Stanley Péan — Wikipédia

Stanley Péan
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Autoportrait, 2022
Naissance
Port-au-Prince, Haïti
Activité principale
Distinctions
Prix littéraire du CRSBP, Saguenay Lac Saint-Jean 1991, 1997; Médaille Raymond-Blais 2000; Prix du livre jeunesse M. Christie 2000; Prix Victor Barbeau 2020; Prix Bruce-Lundvall 2022
Auteur
Langue d’écriture Français
Genres

Œuvres principales

  • La Plage des songes
  • Le Tumulte de mon sang
  • Zombi Blues
  • La nuit démasque
  • Le Cabinet du Docteur K
  • Jazzman
  • Autochtones de la nuit
  • Bizango

Stanley Péan, né le 31 mars 1966, est un écrivain québécois d'origine haïtienne[1],[2].

Biographie[modifier | modifier le code]

Descendant du poète Oswald Durand, Stanley Péan est né à Port-au-Prince le et a grandi à Jonquière, dans la région du Saguenay Lac Saint-Jean, où ses parents se sont installés l'année de sa naissance[3],[4],[5]. Stanley Péan fait paraître dès le milieu des années 1980 ses premières œuvres de fiction. Il collabore aussi à plusieurs revues littéraires et culturelles[1].

En 1986, en tant que membre du Cercle d'écriture de l'Université Laval (CEULa), il participe à la fondation de la revue de création L'écrit primal[6]. L'année suivante, il se joint à ses confrères Jean Désy et Nando Michaud pour fonder les éditions du Palindrome, qui publie un premier recueil de nouvelles collectif: Meilleur avant: 31/12/99[7]. En 1988, il publie son premier recueil de nouvelles, La plage des songes et autres récits d'exil (Éditions du CIDIHCA), bientôt suivi d'un premier roman, Le Tumulte de mon sang (Québec Amérique, 1991), favorablement accueilli par la critique et couronné par le Prix de la BCP du Saguenay Lac Saint-Jean en 1992[1],[8].

Suivront une demi-douzaine d'œuvres destinées au lectorat adolescent publiées aux éditions de la Courte échelle, dont L'appel des loups (1997) qui remporte le Prix de la CRSBP du Saguenay Lac Saint-Jean en 1997 et Le temps s'enfuit (1999) qui mérite le Prix M. Christie du meilleur roman pour adolescents en 2000[8],[9]. Depuis, il a publié de nombreux autres ouvrages, dont le thriller Zombi Blues (La courte échelle, 1996) et la trilogie de recueils de nouvelles constituée de La nuit démasque (Planète rebelle, 2000), du Cabinet du Docteur K (Planète rebelle, 2001) et d'Autochtones de la nuit (La courte échelle, 2007). Son plus récent roman, Bizango, paraît en aux éditions Les Allusifs, dans la collection 3/4 Polar[10],[11].

À titre de commentateur littéraire, Stanley Péan collabore à de nombreux magazines et journaux ; de l'automne 1997 à l'automne 1998, il tient une chronique dans l'hebdomadaire culturel Ici Montréal et de 1999 à 2002, on peut le lire dans le quotidien La Presse[2]. Il quitte son poste de chroniqueur en , à cause du refus de ses supérieurs de publier son compte-rendu sévère sur le roman Ouf! de Denise Bombardier[12],[13],[14]. Parallèlement à ces activités, il est membre des comités de rédaction du journal Le Libraire depuis 1998, trimestriel publié par un réseau de librairies indépendantes du Québec, et de la revue Alibis, consacrée à la littérature policière[2],[5],[15].

