Études françaises — Wikipédia

Études françaises
Pays Drapeau du Canada Canada
Langue Français
Périodicité Trois numéros par an
Genre Littérature
Date de fondation 1965
Éditeur Presses de l'Université de Montréal
Ville d’édition Montréal

Directeur de publication Stéphane Vachon
ISSN 0014-2085
Site web Site officiel

Études françaises[1] est une revue québécoise qui se consacre à la critique, à l'histoire et à la théorie des littératures de langue française. Elle est publiée depuis 1965 à raison de trois numéros par an, qui se composent d’un dossier thématique construit autour d’une problématique précise et d’une rubrique d’articles libres intitulée « Exercices de lecture » qui rend compte des travaux de la recherche en train de se faire.

Historique[modifier | modifier le code]

Études françaises est créée en 1965 sous l’égide du département d’Études françaises (devenu en 2003 le département des Littératures de langue française) de l’Université de Montréal, lui-même créé en 1962. Elle est, depuis l’origine, publiée par les Presses de l’Université de Montréal.

Son premier numéro paraît en avec un sous-titre, « Revue des lettres françaises et canadiennes-françaises », qu’elle conserve jusqu’en 1974. Son premier directeur est René de Chantal, son premier comité de rédaction est composé de Bernard Beugnot, Nicole Deschamps, Albert Le Grand et Michel Mansuy. Ces fondateurs « souhaitent contribuer au resserrement des liens, déjà étroits, qui unissent les universités d’Europe à celles du Canada français » et « voir s’amorcer un courant d’échanges entre Montréal et les universités américaines[2] ». Georges-André Vachon succède en 1966 à René de Chantal entré dans la carrière diplomatique[3]. Sous son impulsion, le prix de la revue Études françaises est créé en 1968.

Première revue universitaire québécoise à se consacrer à la recherche littéraire, elle étudie toutes les littératures de langue française, à travers le monde et à travers le temps, du Moyen Âge aux productions contemporaines. Ainsi déclare-t-elle, par la voix de son second directeur, en 1968 : « Parce qu’elle est publiée au Québec, dans un pays qui se cherche, notre revue est particulièrement attentive au renouvellement de la langue et des formes littéraires qui se poursuit, dans tous les pays francophones[4]. » Témoignent de cet intérêt précoce pour la francophonie, la conférence de Léopold Sedar Senghor, « Qu’est-ce que la négritude ? », qu’elle publie en [5], ou le premier chapitre, inédit, des Soleils des indépendances d’Ahmadou Kourouma qu’elle offre à ses lecteurs en [6], précédé d’une étude par Jean Cléo Godin[7] de ce roman qu’elle couronne en lui remettant son premier prix.

Pendant les deux premières années de son existence, Études françaises paraît trois fois par année, en février, en juin et en octobre. En 1967, un numéro thématique s’ajoute au calendrier de ses publications (février, mai, août et novembre), instaurant un rythme de parution trimestriel que la revue soutient jusqu’en 1981. Au cours de cette période, elle publie des articles scientifiques, des instruments de travail et de recherche, des « Notes et documents », une « Bibliographie des lettres canadiennes-françaises », des comptes rendus (de 1965 à 1970)[8], des chroniques de la littérature québécoise (de 1970 à 1972) devenues numéros annuels en 1973 et en 1974[9], des témoignages et des textes de création signés par Michel Beaulieu[10], Nicole Brossard[11], Roch Carrier[12], Réjean Ducharme[13], Jacques Ferron[14], Claude Gauvreau[15], Paul-Marie Lapointe[16], Antonine Maillet[17], Gaston Miron[18], Pierre Nepveu[19] ; des interventions d’Alfred Desrochers, Jacques Godbout, Gilbert Langevin, André Major, Claude Péloquin, Jacques Renaud[20].

Entre 1967 et 1970, elle publie plus d’une centaine de textes de toutes natures dans des numéros qui contribuent à la défense et à l’illustration de la littérature québécoise, de la Nouvelle-France au XIXe siècle, et à l’invention de sa tradition tandis que se développe son enseignement collégial et universitaire[21].

