XVIIIe siècle en Lorraine — Wikipédia

Cette page est une liste d'événements qui se sont produits au dix-huitième siècle en Lorraine (jusqu'à la révolution).

Éléments de contexte[modifier | modifier le code]

Nicolas-Joseph Cugnot, monument à Void (Lorraine) en 1912 (dû au Meusien Fosse, sur fonds anglais)

Événements[modifier | modifier le code]

Années 1700[modifier | modifier le code]

Thaler de l'Évêché d'Olmutz à l'effigie de Charles III Joseph de Lorraine, 1703

1701[modifier | modifier le code]

1702[modifier | modifier le code]

Château de Lunéville (état actuel)
  • Le duc Léopold Ier de Lorraine, arrivant à Lunéville, choisit de bâtir un palais moderne : c'est le château actuel. Neveu et filleul de l'empereur, il a épousé diplomatiquement une princesse française Élisabeth-Charlotte d'Orléans, nièce du roi Louis XIV. Le mariage donnera le jour à quatorze enfants dont six seulement passeront le cap de l'enfance et quatre atteindront l'âge adulte.
  • Au début de la guerre de Succession d'Espagne, Louis XIV, connaissant l'austrophilie de son neveu par alliance Léopold Ier, dont l'un des frères est généralissime des armées impériales et un autre archevêque d'Olmütz, fait de nouveau occuper les duchés et la ville de Nancy tout à fait illégalement, mais cette fois-ci sans violences. Léopold et sa cour se retire définitivement à Lunéville. Un projet d'échange de la Lorraine et du Barrois (qui seraient annexés par France) contre le Duché de Milan (possession impériale qui serait donnée à Léopold) est évoqué, ne prend pas forme mais choque les sujets du duc.
  • Installation des Haras de Sarralbe.

1703[modifier | modifier le code]

  • Publication du Code Léopold qui définit unilatéralement les relations du gouvernement avec le clergé. Ce texte fait très mauvaise impression à Rome et les relations entre le pape et le duc se tendent. Quand Léopold veut donner à sa fille aînée l'illustrissime abbaye de Remiremont, le pape s'y oppose.
  • Début de la construction de la cathédrale Notre-Dame-de-l’Annonciation de Nancy. Elle possède également le statut d'église primatiale et de basilique mineure[2].

1704[modifier | modifier le code]

1705[modifier | modifier le code]

Abbaye des Prémontrés depuis la rive opposée de la Moselle

1706[modifier | modifier le code]

  • Léopold Ier s'éprend d'Anne-Marguerite de Ligniville qu'il marie au marquis de Beauvau-Craon afin de détourner les soupçons. La duchesse, sur les conseils de sa mère, la duchesse-douairière d'Orléans, reste digne.

1708[modifier | modifier le code]

Faïence de l'Argonne
  • Début d'activité des faïenceries de l'Argonne, qui perdureront jusqu'en 1880. Elles étaient idéalement situées dans la forêt d'Argonne qui leur procurait toutes les ressources dont elles avaient besoin : le bois, l'eau et la terre.

Années 1710[modifier | modifier le code]

1710[modifier | modifier le code]

  • Le ban d’Anould comprend, outre le territoire de la commune actuelle, le finage de Sainte-Marguerite et fait partie du bailliage et de la prévôté de Saint-Dié.

1711[modifier | modifier le code]

Charles-Joseph de Lorraine
  • Boffrand dirige la construction du château d'Haroué[3]. Le château compte 365 fenêtres, 52 cheminées, 12 tours et 4 ponts[4].
  •  : Charles-Joseph de Lorraine, frère cadet du duc, devient archevêque-électeur de Trêves.
  • Mai : L'épidémie de variole qui s'étend sur l'Europe emporte l'empereur et le Dauphin mais aussi trois des enfants ducaux, la princesse Elisabeth-Charlotte, abbesse de Remiremont, âgée de 11 ans, la princesse Marie-Gabrielle, 9 ans et le prince héritier Louis âgé de 7 ans.
  • Française mais lointaine parente du duc puisque membre de la Maison de Lorraine, Béatrice Hyéronyme de Lorraine-Lillebonne, fille de François-Marie de Lorraine-Guise (1624-1694), prince de Lillebonne, duc de Joyeuse, est élue abbesse de Remiremont.

1715[modifier | modifier le code]

1716[modifier | modifier le code]

  • Les bâtiments de Maréville (à Laxou), qui menaçaient ruines, sont convertis par le duc Léopold en maison de correction : la Renfermerie.

1719[modifier | modifier le code]

  • Lors d'une sécheresse persistante, la ville de Neufchâteau décide de s'en remettre à saint Élophe et sainte Libaire. Leurs châsses portées en procession depuis les villages de Soulosse et de Grand attirent 20 000 personnes venues de cent paroisses[5].
  • La foire de Nancy s'étend de la place Saint-Epvre à la place de la Carrière par décision de Léopold Ier.
  • 3 janvier : un incendie détruit une partie de l'aile droite du château de Lunéville. C'est le premier des huit incendies subis par le château[6].

Années 1720[modifier | modifier le code]

1720[modifier | modifier le code]

  • Bayon est érigé en marquisat en faveur de Marie Isabelle de Ludres.
  • Début de la construction du Château d'Haroué.

