Theys — Wikipédia

Theys
Theys
Blason de Theys
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Communauté de communes Le Grésivaudan
Maire
Mandat
Régine Millet
2020-2026
Code postal 38570
Code commune 38504
Démographie
Gentilé Tarins
Population
municipale
2 006 hab. (2021 en augmentation de 3,24 % par rapport à 2015)
Densité 56 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 18′ 04″ nord, 5° 59′ 52″ est
Altitude Min. 320 m
Max. 2 124 m
Superficie 36 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Theys
(ville-centre)
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Haut-Grésivaudan
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Theys
Liens
Site web www.theys.fr

Theys [tɛs] est une commune française[1] du département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

La commune est positionnée sur les contreforts de la chaîne de Belledonne, appelés les « Balcons de Belledonne », qui longent la vallée du Grésivaudan sur sa rive gauche. La commune fait partie de la communauté de communes Le Grésivaudan et de l'aire urbaine de Grenoble.

Ses habitants sont appelés les Tarins (Tarines) .

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation et description[modifier | modifier le code]

Theys fait partie de la série de bourgades construites sur les replats des « Balcons de Belledonne », entre Allevard au nord et Uriage au sud que relie la départementale 280. L'accès direct de Theys à la vallée du Grésivaudan se fait par la départementale 30 qui, au carrefour de Montgalmand, bifurque vers Tencin tandis que la départementale 29 permet d'accéder à Goncelin.

La station de ski de Pipay, l'une des trois stations de sports d'hiver qui composent Les Sept Laux, se trouve sur le territoire de la commune.

Géologie, hydrographie et relief[modifier | modifier le code]

La commune se situe dans une large combe d'origine glaciaire (à 600 m d'altitude dans sa partie la plus basse), qui s'étend entre le col du Barioz (1 042 m) au nord et le col des Ayes (944 m) au sud, et communique à l'ouest avec la vallée du Grésivaudan par la Gorge des Hirondelles, où se rejoignent les ruisseaux qui la drainent : le ruisseau Battiards, rejoint sur sa rive gauche par le ruisseau de Montbouvier et sur sa rive droite par le ruisseau de Pierre Herse, et le ruisseau de la Coche, grossi par le ruisseau du Merdaret qui draine les alpages du même nom, sous le col du Merdaret (1 798 m), entre le Grand Rocher (1 910 m) et les Dents de Pipay, qui culminent à 2 128 m. Ces massif la séparent à l'est de la vallée du Haut Bréda.

Le toponyme « Merdaret », qui signifie « Mer d'en haut » garde le souvenir d'une catastrophe datant du printemps 1395[2]. La butte de terre retenant un grand lac glaciaire qui s'étalait à plus de 1 600 m d'altitude a brutalement cédé et le lac s'est déversé coté Bréda, en creusant, dit-on, le profond ravin de Vaugenaz, et coté Theys, en ravageant les pentes et noyant entièrement le village — qui se trouvait alors à quelques centaines de mètres à l'est du village actuel, au lieu-dit Le Rocheret — sous des mètres cubes de boue[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 19,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 296 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 6,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 545,8 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Statistiques 1991-2020 et records PIPAY_SAPC (38) - alt : 1578m, lat : 45°15'55"N, lon : 6°00'57"E
Records établis sur la période du 01-08-2009 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −4,7 −5,2 −2,2 1 3,5 8 10 10 6,7 3,5 −0,2 −3,2 2,3
Température moyenne (°C) −1,1 −1,3 1,7 5,1 7,5 12,2 14,8 14,6 10,8 7,4 3,3 0,4 6,3
Température maximale moyenne (°C) 2,4 2,6 5,5 9,1 11,4 16,5 19,5 19,3 14,9 11,3 6,8 4 10,3
Record de froid (°C)
date du record
−15,4
18.01.13
−22,5
04.02.12
−13,9
09.03.10
−10,1
07.04.21
−6,1
06.05.19
−0,7
01.06.11
2,7
10.07.14
0,5
31.08.12
−4
27.09.20
−8,6
29.10.12
−14
27.11.10
−17,3
20.12.09
−22,5
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
14,1
25.01.16
15,4
29.02.12
15,5
30.03.21
19,7
28.04.12
26,2
22.05.22
30,2
27.06.19
30,8
07.07.15
30,8
23.08.23
25,9
04.09.23
23,2
08.10.23
19
10.11.15
15
31.12.21
30,8
2023
Précipitations (mm) 113,3 97,8 112,1 110 186,3 156,4 128,8 122,7 108,4 128,5 139,2 142,3 1 545,8
Source : « Fiche 38504002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Hydrographie[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Theys est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Theys, une agglomération intra-départementale dont elle est la ville-centre[14] et qui regroupe 2 communes, la seconde étant Les Adrets[15] ; on y comptait 2 967 habitants en 2017[16].