Études françaises adopte en 1974 la formule des numéros entièrement thématiques qui lui permet de susciter des recherches autour d’auteurs ou de théoriciens, d’approches ou de genres, de questions jugées importantes. À partir de la fin de l’année 1975, elle paraît, sauf une exception en 1980, sous la forme de deux numéros doubles annuels, en avril et en octobre. Selon Jacques Michon, à la date de 1979, 48 % du contenu d’Études françaises est québécois[22].

Revenue, en 1982, à la publication de trois numéros par année (printemps, automne, hiver), elle continue à travailler entre les frontières et les disciplines[23], en dialoguant avec les autres arts[24]. Elle n’a pas cessé de publier des témoignages ou des inédits, d’auteurs québécois : Victor-Lévy Beaulieu[25], Jacques Godbout[26], Jacques Poulin[27], Stefan Psenak[28], Yolande Villemaire[29], Paul-Marie Lapointe et Claude Gauvreau[30] ; belges : Éric Clémens[31], Marc Quaghebeur[32] ; français : Maylis de Kerangal[33], Hervé Guibert[34], Pascal Quignard[35], Francis Ponge[36] ; de la francophonie : Abdelkébir Khatibi[37], Ahmadou Kourouma[38], Boubacar Boris Diop[39].

Créée en 1987 sous le titre « Chroniques » afin de renouveler sa politique d’ouverture en accueillant tous les types de travaux, notamment ceux de jeunes chercheurs, quels que soient leurs objets, leurs perspectives et leurs approches théoriques ou méthodologiques, devenue « Exercices de lecture » en 1992-1993, la rubrique de ses articles libres s’étend parfois à l'ensemble d'un numéro[40].

Revue littéraire, internationale et interdisciplinaire, Études françaises n’est pas la revue d’un corpus ni d’un objet, elle n’émane d’aucune société savante ni d’aucun groupe de recherches[41], et n’illustre aucun choix théorique exclusif ni aucune perspective critique unique. Au terme des quinze premières années de son existence, elle n'a publié que quatre courts textes d’orientation[42], qui insistent tous sur sa souplesse éditoriale, sur son ouverture à tous les modes d’interrogation des œuvres. C’est ainsi que l’enseignement de la littérature[43], l’épistolaire[44], la génétique textuelle[45], l'économie[46], l’histoire[47], l’onomastique[48], la philosophie et l’histoire de l’art[49], la rhétorique[50], la sociologie de la littérature[51], la sociocritique[52], des dossiers sur les études de presse[53], sur les médias[54] et sur internet[55], sur les genres littéraires (le conte[56], le fabliau[57], le manifeste[58], le poème en prose[59], la poésie[60], le récit[61], le roman[62], le théâtre[63], la tragédie[64]), des travaux bibliographiques[65] y trouvent naturellement leur place.

Études françaises a célébré le cinquantenaire de sa naissance en 2014 en publiant un volume jubilaire (trois numéros) réunissant des analyses et de nombreux témoignages, documents, textes de création et inédits[66]. Les numéros qu’elle publie font régulièrement l’objet de comptes rendus dans diverses revues savantes[67].

Liste des directrices et des directeurs[modifier | modifier le code]