1721[modifier | modifier le code]

Léopold 1er de Lorraine
La duchesse et un de ses fils (1723)
  • Léopold Ier décide d'envoyer son fils aîné Léopold-Clément terminer son éducation à Vienne dans l'espoir qu'il y épouse la fille et héritière de l'Empereur, l'archiduchesse Marie-Thérèse.
  • Le duc Léopold ordonne aux familles juives dont l'établissement en Lorraine ne remonte pas à 40 ans de s'en éloigner.
  • Pour dégager ses sujets de l'influence spirituelle des prélats français dont ils dépendent (Metz, Verdun et Toul), le duc songe à fonder un évêché purement lorrain. Le pape est d'accord mais le régent de France s'y oppose. Léopold se rapproche alors de l'empereur.
  • Le duc de Lorraine rédige un édit destiné à « prévenir la communication de maladies contagieuses », ce texte prévoyait une limitation des déplacements de personnes et de marchandises, en particulier en provenance de Provence ou une épidémie de peste a fait de nombreux morts dès 1720.

1722[modifier | modifier le code]

  • 25 octobre : couronnement à Reims du roi de France Louis XV, âgé de 12 ans, en présence de la famille ducale. Les princes lorrains sont remarqués pour leurs bonnes manières et leur beauté.

1723[modifier | modifier le code]

1725[modifier | modifier le code]

  • Les relations entre les cours de Versailles et de Lunéville sont de nouveau glaciales. Cherchant une épouse pour Louis XV, le duc de Bourbon, premier ministre depuis la mort du Régent, à l'issue d'intrigues courtisanes et contre tout sens politique et dynastique, préfère marier le roi de France à une obscure princesse polonaise quasiment vieille fille (Marie Leszczyńska) plutôt qu'à la fille de Léopold, Elisabeth-Thérèse.

1726[modifier | modifier le code]

1727[modifier | modifier le code]

1729[modifier | modifier le code]

  • 27 mars : mort de Léopold Ier, duc de Lorraine et de Bar. En mars, le duc Léopold contracte une fièvre en se promenant au château que Craon était en train de construire à Ménil, près de Lunéville. Il meurt quelques jours plus tard, âgé de 49 ans. En l'absence de son fils, la duchesse se fait octroyer la régence.
  • François III de Lorraine, à 20 ans, succède à son père et doit rejoindre sa patrie qu'il a quittée à quinze ans. Quittant la cour impériale pour une plus modeste cour, il rentre à Lunéville mais, affichant une certaine froideur, il devient vite impopulaire.

Années 1730[modifier | modifier le code]

Stanisław Leszczyński par Girardet

1732[modifier | modifier le code]

1733[modifier | modifier le code]

1735[modifier | modifier le code]

1736[modifier | modifier le code]

1737[modifier | modifier le code]

Notre-Dame de Bonsecours
  • Création de la généralité de Nancy, circonscription administrative de la Lorraine, son ressort concernant la Lorraine et le Barrois. Elle se composait de 36 bailliages, 29 subdélégations, soit 15 subdélégations correspondant à leurs bailliages.
  • Stanislas Leszczynski reçoit les duchés de Lorraine et de Bar à condition qu'à sa mort, ils reviennent à la couronne de France. Les duchés sont en réalité administrés par un chancelier désigné par la France, La Galaizière.
  • Début de la construction de l'Église Notre-Dame-de-Bonsecours de Nancy.

1738[modifier | modifier le code]

Années 1740[modifier | modifier le code]

1741[modifier | modifier le code]

Charles-Alexandre de Lorraine

1742[modifier | modifier le code]

1744[modifier | modifier le code]

  • Le prince Charles-Alexandre de Lorraine conquiert l'Alsace et entre en Lorraine. Stanislas se réfugie à Metz.
  • Août : En route pour le front d'Alsace , le roi Louis XV de France tombe malade à Metz.
  • 23 décembre : Mort d' Élisabeth-Charlotte d'Orléans, duchesse douairière de Lorraine et de Bar, princesse souveraine de Commercy. La principauté est réunie au Barrois. La princesse Anne-Charlotte de Lorraine quitte Commercy pour Vienne. Le chancelier La Galaizière interdit toute manifestation de deuil.

1745[modifier | modifier le code]

1749[modifier | modifier le code]

  • Maréville et la rente d'Anne Fériet sont cédés aux frères des Écoles chrétiennes, à la condition qu'ils remettent l'institution en l'état et qu'ils s'engagent à interner, contre paiement d'une pension, tous les sujets que le duc leur adressera par lettre de cachet.

Années 1750[modifier | modifier le code]

François Maximilien Ossoliński

1750[modifier | modifier le code]

La salle des séances.

1751[modifier | modifier le code]

  • Le ban d’Anould est composé d’Anould, La Hardalle, Develine, Les Granges, Chalgoutte, Les Gouttes, Braconcel, Sainte-Marguerite, Le Paire, Gerhaudel, Le Souche, Vachères et Le Vic en partie.
  • Le duché de Lorraine acquiert Badonviller et l'ouest du territoire de la principauté de Salm, tandis que l'essentiel de l'ancien comté était attribué en pleine propriété aux princes de Salm-Salm, dont le bourg de Senones qui devient capitale de la principauté et la résidence des princes.
  • Stanislas convoque à Lunéville Nicolas Durival, lieutenant de police de Nancy, pour lui annoncer son projet de construire une nouvelle place. Le projet de Stanislas est de rassembler les services administratifs de la cité, ainsi que des lieux de divertissements[14], au croisement de deux axes majeurs[15].
  • 1751 à 1755 : construction de la Place Stanislas à Nancy sous la direction de l'architecte Emmanuel Héré.
  • Louis-Élisabeth de La Vergne de Tressan devient le second président de l'Académie de Stanislas.
  • Édit de juin 1751[16] par lequel le duc Stanislas Leszczynski modifie de manière importante l'organisation administrative des duchés de Lorraine et de Bar.