Homme de radio, il a notamment animé, de 2001 à 2004, le magazine littéraire Bouquinville sur les ondes de Radio-Canada[2]. Depuis 2004, il anime et réalise des émissions sur le jazz à l'antenne d'Espace Musique, la chaîne musicale de Radio-Canada[16]. En 2009, il devient l'animateur de l'émission de jazz quotidienne d'Espace Musique, du lundi au vendredi de 17 h 30 à 20 h, puis sur la chaîne rebaptisée ICI Musique[17]. L'émission a pris le titre Quand le jazz est là[17]; et pour la saison 2022-2023, elle voit sa durée et sa fréquence réduite: Quand le jazz est là est désormais diffusée du lundi au jeudi de 22 h 00 à minuit. Par contre, depuis le mois d'août 2022, Péan anime également à la même antenne La Boîte de jazz, une émission consacrée au jazz vocal diffusée le dimanche à 19 h 00. Et en janvier 2023, s'est ajoutée l'émission Soul, la nuit, diffusée tout de suite après Quand le jazz est là quatre fois par semaine, de minuit à une heure.

Porte-parole du Mouvement pour les arts et les lettres (MAL) à partir de l'hiver 2004, il est élu à la présidence de l'Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) en décembre de la même année[18]. Il est élu de nouveau pour un second mandat en 2006 puis un troisième en 2008, qui prendra fin en 2010[2]. À ce titre, il a pris position contre Stephen Harper dans une volonté d'affirmer l'importance de la culture québécoise[19].

À partir de , Stanley Péan contribue à la section musicale de l'hebdomadaire culturel Voir[2] jusqu'à la disparition de la publication. Depuis l’automne de 2016, il collabore également à la revue trimestrielle d'essai et de création l’Inconvénient avec des chroniques sur le jazz[20]. Sa série d'articles « Black and Blue: jazz et condition noire aux États-Unis » (reprise dans son ouvrage De préférence la nuit) lui vaut le Prix d'excellence de la SODEP dans la catégorie « Reportage et article de fond » en 2019. En 2020, De préférence la nuit mérite le Prix Victor-Barbeau de l'essai de l'Académie des lettres du Québec et vaut à son auteur une mise en nomination aux Prix littéraires du Gouverneur général.

Ambassadeur du Festival Jazz et Blues de Saguenay[21], président du conseil d'administration du Festival international de la littérature, il siège depuis l'hiver 2022 sur le comité sur la langue française de la ville de Montréal, présidé par Mme Louise Harel. En janvier 2023, il est nommé au conseil d'administration du Conseil des arts de Montréal en tant que représentant du secteur de la littérature.

Stanley Péan est le père de la poétesse et activiste Laura Doyle Péan[22] et de Philippe Doyle Péan.

Œuvres[modifier | modifier le code]

Romans[modifier | modifier le code]

Nouvelles[modifier | modifier le code]

  • La plage des songes et autres récits d'exil, Montréal, Éditions du CIDIHCA, 1988, 169 p. (ISBN 2920862227). Réédition revue: Montréal, Mains libres, 2023, 184 p. (ISBN 9782925197386)
  • Sombres allées et autres endroits peu hospitaliers : treize excursions en territoire de l'insolite, Montréal, Édititons du CIDIHCA, coll. « Voix du sud », 1992, 214 p. (ISBN 2920862677).
  • Treize pas vers l'inconnu : nouvelles fantastiques, Saint-Laurent, Éditions Pierre Tisseyre, coll. « Conquêtes » 1996, 183 p. (ISBN 2890516180).
  • Noirs désirs, Montréal, Leméac, coll. « Des bonheurs du jour », 1999, 101 p. (ISBN 2760932214).
  • La nuit démasque, Montréal, Planète Rebelle, 2000, 138 p. (ISBN 2922528200).
  • Le cabinet du Docteur K ; et autres histoires d'amours contrariées, Montréal, Planète Rebelle, 2001, 172 p. (ISBN 2922528278).
  • Cette étrangeté coutumière, Québec, J'ai vu, 2001, 48 p. (ISBN 292276303X).
  • Autochtones de la nuit, Montréal, La Courte Échelle, 2007, 227 p. (ISBN 978-2-89021-892-5).
  • Crépusculaires, Montréal, Mains libres, 2022, 204 p. (ISBN 9782925197256)
  • Cartes postales d'outre-monde, nouvelles illustrées par Jean-Michel Girard, Montréal, Mains libres, 2023, 270 p. (ISBN 9782925197423)