Comité de rédaction[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Plus tôt au XXe siècle, une revue de sinologie, dirigée par André d'Hormon et éditée à Pékin, a porté le même titre. Cf She Xiebin, « La littérature française traduite en Chine », Meta : journal des traducteurs / Meta: Translators' Journal, vol. 44, no 1, 1999, p. 178-184 (lire en ligne).
  2. « Avant-propos », Études françaises, vol. 1, no 1, février 1965, p. 2, signé « La Rédaction » (lire en ligne).
  3. Académie des lettres du Québec, « René de Chantal » (consulté le )
  4. Georges-André Vachon, « Critique, création, recherche », Études françaises, vol. 4, no 1, février 1968, p. 1 (lire en ligne).
  5. « Qu'est-ce que la négritude ? », vol. 3, no 1, p. 3-20 (lire en ligne).
  6. « Les funérailles du septième jour », vol. 4, no 2, mai 1968, p. 220-227 (lire en ligne).
  7. « Les Soleils des indépendances », vol. 4, no 2, mai 1968, p. 209-216 (lire en ligne).
  8. Cent vingt-trois comptes rendus sont recensés dans Études françaises. Index 1965-1984, préparé par Raymond-Louis Laquerre, Montréal, Presses de l’Université de Montréal, 1986, p. 47-50.
  9. « L’année littéraire québécoise 1973 », vol. 10, no 2, mai 1974 (lire en ligne) ; « L’année littéraire québécoise 1974 », vol. 11, no 2, mai 1975 (lire en ligne).
  10. « Poèmes », vol. 4, no 4, novembre 1968, p. 393-402 (lire en ligne) ; « Sang et eau des os », vol. 9, no 1, février 1973, p. 27-43 (lire en ligne).
  11. « L’avenir de la littérature québécoise. Aux prises avec la réalité du dedans surgie », vol. 13, nos 3-4, p. 383-393 (lire en ligne).
  12. « La noce », vol. 5, no 1, février 1969, p. 51-54 (lire en ligne) ; « Ceci n’est pas un conte », vol. 12, nos 1-2, avril 1976, p. 85-89 (lire en ligne).
  13. « Fragment inédit de L’océantume », vol. 11, nos 3-4, octobre 1975, p. 227-246 (lire en ligne).
  14. « Propos d’écrivain », vol. 12, nos 1-2, avril 1976, p. 84 (lire en ligne).
  15. « Lettres à Jean-Isidore Cleuffeu », vol. 7, no 4, novembre 1971, p. 373-388 (lire en ligne).
  16. « Écritures (fragments) », vol. 16, no 2, avril 1980, p. 3-28 (lire en ligne).
  17. « Mon pays c’est un conte », vol. 12, nos 1-2, avril 1976, p. 79-83 (lire en ligne).
  18. « Poèmes », vol. 6, no 2, mai 1970, p. 181-192 (lire en ligne).
  19. « Pièces minimales », vol. 8, no 4, novembre 1972, p. 375-386 (lire en ligne).
  20. Sur Émile Nelligan, « Témoignages d’écrivains », vol. 3, no 3, août 1967, p. 303-307 (lire en ligne).
  21. « La poésie québécoise : Émile Nelligan », vol. 3, no 3, août 1967 (lire en ligne) ; « Chateaubriand et ses précurseurs français d’Amérique », vol. 4, no 3, août 1968 (lire en ligne) ; « Une littérature de combat 1778-1810. Les débuts du journalisme canadien-français », vol. 5, no 3, août 1969 (lire en ligne) ; « L’invention du pays : chroniques et notices d’Arthur Buies », vol. 6, no 3, août 1970 (lire en ligne) ; « Les démocrates canadiens 1845-1875 », vol. 9, no 3, août 1973 (lire en ligne).
  22. Jacques Michon, « Les revues d’avant-garde au Québec de 1940 à 1979 », dans Lise Gauvin et Jean-Marie Klinkenberg (dir.), Trajectoires. Littérature et institutions au Québec et en Belgique francophone, Bruxelles, Labor, 1985, p. 119.
  23. « Le texte scientifique », vol. 19, no 2, automne 1983 (lire en ligne) ; « Cartographies », vol. 21, no 2, automne 1985 (lire en ligne).
  24. « Musique et texte », vol. 17, nos 3-4, , (lire en ligne) ; « Écrire l’image », vol. 21, no 1, printemps 1985, (lire en ligne) ; « L’automatisme en mouvement », vol. 34, nos 2-3, automne-hiver 1998 (lire en ligne) ; « Hergé reporter. Tintin en contexte », vol. 46, no 2, 2010 (lire en ligne) ; « Écrire après le cinéma », vol. 55, no 2, 2019 (lire en ligne).
