes-a-paris-tout-savoir-sur-la-salle-de-cine-du-parc-de-la-villette
  18. « Ouverture du Pathé La Villette à Paris. », sur Salles-cinema.com: histoire et photos des salles de cinéma, (consulté le ).
  19. « Fermeture du grand Ecran Italie », sur EcranLarge.com, (consulté le ).
  20. Guillaume Perrier, « Dernières séances au Kinopanorama », sur leparisien.fr, (consulté le )
  21. Festival de Cannes
  22. Historique du Trianon, Site web du Trianon
  23. « 1907-2007, Histoire du Cinéma du Panthéon », sur le site officiel du Cinéma du Panthéon.
  24. Alain Potignon, Nos cinémas de quartier, éditions Parigramme, 2006, p. 25 (ISBN 2-8409-6456-2)
  25. Alain Potignon, Nos cinémas de quartier, éditions Parigramme, 2006, p. 90 (ISBN 2-8409-6456-2)
  26. Fiche du cinéma sur cinematour.com, consultée le 26 juillet 2009.
  27. 14 juillet disparaît, MK2 apparaît sur allocine.fr le .
  28. dr.dk - in Danish
  29. World's oldest cinema is Danish, jp.dk, 6 aout 2008
  30. salles-cinema.com
  31. « Dictionnaire des salles de cinéma », Les cinémas de Lyon.
  32. a et b « Dictionnaire des salles de cinéma », Les cinémas de Lyon.
  33. Sommer, Mark. "Another groundbreaker for Buffalo." Buffalo News, November 25, 2007
  34. (en-GB) « Largest cinema complex - seats », sur Guinness World Records (consulté le )
  35. Laurent Mannoni, La Machine cinéma, Paris, Lienart & La Cinémathèque française, , 307 p. (ISBN 9782359061765), p. 36.
  36. Marie-France Briselance et Jean-Claude Morin, Grammaire du cinéma, Paris, Nouveau Monde éd, , 588 p. (ISBN 9782847364583), p. 21 à 23.
  37. Alain Potignon, Nos cinémas de quartier, éditions Parigramme, 2006, p. 25 (ISBN 2-84096-456-2)
  38. PP World, « Interview de Alexandre Hellmann, patron du Grand Rex », sur Youtube.com, (consulté le )
  39. « Le plus grand écran IMAX du monde change sa toile», hdnumerique.com, 13-2-2012.
  40. « Times Square inaugure le plus grand écran numérique du monde », La Tribune, 19-11-2014.
  41. Ancien cinéma Gaumont Palace à Paris
  42. Lyon MAG' No 84 - Septembre 1999
  43. Cinéma Gaumont Disney Village
  44. « [VIDEO] Montpellier : l’écran Imax du Gaumont Odysseum sera le plus grand de France », sur midilibre.fr (consulté le )
  45. « Cinéma Pathé IMAX Laser à Avenue 83 », sur lagazetteduvar.fr (consulté le )"
  46. Le palmarès des meilleurs cinémas : Pathé Quai d'Ivry - Le Figaro, 18 juin 2010
  47. http://www.76actu.fr/cinema-vivez-lexperience-imax-3d-a-rouen_28908/
  48. Le Pathé Carré de Soie se plonge dans l'Imax - Le Progrès, 20 juillet 2010 (voir archive)
  49. L'IMAX s'installe au Gaumont Labège - Objectif News, 15 octobre 2010
  50. « Le Grand Rex, plus grand cinéma d'Europe, a su conserver son âme et sa démesure », Le Monde, 16-8-2011.
  51. [1]
  52. « Pavillon : Le Kinémax », sur www.forum-futuroscope.net (consulté le )

Annexes[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Documentaire[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]