Theys est aussi une commune de la couronne de l'aire d'attraction de Grenoble[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,8 %), prairies (28,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,6 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %), zones urbanisées (1,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,3 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune de Theys est situé en zone de sismicité no 4 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique[20].

Terminologie des zones sismiques[21]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 4 Sismicité moyenne accélération = 1,6 m/s2

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Le premier document connu attestant de l’existence d’un édifice fortifié à Theys est le testament de l’évêque de Grenoble, Isarn, mort en 975. Il y stipule qu'il a donné des terres sur le territoire de Theys à Rodolphe Aynard, en remerciement de son aide décisive pour la défense du diocèse[22]. En 1246 les Aynard concluent un échange avec André Dauphin de Bourgogne, comte d’Albon et du Viennois, qui désirait renforcer sa position face à la puissante Maison de Savoie.

En 1282 Theys devient un fief du comte de Genève Amédée II, lorsque le dauphin de Viennois, Jean 1er lui cède les châtellenies de Theys, La Pierre et Domène en contrepartie de son alliance dans le conflit qui l'oppose aux comtes de Savoie, formant une enclave genevoise entre Viennois et Savoie. Le conflit incessant ne cessera qu'en 1349, à l’intégration du Dauphiné au domaine royal français, par le traité de Romans signé entre Humbert II de Viennois et Philippe VI de Valois. Au début de la guerre de Cent Ans, en 1355, le roi de France Jean II le Bon signe un traité de paix avec la Savoie, mais les circonstances l'empêchent de récupérer rapidement les châtellenies genevoises de Theys, La Pierre et Domène. Ce n’est qu’en 1408, après 50 ans d’âpres négociations, que Charles VI y parviendra, faisant entrer Theys définitivement dans le Dauphiné[22].

Au Moyen Âge, le bourg était protégé par des remparts, aujourd'hui disparus[23].

L'histoire économique de Theys a été longtemps liée à l'exploitation d'un minerai de fer de très bonne qualité. Cette exploitation sera faite tout d'abord au profit de l'ordre des Chartreux. Après le départ des religieux, d'autres sidérurgistes utiliseront le minerai des montagnes de Theys :

« On commence par gravir la montagne des Ramiettes - de Theys à la Ferrière - où se trouvent endroits des fosses d'où on extrait du minerai de fer et des fours qui servent à griller le même minerai dont on remplit des sacs de cuir, ces sacs sont ensuite transportés à dos de mulets au haut fourneau de Brignoud appartenant à M. Gourju, maitre de forges[24]. »

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La place et l'hôtel de ville en 1910.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1961 1971 Ernest Jourdan    
1971 1983 Georges Zougs PS Conseiller général du Canton de Goncelin (1971-1982)
1983 2014 Léon Bouchet-Bert-Peillard[25] UMP  
2014 En cours Régine Millet DVD  
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

En 2021, la commune comptait 2 006 habitants[Note 3], en augmentation de 3,24 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7631 9281 9692 2302 3012 2852 3952 5182 445
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 2762 3162 3762 2942 2522 1102 0961 9161 933
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8001 6231 6041 3621 3851 3401 3021 2571 204
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 2271 2571 1141 2001 3211 5721 8111 8551 992
2015 2020 2021 - - - - - -
1 9432 0112 006------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Équipements sportifs[modifier | modifier le code]

  • Partie du domaine skiable des Sept Laux, la station de Pipay, à 1550 m d'altitude.