Jeunesse[modifier | modifier le code]

  • L'emprise de la nuit, Montréal, La Courte Échelle, coll. « Roman + », 1993, 155 p. (ISBN 2890212033).
  • La mémoire ensanglantée, Montréal, La Courte Échelle, coll. « Roman + », 1994, 151 p. (ISBN 2890212173).
  • L'appel des loups, Montréal, La Courte Échelle, coll. « Roman + », 1997, 157 p. (ISBN 2890212904).
  • Quand la bête est humaine, Montréal, La Courte Échelle, coll. « Roman + », 1997, 151 p. (ISBN 2890213110).
  • Un petit garçon qui avait peur de tout et de rien, illustrations de Stéphane Poulin, Montréal, La Courte Échelle, coll. « Il était une fois », 1998, 24 p. (ISBN 289021320X).
  • Le temps s'enfuit, Montréal, La Courte Échelle, 1999, 155 p. (ISBN 2890213501).

Collaborations[modifier | modifier le code]

  • Meilleur avant 31/12/99, Québec, Le Palindrome, 1987.
  • Les enfants d'Énéïde, Bruxelles, Éditions Phénix, coll. « Chimères », 1989.
  • L'horreur est humaine, Québec, Le Palindrome, 1989.
  • Complicités, sous la direction de Jean-Pierre Girard, Montréal, PAJE Éditeur & Revue STOP, 1991.
  • Québec Kaléïdoscope, Montréal, PAJE Éditeur, 1991.
  • Évasion, Montréal, Revue STOP, coll. « Jeunesse », 1992.
  • Solitude des autres. Liens interculturels, sous la direction de Norma Lopèz-Therrien, Montréal, Éditions Logiques, coll. « Jeunesse », 1992.
  • Coup de foudre, Montréal, Le Devoir/XYZ, 1993.
  • Meurtre à Québec, Québec, L'Instant même, 1993.
  • Québec. Des écrivains dans la ville, sous la direction de Gilles Pellerin, Québec, L'Instant même, 1995.
  • Nul n'est une île : solidarité Haïti, sous la direction de Rodney Saint-Éloi et Stanley Péan, Mémoire d'encrier, Montréal, 2004, 181 p. (ISBN 2923153316).
  • Un soleil en plein visage = The sun in the middle of your face, photographies de Katel Le Fustec, traduction en anglais par Stanley Péan et David Homel, Montréal, Éditions du CIDIHCA, 2015, 103 p. (ISBN 9782894543337).
  • Fuites, Izabel Watson, tome 1, coscénarisé avec Jean-Michel Girard, dessins de Jean-Michel Girard, Montréal, Éditions Mains libres, 2021. (ISBN 978-2-925197-02-7).
  • Face à face, sous la direction de Sonia Sarfati, Druide, 2022, (ISBN 9782897116002)

Autres[modifier | modifier le code]

  • Toute la ville en jazz, Montréal, Tait d'Union, coll. « Topo », 1999, 245 p. (ISBN 2922572056).
  • Planète culture : les bonnes adresses culturelles dans Internet, Montréal, Planète Rebelle, 2000, 205 p. (ISBN 2922528111).
  • Taximan : propos et anecdotes recueillis depuis la banquette arrière, Montréal, Mémoire d'encrier, 2004, 94 p. (ISBN 2923153189). En anglais: Taximan: stories and anecdotes from the back seat (translated by David Homel), Montréal, Linda Leith Publishing, 2018.
  • Jazzman : chroniques autour d'une passion, Montréal, Mémoire d'encrier, coll. « En bref », 2006, 192 p. (ISBN 292315343X).
  • Module initiation à la musique jazz, Montréal, Conseil québécois de la musique, 2012, 6 p. (ISBN 9782924158036).
  • De préférence la nuit, essais, Montréal, Boréal, coll. « Liberté grande », 2019, 263 p. (ISBN 9782764625934). En anglais: Black and Blue: Jazz Stories (translated by David Homel), Montréal, Véhicule Press, 2022.
  • Michel Donato: Bleu sur le vif, biographie, Montréal, Mains libres, 2023, 474 p. (ISBN 9782925197416)
  • Noir satin, essais, Montréal, Boréal, coll. « Liberté grande », 2024, 208 p. (ISBN 9782764628096)

