Torsac — Wikipédia

Torsac
Torsac
Vue de l'église et du château.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité GrandAngoulême
Maire
Mandat
Catherine Bréard
2020-2026
Code postal 16410
Code commune 16382
Démographie
Gentilé Torsacois
Population
municipale
708 hab. (2021 en diminution de 10,15 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 33′ 50″ nord, 0° 12′ 56″ est
Altitude Min. 73 m
Max. 175 m
Superficie 28,55 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Boëme-Échelle
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Torsac
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Torsac
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Torsac
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Torsac
Liens
Site web www.torsac.fr

Torsac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Torsacois et les Torsacoises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Torsac est une commune de l'aire urbaine d'Angoulême située à 11 km au sud d'Angoulême et 10 km au nord de Villebois-Lavalette, chef-lieu de son canton.

Le bourg de Torsac est aussi à 6 km au sud-est de Puymoyen, 5 km à l'ouest de Dignac, 5 km à l'est de Vœuil-et-Giget[2].

La D 81, route d'Angoulême à Villebois-Lavalette traverse la commune du nord au sud. Torsac est aussi située sur la D 41, route d'Hiersac à Combiers, et qui passe par Vœuil-et-Giget et Dignac, ainsi que la D 101 qui va de Dirac à Fouquebrune.

La D 674, route d'Angoulême à Libourne, borde la commune à l'ouest et passe à Vœuil-et-Giget. La D 939, route d'Angoulême à Périgueux, passe à l'est de la commune à 5 km du bourg, par Dignac[3].

Le GR 36, sentier de grande randonnée de la Manche aux Pyrénées-Orientales, traverse aussi la commune (section Angoulême - Périgueux).

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

On peut citer l'Andole (écrit parfois Andole, ou Landole), un gros hameau le long de la Charraud en descendant vers Vœuil ; on distingue La Grande Andole et la Petite Andole.

D'autres hameaux plus petits sont les Garands, les Courrières (la Petite et la Grande), Puymerle, le Maine Jarry, la Baronnie, Chamoulard, Chez Naulet, la Borde, la Faye, la Boissière, etc.[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est occupée par des plateaux calcaires du Crétacé. On trouve le Turonien (aussi appelé Angoumien) dans les zones plus basses, autour des vallées des Eaux-Claires et de la Charraud. Les plateaux sont occupés par le Coniacien (calcaire plus graveleux), et on trouve du Santonien en limite sud de commune.

L'Angoumien a été exploité par des carrières de pierre de taille, souterraines ou à ciel ouvert, souvent reconverties en champignonnières ou abandonnées. Dans la commune, on n'en trouve que près de l'Andole.

Les hauteurs sont très localement recouvertes de dépôts du Tertiaire non calcaire (sables argileux à galets), comme au nord de la commune, à l'altitude de 150 m, entre Andole et Puymerle[4],[5],[6].

Le relief de la commune est celui d'un plateau d'une altitude de 130 à 150 m, entrecoupé par les vallées des Eaux-Claires en limite nord et de la Charraud au centre, parallèles et de direction sud-est - nord-ouest. Le point culminant de la commune est à une altitude de 175 m, situé en limite sud-est. Le point le plus bas est à 73 m, situé le long des Eaux-Claires au pied du Petit Chamoulard, sur la limite nord. Le bourg, situé près de la Charraud, est à environ 110 m d'altitude[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Charreau et les Eaux Claires et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[8],[Carte 1].

La commune est traversée par la Charraud (ou Charreau), petit affluent de la Charente, et qui passe au pied du bourg. La source de ce ruisseau se situe dans la commune à 1 km en amont du bourg.

La Charraud à Andole.

La Charraud a creusé une petite vallée à fond plat comme les autres petites vallées au sud d'Angoulême, qui va en se creusant vers l'aval en allant sur Vœuil, et dont les parois calcaires sont parfois apparentes.

La limite nord de la commune est bordée par les Eaux-Claires, autre affluent de la Charente, et qui prend sa source à la Prévalerie.

Sorti de ces deux ruisseaux, le terrain, calcaire, est assez sec et ne comporte aucun autre cours d'eau.

Quelques fontaines sont à noter, principalement dans la vallée de la Charreau : fontaine des Garands, du Pontreau, la Marthe, Font du Pont Roi, la Font Valade[3].

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Végétation[modifier | modifier le code]

La commune est assez boisée. On trouve principalement du chêne. Sur les quelques hauteurs non calcaires on trouve aussi des châtaigniers et quelques pins maritimes.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Torsac est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (49,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,1 %), terres arables (22,5 %), prairies (15 %), zones agricoles hétérogènes (12,3 %), zones urbanisées (1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Torsac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Torsac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 52,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 364 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 294 sont en aléa moyen ou fort, soit 81 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[21].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom est attesté par la forme ancienne Torciaco en 1110[22] et vers 1300[23].

L'origine du nom de Torsac remonterait à un nom de personne gallo-romain Torcius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Torciacum, « domaine de Torcius »[24],[Note 3].