Médias[modifier | modifier le code]

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Grésivaudan, un ou plusieurs articles à l'actualité de la communauté de communes, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

La commune dispose de la station du Barioz, une petite station de sports d'hiver au-dessus du col du même nom.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Extérieur du Châtel de Theys.
André François Alloys
de Theys d'Herculais (1692–1779)

1727 par Largillierre
Metropolitan Museum of Art, New York
  • Château de Theys : édifié sur le site d'une motte castrale du XIe siècle[23], il est érigé par les comtes de Genève entre 1280 et 1330 sur un éperon rocheux naturellement protégé par deux ruisseaux. Il est classé au titre des monuments historiques par arrêté du [30]. Au premier étage du bâtiment le plus ancien, une vaste aula est ornée de peintures murales du XIIIe siècle retraçant dans des médaillons l'histoire de Perceval[31].
  • Ruines du château des Herculais, ou Tour du Malbuisson (donjon), du XIIe ou XIIIe siècle, à l'ouest[23].
  • L'ancienne orangerie du château d'Herculais[23].
  • Le manoir du Clos de Gentons, ou château Payerne, du XVIe siècle[23].
  • Le manoir du Collombier, du XVIe siècle[23].
  • Le manoir de la Tournelle, du XVIe siècle[23].
  • La maison forte de la tour de Lusson, du XIIe ou XIIIe siècle[23].
  • La maison forte de la tour des Ayes[23].
  • Le château Jail, du XVe siècle, actuellement héberge la poste de Theys[23].
  • Plusieurs anciennes maisons présentent des éléments d'architecture médiévale[23].
  • Vestiges de la Tour du Chastelard, du XVIe siècle[23].
  • L'église Notre Dame de l'Assomption, du XIXe siècle, qui présente un clocher plus ancien[23].

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

  • Le bassin, utile aux villageois lors des coupures d'eau.

La commune comprend trois ZNIEFF de type I :

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Theys Blason
De gueules à deux fasces engrelées d'argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Balcon de Belledonne: Theys, Coteau de l'Adret et Massif de la Chartreuse depuis le Crêt Luisard et le Grand Rocher.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Theys, sur le site le-gresivaudan.fr
  2. Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné, 25 décembre 2020.
  3. Jean Daumas, Je m'appelle Belledonne, Éditions Publialp, , 184 p. (ISBN 2-9512185-5-9), p. 23-24.
  4. a b et c Dans la vallée
  5. a et b Dans la montagne
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Pipay_sapc » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Pipay_sapc » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Theys », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  21. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  22. a et b Térence Le Deschault de Monredon, « Histoire du Châtel de Theys » (consulté le ).
  23. a b c d e f g h i j k l et m Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 574-583.
  24. Jules Taulier, « Excursion aux Sept-Laus », Revue des Alpes, 1858.
  25. Le Conseil Municipal, sur le site theys.fr, consulté le 18 décembre 2012
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Château », notice no PA00125741, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. Térence Le Deschault de Monredon, « Le Châtel de Theys » (consulté le ).
  32. ZNIEFF 820031894 - Marais et pelouse du coteau de l’Adret, sur le site inpn.mnhn.fr - 2007
  33. ZNIEFF 820031903 - Tourbières des Sept-Laux et du Crêt Luisard, sur le site inpn.mnhn.fr - 2007
  34. ZNIEFF 820031886 - Pelouses de Malatret, sur le site inpn.mnhn.fr, consulté le 29 décembre 2012
  35. Fonds : État-civil. Cote : 9NUM2/AC504A/2 p. 113. Theys : Archives départementales de l'Isère (présentation en ligne)..