1752[modifier | modifier le code]

1754[modifier | modifier le code]

  • Anould fait toujours partie du bailliage et de la prévôté de Saint-Dié, mais est régi par les lois et les coutumes de Lorraine.
  • Inauguration du bâtiment de la Bourse des Marchands, place de la Carrière à Nancy.

1755[modifier | modifier le code]

Château de la Malgrange

1756[modifier | modifier le code]

  • Le chancelier Chaumont de La Glaisière décide la création d'une route prenant à Flavigny sur celle de Nancy-Mirecourt, pour rencontrer celle de Bayon-Charmes[18].
  • Le monument initial de François Maximilien Ossolinski est placé dans l'église Notre-Dame de Bonsecours.
  • Louis-Marie Fouquet de Belle-Isle est nommé gouverneur de Metz et du pays Messin à l'âge de 24 ans.
  • Après deux ans de travaux à Nancy, l'Arc Héré est achevé[19].

1757[modifier | modifier le code]

Antoine-Martin Chaumont de la Galazière

1759[modifier | modifier le code]

  • Stanislas fait don de la place Royale, ainsi que de la place Carrière et de la Pépinière, à la municipalité de Nancy[21].

Années 1760[modifier | modifier le code]

Le général Klein

1760[modifier | modifier le code]

1761[modifier | modifier le code]

1762[modifier | modifier le code]

Insigne régimentaire du 7e Régiment d’Artillerie (1er groupe)
  • Création à Toul du 7e régiment d'artillerie (7e RA), unité de l'armée française actuellement dissoute. Au cours de ses 237 années d'existence, il aura été engagé aux Pays-Bas, en Belgique, en Allemagne, en Autriche, en Italie, en Espagne, en Pologne, en Russie, en Algérie, en Crimée, en Chine, au Mexique et plus récemment en Bosnie, en Centre-Afrique, en ex-Yougoslavie, en Géorgie, en Côte d'Ivoire et en Polynésie.

1763[modifier | modifier le code]

  • Au titre de la corvée les habitants de Gondreville durent travailler pendant 58 jours pour la réfection de la route de Nancy à Toul.

1764[modifier | modifier le code]

  • Louis XV autorise la création d'une verrerie à Baccarat, à l'instigation de l’évêque de Metz soucieux d'écouler l'importante production locale de bois de chauffage. Un verrier du nom d'Antoine Renaut répond alors à ses sollicitations.

1765[modifier | modifier le code]

  • Établissement d'un haut fourneau à Azerailles pour Jean Closse, exploitant d'une forge située à 1 200 mètres en aval. Il pourvoyait à l'alimentation en fonte de cet établissement à partir de minerai extrait dans les environs. Désaffecté avant 1822, le bâtiment qui l'abritait existait encore en 1876
  • Naissance à Mirecourt de Jean-François Aldric (mort en 1840), célèbre luthier.
  •  : mort à Innsbruck de l'empereur François Ier.
  • Fondation de la Verrerie-cristallerie de Vannes-le-Châtel, par la comtesse de Mazirot de Reims, désireuse de valoriser l'exploitation de bois lui appartenant. Elle s'en sépare dès 1788, au profit de Nicolas Griveau[25].

1766[modifier | modifier le code]

1767[modifier | modifier le code]

1768[modifier | modifier le code]

Université-Pont-à-Mousson, façade

1769[modifier | modifier le code]

  • Janvier : Gabriel de Jars réalise la première coulée de fonte au coke dans la forge de Wendel à Hayange[27].
  • Juin : le partage des biens communaux est autorisé par le parlement de Metz sous conditions[27].
  • 30 septembre : première parution de la publication Affiches des Trois-Évêchés - feuille hebdomadaire , principalement dédié aux annonces légales[31].

Années 1770[modifier | modifier le code]

1770[modifier | modifier le code]

Faïencerie de Niederviller. L’entrée vers 1900

1771[modifier | modifier le code]

1772[modifier | modifier le code]

1773[modifier | modifier le code]

La princesse Marie-Christine de Saxe, par Maurice Quentin de La Tour.
  • novembre : Marie-Christine de Saxe, sœur de la Dauphine Marie-Josèphe, elle est la tante du futur Louis XVI de France, Princesse allemande mais apparentée à la Maison royale de France, d'abord coadjutrice de l'abbaye de Remiremont, en est élue abbesse à l'unanimité.

1774[modifier | modifier le code]

  • Création du premier établissement thermal de Contrexéville[23].
  • Louis XVI accepte l’édification d’un établissement destiné à la protection des enfants abandonnés en Lorraine : création de l’Hôpital des enfants trouvés de Nancy[32].

1775[modifier | modifier le code]

1776[modifier | modifier le code]

  • L'université de Pont-à-Mousson est transférée à Nancy.