À titre d'auteur de chansons[modifier | modifier le code]

Stanley Péan a aussi signé, au fil des trente dernières années, quelques textes chansons mis en musique par divers compositeurs et amis :

  • Avec Vincent Potel, il a écrit en 1995 « Sucre amer », chanson destinée à sensibiliser les vacanciers québécois au sort réservé aux travailleurs haïtiens de l'industrie sucrière en République dominicaine, interprétée en français par Luc de Larochellière, en créole par Émeline Michel, en anglais par Karen Young et en espagnol par Irka Mateo[23].
  • À l'invitation de Vincent Potel, il signe sur une musique de l'interprète José Paradis le texte de la chanson « Cœur en haute mer » qui figure sur le cd collectif Le Grand Cœur des choristes (2002), œuvre caritative dont tous les profits ont été investis dans des programmes d’éducation physique offerts aux ados par la YMCA d'Hochelaga-Maisonneuve[24].
  • Il écrit le texte de L'Aventurier de l'air perdu créé par l'Orchestre symphonique de Laval sous la direction de Jean-François Rivest en 2003[25]
  • Il écrit le texte de la chanson « When Love Is A Lie » (sur une musique d'Anthony Rozankovic), enregistrée par Florence K, initialement pour la trame sonore du film Live Once, Die Twice (Disparu)[26] puis reprise sur l'album Bossa Blue (2006).
  • Sur une musique d'Anthony Rozankovic, il crée « Dolorès », la chanson-thème de son roman Bizango, offerte en téléchargement libre sur son blogue personnel pour souligner en musique la sortie de son roman[27]. La chanson est interprétée par Philippe Laloux (chant) et Benoît Charest (guitare).
  • Avec Stephen Johnston, il signe, en 2009 « After All the Battles », en hommage à son ami l'écrivain et journaliste Paul Marchand, qui s'est enlevé la vie le de cette année-là[28],[29].
  • Il collabore à l'album Le Carré de nos amours (2010) de Sonia Johnson[30] avec deux textes de chansons, « Embrase-moi » et « Le temps n'arrange rien » (musique d'Anthony Rozankovic).
  • Avec son ami et parfois traducteur, l'écrivain David Homel, il cosigne en 2011 l'adaptation en anglais de la chanson « S'évader » de la chanteuse pop soul française Jalane. La nouvelle version intitulée « Stolen Kiss » fait l'objet d'un vidéoclip en 2015; cependant, pour une raison obscure, la contribution de Péan et de Homel n'est pas créditée.
  • Il collabore à l'album Triades (2012) de Sonia Johnson, Annie Poulain et Charles Biddle Jr[31] en écrivant le texte de la chanson « Conquistador » d'après une musique du saxophoniste Joel Miller.
  • Sur l'album Le Cœur à l'endroit (2014) de Sonia Johnson, il signe le texte de la chanson « Comme sur une toile de Lemieux » mis en musique par la chanteuse et cosigne avec elle le texte de « Rue Liverpool » d'après le thème instrumental « Liverpool » d'Anthony Rozankovic précédemment enregistré par ce-dernier à la tête de son Tony Ambulance Band.
  • Pour l'autrice-compositrice-interprète Diane Nalini, il écrit le texte de la chanson « Sans ailes », mis en musique par Nalini pour son album Future Perfect (2019)[32].
  • À la chanteuse et compositrice Catherine LeBlanc, il offre le texte de la chanson « No Savior » qu'elle enregistre avec son groupe Anoesis en 2019. La chanson fera également l'objet d'un vidéoclip.
  • Il collabore à nouveau avec Sonia Johnson au texte de la chanson « Prelude to Danger», qui figure sur l'album Chrysalis (2019).
  • Il contribue au premier album de la formation Little Misty, album homonyme, avec deux textes de chanson, « Old Ghosts » et « Rain Won't Wait » (2020)
  • Pour la pianiste, autrice-compositrice-interprète Lucie Roy, il écrit tous les textes de chanson de l'album What We Share (2020) puis tous ceux de la suite Now That Love Has Gone (2022).
  • À la pianiste, autrice-compositrice-interprète Luce Bélanger, il offre le texte de la chanson « Fondu au Noir » qui figure sur l'album J'ai besoin de magnifique (2022).
  • À la harpiste, autrice-compositrice-interprète Éveline (Éveline Grégoire-Rousseau), il offre le texte de deux chansons, « Superhéroïne » et « Ton vieux t-shirt » qui figure sur le deuxième album de l'artiste, Après la tempête (2024).