  25. « Ébauche abandonnée du Discours de Samm. “C’est-à-dire du bien mauvais journal dans l’à peine de son déguisement” », vol. 19, no 1, printemps 1983, p. 79-88 (lire en ligne).
  26. « Le dernier mot », vol. 33, no 1, printemps 1997, p. 127-130 (lire en ligne).
  27. « Le Journal de la Grande Sauterelle », vol. 21, no 3, hiver 1985, p. 103-106 (lire en ligne).
  28. « La beauté (extraits) », vol. 37, no 1, 2001, p. 93-95 (lire en ligne).
  29. « La rose des temps s’ouvre, matérielle », vol. 37, no 1, 2001, p. 85-87 (lire en ligne).
  30. « Paul-Marie Lapointe et Claude Gauvreau. Inédits », vol. 48, no 1, 2012 (lire en ligne).
  31. « Les langues dans la langue », vol. 33, no 1, printemps 1997, p. 119-122 (lire en ligne).
  32. « Les Grandes Eaux », vol. 37, no 1, 2001, p. 89-92 (lire en ligne).
  33. « Placard Grundig », vol. 57, no 3, 2021, p. 121-123 (lire en ligne).
  34. « Derniers textes sur la photographie », vol. 21, no 1, printemps 1985, p. 63-68 (lire en ligne).
  35. « La métayère de Rodez », vol. 40, no 2, 2004, p. 9-11 (lire en ligne).
  36. « La Table (-) », vol. 17, nos 1-2, avril 1981, p. 9-49 (lire en ligne).
  37. « Un étranger professionnel », vol. 33, no 1, printemps 1997, p. 123-126 (lire en ligne).
  38. « Comment le guide suprême débarrassa le pays des quatre monstres qui le terrorisaient », vol. 31, no 1, été 1995, p. 7-11 (lire en ligne) ; « Écrire en français, penser dans sa langue maternelle », vol. 33, no 1, printemps 1997, p. 115-118 (lire en ligne).
  39. « La Bibliothèque de mon père », vol. 55, no 3, 2019 (lire en ligne).
  40. « Lectures », vol. 24, no 3, 1988 (lire en ligne) ; « Variétés », vol. 27, no 2, 1991 (lire en ligne) ; « Lectures singulières », vol. 29, no 2, 1993 (lire en ligne) ; « De Proust aux écritures numériques : lectures », vol. 43, no 3, 2007 (lire en ligne) ; « De Charles Baudelaire à Kamel Daoud : lectures », vol. 56, no 2, 2020 (lire en ligne).
  41. Même si, depuis sa fondation, tous ses directeurs viennent du département des Littératures de langue française de l’Université de Montréal.
  42. René de Chantal, « Avant-propos », vol. 1, no 1, , p. 2-3, signé « La Rédaction » (lire en ligne) ; Georges-André Vachon, « Critique, création, recherche », vol. 4, no 1, , p. 1-2 (lire en ligne) ; « Faire la littérature », vol. 6, no 1, , p. 3-6 (lire en ligne) ; Laurent Mailhot, « Quinze ans après », vol. 15, nos 1-2, avril 1979 (lire en ligne). — Les plus récents sont ceux de Élisabeth Nardout-Lafarge, « Relais », vol. 50, no 3, 2014, p. 113-119 (lire en ligne) et de Stéphane Vachon, « Relais II. “Nous sommes gens de revue” », vol. 55, no 3, 2019, p. 3-10 (lire en ligne).
  43. « L’enseignement de la littérature dans le monde », vol. 23, nos 1-2, automne-hiver 1987 (lire en ligne).
  44. « Entre public et privé. Lettres d’écrivains depuis le XIXe siècle », vol. 55, no 1, 2019 (lire en ligne).
  45. « Les leçons du manuscrit : questions de génétique textuelle », vol. 28, no 1, automne 1992 (lire en ligne).
  46. « Lectures de l’économie. Comment dire un imaginaire économique ? », vol. 59, n° 1, 2023 (lire en ligne).
  47. « Histoire et littérature. La littérature démoralise-t-elle l’histoire ? », vol. 53, no 3, 2017 (lire en ligne).
  48. « Noms d’auteurs », vol. 56, no 3, 2020 (lire en ligne).
  49. « Toucher des yeux. Nouvelles poétiques de l’ekphrasis », vol. 51, no 2, 2015 (lire en ligne).
  50. « Le lieu commun », vol. 13, nos 1-2, avril 1977 (lire en ligne) ; « Le sens (du) commun : histoire, théorie et lecture de la topique », vol. 36, no 1, 2000 (lire en ligne).