1777[modifier | modifier le code]

  • Création des évêchés de Nancy et Saint-Dié.
  • 21 juillet : institution, par le Pape, de Barthélémy Chaumont de La Glaizière, fils du Chancelier, comme évêque de Saint-Dié[34]
  • 19 novembre : institution, par le Pape, de Mgr de Sabran, fils du Chancelier, comme évêque de Nancy[34]

1778[modifier | modifier le code]

1779[modifier | modifier le code]

  • La faim consécutive aux mauvaises récoltes conduit à des révoltes dans plusieurs villes de Lorraine, dont Dieuze, Lunéville, Nancy…[34]
  • 29 juillet : une tornade de classe EF3, soit des vents estimés entre 220 km/h et 270 km/h, affecte plusieurs dizaines d'habitations et l'église à Froville[35].

Années 1780[modifier | modifier le code]

Henri de Rigny

1781[modifier | modifier le code]

  • (Ou peut-être en 1782) La réalisation du cristal est maîtrisée par la Verrerie Royale de Saint-Louis[34]., un siècle après son invention en 1676 par George Ravenscroft.

1782[modifier | modifier le code]

1783[modifier | modifier le code]

Caserne Thiry
  • 4 juin : le Régiment du Roi est stationné à Nancy jusqu'à sa dissolution, logé au quartier royal aussi appelé caserne Sainte-Catherine puis caserne Thiry.
  • Juin : la communauté juive de Nancy reçoit l'autorisation de Louis XVI pour construire une synagogue[34].
  • Décembre: la communauté juive de Lunéville reçoit l'autorisation de Louis XVI pour construire une synagogue[34].

1784 - 1785[modifier | modifier le code]

  • L'augmentation importante du prix des céréales provoque la disette en Lorraine[36].

1786[modifier | modifier le code]

Synagogue de Lunéville

1787[modifier | modifier le code]

  • Création d'une manufacture pour teindre le coton à Jarville-la-Malgrange.
  • Les assemblées composées de notables des 3 ordres discutant d'améliorations fiscales et administratives, pour le Lorraine et le Barrois ainsi que pour les évêchés et le Clermontois, ne débouchent sur rien[36].

1788[modifier | modifier le code]

  • Récoltes catastrophiques entraînant l'augmentation des prix et des difficultés pour les paysans et le peuple des villes[36].
  • Août 1788 : états généraux. En Lorrains la fidélité au roi n'est pas remise en cause. Les demandes portent sur une meilleur répartition des impôts[36].

1789[modifier | modifier le code]

Voir 1789 en Lorraine.

Années 1790[modifier | modifier le code]

1790[modifier | modifier le code]

Arrestation de Louis XVI à Varennes le 22 juin 1791, estampe de Jean-Louis Prieur, (musée de la Révolution française).

1793[modifier | modifier le code]

  • Octobre : lors de son procès l'ex-reine de France se présente par ces mots : " Je m'appelais Marie-Antoinette de Lorraine d'Autriche".

Naissances[modifier | modifier le code]

Années 1700[modifier | modifier le code]

1703[modifier | modifier le code]

1704[modifier | modifier le code]

  • Claude Parisot (ou Parizot) est né vers 1704. Il apprit son art d'abord du facteur lorrain Christophe Moucherel, puis, en 1727, chez Louis-Alexandre et Jean-Baptiste Clicquot à Paris. Il mourut à Étain le .

1705[modifier | modifier le code]

Monument funéraire de la reine Catherine Opalińska (1749), église Notre-Dame-de-Bonsecours de Nancy - Par Nicolas Sébastien Adam.

1708[modifier | modifier le code]

  • Playcard de Raigecourt (né à Nancy vers 1708 et mort à Aire le ), ecclésiastique, fut évêque d'Aire de 1757 à 1783.
  • 8 décembre à Nancy : l'empereur François Ier, mort le à Innsbruck, fut successivement duc de Lorraine, de Bar (1729-1737) sous le nom de François III, également duc de Teschen (1729-1765), il est aussi grand-duc de Toscane (1737–1765) sous le nom de François II. En 1732, il avait été nommé vice-roi de Hongrie (1732-1765) par son futur beau-père l'empereur Charles VI.

1709[modifier | modifier le code]

  • À Lunéville : Jean Girardet, mort à Nancy en 1778, peintre lorrain, puis français à la suite de l'annexion du Duché de Lorraine par la France en 1766.
  • À Nancy : Jean Galli de Bibiena (version française de Galli da Bibbiena), écrivain d'expression française (mais d'ascendance italienne), qui serait mort en 1779 en Italie. Il est le fils de Francesco Galli da Bibiena, de la célèbre famille des Bibiena.

Années 1710[modifier | modifier le code]

1710[modifier | modifier le code]

1712[modifier | modifier le code]

Nicolas-François Gillet par Nicolas Benjamin Delapierre (1770)

1713[modifier | modifier le code]

Joseph Uriot.
  • À Nancy : Joseph Uriot, mort à Stuttgart en , professeur et homme de théâtre et franc-maçon. Plus connu en Europe pour ses Lettres d'un franc-maçon en 1742.

