Famille de Marin de Montmarin — Wikipédia

de Marin de Montmarin
Image illustrative de l’article Famille de Marin de Montmarin
Armes de la famille.

Blasonnement D'azur, à la fasce d'or, accompagné en chef de trois croissants rangés d'argent, et en pointe d'un coq du second, becqué et membré de gueules. Supports: deux griffons d'or.
Devise Aspisciendo Crescit (Aspire à croître, Toujours plus haut ou plus littéralement En désirant, il croît)[1]
Période XVIIe siècle - à nos jours
Pays ou province d’origine Bourgogne
Allégeance Drapeau du royaume de France Royaume de France
Drapeau de la France France
Charges Intendant des finances
Fonctions militaires Général de division, officiers
Preuves de noblesse
Autres Secrétaire du roi (1632-1652)

La famille de Marin de Montmarin, anciennement Marin, est une famille de la noblesse française subsistante originaire de Bourgogne. Elle a été anoblie par une charge de secrétaire du roi au XVIIe siècle.

Histoire[modifier | modifier le code]

Denis Marin est le fils de Jean Marin, cordonnier, et de Julienne Jacquot. Emmené jeune à Paris par François Coquet, contrôleur de la maison du roi, il fait carrière à la Cour. Il occupe plusieurs fonctions et notamment : secrétaire du roi, maison et couronne de France (1632), conseiller d'État (1645), intendant des finances du roi Louis XIV (1649)[2]. Il est anobli en 1652 après 20 ans au service du roi[2]. Son fils aîné est Arnoul Marin, « marquis » de la Chataigneraie. Son second fils est Pierre Marin de la Trousserie, « marquis » de Montmarin[2].

Régis Valette écrit que cette famille a été anoblie par la charge de secrétaire du roi (1632-1652)[3].

Personnalités[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Marquis de Lagny, Livre d'Or de la Noblesse, Volume 4, 1846, pp. 290-294 (lire en ligne).
  2. a b c et d Claude-Nicolas Amanton, Deux notes de recherches biographiques sur Denis Marin de la Chasteigneraye, Dijon, 1807 (lire en ligne).
  3. Régis Valette, Catalogue des familles de la noblesse française subsistante au XXIe siècle, 2002, page 133.
  4. Archives nationales, LH/1742/72
  5. [1]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]