  51. « Sociologies de la littérature », vol. 19, no 3, hiver 1983 (lire en ligne).
  52. « Relire Claude Duchet. Cinquante ans de sociocritique », vol. 58, no 3, 2022 (lire en ligne) ; « Sociocritique de la poésie », vol. 27, no 1, printemps 1991 (lire en ligne).
  53. « Presse et littérature : la circulation des discours dans l’espace public », vol. 36, no 3, 2000 (lire en ligne) ; « Microrécits médiatiques. Les formes brèves du journal, entre médiations et fictions », vol. 44, no 3, 2008 (lire en ligne).
  54. « La littérature et les médias », vol. 22, no 3, hiver 1986 (lire en ligne).
  55. « Internet et littérature : nouveaux espaces d’écriture », vol. 36, no 2, 2000 (lire en ligne).
  56. « Conte parlé, conte écrit », vol. 12, nos 1-2, avril 1976 (lire en ligne).
  57. « Lire en contexte : enquête sur les manuscrits de fabliaux », vol. 48, no 3, 2012 (lire en ligne).
  58. « Le manifeste poétique / politique », vol. 16, nos 3-4, octobre 1980 (lire en ligne).
  59. « Situation du poème en prose au Québec », vol. 39, no 3, 2003 (lire en ligne).
  60. « L’ordinaire de la poésie », vol. 33, no 2, automne 1997 (lire en ligne) ; « Poésie, enseignement, société », vol. 41, no 3, 2005 (lire en ligne) ; « La corde bouffonne. De Banville à Apollinaire », vol. 51, no 3, 2015 (lire en ligne).
  61. « Le fil du récit », vol. 14, nos 1-2, avril 1978 (lire en ligne) ; « La représentation ambiguë : configurations du récit africain », vol. 31, no 1, été 1995 (lire en ligne) ; « Sur les traces du récit sentimental québécois (1920-1965) », vol. 58, no 1, 2022 (lire en ligne).
  62. « Le roman chevaleresque tardif », vol. 36, no 1, printemps 1996 (lire en ligne) ; « Le personnage de roman », vol. 41, no 1, 2005 (lire en ligne) ; « De l’usage des vieux romans », vol. 42, no 1, 206 (lire en ligne) ; « Le rire et le roman », vol. 47, no 2, 2011 (lire en ligne) ; « Les lieux de la réflexion romanesque au XVIIIe siècle : de la poétique du genre à la culture du roman », vol. 49, no 1, 2013 (lire en ligne).
  63. « Théâtre des commencements... », vol. 15, nos 1-2, (lire en ligne) ; « Les langues de la dramaturgie québécoise », vol. 43, no 1, 2007 (lire en ligne).
  64. « Tragique et tragédie », vol. 15, nos 3-4, avril 1979 (lire en ligne) ; « La littérature tragique du XVIe siècle en France », vol. 44, no 2, 2008 (lire en ligne).
  65. « L’univers des bestiaires. Dossier bibliographique et choix de textes », vol. 10, no 3, p. 231-282 (lire en ligne) ; « Les écrits d’Aimé Césaire. Bibliographie commentée », vol. 14, nos 3-4, (lire en ligne) ; « Les romans chevaleresques de la fin du Moyen Âge et de la Renaissance : éléments de bibliographie », vol. 32, no 1, printemps 1996, p. 109-113 (lire en ligne) ; « Gaston Miron : repères bibliographiques », vol. 35, nos 2-3, 1999, p. 209-227 (lire en ligne) ; « Jean Tortel : bibliographie », vol. 40, no 3, 2004, p. 93-108 (lire en ligne) ; « Boubacar Boris Diop. Trente-cinq ans de bibliographie critique », vol. 55, no 3, 2019, p. 131-152 (lire en ligne) ; « Maylis de Kerangal. Bibliographie (œuvres et œuvres critiques) », vol. 57, no 3, 2021, p. 125-138 (lire en ligne).
  66. Vol. 50, 2014, nos 1-2 (lire en ligne), no 3 (lire en ligne).
  67. Voir, par exemple, « L’insurrection kabyle de 1871. Représentations, transmissions, enjeux identitaires en Algérie et en France », vol. 57, no 1, 2021 (lire en ligne) ; « L'œuvre de Boubacar Boris Diop », vol. 55, no 3, 2019 (lire en ligne) ; « Écritures de la contestation. La littérature des années 68 », vol. 54, no 1, 2018 (lire en ligne) ; etc.