1715[modifier | modifier le code]

  • À Nancy : Louis Sébastien Jacquet de Malzet, mort le à Vienne, prêtre séculier, inventeur et écrivain lorrain. Il a peut-être ses racines dans l'ancien village de Malzey situé entre Toul et Nancy. Il n'a pas eu l'occasion d'exercer sa fonction de prêtre car il a été bibliothécaire du Duc de lorraine et Duc de Bar François III Étienne (1709 † 1765). Il a suivi le départ du Duc qui est devenu ainsi François Ier du Saint-Empire en Autriche.Des écrits attestent sa présence dans la capitale autrichienne car il a été professeur d'histoire et de géographie à l'académie militaire de Vienne. Il a été auparavant chanoine du collège Saint Jean à Varsovie.

1716[modifier | modifier le code]

1717[modifier | modifier le code]

1718[modifier | modifier le code]

1719[modifier | modifier le code]

Francois Antoine Etienne de Gourcy-Pagny.

Années 1720[modifier | modifier le code]

1720[modifier | modifier le code]

Charles-Juste de Beauvau-Craon

1721[modifier | modifier le code]

1722[modifier | modifier le code]

Anne-Catherine de Ligniville Helvétius

1723[modifier | modifier le code]

Charles-Arnould Hanus.
  • 18 mai à Metz : Claude Étienne Paquin de Vauzlemont, mort le à Metz, général de brigade de la Révolution française.
  • 18 octobre à Nancy : Charles-Arnould Hanus, mort le sur l'Île d'Aix, prêtre et martyr catholique français. Curé et doyen du chapitre de Ligny-en-Barrois, il est condamné à la déportation après avoir refusé de prêter serment à la Constitution civile du clergé. Âgé de 70 ans, il est enfermé dans le Washington jusqu'à sa mort deux semaines plus tard. Il est béatifié en 1995 par le pape Jean-Paul II, en même temps que les soixante-trois autres martyrs des pontons de Rochefort.
  • 6 novembre à Ribeaucourt (Meuse) : Joseph Paignat, mort le à Ligny-en-Barrois (Meuse), général français de la Révolution et de l’Empire.

1724[modifier | modifier le code]

Laurent de Chazelles.

1725[modifier | modifier le code]

1726[modifier | modifier le code]

1727[modifier | modifier le code]

1728[modifier | modifier le code]

Richard mique.
Joseph-Maurice de Toustain-Viray

1729[modifier | modifier le code]

Années 1730[modifier | modifier le code]

1730[modifier | modifier le code]

Charles Palissot de Montenoy
  • 3 janvier à Nancy : Charles Palissot de Montenoy, mort à Paris le , auteur dramatique français, admirateur et disciple de Voltaire comme Antoine de Rivarol, mais dénoncé paradoxalement souvent comme opposant anti-lumières au parti philosophique notamment pour sa critique de Diderot et des Encyclopédistes. Il est l'auteur de la comédie, Les Philosophes, qui eut un énorme succès et fit scandale en 1760.
  • 3 avril à Toul : Christian Noël de Zimmerman dit Emmanuel, mort le à Paris, général français de la Révolution et de l’Empire.
  • 10 juin à Metz : Jean Pierre Goullet de Latour (mort en 1809), général d'artillerie français qui a participé à la Guerre d'indépendance des États-Unis.

1731[modifier | modifier le code]

1732[modifier | modifier le code]

1733[modifier | modifier le code]

1734[modifier | modifier le code]

1735[modifier | modifier le code]

Nicolas Francin

1736[modifier | modifier le code]

Claude Ambroise Régnier, Duc de Massa.

1737[modifier | modifier le code]

1738[modifier | modifier le code]

Stanislas de Boufflers 01.

1739[modifier | modifier le code]

Années 1740[modifier | modifier le code]

1740[modifier | modifier le code]

1741[modifier | modifier le code]

1742[modifier | modifier le code]

Jean-Louis Emmery

1743[modifier | modifier le code]

Madame du Barry

1744[modifier | modifier le code]

  • Nancy : Berr Isaac Berr de Turique (mort en , Turique), est un financier français.
  • 26 février à Toul : Jean Claude Goffard, mort le à Toul (Meurthe-et-Moselle), général français de la Révolution et de l’Empire.
  • 25 mars à Nancy : Louis Verdet (mort le à Sarreguemines), prêtre et homme politique français, député aux États généraux de 1789.
  • 20 juillet, à Jouy-sous-les-Côtes (Meuse) : Étienne Mollevaut, mort à Nancy (Meurthe), le , député de la Meurthe à la Convention nationale, au Conseil des Anciens, au Conseil des Cinq-Cents et au Corps législatif de l'an VIII à 1807.

1745[modifier | modifier le code]

François Barbé de Marbois

1746[modifier | modifier le code]

1747[modifier | modifier le code]

1748[modifier | modifier le code]

1749[modifier | modifier le code]

Années 1750[modifier | modifier le code]

1750[modifier | modifier le code]

Philippe-Antoine d'Hunolstein.
L'abbé Grégoire.

1751[modifier | modifier le code]

1752[modifier | modifier le code]

Louis Jean Baptiste Gouvion (1752-1823)

1753[modifier | modifier le code]

1754[modifier | modifier le code]

Bouchotte

1755[modifier | modifier le code]

Mallarmé, François-René-Augustin, 1755-1831.

1756[modifier | modifier le code]

1757[modifier | modifier le code]

1758[modifier | modifier le code]

Pierre Gardel 1828.

1759[modifier | modifier le code]

Buste d'Adrien Duquesnoy par Houdon.

Années 1760[modifier | modifier le code]

1760[modifier | modifier le code]

Etienne-Francois-Dralet.