Discographie[modifier | modifier le code]

  • Quand le jazz est là : Les coups de cœur de Stanley Péan, Montréal, Ici Musique, 2014[33].

Médias audio-visuels[modifier | modifier le code]

  • Carnets d'un Black en Ayiti : Dans ce documentaire réalisé par Pierre Bastien (Productions Jeux d'enfants, 2018), on suit le retour au pays natal de Stanley Péan (à l'écran et comme narrateur), à l'hiver 1998, qui tente de comprendre la réalité haïtienne.
  • 11, Summerset : Une série de treize épisodes destinés aux jeunes, créée par le réalisateur Pierre Blais (Trinôme Inter), scénarisée par Pierre (2 épisodes), Emmanuel Aquin (2 épisodes), Sonia Sarfati (4 épisodes) et Stanley Péan (5 épisodes). Tournée simultanément en français et en anglais, la série a été diffusée à l'antenne de Télé-Québec et de Space Channel à l'automne 2004.
  • Exil : Film de fiction réalisé par Charles-Olivier Michaud (Les films du Boulevard, 2014), dont Stanley Péan a écrit et assure la narration en v.o. de ce road movie entre Port-au-Prince et Montréal. Voir ici la bande annonce.

Baladodiffusion[modifier | modifier le code]

  • Chants de liberté : Une série de cinq émissions qui retrace l'histoire du mouvement des droits civiques aux États-Unis au travers de l'histoire du jazz, du blues et du soul, diffusée pour la première fois en février 2013[34].
  • À peine un petit air de jazz : lecture intégrale par Stanley Péan du recueil de nouvelles de Gilles Archambault paru aux éditions du Boréal, diffusée sur le site de Radio-Canada en 2017.
  • Bootleg : une nouvelle diffusée à compter du 7 juin 2021 dans le cadre de Hors champ sur le site et l'application Oh Dio! de Radio-Canada. (Interprétation : Iannicko N’Doua ; réalisation : Michel Olivier Girard).