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Raymond-Louis Laquerre, Études françaises. Index 1965-1984, précédé de « Une revue dans la vingtaine » par Laurent Mailhot, Montréal, Presses de l'Université de Montréal, 1986.
  • Jacques Michon, « Les revues d’avant-garde au Québec de 1940 à 1979 », dans Lise Gauvin et Jean-Marie Klinkenberg (dir.), Trajectoires. Littérature et institutions au Québec et en Belgique francophone, Bruxelles, éditions Labor, 1985, pp. 117-127.
  • Bernard Beugnot, « Analyse spectrale d’Études françaises », Voix et images, no 35 (vol. 12, no 2), hiver 1987, pp. 278-284 (lire en ligne).
  • Laurent Mailhot, « Études françaises vingt ans après », Voix et images, no 35 (vol. 12, no 2), hiver 1987, pp. 284-287 (lire en ligne).
  • Nicole Fortin, Une littérature inventée. Littérature québécoise et critique universitaire, 1965-1975, Sainte-Foy, Presses de l'Université Laval, « Vie des lettres québécoises », 1990.
  • René de Chantal, « C’était en 1965...», Études françaises, vol. 31, no 2, automne 1995, pp. 11-14 (lire en ligne).
  • Esther Tullio, La Littérature québécoise dans la revue Études françaises, 1965-1974, tesi di Laurea, Università degli Studi di Udine, Facoltà di Lingue e Letterature Straniere, 1996-1997.
  • Raymond-Louis Laquerre et Patrick Poirier, Études françaises. Index 1965-2000, précédé de « La revue Études françaises a trente-cinq ans » par Lise Gauvin, Montréal, Presses de l'Université de Montréal, 1999.
  • Francis Gingras, « Cinquante ans d'Études françaises », Études françaises, vol. 50, no 3, 2014, pp. 5-14 (lire en ligne).
  • Martine-Emmanuelle Lapointe, « “Faire la littérature”. La réception des textes et des auteurs québécois à la revue Études françaises », Études françaises, vol. 50, no 3, 2014, p. 17-36 (lire en ligne).
  • Michel Lacroix, « “L’épreuve de la lecture publique”. Études françaises, la disciplinarisation du savoir et l’idéal du critique-écrivain », Études françaises, vol. 50, no 3, 2014, pp. 39-80 (lire en ligne).
  • Élisabeth Nardout-Lafarge, « Les revues savantes en études littéraires publiées au Québec : l’exemple d’Études françaises », Recherches sociographiques, vol. 59, no 3 (« Les revues savantes en sciences sociales et humanités »), septembre-, pp. 461-468 (lire en ligne).

Liens externes[modifier | modifier le code]