1761[modifier | modifier le code]

1762[modifier | modifier le code]

1763[modifier | modifier le code]

Louis Charles Folliot de Crenneville

1764[modifier | modifier le code]

Laurent de Gouvion-Saint-Cyr.

1765[modifier | modifier le code]

1766[modifier | modifier le code]

Joseph Zangiacomi (1766-1846).

1767[modifier | modifier le code]

Claude-François-Etienne Dupin

1768[modifier | modifier le code]

Grandjean gravé sur l'Arc de triomphe.

1769[modifier | modifier le code]

Années 1770[modifier | modifier le code]

1770[modifier | modifier le code]

Georges Mouton.

1771[modifier | modifier le code]

Joseph Diez Gergonne

1772[modifier | modifier le code]

Riesener - Le colonel baron C.-C. Jacquinot (1772-1848) en tenue de colonel du 11e chasseurs à cheval.

1773[modifier | modifier le code]

Général Comte d'Anthouard Vraincourt, grand maître de l'artillerie (1773-1852)
Le général de division baron Jean-Baptiste Pierre de Semellé

1774[modifier | modifier le code]

Jean Louis Soye
General Antoine Drouot.

1775[modifier | modifier le code]

1776[modifier | modifier le code]

  • 29 janvier à Metz : François Joseph Henrion, mort le à Paris, officier supérieur français de la Révolution et de l’Empire, et général de la Seconde Restauration.

1777[modifier | modifier le code]

1778[modifier | modifier le code]

1779[modifier | modifier le code]

Virgile Schneider

Années 1780[modifier | modifier le code]

1780[modifier | modifier le code]

1781[modifier | modifier le code]

1782[modifier | modifier le code]

1783[modifier | modifier le code]

Le mortier monstre, inventé par Henri-Joseph Paixhans.

1784[modifier | modifier le code]

Barthélemy Bompard, maire de Metz, 1832-1839

1785[modifier | modifier le code]

1786[modifier | modifier le code]

Elisa Voiart

1788[modifier | modifier le code]

Années 1790[modifier | modifier le code]

1797[modifier | modifier le code]

  • Metz : Eugénie Charmeil (morte à Paris en 1855), aquarelliste française, active dans la première moitié du XIXe siècle.

Décès[modifier | modifier le code]

Charles Henri de Lorraine-Vaudémont
Léopold Emmanuel Héré de Corny.
Étienne François de Choiseul (1719-1785).

Notes et références[modifier | modifier le code]