Limite dialectale[modifier | modifier le code]

La commune est dans la langue d'oïl (domaine du saintongeais), et marque la limite avec le domaine occitan (dialecte limousin) à l'est[25].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le lieu a été habité depuis la plus haute antiquité et les fouilles ont montré un site moustérien[26]. La grotte Castaigne a aussi montré dans ses niveaux supérieurs des tessons et céramique datant de La Tène III. Près de Puymerle, quatre sarcophages pouvant dater du VIe siècle ont été retrouvés[27].

Au VIIIe siècle Torsac a été le siège d'un des 13 archiprêtrés de l'Angoumois[28].

Au Moyen Âge il y avait un château dont des vestiges sont encore visibles, qui fut repris sur les Anglais et détruit pendant la guerre de Cent Ans par le maréchal de Sancerre[29]. Situé sur la route d'Angoulême, il faut aussi appelé Château des Anglais, et fut construit vers 1100. Il était aussi appelé Montgauguier, et les de La Place étaient seigneurs du lieu[30].

En 1542, Charles, duc d'Orléans et d'Angoulême (troisième fils de François Ier), donna à Pierre de La Place, écuyer, seigneur de Sallebœuf (paroisse de Cumont, Périgord), la Tour Garnier (Angoulême), Poursac et de Chantemerle (La Couronne), cette seigneurie qu'il venait d'acheter à Catherine de Clermont. Pierre de La Place, membre de cette importante famille angoumoisine, a été maire d'Angoulême en 1506, puis échevin de 1507 à 1539. Son fils aîné, qui s'appelait aussi Pierre de La Place, fut tué en 1572 lors de la Saint-Barthélemy à Paris. Protestant, il avait accompagné Henri de Navarre pour son mariage[29],[Note 4].

Hélie de La Place, seigneur de Torsac, a été maire d'Angoulême en 1561[31].

Au début du XXe siècle, deux moulins tournaient encore sur la Charraud, le moulin de la Combe et celui de Jolly[29].

Administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1965 1977 Max Mosny   Ingénieur agronome
1977 1995 René Perot   Agriculteur
1995 2008 Yves Huault   Dirigeant de société
2008 En cours
(au 6 juin 2020)
Catherine Bréard SE Retraitée

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

En 2021, la commune comptait 708 habitants[Note 5], en diminution de 10,15 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
812577822905878852837870846
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
795751695646625637564525470
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
480505434441433413386416348
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
352385464731718758770784729
2021 - - - - - - - -
708--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,7 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 364 hommes pour 365 femmes, soit un taux de 50,07 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,5 
6,3 
75-89 ans
5,2 
23,6 
60-74 ans
25,8 
25,0 
45-59 ans
24,1 
21,2 
30-44 ans
16,2 
8,0 
15-29 ans
12,6 
15,9 
0-14 ans
15,6 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Remarques[modifier | modifier le code]

De 1850 à 1946 Torsac a constamment perdu de la population, 50 % entre 1850 et 1921. La tendance s'est inversée à partir des années 1970 de par la proximité d'Angoulême.

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[38].

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école est un RPI entre Fouquebrune et Torsac. Torsac accueille l'école élémentaire, avec deux classes, et Fouquebrune l'école primaire. Le secteur du collège est Villebois-Lavalette[39].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale Saint-Aignan, qui a été construite au XIIe siècle puis remaniée aux XVe et XVIe siècles, possède un clocher octogonal. Elle a été inscrite monument historique par arrêté du [40].

Elle renferme quatre groupes de trois chapiteaux du XIIe siècle, des peintures du XVIIe siècle sur la coupole et le cul-de-four du chœur, un groupe en pierre sur la Trinité du XVe siècle ainsi qu'un autel du XVIIIe siècle. Ces éléments sont classés monument historique au titre objet depuis 1911[41].

Wikimedia Commons présente d’autres illustrations sur l'église Saint-Aignan.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Du château du XIIIe siècle, très remanié au XVIIe siècle il reste trois tours rectangulaires tronquées et de belles salles voûtées. Les créneaux sur mâchicoulis de fantaisie sont du XIXe siècle.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les communes françaises de Torcy (Aisne), Torcé (Ille-et-Vilaine), Torcieu (Ain), Torxé (Charente-Maritime) ont la même étymologie.
  4. Comme François III de La Rochefoucauld, qui était au service d'Henri de Navarre.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Torsac » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM.
  5. Carte du BRGM sous Géoportail.
  6. BRGM, « Notice de la feuille d'Angoulême » [PDF], sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Torsac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Torsac », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Torsac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  22. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 125
  23. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 75
  24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 679.
  25. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  26. Louis Duport, Les gisements préhistoriques de la vallée des Eaux Claires : le gisement moustérien de Torsac, grotte E. Castaigne, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, , 250 p., p. 95
  27. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 211
  28. Vigier de la Pile, Histoire de l'Angoumois, Paris, Derache (1846, Laffite reprint 2002), , 160 p. (ISBN 2-86276-384-5, lire en ligne), p. 5
  29. a b et c Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 386-387
  30. Office du tourisme de Pays d'Horte et Tardoire, Torsac, découverte en famille, , 27 p. (lire en ligne), p. 24
  31. De La Place, seigneur de la Tourganier
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Torsac (16382) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  38. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  39. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  40. « Église de Torsac », notice no PA00104523, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Mobilier de l'église de Torsac », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]