Prix et honneurs[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e et f « Recherche - L'Île », sur www.litterature.org (consulté le )
  2. a b c d e f et g « Stanley Péan », sur Île en île
  3. Samuel Pierre, Ces Québécois venus d'Haïti, Montréal, Presses internationales Polytechnique, 2e trimestre 2007, 545 p. (ISBN 978-2-553-01411-6), p. 373-378
  4. « Oswald Durand », sur laurent.quevilly.pagesperso-orange.fr (consulté le )
  5. a et b Monique Noël-Gaudreault, « Comment Stanley Péan a écrit certains de ses livres », Québec français, no 130,‎ , p. 110–111 (ISSN 0316-2052 et 1923-5119, lire en ligne, consulté le )
  6. Anne-Marie Voisard, « "Quand le meilleur est noyé dans le pire" », Le Soleil,‎ , p. D11 (lire en ligne [PDF])
  7. « BAnQ numérique », sur numerique.banq.qc.ca (consulté le )
  8. a et b « Prix littéraire du CRSBP du Saguenay–Lac-Saint-Jean | Book awards | LibraryThing », sur www.librarything.com (consulté le )
  9. a et b « Lurelu: Prix littéraires | Prix du livre M. Christie », sur www.lurelu.net (consulté le )
  10. Chantal Guy, « Stanley Péan: Le miroir de l'autre », sur La Presse,
  11. Catherine Lalonde, « Du zombi au bizango: l'appel du monstre de Stanley Péan », sur Le Devoir,
  12. Stanley Péan, « La chronique que La Presse a refusé de publier ! », revue les libraires,‎ (lire en ligne)
  13. Stéphane Baillargeon, « Le départ de Péan de La Presse - Censure ou manque de rigueur? », sur Le Devoir,
  14. Francine Bordeleau, « Une critique aux pieds d'argile », sur Magazine Lettres québécoises,
  15. « Présentation du numéro 60 | Revue Alibis » (consulté le )
  16. « Stanley Péan », sur L'île: l'infocentre littéraire des écrivains québécois (consulté le )
  17. a et b « Quand le jazz est là », sur ICIMusique.ca
  18. Stéphane Baillargeon, « L'écrivain-animateur Stanley Péan prend la tête de l'UNEQ », sur Le Devoir,
  19. Marie-Joëlle Parent, « Nos écrivains en colère contre Harper », sur canoe.com,
  20. Stanley Péan, « Jacques Kuba Séguin », sur linconvenient.wordpress.com, (consulté le )
  21. « Stanley Péan, le mélomane | Ambassadeur du Festival Jazz & Blues de Saguenay », sur La Fabrique culturelle (consulté le )
  22. Céline Fabries, « Laura Doyle Péan: une énergie au service des autres », Le Soleil,‎ (lire en ligne)
  23. « Sucre amer », sur YouTube.com,
  24. Jean Beaunoyer, « "Des voix anonymes qu'on entend tous les jours", La Presse, 11 février 2002, C. Arts + Spectacles, p. C3 », sur BaNQ numérique,
  25. (en) « L'aventurier de l'air perdu Un monologue dramatique et musical pour comédien et orchestre », sur Canadian Music Centre | SydneyEnterprise (Final) (consulté le )
  26. « Live Once, Die Twice (TV Movie 2006) - IMDb » (consulté le )
  27. « Stanley Péan (auteur de Bizango) », sur Babelio (consulté le )
  28. Pat White, « Stanley Péan rend hommage à Paul Marchand », sur Pat White,
  29. Frédérique Doyon, « L'écrivain Paul M. Marchand est mort », sur Le Devoir (consulté le )
  30. « Le carré de nos amours | Effendi Records : », sur www.effendirecords.com (consulté le )
  31. « Triades: l’album en magasin le 23 octobre – Magazine TED » (consulté le )
  32. Diane Nalini, « Diane Nalini Bandcamp: Sans ailes », sur Diane Nalini
  33. « Stanley Péan », sur Discogs (consulté le )
  34. « Chants de liberté », sur ici.radio-canada.ca (consulté le )
  35. Presse Canadienne, « Brouillet et Péan médaillés », Le Quotidien, vol. 1,‎ , p. 29 (lire en ligne)
  36. « Les lauréats 2020 de l’Académie des lettres du Québec dévoilés », sur La Presse, (consulté le )
  37. « Prix littéraires du Gouverneur général | Les finalistes 2020 dévoilés », sur La Presse, (consulté le )
  38. Radio-Canada, « Stanley Péan et Questlove honorés au Festival de jazz de Montréal »,

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]