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  2. « Église – Cathédrale – Basilique – Chapelle - CATHÉDRALE NOTRE-DAME-DE-L'ANNONCIATION - Nancy », sur petitfute.com (consulté le ).
  3. https://www.kronobase.org/timeline-boffrand_r%C3%A9alise_le_ch%C3%A2teau_de_harou%C3%A9_en_lorraine-104877.html
  4. « Meurthe-et-Moselle / Le « Savez-vous » du jour. Savez-vous pourquoi le château d’Haroué compte 365 ... », L'Est républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. J. Guillaume, F. Roussel, «La passion et le culte de sainte Libaire»
  6. Jérôme ESTRADA (Service documentation), « Incendie de Notre-Dame de Paris. Toul, Strasbourg, Reims… Ces cathédrales détruites puis… », Le Républicain lorrain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  7. Bulletin mensuel de la Société d'archéologie lorraine et du Musée historique lorrain, no 1, janvier, Crépin-Leblond, Nancy, 1907 (note p. 7)
  8. Annales agricoles de la Lorraine, p. 143, éd. Grimblot, Raybois, 1841.
  9. Abel Mathieu, Histoire du Saint-Mont, Dommartin-lès-Remiremont, Imprimerie Girompaire à Cornimont, , 104 p.
    p. 90 : Le tremblement de terre se fit sentir pendant un temps assez court, mais assez violemment pour jeter l'épouvante dans Remiremont et faire sortir les Dames de leur maison
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  10. Les Cahiers du Château de Lunéville, vol. 7, Lunéville/Nancy, Site départemental du château de Lunéville / Conseil général de Meurthe-et-Moselle, , 55 p. (ISBN 978-2-9524424-6-6 et 2-9524424-6-0), « L'ancienne ménagerie du Duc Ossolinski », p. 60-63
  11. Inauguration du Temple de la loge Saint Jean de Mirecourt
  12. La Fraternité Vosgienne Epinal
  13. « Académie de Stanislas - NANCY », sur cths.fr (consulté le ).
  14. https://archive.wikiwix.com/cache/19981130000000/http://www.monginot.com.
  15. UNESCO:Évaluation des Organisations consultatives 1983 [PDF]
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  18. Piere Boyé (les travaux publics et le régime des corvées en Lorraine au XVIIIe siècle) Berger-levrault éditeur - page 55
  19. « Arc Héré (Nancy, 1756) » Accès libre, sur structurae.net, (consulté le ).
  20. Journées européennes du patrimoine 19 et 20 septembre 2009 — 18. Académie nationale de Metz, dans Metz Magazine, hors série no 3, 2009, p. 6.
  21. Histoire de Nancy capitale du duché de Lorraine
  22. Histoire de l’Académie nationale de Metz sur le blog de l’Académie
  23. a et b https://www.lsa-conso.fr/produits/contrex,133400
  24. Notice no PA00106315, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  25. HUMBERT (Bernard), "Productions touloises : artisanat et industrie (Industrie) (partie 1/2)" in Revue des Études Touloises, Toul, 1978, Cercle d'Études Locales du Toulois, n° 13, art. 3, p.47-48]
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  39. Car on la disait rusée comme une jeune chatte.
  40. Répertoire alphabétique des officiers généraux de l'armée de terre et des services : Ancien régime- 2010.
  41. Audebert de La Morinerie 1861, p. 169
  42. Notice sur geneanet.org.
  43. Théodore César Muret, Histoire de l'armée de Condé, vol. 1, p.92, éd. Dentu, 1844
  44. L'orthographe de son patronyme varie selon les auteurs, en « Bughaut » ou « Buchoz ».
  45. Archives municipales de Metz, réf GG85, baptême paroisse Saint-Gorgon, vue 219/650
  46. Archives municipales de Metz, section 3, acte de décès dressé le 18/06, vue 100/117
  47. Journal encyclopédique, vol. 7, Everard Kints, (présentation en ligne)
  48. Notice d'autorité sur bnf.fr.
  49. Pierre Marthelot, Visages de l'Alsace, Horizons de France, 1949 (2e éd.), p. 90
  50. Dictionnaire du département de la Moselle p. 384, Claude Philippe de Viville 1817
  51. Ne pas confondre avec le général Paul Louis Antoine de Rosières
  52. Acte de baptême de la paroisse de Bayon, année 1741 (page 51/662)
  53. Notice sur assemblee-nationale.fr
  54. Notice sur geneanet.org.
  55. Archives départementales des Yvelines, état-civil numérisé de Saint-Germain-en-Laye, acte de décès no 147 de l'année 1807, dressé le 7 juillet : « acte de décès de Jean-François Mamel dit Bernard, maître ès arts demeurant rue de Paris n°11, natif de Nancy, âgé de 57 ans, époux de Louis Adélaïde Huard, mort hier à six heures du soir ».
  56. a b c d et e Liste des généraux mosellans du consulat et de l'empire sur patrimoines.lorraine.eu
  57. Côte S.H.A.T.: 8 Yd 1580.
  58. Notice du Thésaurus du CERL
  59. Nouvelle biographie générale depuis les temps les plus reculés jusqu’à nos jours p. 819 Jean Chrétien Ferdinand Hoefer 1855
  60. Adrien Duquesnoy, BNF
  61. Adrien, Cyprien Duquesnoy, Assemblée Nationale
  62. Archives départementales de Meurthe-et-Moselle, état-civil numérisé de Longuyon, année 1818, acte de décès du 17 juin. L'« ex-législateur » meurt célibataire à 56 ans.
  63. Répertoire universel et raisonné de jurisprudence civile, criminelle, canonique et bénéficiale. T25 : , ouvrage de plusieurs jurisconsultes, publié... par M. G****,..., J. Dorez (-Panckoucke), 1775-1783 (lire en ligne)
  64. Bosquet (01) Auteur du texte, Dictionnaire raisonné des domaines et droits domaniaux. Tome 2 : ; des droits d'échanges, & de ceux de contrôle des actes de notaires & sous-signatures privées..., impr. de J.-J. Le Boullenger, (lire en ligne)
  65. Jean François Eugène Robinet, Adolphe Robert et Julien Le Chaplain, Dictionnaire historique et biographique de la révolution et de l'empire, 1789-1815. Ouvrage rédigé pour l'histoire générale, Paris Librairie historique de la révolution et de l'empire, (lire en ligne), p. 349
  66. Gustave (1863-1923) Auteur du texte Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle. IX. Cas-Cha. - 1910 / par C. d'E.-A. [Chaix d'Est-Ange], impr. de C. Hérissey, 1903-1929 (lire en ligne)
  67. Catalogue des gentilshommes de Lorraine et du duché de Bar qui ont pris part ou envoyé leur procuration aux assemblées de la noblesse pour l'élection des députés aux États généraux de 1789 : publié d'après les procès-verbaux officiels : par MM. Louis de La Roque et Édouard de Barthélemy, E. Dentu, (lire en ligne)
  68. Gustave (1863-1923) Auteur du texte Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle. IX. Cas-Cha. - 1910 / par C. d'E.-A. [Chaix d'Est-Ange], impr. de C. Hérissey, 1903-1929 (lire en ligne)
  69. Procès-verbal de la cérémonie du sacre et du couronnement de LL. MM. l'empereur Napoléon et l'impératrice Joséphine, Imp. impériale, (lire en ligne)
  70. Antoine Vincent (1766-1834) Arnault, Étienne-François (1782-186 ?) Bazot, Antoine (1770-1854) Jay et Étienne de (1764-1846) Jouy, Biographie nouvelle des contemporains ou Dictionnaire historique et raisonné de tous les hommes qui, depuis la Révolution française, ont acquis de la célébrité par leurs actions, leurs écrits, leurs erreurs ou leurs crimes, soit en France, soit dans les pays étrangers. Tome 1 / ; précédée d'un tableau par ordre chronologique des époques célèbres et des évènements remarquables, tant en France qu'à l'étranger, depuis 1787 jusqu'à ce jour, et d'une table alphabétique des assemblées législatives, à partir de l'assemblée constituante jusqu'aux dernières chambres des pairs et des députés. Par MM. A. V. Arnault,... A. Jay, E. Jouy,... J. Norvins... [et E.-F. Bazot], Librairie historique, 1820-1825 (lire en ligne)
  71. Mort le 28 décembre 1815 à Paris selon le site de l'Assemblée nationale, ou le 18 janvier 1816 à Thionville selon le Dictionnaire des parlementaires français de A. Robert et G. Cougny.
  72. Notice sur assembleenationale.fr
  73. BMS de Mirecourt, AD des Vosges
  74. Pierre-Joseph Chedeaux (1767-1832) sur appl-lachaise.net.
  75. L'essentiel du détail de la vie du baron Dupin provient de la Notice biographique sur M. le baron C.F.E. Dupin, rédigée par son fils Gabriel et placée en tête de l'édition posthume de l'Histoire administrative des communes de France, issue de la plume de son père ; [lire en ligne].
  76. « AD54 en ligne Nancy (Meurthe-et-Moselle) D 1834-1835 (5Mi394/R210) p326-327/511 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur archives.meurthe-et-moselle.fr.
  77. Jean-Pierre Mangin, « Les Généraux meusiens de la Révolution et de l'Empire » (1969), P. 55
  78. À ne pas confondre avec l'illustre famille comtale belge d'Oultremont
  79. a et b Joseph de Turmel sur geneanet.org.
  80. Lievyns, Jean Maurice Verdot, Pierre Bégat; Fastes de la Légion-d'honneur: biographie de tous les décorés, Volume 4, Paris, 1844 ( p. 533-534 ).
  81. Albert Ronsin, Les Vosgiens célèbres : dictionnaire biographique illustré, G. Louis, , 394 p. (ISBN 978-2-907016-09-4, lire en ligne)
  82. Notice d'autorité sur catalogue.bnf.fr.
  83. Montémont 1848, p. 351
  84. En place du courant « Pixérécourt », un certain nombre d’ouvrages écrivent « Pixerécourt » sans le premier accent. Entre autres, deux font autorité. L'un comprend un passage autobiographique paru du vivant de l'auteur, l'autre d’Henri Lepage indique de plus que la prononciation est : « Pisserécourt ». Cf. G. de Pixerécourt 1841, t. 2 « Souvenirs de la Révolution » p. I-XXVIII et Henri Lepage, Dictionnaire topographique de la France. Dictionnaire topographique du département de la Meurthe : rédigé sous les auspices de la Société d'archéologie lorraine, Paris, Imprimerie impériale, , XXVII-213 p., in-4° (lire en ligne), p. 109 col. 1-2.
  85. Nancy Paroisse Saint-Roch : Registres paroissiaux baptêmes, 1761-1791, Nancy, Archives départementales de Meurthe-et-Moselle, , 771 vues (lire en ligne), « 5Mi 394/R 34 », droite vue 74.
  86. Il est probable que ce soit la terre patrimoniale de Pixerécourt, lieu-dit au nord de Nancy, « face à Champigneulles ».[pas clair]
  87. Il possédait aussi une très belle collection d’autographes.
  88. Napoléon cité par O'Méara dans Charles Mullié, Biographie des célébrités militaires des armées de terre et de mer de 1789 à 1850, t. 1
  89. Jean Boulaine, Jean-Paul Legros, D'Olivier de Serres à René Dumont, portraits d'Agronomes, op. cit.
  90. Fiche sur geneaNet.
  91. Émile Auguste Nicolas Jules Bégin: Biographie de la Moselle: Histoire par ordre alphabétique de toutes les personnes nées dans ce département, Volume 3, Veronnais, Metz, 1831 (pp. 526-528).
  92. « Louis BOUVIER-DUMOLART », sur Assemblée nationale (consulté le ).
  93. Dossier de légionnaire, Cote LH/2037/76 sur Base Leonore
  94. Notice de Jean-François Génot sur assemblee-nationale.fr.
  95. Naissance en 1773 selon certaines sources (Notice d'autorité BNF)
  96. Notice d'autorité sur idref.f
  97. Tous les documents officiels d'état civil (dont actes de naissance), tous les états de services militaires de Bazoche (voir références ci-dessous) portent les prénoms « Charles Louis Joseph ». Cependant, certains documents indiquent comme prénoms « Charles Léon Joseph ». Nous conserverons donc les prénoms confirmés par les documents officiels : « Charles Louis Joseph » .
  98. Dossier de légionnaire (cote LH/2195/37) sur Base Leonore.
  99. d'après Danièle Boizard
  100. a et b Archives Départements de la Meuse, Acte de sépulture, page 387.
  101. Base Palissy
  102. Félix Raugel, « Les Orgues de Notre Dame d'Avioth », L'Orgue, no 128,‎ , p. 59
  103. Ses documents personnels intégraux, conservés à la bibliothèque nationale de France (256 volumes), ne font toutefois pas état de cette reconstruction.
  104. Ministère de l'éducation nationale, Réunion des sociétés des beaux-arts des départements, vol. 20, France, (présentation en ligne)
  105. Registres paroissiaux (AD Haute Marne E0064 0077 0078)
  106. Mémoires de l'Académie de Stanislas, Grimblot et Veuve Raybois, (lire en ligne)
  107. Pour une photo-illustration, voir : Pictorial History of Volozhin and Brisk.
  108. Voir, l'édition de Varsovie de 1869 que l'on peut consulter ci-après : Édition du Shaagas Aryeh, Varsovie, 1869

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]